Si quelqu’un a soif qu’il vienne à moi

 

« Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi »

dit Jésus en Jean 7,37

avant-propos

Robert Specty a fait une expérience inouïe qui l’a mis en route, a changé son existence, et l’accule à une exigence rare. Son message, son trésor aussi, c’est celui de milliers d’hommes et de femmes qui l’ont précédé, de milliers de contemporains également, qui ont fait cette « expérience du ‘Je t’aime’ de Dieu ». Le quotidien La Croix, jeudi 3 mai 2012, p15 . En référence au témoignage du
Frère Christophe, le plus jeune des martyrs de Tibhérine.

Cette expérience et le chemin personnel qui en a résulté sont significatifs de notre temps. Significatifs de ce moment de transition que vit l’Église catholique en France et plus largement en Occident ; le passage d’une Église de multitude qui avait barre sur ses fidèles, leur disait que croire, comment
croire, une Église conduite par les clercs qui savaient et disaient pour tous, à une Église d’hommes et de femmes qui cherchent, veulent expérimenter et comprendre. Ceux-ci, à l’image des Samaritains que nous présente l’évangéliste Jean (chapitre 4, verset 42), ne se satisfont pas de ce qu’ils ont entendu par ouï-dire, ils veulent voir, entendre, se rendre compte par eux-mêmes. Ce sont des recommençants, comme on les appelle aujourd’hui, parmi lesquels des convertis ; ils ont rencontré au plus intime d’eux-mêmes cette Présence aimante, ils ont expérimenté l’action de l’Esprit dans leur vie, ils ont goûté à la puissance et à la fécondité des Écritures saintes.
Ils nous rappellent que la foi chrétienne, en un temps où elle est bien chahutée, tant en interne qu’en externe, n’est pas une idée, moins encore une idéologie, pas une croyance ou un ensemble de dogmes, pas une morale ou une règle de  vie, elle est avant tout une expérience, la ‘rencontre’ de l’Hôte intérieur, qui engage toutes les dimensions de la vie humaine ; elle est confiance en une personne, la Personne du Christ. Ces témoins nous parlent ainsi d’un Dieu vivant, d’un Dieu qui se laisse rencontrer, et plus encore d’un Dieu qui n’a de cesse de se révéler comme Lui-même nous le confie dans le livre de l’Apocalypse (chapitre 3, verset 20).

Robert Specty n’a pas quitté son Église, c’est en son sein qu’il a vécu cette expérience, et c’est en son sein qu’il reçoit l’aliment qui le fait vivre : l’eucharistie. Et cela en dépit des incompréhensions, des camouflets, du mépris qu’il rencontre parce que laïc, parce que se référant à une expérience fondatrice étrangère à beaucoup de membres de cette Église, parce que non théologien. Et cela en dépit des lassitudes éprouvées à la vue de cette Église retenue par son passé, qui dit mais ne fait pas, qui moralise, qui a encore trop souvent tendance à valoriser la primauté et l’efficacité de l’effort personnel dans la vie chrétienne, oubliant ce qui revient à la grâce.
C’est pourtant cette Église qui, de 1962 à 1965, lors du Concile Vatican II – dernier rassemblement de tous les évêques catholiques du monde – a opéré une véritable révolution dans la compréhension qu’elle avait d’elle-même, revenant à ses fondements, au dessein de Dieu, aux Écritures. Prenant le
temps de « se définir (ou du moins de se décrire) elle-même, (pour) la première fois (de) son histoire séculaire »(Mgr Christoph SCHÖNBORN, Le Mystère de l’Église : approches de Lumen Gentium (conférence donnée le 2 décembre 1982), elle affirmait alors notamment l’égale dignité de ses membres, l’appel universel à la sainteté et la dignité de la conscience, « le centre le plus secret de l’homme, le sanctuaire où il est seul avec Dieu et où Sa voix se fait entendre »Constitution pastorale Gaudium et Spes (L’Église dans le monde de ce temps),§16.9.. Mais une révolution, pour prendre chair, doit être entendue, accueillie, reçue pour ce qu’elle est. Le temps est nécessaire, l’évolution des mentalités indispensable. Passer de maîtresse à servante exige nécessairement temps et humilité.
C’est dire que Robert Specty vit son expérience et la responsabilité qu’elle a fait naître en lui simultanément comme un cadeau qui le dépasse et comme un fardeau, toujours à remettre. Il a conscience de ne pas toujours vivre ses exigences, son intransigeance, qu’accompagne un sentiment d’urgence, au diapason de l’amour de Dieu. Qu’il est difficile de vivre d’un cœur qui se veut sans partage ! Pour autant, il ne peut taire son expérience et la découverte qui a changé le cours de sa vie et de sa vie de chrétien, ce 23 février 1975. Aussi a-t-il entrepris d’écrire et d’éditer, à ses propres frais, son témoignage. Alors les yeux s’ouvrirent (en référence à l’évangile de Luc chapitre 24, verset 31) est paru en 2009 (Éditions Bénévent). Son désir était  de partager au plus grand nombre sa conversion personnelle, son itinéraire de catholique culturel devenu chrétien catholique confessant, et les transformations qui en ont découlé.

Aujourd’hui, avec Quelqu’un a-t-il soif ?, thème biblique s’il en est (cf. les Psaumes 41 ; 6 ; 142,6 ; les prophètes Amos (8,11) et Isaïe (49,10) et encore l’évangéliste Jean (6,35), il se tourne vers toutes celles et tous ceux qui ont hérité du catholicisme mais n’ont pas goûté la présence de celui qui est à son origine, Jésus le Christ. Et ceci, qu’ils soient encore ‘pratiquants’ ou qu’ils aient pris leurs distances avec l’Église qui les a baptisés. Son intention : les inviter à se laisser rencontrer par Jésus ressuscité, et particulièrement dans le lieu privilégié qu’est « l’écoute de sa Parole »( catéchèse du 11 avril 2012 du pape Benoît XVI.).
« L’important, confie Robert Specty, est de montrer que chacun peut faire des découvertes en lisant la Bible ». Parce qu’il en a fait et en fait l’expérience, au quotidien, il nous assure avec saint Paul que « les textes sacrés… ont le pouvoir de … communiquer la sagesse, celle qui conduit au salut par la foi que nous avons en Jésus-Christ. Tous les textes de l’Écriture sont inspirés par Dieu ; celle-ci est utile pour enseigner, dénoncer le mal, redresser, éduquer dans la justice ; grâce à elle, l’homme de Dieu sera bien armé, il sera pourvu de tout ce qu’il faut pour un bon travail » (Paul à Timothée, chapitre 3, versets 15 à 17).

Philippe Le Vallois,  Responsable du service Évolutions religieuses et
nouvelles religiosités de l’Église catholique en Alsace

Pour lire le livre Quelqu’un a-t-il soif ? sur le site le Temple des Consciences

Le mémorial-La nuit de feu ou nuit d’illumination et d’extase de Pascal – 23 novembre 1654

Manuscrit du Mémorial de Blaise Pascal, Bibliothèque nationale de France

Le mémorial de Pascal ( sur Wikipedia)

Ce texte d’une extrême brièveté est l’un des classiques de la spiritualité catholique et chrétienne en général.

Ces quelques lignes où Pascal exprime sa conversion à la personne de Jésus-Christ au moment même où il la vit ont valeur de paradigme, en raison des termes qu’il emploie mais aussi du caractère fulgurant de cette expérience mystique. Constamment réédité et commenté depuis la fin du XVIIe siècle, le Mémorial contient une triple invocation à Dieu régulièrement citée : « Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et des savants… »

les Pensées de Blaise Pascal

 

 

Le 23/11/2020 sur l’Alsace

Le 23novembre 1654, c’est la nuit de feu de Blaise Pascal.

Pascal est un scientifique et philosophe du XVIIème siècle.

C’est un génie précoce. A 19 ans seulement, il invente la première machine à calculer.

Il apporte de nombreuses contributions scientifiques dans les domaines des mathématiques et de la physique.

Mais son œuvre prend une tout autre tournure à la fin de sa vie.

En 1654, Pascal a 31 ans.

On ne connaît pas la date précise, mais on sait qu’un jour, il se rend en carrosse chez un ami à Argenteuil. Alors qu’il traverse le pont de Neuilly, les chevaux s’emballent.

Ils foncent tête baissée vers le fleuve, là où il n’y a pas de garde-fou.

Ils se précipitent dans l’eau, mais heureusement pour Pascal, les laisses qui les attachaient au carrosse se rompent. Le véhicule s’arrête à quelques centimètres du précipice, si bien que le scientifique se retrouve la tête dans le vide.

Il y voit un premier signe de Dieu.

Le 23 novembre de la même année, entre 10h30 et 00h30, il vit une expérience d’extase. C’est sa « nuit de feu ».

Il voit et ressent la présence de Dieu. Dans un réflexe fulgurant, il se saisit de quelques feuilles qui se trouvaient non loin de lui et sur lesquelles il écrit tout ce qu’il est en train de vivre.

Il n’y a pas de description exacte de ce qu’il voit, mais plutôt celle de ses sentiments. Il écrit par exemple : « Joie, joie, joie, pleurs de joie », « certitude, joie, paix… ».

Le lendemain, il coud les feuilles entre elles, c’est ce qu’on appelle le « Mémorial » de Pascal.

Il garde constamment ces feuilles dans la doublure de sa veste. Il ne s’en sépare absolument jamais.

C’est pendant cette nuit-là que Pascal s’est véritablement tourné vers la religion.

Il va même commencer à écrire un ouvrage pour convaincre les athées de croire en Dieu. Un ouvrage dont le titre original est “Apologie de la religion chrétienne”.

 Mais il meurt le 19 août 1662 avant de finir son projet. Il a 39 ans.

Les notes qu’il a rédigées dans sa dernière entreprise ont été rassemblées dans un ouvrage. Ce sont les « Pensées » de Pascal.

 

Croire Publications

C’est un accident de la circulation sur le pont de Neuilly en 1654, alors qu’il se rendait tranquillement à Argenteuil, dans le carrosse de son ami Artus de Roannez, qui va radicalement transformer la vie de  Blaise Pascal (1623-1662) ; il y verra un signe que Dieu lui adressait.

Le  23 novembre 1654, Pascal eut alors une nuit d’illumination et d’extase.

Ce soir là, le naufragé incrédule saisit la bouée miraculeusement à portée de sa main. Il écrivit à la hâte ce qu’il voyait et ressentait, puis il cousit ce qu’on appelle depuis lors le Mémorial de Pascal, dans la doublure de son vêtement où on le trouva après a mort. Ce texte fort court, où de nombreuses phrases très brèves sont écrites sans verbes, témoigne d’une expérience bouleversante tout entière commandée par ces mots :

« Joie, joie, joie, pleurs de joie », « certitude, joie, paix… ».

 

 

 

Pascal se trouve en communion avec le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob, et non plus avec le Dieu des philosophes et de savants. Ce Mémorial consacre ce que l’on peut appeler la conversion de Pascal dont la vie se trouve désormais transfigurée :


« Je m’en suis séparé ; je l’ai fui, renoncé, crucifié.
Que je n’en sois jamais séparé ».

Il ne se conserve que par les voies enseignées dans l’Evangile : « Renonciation totale et douce. » 
Il  trouve les mots pour développer avec logique et précision l’expérience profonde de conversion à Dieu qui fait d’un homme un chrétien : l’illumination soudaine, la paix avec Dieu, la joie du salut, la découverte de la véracité de l’Évangile, l’amour, le repentir, l’engagement dans une nouvelle direction, l’espérance d’une vie nouvelle…

Dès lors la vie de Pascal change du tout au tout et il consacre ses dernières forces au service de Jésus-Christ. Il cherchera, en particulier à écrire une Défense du Christianisme dont les pensées éparses, sont aujourd’hui rassemblées dans « Les Pensées de Pascal ». Sans le Pont de Neuilly, point de « Pensées »…

 92 express, printemps 2007, p 74.
Jean Brun, La philosophie de Pascal, Que sais-je n° 2711, p 18.

José Loncke, Pasteur de l’Église de Courbevoie

Fragment Contrariétés n° 14 / 14 – Papier original : RO 257-257 v° et 261-261 v°

“Double condition de l’homme”

D’où il paraît que Dieu, voulant nous rendre la difficulté de notre être inintelligible à nous-mêmes, en a caché le nœud si haut ou pour mieux dire si bas, que nous étions bien incapables d’y arriver. De sorte que ce n’est pas par les superbes agitations de notre raison, mais par la simple soumission de la raison, que nous pouvons véritablement nous connaître.

Ces fondements solidement établis sur l’autorité inviolable de la religion nous font connaître qu’il y a deux vérités de foi également constantes : l’une que l’homme dans l’état de la création ou dans celui de la grâce est élevé au‑dessus de toute la nature, rendu comme semblable à Dieu et participant de la divinité. L’autre, qu’en l’état de la corruption et du péché il est déchu de cet état et rendu semblable aux bêtes.

Ces deux propositions sont également fermes et certaines.

L’Écriture nous les déclare manifestement lorsqu’elle dit en quelques lieux : Deliciae meae esse cum filiis hominum. Effundam spiritum meum super omnem carnem. Dii estis. Etc. Et qu’elle dit en d’autres : Omnis caro foenum. Homo assimilatus est jumentis insipientibus et similis factus est illis. Dixi in corde meo de filiis hominum. ‑ Eccl., 3.

Par où il paraît clairement que l’homme par la grâce est rendu comme semblable à Dieu et participant de sa divinité, et que sans la grâce il est censé semblable aux bêtes brutes.

HOLD-UP – origines du Sars-Cov2-épisode 3- Dr. Henrion-Caude

dernière mise à jour : 2/12/20 à 9h

Le 25 mars 2020 je publiais un premier article sur les origines du Sars-Cov2 virus à l’origine de la Covid-19. Cet article s’appuyait sur les révélations d’un généticien américain James Lyon Weiler qui affirmait et apportait la preuve selon lui qu’il y avait des traces de l’outil p-Shuttle dans le génome du virus.

Le 5 novembre 2020 j’ai publié un deuxième article qui  ajoutait deux autres sources d’interrogation sur l’origine artifcielle de ce virus. D’abord la publication le 26/10 d’un article de Yaroslav Pigenet dans le journal du CNRS -virologie où le chercheur indiquait que la piste du laboratoire restait sérieuse en l’état actuel des connaissances scientifiques.

Ce deuxième article présentait une interview de la généticienne Henrion-Caude qui affirmait qu’elle avait trouvé qu’une partie de la membrane du virus ne pouvait pas être naturelle.

Avec HOLD-UP et cet épisode 3 sur les origines du virus nous allons suivre les révélations du Dr Henrion Caude dans une vidéo du 27 /11/2020 sur Sud Radio. Elle nous révèle l’existence des affirmations d’une chercheuse virologue chinoise Li Meng Yan  dans deux rapports consécutifs publiés sur Zenodo.org le premier le 14/9/2019 puis toujours sur Zenodo le second le 8 octobre 2020. Elle révèle que le SARS-Cov 2 est une arme biologique résultant d’une fraude scientifique à grand échelle : « SARS-CoV-2 Is an Unrestricted Bioweapon : A Truth Revealed through Uncovering a Large-Scale, Organized Scientific Fraud »

première question : qui est ZenodoZenodo est un répertoire de travaux de recherche, de logiciel et de données. Ce dépôt a été créé par le CERN grâce au programme-cadre européen pour la recherche et le développement Horizon 2020 (FP8), sous le nom « OpenAIRE Orphan Record Repository », pour fournir aux chercheurs un lieu pour déposer des ensembles de données. Zenodo se base sur Invenio (logiciel libre pour des dépôts numériques à grande échelle).

qui est Li Meng Yan ?

Li Meng Yan      a été enseignante au  Southern Medical University (2014)  (La Southern Medical University, anciennement connue sous le nom de First Military Medical University, affiliée à l’Armée populaire de libération de Chine, est une institution d’enseignement supérieur à Guangzhou (Canton), la capitale de la province du Guangdong, en Chine)   , Zhongnan University Xiangya Medical College (2009)

selon RTL .Lu le 14/9

La virologue Li-Meng Yan a récemment affirmé que la Covid-19 avait été créée dans un laboratoire de la ville de Wuhan.

Les médias britanniques ont récemment partagé le témoignage de Li-Meng Yan, une virologue chinoise qui exerçait encore à l’école de Santé publique de Hong Kong il y a quelques mois. Elle a depuis fui son pays et se serait réfugiée à New York avant de s’adresser aux médias du monde entier.

La virologue est récemment apparue dans l’émission de télévision britannique « Loose Women » et y a affirmé que le Covid-19 venait d’un laboratoire de Wuhan. Un laboratoire qui serait dirigé par le gouvernement chinois qui aurait dissimulé ce qui s’y passait.

Li-Meng Yan affirme avoir des preuves qui confirmeraient que le virus n’a pas été transmis par des animaux aux humains et qu’il aurait été créé de toutes pièces dans ce laboratoire. Elle travaille actuellement avec une équipe de scientifiques américains dans l’espoir de publier une recherche qui viendrait confirmer ses accusations.

Un témoignage qui pourrait être à l’origine d’une crise diplomatique mondiale si les dires de Li-Meng Yan venaient à être confirmés. En attendant, vous pouvez vous faire votre propre opinion en visionnant son interview ci-dessous.

Voici son interview du 11/09/2020 sur Loose Women :l’émission Loose Women est diffusée sur la deuxième chaîne britannique, ITV, le 11 septembre, reprise par plusieurs médias comme Valeurs actuelles, I24 ou encore 20 Minutes Suisse.

 

Le premier rapport sur Zenodo.org le premier le 14/9/2019

Remarques finales
De nombreuses questions restent sans réponse sur l'origine du SRAS-CoV-2. D'éminents virologues ont prétendu que l'évasion de laboratoire, sans être totalement exclue, était peu probable et qu'aucun signe de manipulation génétique n'est présent dans le génome du SRAS-CoV-24. Cependant, ici nous montrons que des preuves génétiques dans le gène de pointe du génome du SRAS-CoV-2  existent et celles-ci suggèrent que le génome du SRAS-CoV-2 serait le produit d'une manipulation génétique. De plus, les concepts éprouvés de techniques bien établies, des connaissances et une expertise sont toutes en place pour la création pratique de ce nouveau coronavirus dans un court laps de temps.


 

page 15 du rapport : schéma d’un parcours synthétique possible de la création du SARS-Cov-2 en laboratoire

 

 

Dans le rapport publié le 8/10/2020 

« 4.4 La pandémie actuelle est une attaque contre l’humanité. Les preuves scientifiques et les archives indiquent que la pandémie actuelle n’est pas le résultat d’une libération accidentelle d’un produit à gain de fonction, mais d’une attaque planifiée utilisant une arme biologique. La pandémie actuelle devrait donc être considérée comme le résultat de la guerre sans restriction. Dans de telles circonstances, la population infectée est utilisée, inconsciemment, comme le vecteur de la maladie pour faciliter la propagation de l’infection. Les premières victimes de l’attaque ont été les Chinois, en particulier ceux de la ville de Wuhan. Au stade initial, la propagation cachée à Wuhan aurait également pu servir un autre objectif : la vérification finale de la fonctionnalité de l’arme biologique, dont un aspect important est l’efficacité de la transmission interhumaine. L’agent pathogène pourrait avoir été activé.« 

Compte tenu de la présence mondiale du SRAS-CoV-2 et de la probabilité de sa persistance à long terme, il convient de dire que cette attaque visait l'humanité  et a mis son destin en péril.

traduction automatique Google traduction)

sur Libération 12/9/20 :

Une virologue chinoise dit détenir les preuves que le nouveau coronavirus a été créé dans un laboratoire chinois. Exilée aux Etats-Unis, la scientifique est particulièrement proche de l’administration Trump.

sur 20 mn .ch : Elle dit avoir la preuve que le virus n’est pas d’origine naturelle et n’a de fait pas été transmis d’un animal à l’être humain sur un marché de Wuhan. Elle déclare avoir reçu ces informations des médecins locaux et du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CCDC).

La Dre Li-Meng Yan avait elle-même fait des recherches sur la Covid-19 à la fin de l’année dernière. Lorsqu’elle a réalisé que le virus se propageait de manière exponentielle, on l’a prévenue qu’elle devait «rester silencieuse et ne pas franchir la ligne rouge». Ses travaux sont alors suspendus. «On va avoir des ennuis, on va disparaître», a pressenti son chef.

La Dre Li-Meng Yan a donc décidé de quitter l’Empire du Milieu à la fin du mois d’avril et de s’enfuir aux Etats-Unis. Depuis lors, elle séjourne dans un endroit tenu secret. Elle travaille maintenant, avec des scientifiques américains, afin de publier une recherche permettant d’attester ses dires. «Je veux faire la lumière sur la Covid-19», explique-t-elle. Si elle en avait parlé en Chine, elle aurait «disparu» dès qu’elle aurait commencé à s’exprimer. Elle a donc décidé de fuir, car elle sait comment son pays traite les dénonciateurs.

sur Epoch Times.com du 18/09/20      Twitter a suspendu le compte d’une virologiste chinoise qui prétend avoir des preuves montrant que le virus du PCC* avait été fabriqué dans un laboratoire.

La Dr Yan Limeng a déclaré que la communauté scientifique avait « gardé le silence et travaillé avec le Parti communiste chinois (PCC) » pour censurer les études qui arrivaient à des conclusions similaires. « Ils ne veulent pas que les gens connaissent la vérité », a-t-elle déclaré dans une interview à la Fox mardi. « C’est pourquoi j’ai été suspendue, réprimée, et je suis la cible que le Parti communiste chinois veut voir disparaître. »

sur Epoch Times.com du 6/10/20

Yan Limeng a confirmé l’arrestation de sa mère au journal Epoch Times le 5 octobre, mais a refusé de donner plus de détails.

Mme Yan, qui a fui Hong Kong et demandé l’asile aux États-Unis en avril, a récemment publié un article dont elle est co-auteur, qui affirme que les « caractéristiques biologiques » du virus suggèrent qu’il ne provient pas de la nature. L’étude n’a pas fait l’objet d’un examen par des pairs.

La communauté scientifique a repoussé ses affirmations après qu’elle a lié les origines du virus à un laboratoire de Wuhan dans son dernier article, certains la qualifiant de spéculative. Twitter a rapidement banni son compte après qu’elle a publié son article dans un tweet.

sur la Croix 18/11 :

Zhang Zhan, « citoyenne-journaliste » chinoise en prison pour avoir informé sur le Covid-19

Portrait 

Arrêtée en mai dernier pour avoir informé sur la situation de l’épidémie de coronavirus à Wuhan, cette ancienne avocate de 37 ans devenue « citoyenne-journaliste » a été inculpée lundi 16 novembre à Shanghaï pour « diffusion de fausses informations ». Elle risque au moins cinq ans de prison.

sur la Croix 26/11 :

La Chine réécrit encore l’histoire du coronavirus de Wuhan

Près d’un an après le début de l’épidémie de coronavirus, la Chine persiste à semer le doute sur l’origine du virus à Wuhan. Elle pointe maintenant du doigt les importations de produits surgelés sur lesquels des traces du virus auraient été trouvées. De son côté, l’OMS a les plus grandes peines du monde à aller enquêter sur place sur les origines du virus.

vidéo du 27 novembre 2020 -Radio Sud – Dr Henrion-Caude

Et voici que les premiers vaccins sont annoncés par Pfizer puis par Moderna…suivis par d’autres

 

Le jackpot potentiel pour Pfizer cf l’Usine nouvelle 10 novembre 

Il s’agit dans un premier temps surtout d’une bonne nouvelle pour les Etats-Unis. Car si Pfizer réussit son pari de mettre le premier sur le marché un vaccin contre le Covid-19, cela relèvera du jackpot pour le géant pharmaceutique. « Pfizer a annoncé un objectif de production de 1,3 milliard de doses en 2021. (…) Même avec la concurrence des autres développeurs de vaccins, nous prévoyons que la majorité de cette production sera vendue, relève ainsi Michael Levesque, vice-président senior à l’agence Moody’s et analyste en chef sur Pfizer. Nous prévoyons des opportunités de revenus au-delà de 2021, bien que nettement moins quantifiables en raison des variables qui affecteront la demande et les prix. »

(Selon le prix de vente de ces vaccins estimé entre 15 et 20$ la dose, le chiffre d’affaires potentiel pour Pfizer, généré par les ventes de ce vaccin peut être estimé à 20 à 25 milliards de dollars soit entre 35% et 50% de son CA 2018 qui était de 53 milliards.)

 

Selon le journal Les Echos du 12 novembre,  l’épidémie qui a mis à mal les économies du monde occidental provoque une euphorie sur les titres des premiers laboratoires qui ont annoncé la réalisation d’un vaccin. Le 9 novembre, jour de l’annonce de la sortie de son vaccin, Pfizer a vu sa cotation en bourse grimper de 15%. Ce jour là, son PdG Albert Bourla a vendu 60% des titres qu’il détenait dans sa société pour un montant de 5,6 millions de dollars. Le journal précise par ailleurs qu’il dispose depuis avril d’un salaire mensuel de 1,65 million de dollars.

Par ailleurs, les cinq principaux dirigeants de la société de biotechnologie Moderna, qui développe également un vaccin contre le Covid-19, ont encaissé plus de 80 millions de dollars en actions cette année, d’après le site spécialisé « Stat News ».

On comprend bien que devant une telle manne attendue de la vente des vaccins, le monde des laboratoires, des dirigeants aux scientifiques qui y travaillent , ne soit pas pressé de voir apparaître des informations selon lesquelles le SARS -Cov 2 à l’origine de ce catalysme économique et social serait sorti d’un laboratoire, fut-il chinois. Cette sortie, qu’elle fut accidentelle ou provoquée , constitue un choc considérable pour l’économie occidentale dans son ensemble mais en même temps une opportunitée formidable pour le monde des laboratoires qui va en tirer profit. Bien avant la sortie des vaccins à ARN messager, on sait qu’il ne faut pas scier la branche sur laquelle on est assis. Quant au secteur public, il est aussi lié par des contrats public-privé ou en liens divers avec ce secteur – coopérations public-privé      ou conflits d’intérêts – cf là par exemple -ou sur Cairn « comment les conflits d’intérêt peuvent influencer la recherche »

On est peu surpris, en conséquence, de voir que le monde des grands médias y compris ceux spécialisés, ait peu d’informations crédibles à fournir pour étayer cette thèse qui bien entendu est considérée le plus souvent comme complotiste. Ce qualificatif est la première réponse opposée pour dénigrer toute hypothèse contraire jugée défavorable et ainsi éviter le débat au niveau des arguments scientifiques.

Rappelons pour finir que l’Europe pour faire face à  la crise économique qui en a résulté s’est mise d’accord sur un plan de relance  de 750 milliards d’euros dont 390 milliards de subventions et 360 milliards de prêts. cf les Echos du 21 juillet. (Rappelons aussi que le budget européen 2019 était de 148 milliards et donc que ces subventions et prêts représentent 5 années de son budget total et environ 5% de son PIB)

Le 5 mai 2020, les Etats Unis lançait de leur côté un gigantesque plan d’émission d’obligations pour 3 000 milliards de dollars afin d’éviter que leur économie ne s’effondre. cf le Courrier international du 5/5/2020.

selon le journal le Monde 7/10/20 :

La pandémie de Covid-19 va faire basculer jusqu’à 150 millions de personnes dans l’extrême pauvreté :  Selon une étude de la Banque mondiale, publiée mercredi, « de nombreux pays connaissent une chute des revenus du travail d’une magnitude jusqu’ici rarement observée ».

Pour la première fois depuis près d’un quart de siècle, l’extrême pauvreté va augmenter dans le monde. Selon un rapport de la Banque mondiale publié mercredi 7 octobre, la crise liée au Covid-19 va faire basculer, d’ici à la fin de 2021, jusqu’à 150 millions de personnes sous le seuil d’extrême pauvreté, fixé à 1,90 dollar (1,61 euro) par jour. Celle-ci devrait toucher entre 9,1 % et 9,4 % de la population mondiale en 2020.

 

 

 

 

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