conscientisation de la matière et matérialisation de la conscience – les états de conscience modifiés

 

vu sur le site Tristrya

Le Dr. Olivier Chambon, médecin psychiatre, expose les éléments qui montrent aujourd’hui que la conscience est indépendante du cerveau et qu’elle survit à la mort physique.
Il évoque notamment les cas d’expériences de mort imminente, le chamanisme, et d’autres phénomènes qui élargissent notre conscience et permettent de l’ouvrir à d’autres réalités.

 ———

l'évidence de l'après-vie

L’évidence de la l’après-vie : Conversations (1DVD) Broché – 3 juin 2014

Extrait

Extrait de la présentation de Jocelin Morisson, journaliste

Le dialogue que vous allez lire entre Raymond Moody et Eben Alexander est important à de nombreux titres. Il nous éclaire sur l’expérience vécue par Eben Alexander au cours d’un coma d’une semaine, provoqué par une méningite rare à E. coli, et qu’il a racontée avec brio dans son livre La Preuve du Paradis. Son Expérience de mort imminente (EMI) l’a transformé à jamais, balayant ses certitudes rationalistes forgées par quinze ans de pratique et d’enseignement de la neurochirurgie universitaire. L’impact de son récit a été considérable outre-Atlantique, et il est perçu ailleurs à travers des filtres culturels différents. Le camp des sceptiques athées aux États-Unis n’a pas manqué de se manifester, arguant que l’expérience était une sorte de rêve qui s’est produit au moment où Eben Alexander reprenait conscience. Celui-ci a livré des éléments de son dossier médical qui montrent que son cas est unique à bien des égards, à commencer par le fait qu’il ait survécu et récupéré l’intégralité de ses fonctions cérébrales en un temps record. Étant lui-même neurochirurgien, enseignant et chercheur dans la discipline, il se trouve particulièrement bien armé pour se faire une idée de ce qui s’est produit dans son cerveau, et de ce qui s’est produit… ailleurs que dans son cerveau. Cette position en a fait aux yeux de beaucoup un prophète des temps modernes et les couvertures de magazines aux États-Unis n’ont pas manqué cette fabuleuse «story» du «voyage d’un neurochirurgien au paradis». Car c’est le mot retenu par l’éditeur américain et qui ne pose pas de problème dans un pays où religions et laïcité n’ont pas le même statut qu’ici. Si la religion et l’État sont séparés par le premier amendement du 12 décembre 1791 et par la constitution de 1787, les références à la religion sont constantes dans la vie politique du pays et chaque président prête serment sur la Bible. Venant d’un scientifique, l’usage du mot «paradis» peut être plus gênant, voire indigeste dans l’Europe sécularisée. Il ne faut cependant pas se laisser aveugler ni impressionner par un mot qu’Eben Alexander n’emploie pas lui-même dans son récit, qui est bien moins religieux qu’il est spirituel, au sens que l’on donne aujourd’hui à une vision plus large de la relation au sacré, à la fois pan-religieuse et laïque, respectueuse de toutes les religions.
Ce dialogue nous permet aussi de comprendre les enjeux de la recherche contemporaine sur la nature de la conscience et l’hypothèse de l’après-vie. Les EMI à elles seules ne permettent pas de conclure en faveur de cette hypothèse, mais de nombreux autres phénomènes vécus autour de la mort laissent au moins à penser que l’hypothèse scientifique d’une après-vie n’est pas invalide a priori. Ce débat sur la nature de la conscience, qui inclut l’hypothèse de l’après-vie, est essentiellement anglo-saxon, comme ce dialogue nous permet également de le comprendre. Au nom d’un héritage «cartésien» dévoyé, la France est en effet trop absente de ces réflexions et de ces recherches. Le Vieux Continent n’a cependant pas dit son dernier mot, car les recherches sur la conscience sont liées à celles sur la structure même de l’Univers et de la nature de ses constituants. Par conséquent, il s’agit in fine de physique et de mathématiques, disciplines dans lesquelles la France compte de nombreux esprits brillants.

Présentation de l’éditeur

Pourquoi sommes-nous là ? Y a-t-il une vie après la vie ? La conscience dépend-elle du cerveau ou d’un état supérieur au-delà de l’état physique ? Que peut apporter la science sur le vaste sujet de la conscience de l’âme ? Si nous savions tous que notre vie sur la planète Terre n’était qu’Une parmi de nombreuses autres, que ferions-nous différemment ? Quelles implications cette connaissance aurait-elle sur le quotidien, sur le monde ?

Réalisé au domicile du Dr Alexander en Virginie et construit autour de la propre expérience de ce dernier – un coma profond durant lequel il a vécu une Expérience de mort imminente -, ce film, dont les propos sont retranscrits intégralement dans le livre, nous invite à participer à une conversation des plus captivantes entre le Dr Eben Alexander et le Dr Raymond Moody.

Riche, authentique et intense, il aborde les grands sujets existentiels qui nous concernent tous et capture ce quelque chose que chacun de nous peut connaître de la nature divine, qui est de l’ordre du ressenti et s’exprime bien au-delà des mots.

Présentation de Jocelin Morisson, journaliste
Postface de Jean Staune, philosophe des sciences

Le Dr EBEN ALEXANDER est neurochirurgien depuis vingt-cinq ans, dont quinze ans passés à la Faculté de médecine de l’université Harvard. Il est l’auteur de La Preuve du Paradis, un ouvrage best-seller dans lequel il atteste de l’existence de l’après-vie après avoir vécu une EMI à 52 ans.

Le Dr RAYMOND MOODY, médecin et docteur en philosophie, est le spécialiste mondial des Expériences de mort imminente (EMI). Il est l’auteur du best-seller La Vie après la vie.

—–

Extrait

Extrait du prologue

«Un homme devrait chercher ce qui est, et non ce qu’il croit devoir être.»
– Albert Einstein (1879-1955)

Quand j’étais enfant, je rêvais souvent que je volais. La plupart du temps je me retrouvais debout dans mon jardin, regardant les étoiles, et soudain je me mettais à flotter. Les premiers centimètres étaient gagnés automatiquement. Mais je comprenais rapidement que plus je me trouvais haut et plus ma progression dépendait de moi – de ce que je faisais. Si j’étais trop excité, trop emporté par l’expérience, je retombais sur le sol… brutalement. Mais si je restais tranquille et ne prenais qu’une seule grande enjambée, alors je m’élevais de plus en plus vite vers le ciel étoile.

Ces rêves sont peut-être en partie responsables de l’amour que j’ai développé, une fois adulte, pour les avions et les fusées – pour tout ce qui était capable de m’emporter à nouveau dans le monde au-dessus de celui-ci. Quand nous prenions l’avion en famille, mon visage restait plaqué contre le hublot du décollage jusqu’à l’atterrissage. Au cours de l’été 1968, à l’âge de quatorze ans, j’ai dépensé tout l’argent que j’avais gagné à tondre les pelouses en leçons de planeur avec un homme nommé Gus Street, à Strawberry Hill, un petit «aérodrome» seulement constitué d’une bande d’herbe juste à l’ouest de Winston-Salem en Caroline du Nord, la ville où j’ai grandi. Je me souviens encore de la sensation de mon coeur battant lorsque j’ai tiré sur le gros bouton rouge cerise qui a décroché le câble me connectant à l’avion remorqueur, inclinant mon planeur en direction du champ. C’était la première fois que je me sentais véritablement seul et libre. La plupart de mes amis éprouvaient ce sentiment en voiture, mais me retrouver grâce à mon salaire quelques centaines de mètres en l’air dans un planeur était pour moi cent fois plus excitant.

À l’université dans les années 1970, j’ai intégré l’équipe de parachutisme sportif (ou chute libre) de l’université de Caroline du Nord. Cela ressemblait à une fraternité secrète – un groupe de personnes qui avaient connaissance de quelque chose de spécial et de magique. Mon premier saut était terrifiant et le second encore plus. Mais à compter de mon douzième saut, quand je me suis approché de l’ouverture en sachant que j’allais devoir me laisser tomber de plus de trois cents mètres avant d’ouvrir mon parachute (mon premier «délai de dix secondes»),je me sentais comme chez moi. J’ai fait 365 sauts en parachute à l’université et accumulé plus de trois heures trente de chute libre, le plus souvent en formation et jusqu’à vingt-cinq sauteurs. Bien que j’aie arrêté de sauter en 1976, j’ai continué à faire des rêves réalistes de chute libre, qui sont toujours très agréables.

Les meilleurs sauts étaient souvent ceux que nous faisions tard dans l’après-midi, lorsque le soleil commençait à descendre derrière l’horizon. Il est difficile de décrire le sentiment que j’éprouvais lors de ces sauts : la sensation de m’approcher de quelque chose que je ne pourrais jamais nommer tout à fait, mais dont je savais que je voulais plus. Ce n’était pas tout à fait la solitude, car nos façons de sauter n’étaient pas vraiment solitaires. Nous sautions à cinq, six, parfois dix ou douze personnes à la fois, formant des figures de chute libre. Plus nous étions nombreux et le défi élevé, et mieux c’était.
Un beau samedi d’automne 1975, mes camarades de l’équipe universitaire et moi-même avons rejoint des amis sur un site de saut dans l’est de la Caroline du Nord pour réaliser quelques figures. Lors de notre avant-dernier saut de la journée, depuis un Beechcraft D18 et à 3 200 mètres, nous avons formé un flocon de neige constitué de dix hommes. Nous avons réussi à nous placer en formation complète avant de passer les 7 000 pieds (2 133 mètres), et avons ainsi pu profiter de dix-huit secondes de vol en formation dans un gouffre clair formé entre deux gros cumulus, avant de nous séparer à 1 060 mètres et nous éloigner les uns des autres pour ouvrir nos parachutes.

Présentation de l’éditeur

Y-a-t-il une vie après la mort ? Ou plus exactement, est-ce que le Paradis existe ? Eben Alexander, neurochirurgien à l esprit rationnel, nous en donne la preuve, après avoir vécu une NDE (expérience de mort imminente). Cet homme de 52 ans atteste de l existence du Paradis dans ce livre témoignage, aussi extraordinaire que bouleversant. L’auteur nous invite à partager son voyage dans une autre dimension, là où il a rencontré des êtres de lumière, très différents de tout ce que l’on peut connaître sur notre planète… Un récit dont l’authenticité a été reconnue par le Dr Raymond Moody, spécialiste renommé de l’au-delà.- Un best-seller outre-atlantique ;
– Un témoignage bouleversant et authentique sur l’après-vie, écrit par un scientifique…

Eben Alexander est neurochirurgien et enseignant à l Université de Virginie.

——-

Quatrième de couverture

Un voyage fabuleux au-delà du monde sensible. Les expériences scientifiques du docteur Kübler-Ross, reconnues dans le monde entier, permettent de confirmer l’existence d’une vie après la mort. Il s’agit bien du passage à un autre état de conscience dans lequel on continue à sentir, à voir et entendre, à s’épanouir. Les témoignages saisissants livrés ici en sont la preuve. La mort est renaissance et vie. La mort est un nouveau soleil.
E. Kübler-Ross a développé un dispositif d’écoute de malades incurables (…). Elle a notamment mis au jour cinq phases du mourir qui servent aujourd’hui de référence à la pratique des soins palliatifs.
——-
Au-delà de notre vie
Un documentaire d’Alban Barbier et Anthony Chene« Au-delà de notre vue » est un documentaire qui traite des expériences aux frontières de la mort, du fonctionnement de notre cerveau, et de la communication avec l’au-delà.Nous vous proposons de partir à la rencontre de personnes ayant eu des visions de l’au-delà à la suite d’une mort clinique ou d’un coma.Le Dr Jean-Jacques Charbonier, qui récolte les témoignages de ces « expérienceurs » depuis de nombreuses années, nous livre une explication de ces phénomènes grâce à
une modélisation inédite du cerveau humain. Cette grille de lecture ouvre la porte à l’hypothèse selon laquelle la conscience peut subsister après la mort physique, et que nous pouvons communiquer avec un au-delà.
Les médiums Reynald Roussel et Florence Hubert témoignent de leur extraordinaire faculté à percevoir dans leur quotidien cet au-delà.Que vous soyez sceptique ou non, ce documentaire vous enrichira et il vous fera vous poser des questions passionnantes sur cette question universelle que représente la mort.
Intervenants :
– Jean-Jacques Charbonier (anesthésiste-réanimateur)
– Reynald Roussel (médium)
– Florence Hubert (médium et expérienceuse)
– Cathy Cavaleiro (expérienceuse)
– Jean Morzelle (expérienceur)Contact : tistryaprod@gmail.comLe site d’Anthony Chene:
http://www.anthonychene.comTistrya, Août 2013 

——

0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Translate »
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x