La perte de biodiversité responsable de la malnutrition

vu sur novethic.fr/

Pour répondre aux problèmes de malnutrition dans le monde, la FAO se tourne vers la biodiversité agricole. En liant l’amélioration de l’alimentation à la production de variétés locales, l’organisation des Nations unies entérine l’incapacité de l’agriculture industrielle à nourrir le monde.
La malnutrition est directement liée à la perte de la biodiversité agricole. Des études montrent en effet la grande richesse et variabilité nutritionnelles des anciennes variétés locales. Ces plantes ont largement disparu en quelques décennies au profit de quelques variétés commerciales qui dominent les grandes cultures de l’agriculture mondiale (maïs, blé, riz, pommes de terre, manioc, soja). À titre d’exemple, le nombre de variétés de riz cultivées en Thaïlande est passé de 16 000 à 37. Pire, la moitié des surfaces cultivées concerne seulement deux variétés. Ce sombre constat invite à « concentrer les principaux efforts sur le retour aux cultures locales et aux systèmes alimentaires traditionnels. » Ce n’est ni la Via Campesina, ni des organisations indigénistes qui le disent, mais la FAO.

Des variétés locales jusqu’à 100 fois plus riches en vitamine que la banane blanche

Pour l’organisation des Nations unies, la malnutrition de deux milliards de personnes dans le monde témoigne ainsi de l’inadaptation des régimes alimentaires contemporains. Lors de l’inauguration de la nouvelle chaire Unesco sur l’Alimentation durable à Montpellier, le 27 janvier 2012, Ruth Charrondière, responsable nutrition de la FAO, a insisté sur la place centrale qu’occupe aujourd’hui la biodiversité dans l’approche de la nutrition. Ces conclusions reposent sur des études engagées au milieu des années 2000 sur l’évolution des régimes alimentaires de douze communautés indigènes à travers le monde, des Masais du Kenya aux Inuits du Canada, en passant par Pohnpei, une île de la Micronésie.

 

 

Prière indienne

vu sur chezmaya.com

« À ceux que j’aime…
et ceux qui m’aiment »

Quand je ne serai plus là, relâchez-moi,

Laissez-moi partir,

J’ai tellement de choses à faire et à voir

Ne pleurez pas en pensant à moi,

Soyez reconnaissants pour les belles années,

Je vous ai donné mon amitié,

Vous pouvez seulement deviner

Le bonheur que vous m’avez apporté.

Je vous remercie de l’amour que chacun m’avez démontré,

Maintenant, il est temps de voyager seul.

Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine.

La confiance vous apportera réconfort et consolation.

Nous serons séparés pour quelque temps.

Laissez les souvenirs apaiser votre douleur,

Je ne suis pas loin, et la vie continue…

Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai,

Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là,

Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement

La douceur de l’amour que j’apporterai.

Et quand il sera temps pour vous de partir,

Je serai là pour vous accueillir.

Absent de mon corps, présent avec Dieu.

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,

je ne suis pas là, je ne dors pas,

Je suis les mille vents qui soufflent,

Je suis le scintillement

des cristaux de neige,

Je suis la lumière que traverse

les champs de blé,

Je suis la douce pluie d’automne,

Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,

Je suis l’étoile qui brille dans la nuit,

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,

Je ne suis pas là,

Je ne suis pas mort.

(prière indienne)

la méditation plus efficace que la médication

Vu sur Lu, Vu & Entendu

Comment combattre la douleur? Subhana Barzaghi, qu’a rencontrée The Age, le grand quotidien australien, a fait de cette question la raison de son métier: elle enseigne la méditation afin de permettre aux patients de mieux encaisser le mal qu’ils peuvent ressentir. Elle s’appuie notamment sur des résultats récents d’une étude pour parler de sa méthode.

Les médicaments, par le biais, par exemple, des analgésiques, sont une solution évidente à la douleur, mais une étude publiée récemment par le Wake Forest Baptist Medical Center indique, en effet, que la méditation peut être plus efficace que la morphine.

Fadel Zeidan, l’un des chercheurs, précise que c’est la première fois qu’une enquête de la sorte révèle qu’une heure de méditation peut réduire à la fois la douleur ou la perception que le cerveau peut en avoir.

«Nous avons trouvé une vraie conséquence –une réduction de 40% de l’intensité de la douleur et de 57% au niveau de l’aspect déplaisant du mal. La méditation engendre une vraie décélération, comparativement à la morphine et aux antidouleurs qui font décliner la douleur de 25%.»

Lors de cette étude, 15 volontaires, qui n’avaient jamais médité, ont accepté de suivre des séances d’environ 20 minutes au cours desquelles ils ont notamment appris à se focaliser sur leur respiration. Au cours de l’expérience, les «cobayes» ont été soumis à des tests de douleur à base de sources de chaleur ou de froid pendant des périodes de cinq minutes. Sous surveillance, leur cerveau a montré qu’après une séance de méditation, la douleur ou la sensation d’inconfort pouvait être diminuée jusqu’à 93%. Il s’avère que la réaction à la douleur était moins immédiate sous méditation que sous médication. En conclusion, Wake Forrest préconise la méditation à des fins thérapeutiques.

Subhana Barzaghi est persuadée de ces vertus qui, selon elle, «permettent d’atteindre un grand niveau de calme et de détente». Elle dit que les résultats sont concluants.

D’autant que l’efficacité des antidouleurs est, elle, parfois contestée, on le sait, à l’image du Di-Antalvic vendu pendant plus de quarante ans, mais retiré du marché en 2011 par Sanofi-Aventis car le Di-Antalvic augmentait des risques de surdosages fréquents en cas de douleurs aiguës ou chroniques qui, comme le rappelait L’Express, pouvaient être lourd en entraînant des risques psychiatrique et cardiovasculaire allant même jusqu’à l’arrêt cardiaque. Ces effets secondaires avaient poussé l’Afssaps à ordonner son retrait des rayons des pharmacies.

Photo: Cerveau/Dierk Schaefer via Flickr License CC by

Recherche sans expérimentation animale

publié par l’Express : Franck Laval, le 22/02/2012

[Chronique] Bisphénol A, phtalates, toxine botulique (Botox), toutes ces substances chimiques comme bien d’autres peuvent désormais être mieux évaluées. C’est ce que démontre le Comité scientifique de Pro Anima partenaire de la Start up Novaleads. Ensemble, ils ont mis au point un programme scientifique tout à fait novateur avec l’objectif de remplacer l’utilisation d’animaux en toxicologie tout en apportant une plus grande fiabilité des résultats.
L’expertise du Professeur Jean-François Narbonne, toxicologue à l’Université de Bordeaux II et les recherches de Novaleads ont permis d’assurer au programme nommé VALITOX-EVATOX, une prédicitivité de 82% contre à peine 62% sur les rongeurs. Les résultats ont été publiés dans une revue scientifique à comité de lecture ALTEX (Alternative to Animal Expérimentation, une référence en la matière) en Mars 2009. Non seulement des vies animales pourront être épargnées mais l’évaluation des substances chimiques qui nous environnent sera plus fiable! S’enthousiasme Christiane Laupie-Koechlin, fondatrice de Pro Anima et initiatrice du projet. Ce procédé, permettant de déceler l’éventuelle toxicité aiguë d’une substance en utilisant la technique de la fluorescence, est actuellement en cours de validation à l’ECVAM, l’Institut de contrôle en charge des validations au niveau européen. Le programme sera ensuite proposé dans le cadre de la directive REACH (ambitieux projet européen qui demande aux industriels de tester quelques 145 000 substances chimiques déjà présentes dans nos produits de consommation courante).
Les tests sur les animaux un modèle biologique pas fiable
Pro Anima s’active depuis des années à démontrer que les animaux ne peuvent pas être un modèle biologique fiable pour l’expérimentation, rendant ainsi les résultats des recherches peu extrapolables à l’homme. De plus, de nombreux scientifiques remettent ce dogme du  » modèle animal  » en question, dans les pays Anglo-Saxons notamment. Ainsi, aux Etats-Unis, l’Agence Reuters, dans un communiqué du 14 février 2008 indique que: les laboratoires d’Etat vont passer aux méthodes de tests sans animaux telles que les tests cellulaires et les banques de données pour tester l’innocuité des produits chimiques, les médicaments et les toxiques. Le National Institute of Health et l’Environmental Protection Agency (EPA) déclarent: Ces méthodes sont plus rapides, plus précises et beaucoup moins onéreuses.
La recherche pourra t-elle un jour se passer de l’utilisation d’animaux? Le débat, récurrent en Europe, est toujours d’actualité, malgré un manque évident de volonté politique, de la France en particulier! Toujours est-il que des progrès scientifiques fulgurants permettent d’envisager sérieusement une science plus éthique: modélisation de micro organes à base de tissus humains, création de bases de données ultra sophistiquées permettant de reproduire avec une plus grande exactitude des réactions chimiques, logiciels permettant de tester des substances directement à partir d’une simple prise de sang sur le patient, les progrès de la biologie moléculaire, cellulaire, génomique, bio marqueurs…
Autant de recherches qui contribuent à une science moderne au service de l’Homme, de la nature et de l’environnement. Car c’est bien de cela dont il s’agit déclare Pro Anima: Faire la promotion d’une expérimentation scientifique n’utilisant pas de cobayes animaux, c’est aussi restaurer les liens qui unissent l’Homme, l’animal et l’environnement… car hormis les cobayes animaux, les humains font souvent les frais de ces substances chimiques.A insi, dans ce cas, ce qui sauve l’animal améliore la recherche au service de l’Homme.
Egalement au niveau associatif, de grands organismes de protection de la nature et de l’environnement ont participé financièrement au programme VALITOX/EVATOX (SPA, Fondation 30 millions d’Amis, SNDA, Fondation Bardot, Association Bourdon). Un espoir pour tous dès maintenant.

Monsanto, un demi-siècle de scandales sanitaires

vu sur http://www.lemonde.fr/

Soren Seelow

 

Ancien géant de la chimie, Monsanto est aujourd’hui le leader mondial des OGM et l’un des premiers semenciers de la planète.ASSOCIATED PRESS/JAMES A. FINLEY

 

La condamnation, lundi 13 février, du géant américain de l’agroalimentaire Monsanto, poursuivi par un petit agriculteur charentais intoxiqué par un herbicide, est une première en France. A l’échelle de l’histoire de la multinationale, centenaire, cette condamnation ne constitue qu’une péripétie judiciaire de plus dans un casier déjà très chargé.

PCB, agent orange, dioxine, OGM, aspartame, hormones de croissance, herbicides (Lasso et Roundup)… nombre de produits qui ont fait la fortune de Monsanto ont été entachés de scandales sanitaires et de procès conduisant parfois à leur interdiction. Mais rien n’a jusqu’ici freiné l’irrésistible ascension de cet ancien géant de la chimie reconverti dans la biogénétique et passé maître dans l’art du lobbying. Portrait d’une multinationale multirécidiviste.

Depuis sa création en 1901 à Saint-Louis, le petit producteur de saccharine devenu un des principaux semenciers de la planète n’a cessé de défrayer la chronique. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l’explosion accidentelle d’une usine de plastique Monsanto provoquée par celle d’un cargo français chargé de nitrate, qui fit 500 morts à Texas City en 1947, est ainsi restée dans les annales comme l’un des premiers désastres de l’industrie chimique.

Deux ans plus tard, c’est au tour d’une deuxième usine de la firme, à Nitro en Virginie, de partir en fumée. Cette fois-ci, la responsabilité de l’entreprise est engagée. Plus de deux cents ouvriers développent des chloracnés, un trouble aussi rare que sévère de la peau, rapporte Marie-Monique Robin, lauréate du prix Albert-Londres, dans son documentaire Le monde selon Monsanto.

L’accident révèle que le produit phare de la marque, l’herbicide 2,4,5-T, contient des niveaux élevés de dioxines, des substances hautement toxiques et cancérigènes, de composition assimilable à celle des polychlorobiphényles (PCB). La première étude suggérant la dangerosité potentielle de la dioxine était connue de Monsanto dès 1938 : la commercialisation de l’herbicide se poursuivra pourtant pendant près de quarante ans, avant son interdiction dans les années 1970.

Monsanto, qui a dirigé l’usine de Nitro entre 1934 et 2000, a par ailleurs fait l’objet d’une plainte déposée en 2007 par 77 habitants de Virginie atteints de cancer, qui accusent la compagnie d’avoir diffusé « illégalement » de la dioxine dans les environs de l’usine.

 

pour lire l’article :

PCB : le procès de la honte

En 2001, 3 600 habitants de la ville d’Anniston, en Alabama, attaquent Monsanto pour une contamination aux PCB. Selon un rapport déclassifié de l’Agence de protection de l’environnement des Etats-Unis (EPA), Monsanto a déversé pendant près de quarante ans des milliers de tonnes de déchets contaminés dans un ruisseau et une décharge à ciel ouvert, au cœur du quartier noir de la ville.

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En 1975, une étude menée par Monsanto révèle que le PCB provoque des tumeurs chez le rat. La multinationale décide d’en changer les conclusions, de « légèrement tumorigènes » à « n’apparaît pas cancérigène »« Nous ne pouvons nous permettre deperdre un seul dollar » : ainsi se conclut l’un des mémos consultés par TheWashington Post.

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Agent orange : condamné pour « empoisonnement »

Durant ces mêmes années, entre 1961 et 1971, Monsanto produit l’agent orange, constitué à partir de l’herbicide 2,4,5-T, dont la dangerosité est largement connue depuis l’explosion de l’usine de Nitro. Ce défoliant sera massivement déversé par l’aviation américaine au-dessus des forêts vietnamiennes pendant la guerre. Les conséquences se font encore sentir aujourd’hui, avec de nombreux cancers et des malformations de naissance au Vietnam, ainsi que des séquelles diverses chez nombre d’anciens combattants américains.

 

L’herbicide Roundup est-il toxique ?

Souvenez-vous de cette publicité et de ce bon chien Rex : « Roundup ne pollue ni la terre ni l’os de Rex ». Elle a valu à Monsanto d’être condamnée deux fois, aux Etats-Unis et en France, pour des mentions mensongères placées sur l’emballage de cet herbicide total (qui élimine toutes les plantes).

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Plusieurs études concordantes affirment pourtant que le pesticide phare de Monsanto – et son principe actif, le glyphosate – est potentiellement tératogène, c’est-à-dire responsable de malformations fœtales. L’une d’entre elles, publiée fin 2010 dans Chemical Research in Toxicology, montre que l’exposition directe d’embryons de batraciens à de très faibles doses d’herbicide à base de glyphosate entraîne des malformations.

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Herbicide Lasso : interdit à la vente

La condamnation qui a frappé, lundi 13 février, le deuxième herbicide de Monsanto est plus significative. Les juges français ont en effet considéré que le fabricant de produits phytosanitaires devra indemniser « entièrement » le plaignant, Paul François. Ce céréalier ne travaille plus qu’à mi-temps, en proie à des fatigues chroniques et des maux de tête tenaces. Les médecins considèrent que son système nerveux central a été affecté à la suite de l’inhalation du Lasso.

Monsanto a fait appel

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Hormones de croissance : scandale chez Fox News

Au début des années 1990, Monsanto commercialise son premier produit issu des biotechnologies : Posilac, l’hormone de croissance bovine recombinante (rBGH), une hormone transgénique destinée à augmenter la lactation des vaches de près de 20 %. L’hormone entraîne des mammites, des inflammations de la mamelle, qui contraignent les éleveurs à traiter leurs vaches avec des antibiotiques, dont on retrouve ensuite la trace dans le lait. Ce produit miracle est aujourd’hui interdit partout, sauf aux Etats-Unis.

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OGM : des procès en pagaille

Entre 1995 et 1997, le soja génétiquement modifié Roundup Ready, le colza Roundup Ready et le coton Roundup Ready, tous trois résistants à l’herbicide Roundup, reçoivent les autorisations de commercialisation. Détentrice d’un brevet aujourd’hui périmé sur le glyphosate (commercialisé sous le nom de Roundup), l’entreprise décide de changer de stratégie et entreprend de breveter le vivant. Elle produit actuellement 90 % des OGM de la planète.

Un quasi-monopole que la firme défend chèrement. Au cours des années 2000, Monsanto assignera ainsi devant les tribunaux des centaines de paysans accusés d’avoir utilisé « frauduleusement » ses semences transgéniques brevetées, c’est-à-dire de les avoir replantées.

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http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/02/20/ogm-paris-demande-a-l-ue-de-suspendre-l-autorisation-du-mon810_1646073_3244.html :

 

La Commission européenne a reçu, lundi 20 février, une demande du gouvernement français de suspendre d’urgence la culture du maïs OGM MON810 sur le territoire de l’UE, a annoncé Frédéric Vincent, porte-parole du commissaire chargé de la santé et des consommateurs, John Dalli.

La requête des autorités français se fonde sur « de nouvelles études scientifiques », a-t-il expliqué, avant d’indiquer que la Commission allait les étudier et fournir sa réponse « dans les délais prévus ».

La requête française n’est pas une nouvelle clause de sauvegarde, mais une demande d’interdiction générale de la culture du MON810. La France avait adopté une clause de sauvegarde pour interdire la culture de ce maïs sur son territoire en février 2008, mais la mesure a été invalidée par la Cour européenne de justice de Luxembourg et le Conseil d’Etat.

Nathalie Kosciusko-Morizet s’était engagée récemment à redemander l’interdiction de culture de ce type de maïs avant fin février. La demande française « s’appuie sur les dernières études scientifiques », et notamment sur un avis de l’Agence européenne de sécurité alimentaire (AESA), publié le 8 décembre 2011, qui« montrent que la culture de ce maïs présente des risques importants pour l’environnement ».

L’avis de l’AESA porte sur le maïs OGM Bt11, mais « on argumente que nombre de problèmes soulevés par le Bt11 sont transposables au Monsanto 810 », a souligné la ministre à l’AFP à Paris. « Si l’Union européenne n’agit pas, on peut prendre une clause de sauvegarde », comme l’ont déjà fait six autres pays européens, a-t-elle indiqué.

Le maïs MON810 est cultivé dans l’UE depuis 14 ans, essentiellement en Espagne. La multinationale a demandé le renouvellement de cette autorisation, mais sa requête n’a pas encore été soumise aux Etats. Le processus d’autorisation des OGM est actuellement dans l’impasse, car aucune majorité n’est jamais trouvée entre les 27 Etats.

 

 

 

 

Aspartame : vers un nouveau scandale sanitaire ?

Monsanto le précise clairement sur son site Internet : après en avoir été l’un des principaux producteurs dans les années 1980 et 1990, l’entreprise ne produit plus d’aspartame depuis 2000. La firme tient pourtant à insister sur le fait que cet édulcorant, le plus utilisé au monde, « ne provoque aucune maladie ».

Des études récentes ont cependant mis en évidence un risque accru de naissances prématurées chez les femmes qui consomment ce produit. L’Autorité européenne de sécurité des aliments a même été invitée en mai par la Commission européenne à anticiper la réévaluation complète de la sécurité de l’aspartame en 2012.

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