Lectures tous azimuths – livres 2016-2020

La voyance est une capacité de la conscience permettant d’obtenir de l’information de manière non raisonnée, indépendamment de l’espace et du temps. Que sait-on de ce « don de voyance » ? Comment les voyants procèdent-ils pour poser l’acte divinatoire ? Que dit la science sur ce sujet épineux, très souvent rejeté – du moins en apparence – par l’intelligentsia ? Aujourd’hui, des recherches et des modèles théoriques permettent d’intégrer l’existence de la voyance à une nouvelle représentation du monde. Quant à la consultation de voyance, de quoi s’agit-il ? Comment se déroule-t-elle et comment consulter dans les meilleures conditions ? Enfin, qui sont les voyants aujourd’hui ? Comment devient-on voyant, avec quel statut ? Comment en vit-on ? À travers le témoignage d’experts ayant eux-mêmes un long parcours de recherche sur le thème de la voyance, cet ouvrage présente une approche originale, à la fois historique, philosophique, sociologique et scientifique de cette discipline qui intrigue et fascine.

02 – Enquête sur 150 ans de parapsychologie – La légende de l’esprit – 7 janvier 2016

Des ectoplasmes à la Sorbonne ? Deux voyantes impliquées dans l’affaire Dreyfus ? Pierre Curie prêt à enseigner la parapsychologie après son étude de la médium Eusapia Palladino à l’Institut général psychologique ? La France au sommet de la parapsychologie mondiale durant les Années folles ? Afin d’établir une science de l’esprit, ceux qui devinrent les psychologues n’exclurent d’abord aucune voie. Il y eut tant à apprendre des transes des somnambules magnétiques, de l’automatisme des médiums et des observations de fantômes, que la psychologie reste marquée à jamais par son cheminement à travers les méandres du psychisme. Ce n’est que tardivement qu’un prétendu divorce fut prononcé, la faute en étant attribuée à la pseudo-scientificité supposée de cette exploration du potentiel humain. Ainsi scindée, la psychologie du XXème siècle refoula progressivement sa légende pour mieux se faire reconnaître comme science, n’échappant pourtant guère aux retours insistants de ces questions hétérodoxes. En cheminant aux côtés de dix chercheurs remarquables, dont les Prix Nobel Pierre Curie et Charles Richet, vous découvrirez l’une des faces obscures de l’histoire des sciences françaises. S’appuyant sur des recherches académiques, la consultation d’archives spécialisées ainsi que sur des échanges avec des descendants de chercheurs, cette enquête retrace 150 ans d’une légende inspirée de faits réels Ce livre ouvre à une meilleure compréhension du rapport entretenu par notre société avec ceux qui osent encore affirmer faire l’expérience du paranormal.

3bis -Visages de l’amour – 11 février 2016

Deux femmes mystiques, si différentes et si semblables, l’une indienne, sage bengali, l’autre française, petite paysanne de la Drôme ; l’une hindou, l’autre catholique, deux âmes d’exception rayonnantes qui touchaient profondément ceux qui les approchaient. L’une par son regard lumineux, l’autre par sa voix sereine et joyeuse. Ni maître, ni gourou, leur connaissance ne venait pas de leur érudition mais d’une formidable intuition qui mettait les âmes à nu. L’auteur a rencontré ces deux femmes fascinantes et nous partage avec simplicité et clarté leurs expériences spirituelles uniques. Messagères pour notre temps, Ma Ananda Mayi choisit la splendeur de la sagesse et Marthe Robin, la folie de la Croix. A travers son livre, Véronique Francou souligne la vocation de la femme qui est d’humaniser notre civilisation en l’ouvrant au caractère sacré de la vie. Pour elle, l’amour aura le dernier mot. Comme l’écrit dans la préface le Cheikh Khaled Bentounès, ces femmes incarnent cet éternel féminin, matrice du monde qui porte, engendre et veille le Vivant.

5Au nom de la vérité

Stéphane Matte

au nom de la vérité
Au nom de la vérité.net

Par ce livre, mon unique souhait est d’ouvrir le lecteur à certaines vérités qui le mettront plus en phase avec la réalité dans laquelle nous vivons. Bien sûr, j’aurais voulu écrire « le livre de tout » dans lequel rien n’aurait été omis et où « toute la vérité » aurait été consignée de façon claire et accessible. Malheureusement, une telle tâche, soit est impossible, soit peut tenir dans la simple phrase « connais-toi toi-même ». Et encore. Car bien qu’il soit primordial d’explorer notre fonctionnement intérieur afin de corriger nos habitudes mentales inadaptées, de travailler sans relâche à aiguiser notre conscience, il est aussi indispensable de travailler à voir le monde qui nous entoure de la façon la plus objective qui soit. Pour ce faire, il est donc nécessaire de se pencher à la fois sur des sujets bannis, occultés et déformés par la culture officielle, à la fois sur l’étude de la machine humaine elle-même.

Ce livre abordera donc l’idée, ô combien ancienne, d’une humanité en profond sommeil et explorera des sujets tabous et difficiles d’approche étant donné les implications directes qu’ils ont avec la structure même de la réalité dans laquelle l’humanité évolue. Cette double approche n’aura pourtant qu’un seul but : celui d’éveiller ce sentiment qui sommeille au plus profond de chaque être et qui lui chuchote sans cesse qu’il y a autre chose derrière le voile du consensus général.


6Etat du monde état d’êtr

Stéphane Matte

état du monde état d'être

Etat du monde état d’être

À l’heure actuelle, les signes abondent et il serait difficile de ne pas les voir. L’augmentation rapide du nombre et de la magnitude des tremblements de terre, le décuplement des épisodes de sécheresse causant pertes de récoltes et famines et, à l’inverse, de pluies torrentielles causant inondations et glissements de terrain… Le terme « tsunami » s’est désormais bien ancré dans notre vocabulaire et les températures ne cessent de battre des records tant à la hausse qu’à la baisse, et ce, aux quatre coins du globe… L’accroissement du nombre de tornades à travers le monde, les chutes de neige dans certains pays tropicaux… Bref, l’intensification des bouleversements climatiques en tout genre est au menu et tout indique qu’elle y est pour rester. Ajoutons à la liste le nombre incroyable d’hécatombes animales jonchant la planète dont la cadence ne fait que s’accélérer et nous nous retrouvons face à un phénomène dont l’ampleur et les conséquences donnent froid dans le dos.

Les cycles de l’humanité sont les miroirs des cycles de catastrophes naturelles…

Peut–être avons–nous aussi remarqué, en parallèle, la course effrénée et inarrêtable à la globalisation qui, sous une fausse trame de fond humanitaire, pille sans vergogne tout territoire possédant des ressources naturelles, exploite les humains de tous pays confondus et écarte avec violence et sans remords quiconque s’oppose à son expansion.

Peut–être aussi avons–nous conscience de la marche totalitaire des corps militaires qui foulent la planète entière de leurs bottes ensanglantées. La liste des pays en guerre s’allonge tous les mois et on ne se gêne plus pour nous informer à l’avance du pays qui sera la cible de la prochaine intervention armée. Au nom de la paix, bien entendu. Et comme la paix demande la sécurité – dans une optique orwellienne du moins –, peut–être aussi nous sommes–nous rendu compte de l’augmentation rapide des corps policiers ainsi que du nombre impressionnant de « gardes de sécurité » systématiquement mis en place dans tous les commerces et événements publics. Peut–être avons–nous remarqué aussi avec quelle brutalité et quel manque d’humanité ils agissent, comme si le peuple était désormais l’ennemi.

Ou encore, peut–être sommes–nous atteints, comme un nombre sans cesse croissant d’individus, de troubles anxieux, de dépression ou de troubles sévères de l’humeur. À moins que ce ne soit d’une maladie chronique quelconque de laquelle de plus en plus de gens de notre entourage souffrent. Peut–être le voyons–nous clairement : la grande majorité de la population (tous âges, toutes races et tous sexes confondus) est en piètre état de santé : les cancers, les troubles neurologiques et les intolérances alimentaires se répandent à toute vitesse. Le cartel pharmaceutique de pair avec les instances gouvernementales (main dans la main avec les Monsanto de ce monde), qui décident ce qui est bénéfique ou non pour notre bien–être, semblent avoir gagné beaucoup de terrain en peu de temps et l’état de santé général de l’humanité place celle–ci dans une situation très précaire.

Mais, surtout, peut–être ne somme–nous pas assez nombreux à avoir conscience de tout cela.

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7Comment naissent les maladies … Et que faire pour rester en bonne santé (Édition française) 

comment naissent les maladies
Après « ces maladies créées par l’homme  » et publié en 2004 il fallait prouver que cette affirmation était scientifiquement validée.
Ce livre est un condensé de 10 années de recherches, d’une trentaine d’articles publiés et plus de 3000 autres décortiqués.
Cette masse de donnée montre très clairement qu’il ya un lien entre la pollution de notre milieu de vie et l’apparition d’un certain nombre de pathologies. On comprend mieux aujourd’hui comment l’environnement intervient pour crééer des maladies.
Il n’y a pas que le cancer, l’ensemble des pathologies est concerné.
La politique n’aborde les problèmes de santé que sous l’angle financier. Elle persiste à nier les liens existant entre environnement et santé. Les maladies qui en résultent ne pourront que prospérer. Il faut un changement brutal de système, une révolution qui mette enfin la politique et l’économie aux service des valeurs humaines, de la santé et de la société et non au service d’un dogmatisme économique entretenu par le pouvoir des lobbies.

8-Politiquement Incorrect – 2 juin 2016

12 – Voyages aux confins de la conscience

de Sylvie Déthiollaz (Auteur), Claude Charles Fourrier (Auteur), Julie Klotz (Auteur), Frédéric Lenoir (Préface)

septembre 2016

Sylvie Déthiollaz est docteur en biologie moléculaire et Présidente de ISSNOE- Institut suisse des sciences noétiques

voyage-aux-confins-de-la-conscience

les deux premiers  avis sur Amazon

Il y a en français quelques bons livres sur les NDE.
Il n’y a pas beaucoup de livres sérieux sur les OBE, Out Of Body Expériences, expérience de sortie hors du corps.
Pourtant les OBE sont plus fréquentes (10% de la population) que les NDE (4%)
Ce livre est certainement de loin le meilleur.
Les auteurs sont de vrais chercheurs , avec une rigueur et une ouverture d’esprit formidable.
Ils décrivent 10 années de recherche scientifique rigoureuse, en particulier sur le cas de Nicolas qui depuis son enfance fait des OBE à volonté.
Je conseille donc vivement à ceux qui s’intéressent aux OBE et aux états modifiés de conscience de lire ce livre.

 Félicitations aux trois principaux protagonistes de cet ouvrage, Sylvie, Claude Charles et Nicolas. Un ouvrage qui tente de comprendre la nature de la conscience et ses capacités, souvent limitées et étouffées par notre conditionnement. Ce livre lumineux jongle habilement entre la sagesse et la science. Il décrit habilement l’évolution spirituelle que chacun d’entre nous est susceptible de connaître: les sorties de corps, la vision à distance, les phases d’éveil, la clairvoyance, la télépathie sans oublier les peurs et les doutes qui sont liés à ce cheminement. Cet ouvrage m’a inspiré ces humbles vers : écoutez la mélodie du silence, jouez là à votre tour, vous serez alors de vrais musiciens, les musiciens du monde…

13-Bienvenue dans le pire des mondes– 17 novembre 2016

16bis – Connaissance de la totalité – Pourquoi l’univers fonctionne comme une totalité vivante

20 avril 2017

sur philosophie-spiritualité .com

Ce livre se situe dans le prolongement d’un long travail de rédaction d’une série de leçons de philosophie qui avaient pour but de mettre sur le papier un bagage de connaissances solides destinées à enrichir la culture philosophique d’un public d’étudiants et d’amateurs éclairés. Et c’est dit sans ironie. Avec une petite dose d’esprit un peu pincé, cela voudrait dire que l’auteur est effaré par le constat d’une ignorance galopante et qu’il aimerait partager une poignée d’amis quelques réflexions sur le vif. Dire que ce volume est un prolongement c’est indiquer qu’il reprend en grande partie des éléments des livres précédents, mais qu’il est moins pédagogique, plus dense, plus difficile parfois et le contenu est moins universitaire. L’inspiration, comme certains aspects formels de l’écriture remontent assez loin à la lecture enthousiaste de La Gnose de Princeton de Raymond Ruyer. C’est vraiment le point de départ et cette lecture a été suivi de bien d’autres très déterminantes. Plus récemment, entre autres, l’œuvre de Ken Wilber et les recherches d’Erwin Laszlo.

 En rédigeant les 34 volumes des leçons certains thèmes revenaient sans cesse. Le volume Cinq Leçons sur la Matière et l’Esprit contenait en germe un projet, mais la forme des leçons ne convenait plus, elle ne laissait pas libre cours à la rédaction d’un essai plus structuré sur le thème de la Théorie du Tout. J’ai donc repris le projet en rassemblant les travaux précédents, tout en ajoutant plusieurs chapitres pour obtenir au final le texte que vous avez entre les mains qui ressemble bien plus à un essai. Sur le titre maintenant et l’originalité du projet. L’appellation « Théorie du tout » est entrée dans la littérature scientifique en 1986 par le biais de la revue scientifique Nature. Entré presque ne force il faut le dire tant l’expression a été tournée en dérision. Témoin Stanislas Lem qui se servait de cette expression pour se moquer des théories farfelues d’une sorte de professeur Tournesol qui apparaissant dans ses romans. L’expression « théorie du tout » est même présentée parfois de manière ironique chez certains chercheurs qui travaillent sur la théorie des cordes, théorie qui a pourtant la faveur du public comme modèle d’une future « théorie du tout ». Toutefois, la raison est ailleurs. Nous savons qu’une théorie physique n’a de valeur que lorsqu’elle est soumise à des tests capables de la mettre à l’épreuve, et même comme le disait Popper éventuellement de la « falsifier ». Rien de tout cela avec la théorie des cordes. On n’a encore trouvé aucun moyen expérimental de la tester. Elle est donc pour l’instant en l’état une élégante spéculation mathématique, mais rien de plus. Conséquence : personne ne sait ce qu’il en sortira et si finalement la « théorie du tout », la « théorie M » ne vont pas déboucher sur… rien du tout ! D’où l’autodérision sur l’expression « théorie du tout » qui rejoint les reproches que l’on peut faire à une théorie qui succombe aux généralisations hâtives. C’est chose bien connue dans le monde des philosophes, il ne manque pas de doctrines que l’on a généralisées en dehors de leur champ d’application pour tenter de tout expliquer. Dans les années 68 la transformation d’une doctrine en idéologie était monnaie courante. Le marxisme a été utilisé pour tout expliquer. Idem pour le freudisme ou encore pour le structuralisme. A l’époque on pouvait presque caser du Freud ou du Marx pour expliquer quasiment n’importe quoi : pourquoi pas la lutte des classes entre les espèces et entre les gènes ? Pourquoi pas la libido des molécules ou la sexualité des trous noirs tant qu’on y est ? Lassé de cet orgueil à prétendre posséder LA théorie qui devrait tout expliquer (en jetant aux orties toutes les autres), on a fini par se méfier des théories « totalisantes » qui n’étaient que des ambitions totalitaires de l’intellect. Alors pourquoi s’y remettre une fois de plus dans ce livre ? Premier point : nous assumons pleinement ici les analyses de Ken Wilber.

Théorie en grec, comme darshana en sanskrit, cela veut dire « point de vue ». Il faut rester très modeste sur la valeur de n’importe laquelle de nos théories et garder en mémoire qu’aussi sophistiquée qu’elle soit, une théorie n’est rien d’autre qu’une carte, pas le territoire. Une carte c’est très utile pour se repérer, pour suivre des chemins, mais c’est très médiocre par rapport à la complexité du Réel. Comme dit Wilber prendre la théorie pour la réalité, c’est comme aller au restaurant pour manger le menu. A cette modestie il faut en ajouter une autre, celle qui consiste à ne pas prétendre balayer d’un revers de main toute théorie concurrente. Il faut plutôt saisir chacune d’elle dans le bénéfice qu’elle apporte à notre compréhension, dans le niveau de réalité qu’elle décrit. A cet égard donc une théorie du Tout serait donc synthétique. Donc pas d’exclusivité, ni de rejet de toute approche sérieuse et méthodique. Second point : le terme esquisse dans le titre de ce livre. Une esquisse, ce n’est pas le portrait définitif, ce sont des coups de crayons bien tracés qui laisse deviner un visage ou un paysage. C’est très suggestif, mais il n’y a pas tout le détail ; surtout c’est déjà assez ressemblant quand il s’agit d’essayer de rendre le modèle. Le modèle en question dans une théorie du Tout, c’est la Totalité elle-même et il se trouve que celle-ci est très ordonnée. Si donc il était possible de rassembler l’ins­piration de quelques coups de pinceaux venus d’horizons différents sur une même toile, le résultat pourrait devenir très intéressant et même stimulant. Nous avons donc pris le parti de rassembler ici plusieurs études, c’est au lecteur à la fin de dire si le tableau est réussi. Le terme esquisse est donc choisi à dessin, ce travail ne constitue pas en lui-même une nouvelle théorie du Tout, il est avant tout philosophique, il propose de faire se rejoindre une série de découvertes et d’apports dans un seul ouvrage qui reste très ouvert. Le texte est volontairement limité. Il y a beaucoup d’aspects qui ne sont pas abordés et qui auraient pu y être inclus. La réception de ce livre décidera s’il faut lui donner une suite.

17 – Gouverner la décroissance : Politiques de l’Anthropocène III  – 4 mai 2017

 Face au risque d’effondrement qui pèse sur nos sociétés industrielles, cet ouvrage défend de nouvelles voies fondées sur la tempérance et le ralentissement : instauration d’un revenu de transition écologique, adossement de la création monétaire aux limites de la planète, rationnement équitable des énergies fossiles, développement de la permaculture, partage du travail, etc. Il présente certaines expérimentations, telle la biorégion de Cascadia, en Californie du Nord.

17bis – Marcel Légaut : Un témoin pour le XXIe siècle  – 7 juin 2017

Intellectuel catholique et mathématicien réputé né en 1900, Marcel Légaut quitta l’université à 40 ans pour devenir paysan dans la Drôme, près de Die. Un choix radical suscité par le choc de la débâcle et une soif de spiritualité nouvelle. Pendant la guerre, il cacha des familles juives et des déserteurs. Après-guerre, il accueillit proches et amis désireux d’alterner travail aux champs et quête spirituelle. Marcel Légaut explora les chemins d’une foi qui allie fidélité à l’Eglise et liberté de conscience. Il a été un précurseur des formes nouvelles de communautés de croyants. Ses livres connurent un vif succès. Les contributeurs de cet ouvrage font revivre son parcours atypique et la modernité de sa pensée. La préface est signée du journaliste et essayiste Jean-Claude Guillebaud.

18 -Christianisme contre capitalisme ? : L’économie selon Jésus-Christ – 1 septembre 2017

« Aime ton prochain comme toi-même « , nous dit l’Evangile. Cette maxime, notre monde l’a oubliée. Soumise à la finance, à la puissance du capitalisme et à l’oligarchie des traders, l’économie n’obéit plus qu’à une logique de rentabilité. Et nous n’obéissons plus qu’à l’économie. Falk Van Gaver s’insurge contre un marché devenu fou et rappelle le premier devoir des chrétiens : protéger les pauvres. Des mouvements anarchistes du XIXe siècle, inspirés par Proudhon, à l’écologie chrétienne du XXIe, défendue par le pape François, en passant par la Théologie de la libération du XXe, dont un de ses illustres représentants, Óscar Romero, a été assassiné en pleine messe par des militaires, c’est l’histoire de la défense des opprimés qui nous est ici contée. Un livre salutaire, qui sonne le branle-bas pour une humanité retrouvée. « Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent.  » De quel côté êtes-vous ?
L’art d’être libre est un véritable manifeste de résistance au monde contemporain. Dénigrant aussi bien les joies factices de la consommation que l’ennui qui s’est abattu sur le monde à la suite de décennies de recherche exclusive du profit, ce livre profondément joyeux nous appelle à redevenir des esprits autonomes, et enfin libres… Si vous aussi vous pensez que la vie moderne est absurde et contraignante, que vous avez remarqué que la compétition a remplacé la coopération ou que la fraternité a fait place à la convoitise… alors ce livre est fait pour vous et va très probablement changer votre vie !

20 – Utopia XXI – 22 novembre 2017

l y a cinq cents ans, en 1517, l’Europe découvrait Utopia de Thomas More, publié à la fin de l’année précédente. Dans cet ouvrage visionnaire, More dénonçait les dérives des pouvoirs monarchique et religieux en vigueur et proposait un modèle de société radicalement nouveau, reposant sur la solidarité, le partage, la tolérance, l’éducation et le temps libre. L’Utopie était alors un nom propre inventé par More pour désigner une île où régnait le gouvernement idéal assurant le bonheur de tous.
Cinq siècles plus tard, l’utopie est devenue un nom commun. Un nom que l’on hésite à utiliser, car il renvoie généralement à un projet coupé de la réalité. Pourtant, de nos jours, les irréalistes ne sont pas ceux qu’on croit : ceux qui sont aveugles sont les dirigeants actuels. La démocratie qu’ils promeuvent n’en est pas vraiment une ; la liberté, l’égalité et la fraternité constituent un slogan vide de sens ; l’argent règne en despote en consacrant des hiérarchies mensongères ; le productivisme et la croissance sont des objectifs destructeurs désormais inadaptés à notre époque ; l’exploitation animale repose sur un déni de réalité à l’égard des animaux non humains ; le terrorisme le plus dangereux est celui des entreprises qui tuent des millions de personnes chaque année avec l’assentiment des gouvernements.
Utopia XXI est une mise à jour de l’ouvrage de Thomas More. Aymeric Caron y présente le projet d’une nouvelle utopie qui affirme l’urgence d’une société écologiste, antispéciste, pacifiste, et solidaire : semaine de travail limitée à 15 heures, plafonnement des revenus à 10 000 euros par mois, fin du scrutin majoritaire à deux tours, instauration d’un permis de voter, gratuité de l’information, interdiction de la spéculation, abolition partielle des frontières, reconnaissance des crimes contre l’animalité, limitation des naissances, instauration d’un quotient de bonheur à la place du PIB, instauration d’une biodémocratie… Ce monde qui ressemble à un rêve est pourtant le seul possible aujourd’hui.

21– L’Ouverture philosophique

Auteur :  Serge Carfantan
Editions Almora
Collection Philosophie et spiritualité
Date de Parution : 18 janvier 2018

22 – La guerre des métaux rares : La face cachée de la transition énergétique et numérique  – 10 janvier 2018

Transition énergétique, révolution numérique, mutation écologique… Politiques, médias, industriels nous promettent en choeur un nouveau monde enfin affranchi du pétrole, des pollutions, des pénuries et des tensions militaires. Cet ouvrage, fruit de six années d’enquête dans une douzaine de pays, nous montre qu’il n’en est rien ! En nous émancipant des énergies fossiles, nous sombrons en réalité dans une nouvelle dépendance : celle aux métaux rares. Graphite, cobalt, indium, platinoïdes, tungstène, terres rares ces ressources sont devenues indispensables à notre nouvelle société écologique (voitures électriques, éoliennes, panneaux solaires) et numérique (elles se nichent dans nos smartphones, nos ordinateurs, tablettes et autre objets connectés de notre quotidien). Or les coûts environnementaux, économiques et géopolitiques de cette dépendance pourraient se révéler encore plus dramatiques que ceux qui nous lient au pétrole. Dès lors, c’est une contre-histoire de la transition énergétique que ce livre raconte – le récit clandestin d’une odyssée technologique qui a tant promis, et les coulisses d’une quête généreuse, ambitieuse, qui a jusqu’à maintenant charrié des périls aussi colossaux que ceux qu’elle s’était donné pour mission de résoudre.

23-Les Portes de la transfiguration– 31 janvier 2018

On parle beaucoup aujourd’hui du développement des capacités cybernétiques de l’être humain menant vers un éventuel Homo Deus. Jean-Yves Leloup propose une alternative à ce projet transhumaniste : la voie de la transfiguration, chère à tous les mystiques.
Il est pour cela nécessaire de passer par un processus de transformation de soi menant à la métamorphose de notre être, afin de donner du sens à notre existence et transfigurer notre corps. Il faut ouvrir les portes de notre perception afin de tout transformer en conscience et en amour, c’est-à-dire en lumière intérieure. C’est à cette alchimie que nous introduisent les pratiques de silence et de méditation.
« L’esprit saint qui se joint à notre esprit » n’est pas un phénomène virtuel mais bien une participation consciente à ce qui est à la fois plus grand que nous et au-delà de tout. Il s’agit de retrouver l’infini qui nous informe et nous contient.

Dans cet essai passionnant et pertinent, Jean-Yves Leloup nous invite à trouver le Royaume céleste qui est en nous, sans céder aux mirages de la technologie, mais en nous recentrant sur notre être.

24– Aveuglements 

Religions, guerres, civilisation – 2 février 2018
Dieu est mort ? Les convulsions de son cadavre font chaque jour l’actualité. Sommes-nous sortis de la religion ? Les cartes militaires des guerres en cours montrent l’inverse. Connaissons-nous un choc des civilisations ? La théorie dit non, le sentiment dit oui. Pour la première fois, la modernité, la sécularisation, le progrès nous apparaissent comme des mythes. L’histoire nous revient tragique et meurtrière. Le monde est devenu illisible. Serions-nous aveuglés par les Lumières, leur part obscure et les illusions de la Raison ? Vivrions-nous la fin du programme « Prométhée » ? Lirions-nous avec les mauvaises lunettes le désordre planétaire ? Aurions-nous oublié la grammaire des mots, des idées, des faits, qui nous permettrait d’en finir avec l’imposture des théologies politiques ? Terroristes de l’An II, nihilistes russes de 1905, djihadistes de 2001. Messianismes athées nazi et communiste. Millénarismes de la religion civile américaine et de l’hégémonie libérale mondialisée. Réforme de l’islam en islamisme militant et révolutionnaire. Démission de l’Europe et abdication de la France laïque. Entre le zéro mort des interventions humanitaires et le tous morts des attentats suicides, ce livre dévoile la face cachée des trois derniers siècles en déroulant le fil rouge du sacré et du sacrifice. Cette somme ni polémique ni irénique, riche de rappels et d’explications, d’événements et de portraits, de découvertes et de révélations, mais aussi de traits d’humour, où se croisent les cultes et les cultures, les fausses croyances et les vraies géopolitiques, les intellectuels du Vieux continent et les savants du Nouveau Monde, sans oublier la Bible des juifs et l’Evangile des chrétiens, éclaire la généalogie secrète du nihilisme. Du diable et de ses possédés.

25 -Obscures Lumières : La révolution interdite – 16 février 2018

On voudrait nous faire croire que les Lumières ont été totalement lumineuses. Mais la Révolution française a débouché sur la Terreur, avant d’accoucher de l’Empire. Est-ce un accident ? Il n’en est rien. Il y a dans la Révolution française une double contradiction. Alors qu’elle se veut antireligieuse, elle donne naissance avec Robespierre au culte de l’Etre Suprême. Alors qu’elle se veut morale, elle fait le lit du libertinage poussé au paroxysme par Sade. Il y a une raison à cela. La Révolution française a voulu être révolutionnaire. Elle a cru qu’elle pouvait l’être. Mais elle a été dévorée inconsciemment par l’Ancien Régime dont elle ne s’est jamais vraiment débarrassée. Cette ombre a pesé sur elle. Elle pèse encore sur nous.

26 – Happycratie – Comment l’industrie du bonheur a pris le contrôle de nos vies

23 août 2018

Le livre événement qui s’attaque de front à l’essor de l’industrie du bonheur et du développement personnel, par une des auteures les plus influentes au monde, d’après Der Spiegel (Allemagne) et L’Obs.Le bonheur se construirait, s’enseignerait et s’apprendrait : telle est l’idée à laquelle la psychologie positive prétend conférer une légitimité scientifique. Il suffirait d’écouter les experts et d’appliquer leurs techniques pour devenir heureux. L’industrie du bonheur, qui brasse des milliards d’euros, affirme ainsi pouvoir façonner les individus en créatures capables de faire obstruction aux sentiments négatifs, de tirer le meilleur parti d’elles-mêmes en contrôlant totalement leurs désirs improductifs et leurs pensées défaitistes.
Mais n’aurions-nous pas affaire ici à une autre ruse destinée à nous convaincre que la richesse et la pauvreté, le succès et l’échec, la santé et la maladie sont de notre seule responsabilité ?
Et si la dite science du bonheur élargissait le champ de la consommation à notre intériorité, faisant des émotions des marchandises comme les autres ?
Edgar Cabanas et Eva Illouz reconstituent ici avec brio les origines de cette nouvelle  » science  » et explorent les implications d’un phénomène parmi les plus captivants et inquiétants de ce début de siècle.

LA PRESSE EN PARLE

 » Eva Illouz et Edgar Cabanas s’attaquent avec brio à la dictature du bonheur. Un livre édifiant, important et urgent pour comprendre l’emprise d’une idéologie devenue mondiale au service du pouvoir.  » Marie Lemonnier, L’Obs

 » Un essai décapant.  » Laurent Lemire, Livres Hebdo

 » Une critique juste de la tyrannie d’un modèle du bonheur artificialisé, dégagé de tout contexte social.  » Jean-Marie Durand, Les Inrocks

 » Un livre exceptionnel.  » Raphaël Glucksmann, France Inter

 » La sociologue Eva Illouz et le psychologue Edgar Cabanas, fins observateurs de l’usage des émotions intimes par le capitalisme, décryptent comment le bonheur est devenu un marché juteux et une idéologie aussi captivante que perverse.  » Catherine Portevin, PhiloMag

 » La thèse est simple et lumineuse. (…) Merci à eux de nous rappeler l’importance du travail négatif, sous peine « d’oublier la bigarrure du monde humain, si chère à Freud ».  » Psychologies Magazine

27 – Le livre des anges : Le livre écrit par les anges – 26 octobre 2018

Comment décrire et raconter cette expérience mystérieuse et indicible, qui est la mienne depuis plus de vingt ans ? Comment faire partager aux autres, puisque tel est le but, l’inimaginable, la découverte de l’espérance, les réponses aux questions éternelles sur notre raison d’exister ou notre peur de disparaître. J’ai choisi de ne plus me taire, et d’écouter enfin, ce que mes chers Anges me soufflent inlassablement, afin de faire connaître dans cet ouvrage nos échanges, nos dialogues, et par-dessus tout, leur message d’amour, diffusé grâce à une calligraphie, aussi savante que merveilleuse, tracée par le Saint Ange qui tient ma main. Mais ce livre est aussi un récit, celui d’expériences vécues par certains d’entre nous, au travers de rêves, de signes, de synchronicités, qui sont autant de clins d’oeil envoyés par nos divins amis, afin de nous entrouvrir la porte des mystères du Ciel.

Description

EXTRAITS

Au partage des eaux de L’Isle-sur-la-Sorgue, un lieu magique où la rivière se sépare en deux, les berges sont plantées de mélèzes. Lorsque souffle une brise légère, on entend le murmure du vent dans les arbres, qui se mêle au son de la cascade ! C’est Divin !! Sans doute est-ce pour cela que Cridelo, le bien-aimé, me retrouvait toujours à cet endroit ! : « Viens avec moi dans les mélèzes, viens jouer avec nous dans le ciel ! » me disait-il. Et je me suis souvenue d’un récit où l’auteur avait eu une vision étonnante ! Il avait aperçu, au-dessus de lui, un groupe d’anges très grands, filles et garçons, qui se déplaçaient en riant, dans l’Azur !

 

Rien, ni personne ne peut lutter contre l’Amour. L’amour est invincible. L’amour est invaincu ! Les mots contre l’Amour sombrent dans le vide. Les mots et les pensées d’Amour fleurissent dans les cœurs, comme les fleurs des champs au Printemps, lorsque tout renaît sans cesse et sans cesse. Les fleurs des champs sont les mots d’Amour de Dieu. Le vent dans les feuilles naissantes, est le chant des Anges, dans votre oreille.

A propos de l’auteur : Lucienne Tinfena

Elle vit depuis toujours dans le sud de la France, et bien qu’ayant fait des études de Lettres à Aix-en-Provence, elle n’avait jamais été tentée par l’Écriture. En 1993, un évènement se produit, un premier contact avec les Anges, qui va bouleverser sa vie. Pendant des années, elle conservera le secret des rencontres avec ses amis du Ciel, mais telle n’était pas leur volonté. En 2013, sollicitée sans relâche par ses guides, elle commence à répertorier et traduire les Saints Messages, afin de les partager, et d’apporter dans ce premier livre des Anges, le témoignage « matériel » de leur existence parmi nous.
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