dépression marchandisée

Antidépresseurs : nombreux risques pour une efficacité controversée dans une dépression marchandisée

vu sur http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/

 

 

Ceci est le texte intégral de mon article paru dans le numéro de mai 2011 de la revue Alternative Santé(pp. 18-21), sous le titre (donné par la rédaction) « Antidépresseurs : l’overdose ». Je l’ai introduit et commenté dansce billet. Le nombre de signes était limité (dans la revue); c’est pour cela que le texte est très comprimé, sans transitions, ni figures de style, sans aucun mot qui ne semblait pas indispensable à la compréhension.

Antidépresseurs : l’overdose

Aldous Huxley imaginait dès les années 30 le médicament parfait, appelé Soma, qui crée un bonheur artificiel, émousse les émotions et pensées inadaptées par rapport aux normes sociales et devient ainsi un outil efficace de contrôle social. C’est le moyen idéal pour les tenants de la biocratie, l’une des formes de biopolitique (Michel Foucault) qui implique la médicalisation de l’existence, pour discipliner corps et esprits, normaliser les individus « déviants » à coups de camisoles chimiques et de bonheur standardisé. La psychiatrie ainsi dévoyée devient une gardienne de l’ordre socio-économique [1].

Marchandisation de la dépression

La dépression est « une construction historique » (Monique Debauche), depuis l’ancrage du terme dans le langage médical vers le milieu du 19ème siècle, pour désigner des états sévères tels que mélancolies, « dépressions vitales »… Il fallait élargir ce marché, trop étroit pour convenir aux objectifs de profit de l’industrie et à une psychiatrie qui voulait échapper aux psychanalystes. Pour ce faire, le marketing pharmaceutique commence par redéfinir et banaliser la dépression. Et l’on assiste à une « marchandisation de la dépression » en plusieurs étapes [2], en même temps que s’impose la psychopharmacologie, depuis la mise sur le marché de la Thorazine en 1953. Par la suite, l’arrivée des tranquillisants et des premiers antidépresseurs (IMAO, tricycliques) permettra de mettre au point les recettes publicitaires les plus performantes [3].

Tout est fait pour élargir les critères de la dépression, assimilée à la dysphorie (tristesse) et rendue socialement acceptable, alors que le discours général passe de la « folie » aux « troubles mentaux ». De plus en plus de bien-portants se retrouvent dans les descriptions délibérément vagues et deviennent éligibles aux « traitements » de toute sorte de « troubles » vaguement associées à la dépression… Le DSM – Manuel statistique et diagnostique des troubles mentaux -, rédigé par des leaders d’opinion grevés de conflits d’intérêts, a largement contribué à la création de ce marché. Sans oublier l’OMS, qui, sous l’influence des pharmas, a fortement promu la dépression, étiquetée maladie du 21ème siècle. L’OMS a aussi changé sa définition de la santé pour y inclure un vague « bien-être complet » des individus, ce qui légitime la publicité des firmes pour les « pilules du bonheur » et les médicaments de confort (lifestyle drugs) présentés comme indispensables [4].

 

pour lire la suite de l’article 

Vivre de lumière

Publié par Interobjectif

Documentaire autrichien de P.A. Straubinger en version française (2010)

Peut-on survivre sans prendre de nourriture pendant des semaines, des années voire des décennies ?
La plupart des gens, scientifiques ou spécialistes répondront spontanément : c’est impossible !

Mais comment réagiront ces mêmes scientifiques et spécialistes lorsqu’ils seront confrontés aux preuves, rapports certifiés, interviews et expériences en laboratoire à l’appui, constatant que ce phénomène, parfois aussi désigné par « Respirianisme ou inédie », existe ?

Le film est une enquête passionnante et intrigante autour du monde. Il explore non seulement la connaissance issue des traditions spirituelles asiatiques, mais dévoile aussi les derniers modèles d’explications tirés de la physique quantique.

Sans promouvoir le « Respirianisme », ce documentaire propose une vision alternative de nos besoins, bousculant la philosophie mécaniste-matérialiste dominante. Serait-il alors possible de vivre autrement ?

Pour rejoindre la page sur le respirianisme 

pour acheter ce DVD : « LUMIÈRE »
(chez Jupiter Communication, son distributeur français)

Avec en bonus du DVD le passionnant documentaire « Propos sur la conscience », où le Dr. Amit Goswadi, physicien quantique, prétend que la conscience humaine ne provient pas du cerveau. A voir et revoir d’urgence en version française !

Attention : Non le respirianisme n’est pas à pratiquer par tout le monde, ni évidemment la solution à la faim dans le monde !
Serait-il alors possible de vivre autrement ? Oui, pour quelques uns…
Un excellent sujet qui démontre que le monde scientifique actuel marche globalement à côté de ses pompes… et que de nouvelles perspectives s’offrent à la destinée humaine.

« Si cette enquête remet en question nos conceptions et ouvre une porte sur une alternative, elle n’en reste pas moins honnête, rigoureuse, et ne fait aucune propagande. » (Les Fiches du Cinéma)

« P.A. Straubinger permet à chacun de se faire une opinion à travers une enquête solide, s’appuyant sur des études scientifiques. Lumière débute avec de nombreux plans aériens, une invitation à considérer les thèmes évoqués dans le documentaire avec un oeil neuf, à bonne distance. » (Excessif)

« Voilà, avouons-le honnêtement, qui a de quoi troubler les esprits rationnels, et justifie la tentation du réalisateur de remettre plus largement en cause les dogmes de la science positiviste. » (Le Monde)

« Même si le scepticisme reste de mise, ce film peut laisser croire selon quelques spécialistes à la véritable influence de l’esprit sur la matière. Il laisse aussi planer l’hypothèse que d’autres formes d’énergie pourraient exister se substituant à celles auxquelles on a l’habitude de recourir. En tout cas il a le mérite de laisser penser que l’homme a des capacités infinies en lui… » (Suite101.fr)

« Sans trop s’encombrer d’idéologies fumeuses ou hors d’atteinte des non-convaincus, l’enquête s’attaque à l’énigme biologique et médicale, explore et élargit le débat jusqu’à la valeur des sciences et de nos certitudes. C’est habile, très intrigant, avec une pointe d’humour pour faire passer le plus ahurissant. » (L’avis des femmes)

« On est plus frappé par le mépris de la communauté scientifique, qui en se fermant à toute étude apporte de l’eau au moulin des plus illuminés. Reste un sujet fascinant qui fait réfléchir… » (L’avis des hommes)

« Une chose est sûre, ce film n’est pas une incitation au jeûne mais invite, au contraire, le spectateur à repousser les limites de l’entendement pour approcher progressivement une autre réalité surprenante ! » (L’Officiel des Spectacles)

« Un beau message d’espoir donc, qui tombe à pic car avec bientôt 7 milliards d’êtres humains la lumière risque d’être notre plat principal. » (Le Canard Enchaîné)

nos relations : liens faibles et liens forts

vus sur : http://internetactu.blog.lemonde.fr/

Liens faibles, liens forts. Cette semaine le dossier d’InternetActu vous propose de revenir sur ce que sont les liens faibles, ce concept forgé par le sociologue américain Mark Granovetter permettant de distinguer nos relations selon selon leur proximité, mais aussi selon leur diversité et la richesse de ce qu’elles nous apportent. A l’heure des réseaux sociaux numériques, la compréhension de la structuration et du rôle de nos relations est devenu d’autant plus importante qu’elles forgent de plus en plus toutes nos actions en ligne. Quelle est la force des liens faibles, quelles sont leurs limites ? C’est le dossier d’InternetActu.

Le consultant Charles Leadbeater, célèbre chercheur associé à Demos, le think tank britannique, vient de publier [NDE cet article date de mars 2008, mais ses conclusions, vous le constaterez, n’ont rien perdu de leur actualité] We Think : l’innovation de masse, pas la production de masse et signe une tribune très stimulante dans le Guardian sur la puissance du web 2.0 : « Si d’ingénieux concepteurs de jeux peuvent inspirer des milliers de personnes à collaborer pour résoudre un casse-tête en ligne, pourrions-nous faire quelque chose de similaire pour lutter contre le réchauffement de la planète, soutenir les personnes âgées, aider les victimes de catastrophes, prêter ou emprunter de l’argent, discuter de politique et de décisions publiques, enseigner et apprendre, concevoir et fabriquer des produits ? »

Puissant le web 2.0 ?

Reste qu’il est difficile de voir dans les formes de collaboration que décrit Leadbeater une véritable puissance, car beaucoup d’entre elles n’ont lieu que derrière l’écran et peinent à impacter le réel. Les mobilisations par SMS pour faire tomber les gouvernements de Corée du Sud, des Philippines ou d’Espagne ont-elles été des éléments déclencheurs ou des symptomes ? Certes, comme il le dit, « le web abaisse le coût de la mobilisation », mais cette mobilisation électronique est-elle de même teneur que d’autres formes, a-t-elle la même force ? Mobiliser les gens derrière leur écran n’est-il pas plus facile, mais aussi moins impliquant, que les faire se déplacer à une manifestation ou une réunion ? Leadbeater le reconnait lui-même, nous ne savons pas encore comment nous pouvons nous organiser sans l’attirail traditionnel des organisations. Charles Leadbeater est également conscient que le web « n’améliore que trop imparfaitement la qualité du débat démocratique », ce qui ne l’empêche pas, comme d’autres prophètes du numérique, d’aller de l’avant et de continuer à être optimiste : « Les Etats-Unis dépensent des centaines de milliards de dollars dans une guerre pour apporter la démocratie en Irak. Or, 4 % des gens dans le monde arabe ont un accès haut débit. Le meilleur moyen pour promouvoir la démocratie au Moyen-Orient serait de porter ce taux au-delà de 50 %. » En guise de démonstration, c’est peut-être un peu faible ?

pour lire la suite :

Adonis critique vivement l’opposition syrienne

vu sur lorientlejour.com

Adonis critique vivement l’opposition syrienne

AFP | 11/02/2012


Révolte « Il n’y a pas d’islamisme modéré », clame le poète syrien.

Le poète syrien exilé Adonis (Ali Ahmad Saïd Esber) a porté un regard très critique sur l’opposition syrienne au président Bachar el-Assad, dénonçant l’appel aux pays occidentaux pour soutenir la révolte, dans un entretien accordé au magazine autrichien « Profil » à paraître lundi.

« Comment peut-on poser les fondements d’un Etat avec l’aide des mêmes personnes, qui ont colonisé ce pays? » se demande Adonis, considéré comme le plus grand poète vivant du monde arabe. Il fait ainsi allusion au mandat exercé par la France en Syrie de 1920 à 1941 en application de l’accord secret anglo-français Sykes-Picot (1916) et du Traité de Sèvres (1920), après l’effondrement de l’empire ottoman, allié de l’Allemagne pendant la Première Guerre mondiale, la présence militaire française en Syrie ne prenant fin qu’en 1946.

« Je ne soutiens pas l’opposition » au président Assad, indique le poète. Pour lui, une intervention militaire occidentale aurait les mêmes conséquences que la guerre déclenchée en Irak en 2003: « Le pays serait alors détruit ».

En août dernier, le poète avait appelé le président Assad à « quitter la présidence ». « Le moins qu’il puisse faire est de démissionner de son poste », avait-il dit au journal koweïtien al-Raï.

Dans « Profil », Adonis tire également un bilan très négatif du « Printemps arabe ». S’il reconnaît avoir été impressionné par le début du mouvement, il critique son évolution, avec l’arrivée au pouvoir des islamistes en Tunisie et en Egypte, après les élections organisées à l’automne 2011.
« Il n’y a pas d’islamisme modéré », clame-t-il, comparant les Frères musulmans, grands vainqueurs des élections législatives en Egypte, à de « purs fascistes ». Selon lui, une véritable révolution dans le monde arabe ne peut avoir des chances de réussite que sur « des bases laïques ».

La répression du soulèvement populaire en Syrie a fait plus de 6.000 morts depuis début mars, selon un dernier bilan de l’Organisation des Nations Unies (ONU).

Adonis, de son vrai nom Ali Ahmad Saïd Esber, âgé de 82 ans, né à Al-Qassabin, près de Lattaquié, en Syrie, est l’aîné d’une famille paysanne de six enfants. Après un séjour en prison pour son appartenance au Parti nationaliste syrien, il s’exile au Liban en 1956 avant de venir s’installer en France. Il réside depuis 1985 à Paris, où il a enseigné à la Sorbonne et a été le représentant de la Ligue arabe à l’UNESCO. En 2011, il a remis ses archives à l’Institut Mémoires de l’édition contemporaine (IMEC) à Caen (ouest de la France).

Eglise de la Très Sainte Consommation

Vu sur le site de l’Eglise de la Très Sainte Consommation

Croissance Reviens ! Dilapidez !
Croissance, croissance, croissance reviens !
Croissance reviens parmi les tiens !
Pour notre bonheur, montre-nous le chemin,
Toi qui nous aveugles si bien. !

Citée 1000 fois dans les journaux quotidiens,
Tu ne quittes pas la bouche de nos politiciens,
Tu apportes l’emploi et le pouvoir d’achat,
Pour con consomme comme des rois !

Croissance, croissance….

Bien ancrée dans tous les recoins de nos cerveaux,
Croissance tu es la solution de tous les maux,
Croissance infinie dans toute la galaxie,
Tu es la source de la vie !

Croissance, croissance….

Soyons malades, dépressifs et surendettés,
Pour la patrie, pour la croissance du P.I.B,
Vive l’exploitation, le travail et l’argent !
A mort tous les décroissants !

Croissance, croissance….


Dilapidez !

Tout votre blé !
Pour la croissance
Du P.I.B. !

Dilapidez !
Ô lapidez !
La femme-objet !
Les ouvriers !
Les étrangers !

Ô lapidez !
Dilapidez !
Tout votre blé !
Pour la croissance
Du P.I.B. !

Dilapidez !
Croissance, reviens !
Croissance, bonheur !
Achat, bonheur !

Du fric à l’aise J’t’emmène Au Poste
Ah que je gagn’ du fric à l’aise
Quand y’a pas d’règles pour l’emploi
Oui pour l’emploi
J’ouvre et je ferme les usines
Sans me soucier des ouvriers, des ouvriers
J’ouvre et je ferme les usines
Sans me soucier des ouvriers

J’ai rétabli l’travail des gosses,
Dans les pays d’Extrême-Orient
D’Extrême-Orient
Leurs petit’s mains cous’nt les godasses
Pour bien moins cher que leurs parents, que leurs parents
Leurs petit’s mains cous’nt les godasses
Pour bien moins cher que leurs parents, que leurs parents

La nuit j’fais travailler les femmes
Y’a pas d’raisons qu’elles y échappent,
Qu’elles y échappent,
Comm’ça ell’s sont près de leur mômes
C’est plus social et plus rentable,
Et plus rentable
Comm’ça ell’s sont près de leur mômes
C’est plus social et plus rentable

Aujourd’hui je suis mercenaire
Pour le Medef et pour le fric
Et pour le fric,
J’ai un contrat en Normandie
Je restructure l’industrie, oui l’industrie
J’ai un contrat en Normandie
Je restructure l’industrie

Après il y’aura la Bretagne,
La Lorraine et le Pas-d’-Calais
Le Pas-d’-Calais
Chaqu’fois que je ferme une usine
Y’a dix millions qui tomb’nt pour moi,
Qui tomb’nt pour moi
Chaqu’fois que je ferme une usine
Y’a dix millions qui tomb’nt pour moi

Ah que je gagn’ du fric à l’aise
Quand y’a pas d’règles pour l’emploi
Oui pour l’emploi
J’ouvre et je ferme les usines
Sans me soucier des ouvriers, des ouvriers
J’ouvre et je ferme les usines
Sans me soucier des ouvriers
(Mouise attaque)

Allez viens j’t’emmène au poste,
Je t’embarque avec les menottes,
Et je voudrais que tu te rappelles,
La matraque est éternelle
Et pas artificielle !

Je voudrais que tu te rebelles plus souvent,
Qu’on puisse t’humilier devant les gens,
Et je voudrais que tu te rappelles,
Le flashball est bien mortel
Et pas accidentel !

Je voudrais que tu ne sois plus dissident
Que tu rentres enfin dans le rang
Et je voudrais que tu te rappelles,
Les bavures, blessures mortelles !
Coma artificiel !

Je voudrais que tu aies peur plus souvent
Des contrôles, des rafles, des agents
Et je voudrais que tu te rappelles
La matraque est éternelle
Et pas artificielle !

Je voudrais que tu t’agenouilles sagement
Que tu trimes en serrant les dents,
Et je voudrais que tu te rappelles
L’obéissance et le zèle
C’est là où j’excelle !

Je voudrais que tu dénonces des gens
Que tu donnes des renseignements
Et je voudrais que tu te rappelles
Les caméras te harcèlent
C’est pas qu’du virtuel !

Allez viens j’t’emmène au poste,
Je t’embarque avec les menottes,
Et je voudrais que tu te rappelles,
La matraque est éternelle
Et pas artificielle !

Père Aless – janvier 2011

La Marchandaise Peupler Ma Vie De Concurrence
Allons clients consuméristes
Le jour de paye est arrivé !
Contractons de nombreux crédits,
Crédits à la con-sommation (Bis)
C’est le travail qui nous libère,
Nous sommes libres de consommer !
Endettés, pieds et poings liés,
Les actionnaires peuvent sabrer le Champagne !

Aux marques, citadins !
Videz les magasins !
Ach’tons ! Ach’tons !
Que nos caddies soient toujours bien remplis !

Allons clientes, consommatrices !
Le jour des soldes est arrivé !
Dégainons cartes bleues et chéquiers !
L’étendard des soldes est levé ! (Bis)
Admirons ces belles campagnes (de pub),
Gloire à la publicité !
Soyons toujours surendettés !
Et frustrés, que le désir nous gagne !

Aux marques, citadins !
Videz les magasins !
Ach’tons ! Ach’tons !
Le sang du Sud abreuve l’Occident !

Aux marques, citadins !
Videz les magasins !
Ach’tons ! Ach’tons !
Que nos caddies soient toujours bien remplis !

Refrain :

Peupler ma vie de concurrence, et fuir la solidarité,
Choisir avec toi la méfiance, haïr, se savoir détesté.

Des autr’, n’en avoir rien à foutre,
Aimer le pouvoir et l’argent,
Ecarter les pauvres de nos routes,
Sauf s’ils servent les dominants.

Refrain

Prôner une croissance infinie,
Les Hommes dominent la Nature,
Se fier aux chères technologies,
C’est le progrès, c’est le futur

Refrain

Fustiger les pauvres hérétiques,
Qui n’croient pas à toi, Dieu Argent,
Les traiter de sales parasites,
De malades, de gros fainéants.

Refrain

Semer la grand’ peur et le doute,
Le travail lui-seul crée des liens,
Surtout du chômage, je redoute,
Exploitez-moi, je le veau bien.

Refrain

Dormir peu et sans cesse travailler,
Faire plaisir aux bons actionnaires,
Garder un peu d’temps pour consommer
Aux temples où la vie est moins chère.

Refrain

Tu Es Là
Tu es là au cœur de nos vies,
Et c’est toi qui nous fait vivre,
Tu es là au cœur de nos vies,
Ô-ô Croissance infinie !

Dans le secret de nos bassesses,
Tu es là,
Dans nos discours, nos fauss’s promesses,
Tu es là.

Tu es là au cœur de nos vies,
Et c’est toi qui nous fait vivre,
Tu es là au cœur de nos vies,
Bien vivant, ô Gloire au Fric ! Ô Dieu du Fric !

Refilé dès le plus jeune âge,
Tu es là,
Tu nous réduis en esclavage,
Tu es là.

Tu es là au cœur de nos vies,
Et c’est toi qui nous fait vivre,
Tu es là au cœur de nos vies,
Bien vivant, ô Saint Crédit !

Dans nos cœurs tout remplis de trouille
Tu es là,
Dans tous le fiel de nos magouilles,
Tu es là.

Tu es là au cœur de nos vies,
Et c’est toi qui nous fait vivre,
Tu es là au cœur de nos vies,
Bien vivant, ô Saint Profit !

Dans le milieu de la compète,
Tu es là,
Dans la musique, dans nos fêtes,
Tu es là.
Tu es là au cœur de nos vies,
Et c’est toi qui nous fait vivre,
Tu es là au cœur de nos vies,
Ô-ô Croissance Infinie !

Le boson de Higgs découvert avec 99,9999 % de certitude

vu sur le Monde/sciences

Cette fois, il n’y a plus de doute. Une nouvelle particule a bien été découverte au Centre européen de recherche nucléaire (CERN), près de Genève, grâce à l’accélérateur de particules LHC et ses deux principaux détecteurs, Atlas et CMS.

Le CERN et les deux porte-paroles de ces expériences ont annoncé avoir mis au jour un boson ressemblant fort au célèbre boson de Higgs. Cette particule, qu’il convient plus exactement de nommer « de Brout-Englert-Higgs » du nom de ses géniteurs théoriciens, est la pièce manquante au bel échafaudage construit par les physiciens pour décrire le monde de l’infiniment petit.

A l’issue de la présentation des résultats au CERN, l’Ecossais Peter Higgs, qui a donné son nom à ce Boson, a tenu à féliciter toutes les équipes ayant participé à la détection de cette particule. « C’est extraordinaire que cela soit arrivé de mon vivant », a-t-il déclaré. Le Belge François Englert, qui lui aussi avait été convié à la conférence du CERN, s’est associé à ces félicitations. Il a tenu à exprimer « sa tristesse que notre collaborateur et ami de toute une vie, Robert Brout, n’ait pas pu assister à cette extraordinaire présentation ». Englert et Brout avaient cosigné en août 1964 un article décrivant un mécanisme donnant une masse aux particules. Peter Higgs avait décrit une particule du même type le 15 septembre 1964. La dénomination populaire du boson n’a retenu que son nom, sous l’influence de Steven Weinberg (Nobel de physique 1979) qui a contribué à vulgariser cette particule.

Elle joue un rôle majeur dans la nature car, sans elle, les particules n’auraient pas de masse. C’est comme si des objets initialement sans masse traversaient un milieu visqueux et se mettaient donc à peser de plus en plus lourd. La manière d’agréger la « boue » dépendant de l’interaction avec le fameux boson. Ainsi l’électron devient l’objet que nous connaissons et peut ensuite donner naissance à des atomes, des molécules… Bref à toute la matière qui nous entoure.

Lire : « Le boson de Higgs : les raisons d’une quête »

Il s’agit de la première particule élémentaire découverte depuis 1994. Elle était la dernière à échapper aux recherches et complète admirablement le modèle standard, sorte de table de la loi de la physique qui décrit les douze particules et les trois forces qui les unissent pour former la matière ordinaire.

La divine matrice – Gregg Braden

http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/

 

On nous a appris à marcher, à parler et à nous comporter en société. Il y a une chose que nos parents ne nous ont pas appris – et ils n’en sont pas responsables puisqu’ils ont reçu le même enseignement – c’est gérer nos pensées. La pensée est un pouvoir puissant que nous ne maîtrisons pas, faudrait-il encore que nous ayons connaissance de ce pouvoir et de son étendue.

Gregg Braden est l’auteur de nombreux ouvrages. Je l’ai découvert sur internet à travers une vidéo qui, hélas, ne semble plus disponible sous-titrée en français. Elle s’appelle la science des miracles. Gregg Braden parle d’un champ d’énergie qui nous relie tous les uns aux autres. Le pouvoir de la pensée peut avoir de réels impacts sur tout être ou toute chose et ce en dépit de la distance et du temps. L’effet papillon en quelque sorte (un battement d’aile d’un papillon peut suffire à provoquer un ouragan à l’autre bout de la planète…).

Ce champ qui nous relie est extrêmement sensibles à nos émotions.

Gregg Braden relate dans cette vidéo trois expériences qui ont été menées dans les années 90 par des groupes différents et ne se connaissant pas. Trois expériences sur l’ADN humain.

Sans entrer dans les détails techniques, une équipe de laboratoire a fait le vide dans un vacuum (une sorte de tube). Il ne restait que des photons (particules de lumière) à l’intérieur de ce tube circulant à l’intérieur de manière aléatoire. De l’ADN humain y a été introduit. Aussitôt : les particules se sont alignées. C’était déjà surprenant mais cela l’a été encore quand l’ADN a été retiré du tube. En toute logique, les particules auraient du se disperser de nouveau dans le tube et circuler de manière aléatoire. Le fait est que les particules ont conservé cet alignement. Conclusion : notre ADN agit sur notre environnement.

Réalisée par une équipe de l’armée, l’expérience suivante consistait à prélever de l’ADN sur un volontaire et d’isoler cet ADN de son donneur dans des pièces différentes. Le donneur a été soumis à différents stimulis. Il a été constaté que lorsque le donneur avait ses « hauts » et ses « bas » (émotions positives et négatives), l’ADN dans l’autre pièce réagissait également. Il en a été déduit qu’il y avait une source d’énergie qui émanait du donneur et l’expérience suivante a consisté à séparer le donneur de son ADN à plus de 500 kms de distance. Le but était de mesurer le temps de déplacement de cette énergie. La surprise a été de taille de constater que l’ADN réagissait à l’instant T aux stimulis auxquels le donneur était soumis. A croire que le temps et la distance n’ont pas d’existence (?).

Enfin, il a été constaté que les changements de forme de l’ADN avaient des caractéristiques très particulières suivant la nature des émotions auxquelles il était soumis. Dans le cas d’émotions négatives (peur, colère, jalousie, ….), l’ADN se contracte comme un ressort. Dans le cas d’émotions positives (amour, compassion, joie,…), l’ADN se « prélasse ».

De nombreuses conclusions peuvent découler des résultats de ces expériences mais une chose est sure : cela bouleverse complètement les bases de la physique…

Faute d’accès à la vidéo, le récit de ces expériences se trouve dans le livre de Gregg Braden « La divine matrice » ….

Pour le reste, je laisse à chacun le soin de réfléchir à ses propres conclusions.

——————————————-

Pour terminer, afin d’en savoir un peu plus sur l’auteur :

Gregg Braden est reconnu comme un pionnier dans la tentative de construire un pont entre sciences et spiritualité. .

Ses voyages dans des hauts-lieux spirituels, unis à ses connaissances et à ses compétences dans le domaine des sciences de la mécanique, ont fait de lui un spécialiste qui est parvenu à remettre au centre de notre vie quotidienne les enseignements bénéfiques des traditions du passé. C’est dans les lieux qu’il a visités pendant plus de vingt ans qu’il a mené ses recherches, étudiant des textes oubliés afin de découvrir leurs secrets intemporels.

Gregg Braden a occupé des postes allant de celui de Géologue Informaticien, auprès de la compagnie « Phillips Petroleum », à celui de Concepteur expert de systèmes informatiques, pour le compte de la société « Martin Marietta Aerospace ». En 1991, il devint le premier Directeur des opérations techniques pour la mise en place du réseau Cisco Sistems, où il s’occupa du développement de l’équipe d’assistance globale qui assura le bon fonctionnement de l’actuel réseau internet. Les diverses crises mondiales qui éclatèrent à la fin du XXème siècle, l’incitèrent à abandonner le monde de l’entreprise pour se consacrer à la recherche de solutions aux grands problèmes actuels. Il est aujourd’hui considéré comme une autorité reconnue parmi ceux qui s’attachent à relier les connaissances du passé à la science, à la médecine et à la paix de demain.

De son premier livre, L’éveil au point zéro suivi de l’ouvrage Marcher entre les mondes – La science de la compassion jusqu’à l’Effet Isaïe, l’auteur s’aventure au-delà des frontières entre la science et la spiritualité en proposant des solutions sensées pour répondre aux défis de notre époque. Il a d’ailleurs été l’invité de nombreuses conférences internationales et d’émissions télévisées s’interrogeant sur le rôle que la spiritualité a à jouer face au développement de la technologie dans nos sociétés contemporaines. Les livres de Gregg Braden ont été traduits en 13 langues et dans 25 pays.

Translate »