José Mujica, Président moraliste de la sobriété civique.

 

sur le blog Intellection

José Alberto Mujica Cordano, surnommé « Pepe Mujica », est un homme d’État uruguayen, né àMontevideo le . Il est le 40e président de la République du au

Une interview que devraient écouter et sur laquelle devraient méditer les politiciens du monde entier, surtout ceux de certains des pays les plus miséreux où les démesures de la vénalité, l’extravagance dépensière, la prodigalité de luxe, la mégalomanie matérialiste primaire et crapuleuse de la plupart des soi disant élites tant politiques qu’économiques, dévorent toutes les ressources produites ou octroyées en prêts à ces pays au nom de leur peuple ainsi endetté pour les bas assouvissements de l’ego platement vaniteux de sinistres hédonistes prodigues!

 

Il est temps d’arrêter cette calamité pour les sociétés du sud paupérisées de l’intérieur, après les prédations impérialistes, par l’infamie prédatrice endogène selon l’esbroufe mégalomane matérialiste des élites trop viles et trop bouffonnes pour projeter d’autres valeurs un peu plus civiques – comme cette première médication morale contre la cupidité qu’est cette sobriété que j’appelle civique dans le train de vie matériel – que la grossièreté exhibitionniste des biens extrêmement onéreux coûtant de mortelles fuites de devises à la population!

 

 

Du choix de Jésus coach intérieur

pour lire ce livre en téléchargement 

 

 

Le changement d’assise de ma foi,…..

            J’étais catholique par fidélité ….mais aussi par espérance. Cette espérance,cette confiance, je l’avais mise en l’Eglise et non directement en Dieu. J’avais misé sur elle et non directement sur Jésus. D’ailleurs le « credo »de mon enfance, récité à chaque messe disait: « je crois en l’Eglise car elle ne peut ni se tromper ni nous tromper ».

…..son recadrage par « effusion d’Esprit,…..

                 Le 23 février 1975, dans une assemblée de prière du Renouveau Charismatique à laquelle j’avais été invité et ou j’étais plutôt gêné de me trouver ,une parole de la bible me percuta : « vous n’êtes plus sous la loi, mais sous l’amour »( « sous la grâce »en Rm 6,14 ).C’est un membre de cette assemblée qui avait lu cela, mais c’est aussi Jésus qui s’était adressé à moi et cela directement.

…bouleversa ma vie chrétienne…

                En un instant tout bascula : dans ma vie de prière (le devoir de réciter devint besoin de Lui parler), dans ma lecture de la bible (de simple lecture intellectuelle, elle devint soif d’entendre Jésus me parler), l’action par devoir fit place au besoin… notamment de me faire entendre, par la parole dans ma paroisse, puis par l’écrit: « Alors les yeux s’ouvrirent » Editions Bénévent, 2009; « Quelqu’un a-t-il soif, » Editions Graine d’auteur, 2013.

…et m’abreuva de contradicteurs…

                   Je me suis mis à « dévorer » la bible et hélas comprendre qu’il y avait, dans mon Eglise, une dérive par rapport à l’enseignement du Nouveau Testament. Certains l’assument en me disant : « Ce n’est pas la  bible qui dit la vérité, c’est l’Eglise » .Certains imposent la supériorité hiérarchique : « Si en lisant la bible vous faites des découvertes, parlez-en, même à l’évêque, la bible doit être lue en Eglise », d’autres enfin, les plus nombreux, évitent toute discussion, de peur, sans doute, d’avoir à remettre en cause le fondement de leur foi.

…ancrés dans l’enseignement reçu et souvent encore donné…

                    Ce qui, notamment, m’a été donné de comprendre, c’est, qu’en principe, le chrétien est habité par l’Esprit-Saint et que c’est ce dernier qui, à travers lui, accomplit de bonnes oeuvres. Essayer par nous-même de faire le bien et d’éviter le mal pour ensuite nous glorifier lors des réussites (voir Jn 5,44) et nous flageller lors des échecs, n’a rien de chrétien.( Le catéchisme de l’Eglise catholique ose encore déclarer que « la sainteté implique la mortification »-réf: 2015-).

…alors que l’idéal du chrétien est de pouvoir dire, en vérité, comme Saint-Paul en Gal.2,20 : « Je vis mais ce n’est plus moi, c’est Christ qui vit en moi ».

                    Si l’Esprit-Saint n’est généralement pas à l’oeuvre en nous et à travers nous, ne serais-ce pas déjà parce qu’Il n’y a pas été invité. Cela pourrait se faire en Eglise…en ayant alors bien conscience que c’est alors à Lui que revient la gloire des bonnes oeuvres ! ( voir Jn.12,43).

…Dans le Renouveau Charismatique, quand l’Esprit-Saint « tombe sur nous « on parle d’effusion d’Esprit, mais cela reste le plus souvent sauvage. C’est ce qui m’est arrivé le 23 fév.1975 et c’est ce qui se passait à l’origine chez les premiers chrétiens.

                       Dans les actes des apôtres (Ac.10,44.48) c’est cette « effusion d’Esprit » sur des non-juifs (manifestée par le « chant en langues ») qui incita Pierre à oser baptiser des païens et ce dernier s’en explique devant l’assemblée de Jérusalem : « A peine avais-je pris la parole que l’Esprit-Saint tomba sur eux, comme il l’avait fait sur nous au commencement. Je me suis souvenu alors de cette déclaration du Seigneur« : « Jean, disait-il, a donné le baptême d’eau, mais vous, vous allez recevoir le baptême dans l’Esprit-Saint… »( Ac.11,15-16).  

 …Mon espérance, celle qui demeure, est de voir, non seulement mon Eglise catholique,mais toutes les Eglises chrétiennes, revenir ensembles devant Dieu et sous la mouvance de l’Esprit-Saint aux écrits qui les fondèrent,sans se prévaloir d’une antériorité ou d’une tradition  qui leur serait propre.                    

robert.specty@orange.fr

 

références citées dans l’article :

Rm.6,14 = Epître de Paul aux Romains,chapitre 6,verset 14

Jn 5,44 =  Evangile de Jean chapitre 5, verset 44

Gal.2,20 = Epître de Paul aux Galates ch 2, verset 20

Jn.12,43 = Jean, chapitre 12, verset 43

Ac.10,44.48 = Acte des apôtres, chapitre 10, versets 44 à 48

Ac.11,15-16 = Acte des apôtres, chapitre 11, verset 16

R∞ – L’Hypothèse du Tout

Précis de (méta)physique à l’usage du commun des immortels

Un article écrit à partir de  la  théorie du Tout 

La bonne question n’est pas : « pourquoi voit-on quelque chose plutôt que rien ? »

mais :

Pourquoi ne voit-on qu’une chose alors qu’il y en a une infinité ?

 Il est aujourd’hui possible et même nécessaire d’envisager l’option spirituelle de manière rationnelle et scientifique à condition de redéfinir un cadre d’analyse large.

Il faut repartir de l’Esprit, de l’Être, pour définir ce nouveau cadre par opposition au matérialisme qui relève d’une forme de croyance. En effet l’hypothèse spirituelle est aujourd’hui compatible avec les dernières avancées de la science.

Cette science nous amène à nous intéresser au vide doté d’une énergie intrinsèque et c’est notre hypothèse, vibrant d’une infinité de réels. Cette hypothèse s’inscrit dans l’interprétation des mondes multiples d’Everett. Voilà toute la mesure de la révolution métaphysique en cours.

Il n’y a pas de néant, il n’y a que le Tout.

Au cours des derniers siècles, science et spiritualité se sont éloignées et la science s’est développée sur le primat de la matière sur l’Esprit niant même toute existence à ce dernier.

Il convient de renverser le paradigme et de construire la science de la primauté de l’Esprit sur la matière ou pour le moins sa concomitance.

Dans l’hypothèse du Tout toute proposition y compris celle-ci, dans la mesure où elle conceptualise, appauvrit. Mais faute de mieux il faut d’abord décrire un cadre conceptuel mathématique pour organiser ce nouveau paradigme même si parfois il s’accompagne d’un cadre poétique ou liturgique.

Il ya quelques principes simples qui sous-tendent la formalisation mathématique :

  • ce n’est pas parce que vous êtes le témoin d’une seule réalité qu’il ne s’en déploie pas d’autres.
  • ce n’est pas parce que vous percevez un espace en trois dimensions qu’il n’y a pas une infinité de dimensions.

Les mondes scientifiques actuels peuvent donner une explication satisfaisante à de nombreux phénomènes physiques mais ils se heurtent à des limites fortes aux marges de l’édifice scientifique. Ces limites nous disent quelque chose de l’incomplétude. Elles touchent à l’infini : infini du passé, de l’espace, du grand, du petit.

Par exemple la théorie de Big Bang ne nous permet pas de remonter au delà du mur de Planck soit 10-43 seconde après la naissance de notre univers.

Selon nos connaissances scientifiques actuelles l’univers observable serait né il y a 13,6 millions d’années lumière. Mais même si ce nombre traduit des dimensions gigantesques ce n’est pas l’infini.

Il y a aussi l’indétermination quantique : en l’absence d’observateur une particule est localement dans plusieurs endroits à la fois. C’est une indétermination structurelle qui traduit que la particule  occupe un nuage de positions simultanées et c’est l’observation qui la localise en un point particulier.

L’observateur fait donc partie de l’équation.

En biologie quantique, aussi, des théories émettent l’hypothèse que l’ADN soit soumis à des phénomènes quantiques et que l’ADN serait multiple.

L’idée centrale de l’hypothèse du Tout est que tous les réels advenus sont considérés depuis un « sujet » c’est à dire depuis un état de conscience et le Tout est la totalisation de tous les  états de conscience.

Depuis l’expérience d’Aspect de 1981 la preuve est établie que deux photons intriqués partent dans des polarités indéterminées et c’est la mesure de la polarité de l’un qui détermine instantanément celle de l’autre.

En physique quantique le sujet est au coeur de l’équation et les réels apparaissent multiples, une instance de conscience donnée n’étant capable d’en observer qu’un.

Un ensemble R des nombres réels est sécable à l’infini : 1 ; 1,1 ; 1,11 ; 1,111 ; 1,1111 ; …

Einstein a étendu notre espace à trois dimensions issu de notre perception du réel à un espace à 4 dimensions qui échappe déjà à notre représentation du réel. Actuellement, la théorie des cordes fonctionne dans un espace à 26 dimensions que seul l’outil mathématique permet d’imaginer.

Mais la véritable nature du réel c’est une infinité de dimensions, tailles, formes etc… Le réel est donc infini et le symbole de ce nouveau paradigme s’écrit  : R∞.

Dans cet univers, posons le postulat que la distance entre 2 points est nulle ce qui explique alors que dans le monde à 3 dimensions on observe le phénomène d’intrication quantique.

La meilleure approche de cet univers est celui des fractales.

Postulons que l’objet conscience aux surfaces multiformes envahit tout l’espace et que tous les réels possibles coexistent et sont advenus. La conscience de l’observateur fixe un de ces réels.

Le temps n’est qu’une brise, un pur phénomène de surface. Passé et futur ne sont vrai que pour un sujet donné et chaque situation est éternellement vraie sous le régime du présent.

A mesure que la conscience s’éveille et s’élargit, le temps ralentit et donc celui-ci est en fait une promenade du sujet sur l’objet.

L’hypothèse du Tout c’est un monde sans loi physique absolue. C’est un monde où la loi physique n’est qu’une entreprise de structuration locale adaptée à une vision locale.

Une instance de conscience donnée est un lieu et un moment d’un réel existant.

Le hasard n’existe pas dans R∞ : tout est en relation. Dans Rle hasard apparaît comme une superstition ou une science vraie des probabilités.

Si l’on postule un réel unique la logique Aristotélicienne interdit qu’une chose et son contraire puissent être vrai. Dans R∞ plus rien n’est faux et il existe toujours un lieu de cet espace où cette chose ou son contraire est vraie.

Les taoïstes ne s’encombrent pas de cette contrainte Aristotélicienne et le Sage embrasse tous les multiples.

 » le contraire d’une vérité profonde peut être une autre vérité profonde » – Niels Bohr

Ce qui est assommant chez les nombreux ésotériques c’est qu’ils n’aient qu’une croyance et qu’elle tourne à l’obsession.

Trancher entre deux vérités locales c’est appauvrir la richesse infinie des réels.  » l’erreur c’est l’oubli de la vérité contraire » – Blaise Pascal.

Le reproche qui peut être fait aux sciences c’est qu’elles détruisent la capacité à rêver et restreignent les espaces des possibles. On devrait dire : « dans mon monde, le monde est comme ci comme ça ».

On voit bien que la fascination matérialiste commence à s’effriter ce qui permet de faire entrevoir au plus grand nombre la multiplicité des réels, l’impossibilité de la mort et peut-être de toucher à l’existence de Dieu.

Les enfants de trois à six ans savent quelque chose qu’on nous a fait oublier et qu’il ne sera plus possible d’ignorer encore bien longtemps.

 Pour accéder à la présentation de la théorie de l’Hypothèse du Tout

Qu’est ce qu’un égrégore ?

Inerees

Nous connaissons l’inconscient collectif, la mémoire collective ou encore les archétypes décrits par Jung. De bien des manières, nous nommons déjà ce phénomène mal connu et pourtant inscrit en nous : l’égrégore. Mais si nous sommes capables de générer ensemble cette conscience partagée, elle aussi a le pouvoir d’agir sur nous…

Une émotion active les atomes de nos cellules, transformant le corps en une pile électrique, capable de fabriquer sa propre énergie. Ainsi, par la seule force d’une émotion mutuelle et sans même s’en rendre compte, nous connectons nos sources d’énergie et en créons une plus grande, globale. Comme branchés les uns sur les autres, nous vibrons sur la même longueur d’onde. La tension est alors assez haute pour qu’émerge un esprit de groupe. « Le biochimiste Rupert Sheldrake parle de champ morphogénétique. Le ressenti d’un individu exerce une force sur celui de l’autre. Ce mouvement, par résonance, va influencer leurs comportements et leurs pensées », explique Rosa Claire Detève, formatrice en psychologie quantique. Mais cet esprit de groupe n’est pas que la résultante passive d’un instinct grégaire.

….

Depuis un peu plus de quinze ans, une théorie discrète est en train de révolutionner toutes nos connaissances sur la conscience humaine. Le Global Consciousness Project (Projet de Conscience Globale) est une expérience parapsychologique débutée en 1998 au sein de la prestigieuse université de Princeton, aux États-Unis. L’initiative, qui réunit scientifiques et ingénieurs, cherche à établir l’existence d’une activité énergétique universelle, grâce à un générateur aléatoire de nombres, un petit boîtier conçu au départ pour détecter les mouvements de pensées d’un cobaye. Après en avoir éprouvé l’efficacité sur une seule personne à la fois, l’appareil, baptisé Egg, est testé sur un groupe.

A ce jour, 65 générateurs sont positionnés dans presque autant de pays, dont deux en France. Tous reliés en réseau, ils archivent en continu l’encéphalogramme terrestre. Chaque fois qu’un événement mondial se produit, des fluctuations sont enregistrées. Plus il est fort et médiatisé, plus elles sont importantes. L’informaticien Pierre Macias héberge l’un des deux Egg français à Toulouse.

 

Translate »