UN sur CINQ – le film de Karl ZERO sur les réseaux pédocriminels

 

 

 

France Soir 2 novembre 2021

De Nulle part ailleurs au Vrai Journal, Karl Zéro s’est fait connaître et aimer du public français pour l’originalité de ses interventions, qui mêlaient information et divertissement. Mais l’heure n’est plus à l’humour et à la dérision ; c’est sur un sujet grave que Karl Zéro est venu s’exprimer : la pédocriminalité. Il appelle à faire de ce fléau une grande cause nationale, et y met toute son énergie dans cet « Entretien essentiel », dans lequel il vient présenter « 1 sur 5 », film documentaire dont il est producteur et réalisateur et dont le titre fait référence aux 13 millions de Français victimes de violences sexuelles pendant leur enfance.

Karl Zéro dénonce ainsi une omerta qui ne touche pas seulement les familles, mais la société tout entière.

Les pédocriminels sont-ils des prédateurs isolés ? Telle est la question cruciale posée par le documentaire et son réalisateur. Selon eux, ils n’agissent pas seulement pour leur « plaisir » personnel, mais travaillent en réseau, fournissant des enfants à d’autres pédocriminels pour de l’argent.

« Le changement ne vient jamais que quand les élites ne peuvent plus éviter les demandes de la population ». Des crimes impunis, une justice laxiste, une oligarchie complice, des médias silencieux, Karl Zéro dénonce un système truqué dans un monde tout petit où le changement ne peut pas venir des élites qui se connaissent et se soutiennent, mais du peuple.

Pour le journaliste, un point nodal de ce silence est que les agresseurs n’ont pas assez peur du système judiciaire : « on veut que les mecs qui ont ces désirs-là, de toucher des petits enfants, commencent à avoir peur de la loi et se disent « ah non, là je n’y vais pas parce que c’est trop dangereux pour ma gueule » et c’est ça qu’on veut obtenir. »

Fatigué des promesses non tenues et des lois « bidons », c’est dans une démarche constructive qu’il s’inscrit en apportant certaines propositions, dont l’imprescriptibilité des crimes sexuels et l’inversion de la charge de la preuve.

Karl Zéro semble avoir pris fait et cause pour les sujets « tabous » dans leur ensemble ; aussi a-t-il créé il y a neuf mois la revue « L’envers des affaires« , un trimestriel consacré aux faits divers et en particulier aux cas dont « personne ne parle ».

 

 

UN SUR CINQ – le FILM

 

 

 

Primum non Nocere – En premier ne pas nuire – le film Hold On

 

 

« Primum non necere » fut proposé par Hippocrate dans son traité des épidémies. Ce « D’abord  ne pas nuire » peut sembler une évidence, mais comme tout remède comporte des effets secondaires, aucun soin n’est inoffensif. La question qui est posée dans tout traitement médical est d’apporter plus d’avantages que d’inconvénients. Une évidence qu’il n’est aujourd’hui toujours pas si aisée à cerner, tant la multiplicité des facteurs intriqués est grande. (sur maieusthesie.com)

 

réalisateur Pierre Barnérias

France Soir 28/12 :  Hold On », le documentaire qui prend la suite de « Hold Up », sorti l’année dernière, a été diffusé en libre accès hier sur toutes les plateformes ne le censurant pas.

Hold Up avait connu un grand succès médiatique car il était le premier documentaire, en novembre 2020, à revenir sur six mois de controverse autour de la crise liée au Covid-19.

L’équipe de « Hold On », Citizen Light, qui a produit et réalisé ce deuxième volet a annoncé le partager gratuitement, pour s’opposer à « la vaccination des enfants de 5 ans qui a déjà commencé ». Ce collectif de journalistes ayant travaillé dans les « grands médias », entend lutter contre cette politique, grâce à l’information : « le but de cette décision est d’alerter le plus grand nombre sur les dangers de ces injections expérimentales », nous confie Pierre Barnérias, membre de l’équipe, joint par téléphone.

Ce film avait déjà été financé par le public. Dans leur lettre disponible sur leur site Citizen-light.fr, ils remercient dans le même temps leurs contributeurs et ouvre déjà la porte à un prochain numéro, « Hold Out » – ils avaient annoncé une trilogie.

La sortie de Hold On a été difficile à cause de nombreux problèmes techniques et de l’inexorable censure qui règne sur les grandes plateformes de diffusion.

 

LIBERTE ! Le film… et l’acte 9 des manifestations à Besançon et Toulon

 

mise à jour du 13 septembre 

Soigner encore…

LIBERTE – le film – VF ( ETTORI, 2021)

LIBERTE est une enquête réalisée par Ariakina   et Magà Ettori , jeunes étoiles du cinéma corse, qui montre l’envers du décor de la Santé en France.

information du 2 septembre : une caisse de solidarité pour les soignants – donnez !

Le courrier des stratèges – 2 septembre

Syndicat Liberté Santé.com

France Soir 12 septembre 

Obligation vaccinale des soignants : de nombreuses procédures judiciaires en cours

  • Un référé-liberté a d’ailleurs été déposé par Me Teissedre pour le compte d’associations de médecins et de citoyens comme BonSens.org, afin de savoir si les fabricants ont bien rempli les conditions de leur autorisation conditionnelle, en particulier la demande de renouvellement de l’AMM après six mois.

Pour les soignants indépendants, Me Diane Protat a déposé un référé pour le compte de soignants indépendants au tribunal d’instance, plaidant la voie de fait.

Concernant les soignants salariés du service public : ces derniers dépendent de l’autorité administrative et donc des tribunaux administratifs. Un référé-liberté (procédure d’urgence) a été déposé au tribunal administratif, demandant notamment la suspension en urgence de l’obligation vaccinale contre la Covid-19 a été déposé auprès du tribunal administratif. C’est une procédure d’urgence.

Une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) a été soumise au juge à l’occasion de cette même procédure, dans un recours qui conteste aussi les atteintes au secret médical et aborde également la question du pass sanitaire.

Difficile d’être exhaustif tant les intiatives se multiplient : citons aussi les actions collectives de Fabrice Di Vizio, ou encore de Corine Serfati-Chetrit, spécialiste du droit du travail et du droit social, qui a lancé elle aussi une action collective pour défendre des soignants salariés à la fois dans le public et dans le privé.

 

Manifestation du 11 septembre à Besançon

 

sur QG Media – 6 septembre 2021

 

Déplorant le fait de ne disposer pour l’instant du moindre chiffre sur les manifestants à l’exception des enquêtes de l’IFOP sur le soutien aux manifestations [1], une consultation citoyenne a été organisée les samedi 7 et 14 août dans les cortèges de Rouen et de Montpellier [2]

Des données quantitatives auprès de 349 manifestants y ont été collectées ainsi que des interviews qualitatives.

L’amalgame est systématiquement fait entre sécurité sanitaire et protection de la population, liant forcément les anti-pass à des individus ne se préoccupant pas du groupe, du commun. Cette stratégie entraîne instinctivement une décrédibilisation des manifestants par la doxa médiatico-politique, les assimilant à des non-vaccinés.

L’enquête met également en évidence la féminisation des cortèges, dans la suite des gilets jaunes qui recensaient aussi un nombre inédit de femmes militantes. En effet 55% des manifestants sont des femmes, présentes dans ce mode de lutte sociale traditionnellement plutôt masculin.

60% des manifestants sont des adultes actifs entre 30 et 60 ans dont une part importante d’indépendant, chef d’entreprise, profession libérale ou artisan commerçant (22% des manifestants hommes). Les retraités représentent un peu plus d’un quart des manifestants (27%) alors que l’on recense peu de jeunes de moins de 30 ans et donc d’étudiants.

manifestation à Besançon 11 septembre 

TOULON : Tenez bon !

 

Besançon 4 septembre – manifestation contre le passe sanitaire et pour la liberté des soins

 

dernière mise à jour le 6 septembre 2021

“La peur de la mort n’empêche pas de mourir mais elle empêche de vivre “

(Nagib Mahfouz, prix Nobel de littérature 1988).

Besançon le 4 septembre  2021, en partant de la place de la Révolution... en passant par celle du 8 septembre 1944, jour de la libération de la ville…

Suivons donc cette manifestation, l’une des 220, organisées ce jour en France contre l’obligation du  passe sanitaire pour les soignants, mais aussi pour de nombreux autres professionnels et pour celles et ceux qui fréquentent ces lieux. Cette obligation est justifiée en dehors de toute cohérence scientifiquement prouvée ainsi que nous allons le rappeler plus loin.

Partagez largement cet article afin de faire prendre conscience au plus grand nombre des dangers réels de ce glissement soudain vers une société du contrôle numérique obligatoire, assuré de surcroît et par obligation, par une partie de la population.  Les licenciements de fait des professionnels qui refusent ces mesures liberticides et anti-constitutionnelles sont justifiés par le recours au vaccin comme seul moyen de lutte contre la covid… après avoir interdit tous les autres. Cette obligation vaccinale ne trouve actuellement aucune justification épidémiologique avérée ainsi que nous allons le voir plus loin.

Une libre expression du rejet d’une société de surveillance globale et de la revendication de la liberté des soins pour les médecins et les patients

 

 

1) Découvrez ci-dessous  quelques autres photos  de la manifestation de  Besançon du 4 septembre 2021

2) la vidéo de la manifestation du 4 septembre à Besançon

 

2bis) la traversée du tunnel sous la citadelle avec Frederic Vuillaume

3) Bulletin d’information scientifique de l’IHU Méditerranée Infection Pr Philippe Parola, Chef de service des maladies infectieuses Pr Bernard La Scola, Responsable du laboratoire NSB3

4) Tribune : « A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France? »

30/08/2021

 

Dans une tribune exclusive publiée par QG, plus de 2.000 chercheurs, universitaires, soignants, juristes, artistes et enseignants, dénoncent la censure inédite opérée autant par les médias que par les GAFAS au sujet de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid. Chasse aux sorcières, règlements de compte, rien n’est épargné aux personnes qui contestent le bien-fondé du passe sanitaire, et réclament simplement plus de transparence concernant le processus vaccinal, ainsi qu’un débat contradictoire sur la stratégie sanitaire nationale

pour voir la tribune 

 

 

Le Media des enchaînés- 3 septembre

 

sur Guy Boulianne 

5) L’avocat Reiner Fuellmich a pris la parole le 24 juillet lors de la manifestation pour la liberté au Trafalgar Square de Westminster, à Londres

 » Chers amis, il se passe quelque chose. Le front retranché des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre. Et cela, parce que notre pouvoir, le pouvoir de l’humanité, est plus grand que le pouvoir de ceux qui sont de l’autre côté. Mais chez les humains, l’humanité avec ses émotions l’emportera toujours sur la numérisation et l’intelligence artificielle.

Je dis cela après que le Comité d’enquête sur le corona de Berlin (cf : Comité Corona), et ce depuis sa création le 10 juillet, a entendu les témoignages de plus de 110 experts très respectés du monde entier sur les questions suivantes. Quel est le danger du virus? Quel est le danger des mesures anti corona pour la vie et la santé humaine et pour l’économie? Et quelle est la fiabilité du test PCR de Drosten qui sous-tend toutes ces mesures dans le monde? Eh bien, entre temps, même l’OMS a concédé que le virus, qu’il soit entièrement ou semi artificiel ou naturel, n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire, avec un taux de mortalité par infection de 1,4%. Et en conséquence, Singapour est tombé d’accord et a supprimé toutes les mesures. Ces mesures sont aussi mortelles et destructrices que le serait une Troisième Guerre mondiale. Et le test PCR de Drosten, qui a été déclaré par l’OMS, qui est sous le contrôle de Bill Gates et des Chinois, comme étant l’étalon d’or pour détecter les infections, est une fraude scandaleuse.

Premièrement, un test PCR ne peut pas détecter les infections.

Deuxièmement, le test PCR de Drosten, avec 45 cycles d’amplification, aurait donné 100% de faux positifs pour les cas dits de Corona. Car à partir de 24 cycles, le test n’a rien de scientifique, et à 35 cycles il produit au moins 97% de faux positifs, selon le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ce ne sont que ces soi-disant cas qui ont en réalité été truqués avec le test — à l’aide de ce test — qui ont servi de base à la détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale en février 2020. L’acronyme, d’ailleurs, de Public Health Emergency of International Concern est PHEIC, prononcé « feik » (fake / faux).

Cette détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale était à son tour nécessaire à l’Alliance mondiale des industries pharmaceutiques et technologiques afin d’atteindre l’objectif des soi-disant vaccinations qui étaient leurs véritables intentions déclarées dès le début. Uniquement sur la base de cette urgence de santé publique de portée internationale qui est à la base de cet état d’urgence, il est possible, selon les règles de l’OMS, d’utiliser des médicaments non testés sur des humains par le biais de cette approbation d’urgence. Toutes les autres mesures la distanciation sociale, le confinement, le port du masque, etc. n’ont servi qu’à donner à la population, d’une part, une raison visible à une panique par ailleurs illusoire, créée uniquement par des opérations psychologiques, et d’autre part à la subjuguer pour qu’elle accepte finalement même les soi-disant vaccinations.

En réalité, bien sûr, ces vaccinations sont des thérapies géniques expérimentales, sans aucune étude scientifique à la base. Elles n’ont aucune raison d’être et ne sont même pas nécessaires. Tout d’abord, il n’existe aucune preuve d’une pandémie. Seul le faux test PCR de Drosten, avec ses faux positifs, est responsable de l’urgence de santé publique de portée internationale, comme expliqué ci-dessus.

Deuxièmement, il existe des méthodes de traitement alternatives, efficaces et, en règle générale, sur le système immunitaire humain et très bien équipé pour combattre les virus, même ceux créés par l’homme. En dehors de cela, les vaccinations manquent d’efficacité, comme vient de le prouver une étude très récente de dossier scientifique concernant Pfizer Biotech. Et pour couronner le tout, ces vaccins sont extrêmement dangereux, comme le prouvent les derniers chiffres officiels des Etats-Unis.

Selon le VAERS, le registre officiel des événements indésirables après vaccination, 45.000 personnes sont mortes après une vaccination en 180 jours depuis le début de ces soi-disant vaccinations.

Cependant, comme notre collègue Tom Renz l’a appris d’un lanceur d’alerte, ces chiffres ont été tenus secrets et de faux chiffres ont été donnés, à savoir seulement environ 11.000 décès après vaccination. Pire encore. En temps normal, on peut supposer qu’au maximum, entre 1% et 10% de tous les événements indésirables réels liés à la vaccination sont signalés. Mais nous ne sommes pas en temps normal.

Les médias grand public et les politiciens, qui sont tous deux sous le contrôle des entreprises mondiales et des ONG mondiales, font tout ce qui est en leur pouvoir pour rendre l’enregistrement des événements indésirables liés à la vaccination aussi difficile que possible, de sorte qu’en réalité, il est fort probable que nous soyons confrontés à environ 500 000 morts après la vaccination, aux États-Unis seulement.

Cela fait paniquer l’autre camp, car cela ne fait pas partie de son plan. C’est pourquoi cet autre côté, sans empathie ni émotion, fait maintenant tomber tous les masques. En France, par exemple, le gouvernement menace de rendre la vaccination essentielle et d’introduire la vaccination obligatoire, et aux Etats-Unis le président veut censurer même les communications privées, même s’il s’agit de déclarations tout-à-fait correctes, dont le seul problème est qu’elles ne correspondent pas à la ligne officielle frauduleuse annoncée par le gouvernement.

Entre temps, en Inde et en Afrique du Sud, aux États-Unis et au Canada, ainsi qu’en France, de très importantes batailles juridiques ont été engagées ou sont en train de l’être.

Au Portugal, en Autriche et en Allemagne, d’excellentes décisions de justice ont été rendues stipulant que le test de Drosten et le test PCR, totalement inadaptés, ne peuvent servir de base à aucune mesure anti corona.

Le Comité d’enquête Corona de Berlin a déjà accumulé des preuves extrêmement incriminantes qui prouvent qu’il n’a jamais été question de santé, mais que « Monsieur Global », comme l’ancienne banquière d’affaires et secrétaire adjointe au logement et au développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, appelle les entreprises mondiales, les ONG et leurs bailleurs de fonds. Monsieur Global poursuit exclusivement ses objectifs avec ces mesures. La destruction des économies régionales pour rendre la population mondiale dépendante des chaînes d’approvisionnement mondiales. En déplaçant la richesse de la population mondiale du bas vers le haut, c’est-à-dire vers les super riches. Réduction de la population, ce qui signifie génocide. Et l’obtention d’un contrôle total sur la population restante.

Il est évident que nous avons affaire ici à des psychopathes et des sociopathes mégalomanes qui auraient dû être arrêtés il y a longtemps, mais le moment est venu de le faire. C’est pourquoi des millions de personnes manifestent aujourd’hui dans le monde entier.

Un autre aspect doit être souligné. En plus de notre travail juridique et de nos efforts pour mettre en lumière ces sombres vérités, il existe un troisième niveau, à savoir le niveau spirituel, religieux ou cosmique. Appelez-le comme vous voulez. Et ce niveau est crucial. C’est ce que nous montre une histoire qu’un médecin allemand nous a raconté la semaine dernière. Il voulait retirer de l’argent à un distributeur automatique de billets et s’est rendu dans le hall d’une banque à cette fin. Il y avait là une femme âgée portant un masque qui a reculé craintivement devant lui parce qu’il ne portait pas de masque. Elle a dit qu’il devait porter un masque parce que sinon, elle avait peur de se contaminer, ainsi que son mari. Le médecin lui a alors dit qu’elle ne devait pas avoir peur. Il s’est approché d’elle, a enlevé son masque et l’a prise dans ses bras. La femme s’est mise à pleurer et a dit que personne ne l’avait prise dans ses bras depuis plus d’un an. C’est de cela qu’il s’agit.

C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui – oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création.
Dr. Reiner Fuellmich (signature)

 

6) Syndicat liberté Santé

Face à la crise sanitaire et à l’obligation vaccinale qui touche les soignants français, le collectif Soignant de RéInfoCovid a décidé de mettre en place un syndicat :

Le Syndicat Liberté Santé

Syndicat Liberté Santé – 7 Lieu-Dit Moulin Toussaint -25010 Arc-et-Senans

SOIGNANTS, vous pouvez adhérer dès à présent,
CITOYENS, vous pouvez contribuer à la caisse de solidarité afin de maintenir pour chaque soignant le droit de choisir ou non de se faire vacciner, sans risquer de perdre son emploi, qui est aussi une vocation.

Hier, les soignants qui se sont dévoués au risque de leur vie pour beaucoup d’entre eux, étaient applaudis tous les soirs. Aujourd’hui, ils sont menacés de perdre leur emploi et de se retrouver en grande souffrance morale et matérielle.

Les soignants sont bien placés pour voir au quotidien le nombre considérable d’effets secondaires graves ou de décès suite au « vaccin ».

L’adhésion est ouverte à tous les soignants et assimilés qui, par la loi du 5 août 2021, se voient menacés par l’obligation vaccinale.

Nous avons mis en place des cotisations abordables pour tous.

Nous travaillons avec des groupes de juristes et d’avocats pour vous apporter des solutions concrètes.

Nous mettons en place une caisse de solidarité à laquelle tous ceux qui le souhaitent peuvent contribuer. Elle permettra d’aider matériellement et juridiquement tous les membres du Syndicat.

Vous êtes nombreux depuis des mois à vous sentir impuissants, à nous demander comment aider. Voici la possibilité de nous aider et de soutenir tous les soignants que vous avez applaudis et qui se dévouent au quotidien pour vous.

Vous soignants, vous n’êtes plus seuls, le peuple français entier peut vous soutenir.

Nous vous tiendrons rapidement au courant de nos actions et propositions.

Jean-Philippe Danjou , médecin

Danser encore…

Malheur à celui qui pense…

Malheur à celui qui danse…

Petites réflexions COVID à propos des dénis de démocratie, et des effets immédiats des vaccins

 

dernière mise à jour : 31/08/2021

« La peur de la mort n’empêche pas de mourir mais elle empêche de vivre « 

(Nagib Mahfouz).

 

Besançon le 28 août 2021, en partant de la place de la Révolution... en passant par celle du 8 septembre 1944, jour de la libération de la ville…

1) écoutez avec attention  cette vidéo du docteur Montesino, médecin réanimateur

2)Le mépris de ceux qui sont remplis de certitudes, à l’égard de ceux qui refusent  le glissement vers une société de surveillance globale et demandent la liberté des modes de soins :

Les « petits connards »,

 les « ultracrépidarianistes » comme les appellent certains  « sachants »,

ceux qui « délirent « 

étaient très nombreux à Besançon cette semaine pour venir dire :

Liberté !

non à la société de surveillance globale qui se met en place avec le passe sanitaire,

oui à la liberté des modes de soins

Liberté !

 

 

 

3) Découvrez ci-dessous la vidéo sur la manifestation de  Besançon du 28 août, l’une des 220 manifestations organisées ce jour en FRANCE

 

 

4)… et , une compilation des manifestations en France 

 

Les diverses manifestations qui ont lieu en France chaque samedi depuis le 17 juillet regroupent des opposants d’origines et motivations diverses.  Certains luttent  contre  la vaccination obligatoire  et la mise en place du passe sanitaire estimées attentatoires aux libertés publiques dans le  droit français et européen. D’autres,  combattent le principe du vaccin obligatoire sur le plan de la santé des populations  arguant du fait que des publications  récentes montrent que ces vaccins ne sont pas l’arme ultime contre la propagation du virus. Ce vaccin favoriserait  même à contrario la sélection des variants les plus robustes, alors que des alternatives de soins  substitutives ou complémentaires sont ignorées,  voire interdites, ôtant toutes initiatives pour ces solutions de santé envisageables. Nous nous limiterons ici à l’examen de ces positions politiques ou scientifiques.

Examinons d’abord les arguments relatifs aux privations de libertés formulées par un collectif de citoyens

Ces arguments sont développés dans une lettre ouverte adressée aux élus de la nation le 26 août.

Reprenons une partie de cette lettre qui énonce en quoi la loi du 5 août 2021 sur l’obligation vaccinale pour les personnels de santé et d’autres professions  apparait aux yeux de ce collectif comme  privative des libertés fondamentales de ces citoyens. Cette lettre ouverte s’ouvre sur le préambule de la déclaration des droits de l’homme :

Préambule à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 :
« Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »

La lettre ouverte souligne la mise à l’écart de la vie des citoyens qui n’adhèrent pas  au principe de l’obligation vaccinale et du passe sanitaire. Elle estime  ces mesures contraires aux principes des libertés construits au fil du temps dans notre droit national ou européen  :

« Aujourd’hui, l’heure est grave. Des textes de lois nationaux et supranationaux ont toujours protégé les libertés individuelles et collectives, ils sont désormais foulés au pied par l’obligation vaccinale prévue par la loi du 5 août 2021, applicable aux soignants et à bien d’autres professions : article 16-1 du code civil sur le droit à chacun au respect de son corps ; article L.1111-4 de la loi du 4 mars 2002 dite Kouchner stipulant qu’aucun acte médical ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne ; article R 4127 du code de la santé publique ; convention d’Oviedo sur la bioéthique ratifiée par la France par l’article 1° de la loi du 7 juillet 2011 ; arrêt Salvetti de la Cour Européenne des Droits de l’Homme du 9 juillet 2002 rappelant que la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée ; Déclaration de Genève par l’association médicale mondiale appelant au respect à l’autonomie et à la dignité de chaque patient ; résolution 2361 du Conseil de l’Europe du 28 janvier 2021 demandant aux Etats membres de s’assurer que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner et que personne n’est victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner. »

L’idée principale pour soutenir ces restrictions de libertés individuelles est de défendre le fait que la vaccin est le seul moyen de lutte efficace contre le virus  et qui nous permette de ce fait de sortir de cette crise sanitaire.  S’il en était ainsi la sauvegarde de la santé générale de la population primerait à bon droit sur l’intérêt individuel.

Hélas, cette position de fond repose sur des hypothèses inexactes. Le site Réinfocovid créé à l’initiative de professionnels de santé qui contestent cette vision médicale fournit des éléments factuels et justifiés qui prouvent les dangers  de la vaccination de masse et montre qu’en dessous d’un  âge  de 45 ans les risques vaccinaux immédiats sont supérieurs aux bénéfices escomptés en terme de population.  Il n’est évidemment rien dit des effets à long terme qui sont encore inconnus pour les vaccins de type ARN messager.

Le site Alternative Bien Être s’appuyant sur le cas de l’état d’Israël longtemps cité en exemple pour l’un des meilleurs taux mondial de vaccination montre que malgré celui-ci, les nouveaux cas de contamination atteignent actuellement les sommets jusqu’ici constatés depuis le début de l’épidémie. Parallèlement le nombre de morts quotidiens dus au covid est déjà à la moitié du maximum observé depuis le début de l’épidémie.  Ces résultats sont constatés avec une population vaccinée à plus de 60%. Les nouvelles hospitalisations concernent pour  60% une population totalement vaccinée.

En conclusion, l’obligation vaccinale en dehors des populations à risques- personnes âgées ou à risques de comorbidité- ne présente  pas d’intérêt au plan bénéfices risques ce  que montre l’exemple israélien.

Voici quelques éléments de ces observations.

5)Voyons à présent certains arguments à caractère scientifique :

publiés sur le site de Réinfocovid

Où en sommes-nous le 26 août 2021 ?

Alors que le conseil constitutionnel a validé les points essentiels [12] du projet de loi [3] instaurant entre autres, la vaccination obligatoire des soignants et la généralisation d’un passe sanitaire pour accéder aux activités de la vie courante (y compris les hôpitaux), il est raisonnable de s’interroger sur la balance bénéfices/risques de la vaccination de masse, en comparant la mortalité liée à la Covid-19 et la létalité supposée liée à la vaccination par tranche d’âge.

Sur la page bénéfices/risques par tranche d’âge arrêtée au 16 juillet (car santé publique France ne publie plus depuis cette date ces statistiques) on retiendra la conclusion suivante  :

  • Nous ne pouvons plus établir le bénéfice/risque des vaccins Covid après le 16 juillet 21, car Santé Publique France ne publie plus les données brutes nécessaire à ces calculs
  • Pour les personnes de moins de 45 ans, la létalité supposée liée au vaccin est plus importante que la mortalité liée à la Covid-19.
  • Les séquelles très graves regroupant les décès, invalidités et pronostic vital engagé, ont plus que doublé entre le 27 mai et le 1er juillet 2021 pour les  patients vaccinés  Pfizer.
  • Pour les personnes sans comorbidité, le vaccin apparaît délétère pour les moins de 65 ans.
  • Le rapport bénéfice/risque de la vaccination est défavorable lorsque le nombre est supérieur à 1 (cases rouges).

Les tableaux présentés ont été construits à partir des données suivantes :

  • La répartition INSEE de la population par âge en 2021 [4]
  • Le nombre de décès par tranche d’âge à l’hôpital (page 20) et en EHPAD (page 23) du point épidémiologique publié par Santé Publique France du 1er juillet 2021 [5]
  • Les informations relatives aux comorbidités par classe d’âge uniquement disponibles pour les décès certifiés par voie électronique (page 43 de [6])
  • Les données de pharmacovigilance des vaccins du 1er juillet 2021 pour Pfizer [7] et Moderna [8], et du 08 juillet 2021 pour Astrazeneca [9]
  • Les détails des calculs sont téléchargeables ici [10]

 

Résultats

Les résultats concernant la mortalité de la Covid-19 (tableau 1) ont été exprimés en « risque pour 100 000 habitants ».

Tableau 1 : Mortalité liée à la Covid-19 par tranche d’âge, estimation de la mortalité des personnes sans comorbidité à partir des certificats électroniques [5, 6]

Concernant les effets secondaires supposés liés aux vaccins, exprimés en « risque pour 100 000 vaccinés », les résultats ont été obtenus en divisant le nombre de décès supposés liés aux vaccins par le nombre de personnes ayant été vaccinées, c’est-à-dire le nombre de premières doses. Les séquelles très graves regroupant les décès, invalidité et mise en jeu du pronostic vital, ont également été analysées. Selon les déclarations d’effets secondaires rapportées auprès de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM), on peut obtenir le tableau suivant :

Le bénéfice tiré de la vaccination est donc à relativiser pour les personnes en bonne santé, c’est-à-dire ne présentant pas de comorbidité.

Il apparaît alors clairement que pour les personnes âgées de moins de 45 ans, le risque de décès après vaccination est 1,4 fois plus élevé (Astrazeneca) par rapport à la mortalité Covid-19 et le risque de séquelles très graves entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé est jusque 5,2 fois plus élevé pour Pfizer.

Pour les personnes sans comorbidité, le vaccin apparaît délétère pour les moins de 65 ans.

Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est de 41 à 56 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé.

6)Le vaccin est-il la solution ou le problème ?

( sur Alternative Bien-ëtre )

Le violent retour de bâton israélien

Israël va-t-il sauver la face ? Ce pays, vous le savez, a été un « pionnier » dans la vaccination de masse de sa population.

Voici les chiffres[1] de contamination en Israël à la date du 25 août 2021 :

Le pays est en train de retrouver le même nombre de cas journaliers (8000) qu’au moment des tout débuts de la vaccination de masse (décembre 2020).

 

Et simultanément le nombre de décès quotidiens en Israël est en train de repartir en flèche. Notez que le décalage entre les courbes des deux tableaux est logique : les « décès » sont la conséquence des « nouveaux cas » des semaines précédentes.

En janvier, Israël promettait d’en avoir terminé avec le Covid à l’été 2021.

Nous y sommes.

Et non seulement l’épidémie n’est pas terminée, mais elle rebondit très fort.

Nous pouvons avancer plusieurs explications :

  • Le vaccin est inefficace contre le variant delta ;
  • Les anticorps vaccinaux ont cessé de faire effet ;
  • Les « nouveaux cas » ne sont pas vaccinés.

On sait que 60% des patients hospitalisés en Israël sont pleinement vaccinés (deux doses)[2].

C’est symétrique à la proportion de personnes vaccinées dans la population générale en Israël, qui est de 62,5%[3].

On peut retourner le problème dans tous les sens, le constat est le même : la vaccination de masse n’a PAS mis fin à l’épidémie.

L’immunité naturelle plus forte que l’immunité vaccinale

 

Cette efficacité vaccinale  est, vous le savez, en train de dégringoler. Non seulement face aux variants « classiques », si j’ose dire, mais également face au variant delta.

Une fois de plus, c’est Israël, le pays qui a de l’avance sur le reste du monde pour apprécier l’efficacité des vaccins, qui le confirme via une importante étude scientifique.

Publiée hier (25 août), cette étude compare :

  • l’immunité des primo-vaccinés (en janvier-février 2021)
  • avec celle des patients infectés par le Covid sur la même période.

Il s’agit donc de comparer l’immunité acquise à l’immunité naturelle.

Les résultats sont sans appel : les vaccinés ont 13 fois plus de chances de contracter de nouveau le Covid que les patients ayant développé des anticorps naturels[4].

« Vous êtes bien gentil Rodolphe, mais si on n’a pas eu une première fois le Covid, mieux vaut quand même se faire vacciner, non ? »

Je réponds « ça dépend ».

Si vous êtes un patient à risque, avec plusieurs comorbidités, et que contracter le Covid représente pour vous un risque très sérieux alors oui, il est sans doute préférable pour vous de vous faire vacciner.

Si ce n’est pas le cas, non seulement vous vous exposez à un cortège d’effets secondaires, certains inoffensifs, d’autres plus graves, mais surtout vous accentuez la pression évolutive sur le virus et le fait qu’il produise des variants.

7)Sur Futura Santé 26/08 modifié le 27/08

L’efficacité des vaccins de Pfizer et Moderna contre l’infection au coronavirus a baissé de 91 % à 66 % depuis que le variant Delta est dominant aux États-Unis.

Les données publiées le 24 août par les autorités sanitaires américaines proviennent d’une étude menée sur des milliers d’employés de centres de soins et d’hôpitaux à travers six États, afin d’examiner les performances des vaccins contre la Covid-19 en conditions réelles.

Entre décembre 2020 et avril 2021, l’efficacité des vaccins pour empêcher l’infection était alors de 91 %, selon ces données publiées par les Centres de lutte et de prévention des maladies (CDC)

Mais sur les semaines où le variant Delta est devenu dominant, c’est-à-dire où il était responsable de plus de 50 % des cas selon le séquençage, l’efficacité est tombée à 66 %. (Delta est à présent responsable de plus de 98 % des infections aux États-Unis). Les auteurs de l’étude préviennent toutefois que cette baisse pourrait n’être pas uniquement causée par le variant Delta, mais aussi par une efficacité  de la vaccination s’érodant avec le temps.

Selon la nouvelle enquête de suivi REACT-1, réalisée par l’Imperial College de Londres réalisée sur la période du 24 juin au 12 juillet au Royaume-Uni auprès de 100.000 personnes et après ajustement des différents facteurs (âge, comorbidités, etc.), l’efficacité du vaccin est ainsi estimée à 49 %.

Néanmoins cette dernière étude indique une prévalence (pourcentage de personnes atteintes) de 1,21 % chez les personnes non vaccinées, contre 0,40 % chez les personnes vaccinées avec deux doses de vaccin indiquant la moindre circulation du virus chez les personnes vaccinées.

Autre fait inquiétant : alors que l’on observait jusqu’ici une décorrélation entre les contaminations et les hospitalisations (autrement dit, les hospitalisations n’augmentaient pas proportionnellement aux nouveaux cas), « on voit un rapprochement des courbes depuis avril, même s’il se traduit par une plus faible mortalité », alertent les chercheurs, qui y voient clairement l’influence du variant Delta ayant remplacé le variant Alpha.

8)La grande réinitialisation

La Grande réinitialisation » : la vision mondialiste du Professeur Schwab fondateur et organisateur du forum économique mondial 

selon la présentation de l’ouvrage : Depuis ses débuts sur la scène internationale, la COVID-19 a radicalement bouleversé la manière de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de participer à l’économie mondiale. « COVID-19 : la Grande réinitialisation » est un guide pour tous ceux qui veulent comprendre dans quelle mesure le nouveau coronavirus pourrait être source de perturbations et de souffrances, et quels changements sont nécessaires pour créer un monde plus inclusif, plus résilient et plus durable. Ce livre propose une analyse inquiétante et pourtant pleine d’espoir. La COVID-19, la plus grande crise de santé publique de ce siècle, a entraîné une catastrophe économique phénoménale et empiré les inégalités déjà présentes. Mais la force de l’être humain réside dans sa clairvoyance, son ingéniosité et, du moins dans une certaine mesure, sa capacité à prendre son destin en main et planifier un avenir meilleur. Ce livre nous montre par où commencer. Le Professeur Klaus Schwab est le fondateur et président du Forum Économique Mondial. Défenseur de la première heure du « capitalisme des parties prenantes », il est l’auteur de plusieurs ouvrages, y compris « La quatrième révolution industrielle ». Thierry Malleret est le directeur associé de Monthly Barometer, un service d’analyse prédictive succincte. Il a écrit plusieurs ouvrages économiques et articles universitaires et a publié quatre romans.

9)Le courrier des stratèges -20 août

L’exemple de Thalès qui nous montre comment la stratégie du contrôle mondial des populations se met en place :

Mais en quoi le Great Reset a-t-il vraiment besoin du passe sanitaire pour se mettre en place ? Cette question dont on pressent l’importance grandissante depuis plusieurs semaines, et qui s’impose aujourd’hui comme la charnière explicative des politiques publiques, donne lieu à de nombreuses supputations. Il ne suffit en effet pas d’écouter les discours de la caste appelant tous à une ségrégation contre les non-vaccinés pour comprendre l’intention fondamentale de cette innovation. C’est en plongeant dans l’un de tes blogs de l’entreprise transnationale française Thalès que l’on comprend la stratégie d’ensemble qui se met en place, et les étapes qui suivront.

vers l’identité numérique et la société du crédit social

Pourquoi Macron tient-il tant à son passe sanitaire ?

10)sur cuisine des patrons.com (publié le 7 août) : PASS SANITAIRE ET VACCINATION MASSIVE : UN FAUX DÉBAT

Car fondé sur des postulats théoriques non vérifiés (publé le 7 août 2021)

L’obligation du pass sanitaire repose sur trois postulats :
– la vaccination massive serait indispensable à l’éradication de la pandémie,
– les vaccins génétiques seraient sécurisés, sans effets secondaires à court ou long terme,
– aucune autre alternative sérieuse  ne pourrait être envisagée
Ces affirmations ne résistent pas à l’épreuve des faits..

Évolution   de l’épidémie chez les populations vaccinées massivement

Laurent Mucchielli analyse, à partir des  statistiques publiées par le site « Our world in Data », la situation des 15 pays les plus vaccinés : de 100% à Gibraltar à 64% en Mongolie, en passant par des pays du Moyen Orient, d’Amérique du Nord et du Sud et des pays européens (Royaume Uni, Pays Bas, Belgique Danemark).

En Amérique du Sud, le Paraguay , population de 7 millions d’habitants, vaccinée à 10%  ,  l’Uruguay , population de 3,5 millions d’habitants vaccinée à 70% , ont connu un développement quasi identique de l’épidémie durant les 6 derniers mois :  après une forte reprise en mars juin, on constate une décrue  dans les deux pays tant en terme de contamination que de décès.

Au Moyen Orient, l’Arabie Saoudite , population de 35 millions habitants vaccinée à 53% et les Emirats Arabes Unis, population de 10 millions d’habitants vaccinée à 77,5% , ont connu  une même évolution de l’épidémie, comme le note L Mucchielli  « les cas et les décés évoluent parallèlement, comme si la vaccination était sans effet ».

En Israël : « 90% des nouveaux cas de plus de 50 ans sont totalement vaccinés. 60% des cas sévères sont également vaccinés ……. Par ailleurs une étude israélienne vient de démontrer que les personnes qui ont eu le Covid-19 naturellement sont bien moins susceptibles d’être infectées que les personnes vaccinées »

Vaccination massive, une grave erreur ?

Selon  Christian Vélot, professeur en biologie cellulaire à l’Université Paris Sud,  la vaccination massive serait une erreur massive,
Il faudrait laisser circuler le virus chez les personnes asymptomatiques, pour créer  une immunité collective naturelle  (voir plus haut le cas d’Israël), plus efficace que l’immunité vaccinale.
La vaccination ne devrait concerner que les personnes vulnérables  celles  déjà atteintes par une autre affection, la comorbidité constituant un facteur aggravant  (94% des décés selon Santé Publique France)

Des vaccins  aux effets indésirables

Des vaccins d’un genre nouveau en phase expérimentale

Le principe des vaccins classiques  était fondé sur l’injection d’un virus atténué pour développer des anticorps, immunisant la personne vaccinée et évitant ainsi la contamination.

Le principe des vaccins anticovid est nouveau, car fondé sur l’injection non du virus, mais de molécules d’ARN ou d’ADN (selon les types de vaccin),  créant les protéines capables de déclencher une réponse immunitaire.

Sur le blog de Laurent Mucchielli, Philippe Ségur, professeur de Droit Public à l’Université de Perpignan :  :

« Les vaccins anti-covid Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ont ainsi bénéficié d’une autorisation dérogatoire de mise sur le marché délivrée par l’Agence européenne des médicaments, bien qu’ils se trouvent encore au stade des essais cliniques de phase 3, mais à la condition de terminer ces essais. Ceux-ci s’achèveront le 27 octobre 2022 pour Moderna, le 14 février 2023 pour Astrazeneca, le 2 mai 2023 pour Pfizer.
Le droit français est concordant, puisqu’il affirme qu’aucune recherche interventionnelle « ne peut être pratiquée sur une personne sans son consentement libre et éclairé » (art. 1122-1-1 du Code de la santé publique)»

Donc  le pass sanitaire faisant obligation de vaccination aux salariés est clairement illégal, pour des vaccins en phase expérimentale. Le conseil constitutionnel l’a pourtant validé !

Des effets indésirables réels et bien masqués

(source : Article de Laurent Mucchielli,« La vaccination Covid à l’épreuve des faits. 2ème partie : une mortalité inédite.« , 

Sur six mois
Dans son article, Laurent Mucchielli, à partir d’une analyse  par type de vaccin,  dresse la liste des effets indésirables, en particulier  les plus graves : de l’hospitalisation au décés.

Des professionnels de santé, essentiellement des médecins, tirent la sonnette d’alarme  sur leur site (Association Internationale pour une Médecine Scientifique indépendante et Bienveillante (AIMSIB)) avec  un article intitulé « La comparaison entre mortalité par Covid et létalité due aux vaccins est juste catastrophique », dont cet extrait :

«Si vous ne deviez retenir que 3 points de cet article :
• Pour les personnes de moins de 45 ans, la létalité supposée liée au vaccin est plus importante que la mortalité liée à la Covid-19.
• Selon les statistiques actuelles, la vaccination des 12-14 ans pourrait entrainer 85 décès et jusqu’à 235 invalidités graves, pour un bénéfice totalement inexistant.
• A ce jour, aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19. »

En Europe, (données partielles de l’Agence européenne du médicament)

« A la fin du mois de juin, la pharmacovigilance européenne avait déjà enregistré environ 9 000 décès liés à la vaccination uniquement pour le vaccin de Pfizer, notamment du fait de complications cardiaques, pulmonaires ou cérébro-vasculaires, inclues des morts par Covid. »

 

D’autres solutions alternatives à la vaccination massive

Des  traitements alternatifs aux vaccins actuels

Il ne s’agit pas de dresser une liste exhaustive ni d’assener des certitudes, le manque de transparence, le caractère technique des arguments ne le permettent pas .

Le projet THERAPIDE, labellisée Priorité Nationale de Recherche (source Site de l’Institut Pasteur)

« les équipes de l’Institut Pasteur de Lille ont identifié, au sein de leur chimiothèque, une molécule particulièrement puissante contre le SARS-CoV-2. Les tests in vitro ont montré l’efficacité de cette molécule pour inhiber la réplication du virus. Il s’agit d’un médicament commercialisé en Europe et ayant déjà eu une autorisation de mise sur le marché en France dans une autre indication. Il pourrait donc être repositionné comme traitement de la COVID-19.
Le 10 juin (2021), l’ANSM a émis un avis favorable après celui du CPP. L’essai clinique va pouvoir démarrer, toute la logistique est prête. Le déploiement se fera localité par localité. …
Les chercheurs en sont au stade des essais cliniques

(Contrairement aux vaccins des laboratoires privés, la procédure d’expérimentation est suivie scrupuleusement.
L’urgence n’est pas la même selon la nature des enjeux sont publics ou privés (bénéfices et dividendes).

 Évaluation de l’efficacité du vaccin BCG contre la COVID-19

« Le vaccin ….. a été conçu et mis au point à l’Institut Pasteur de Lille, il y a environ 100 ans. Ce vaccin vivant a montré des résultats intéressants contre d’autres infections respiratoires et pourrait être un atout contre la Covid-19. Ce vaccin pourrait donc vivre une seconde jeunesse. « Le BCG pourrait avoir un effet bénéfique chez les personnes atteintes de la COVID-19. Le vaccin pourrait atténuer les symptômes de l’infection par le SARS-CoV-2 et prévenir certaines formes graves. « Obligatoire en France jusque 2007, le vaccin BCG constituerait alors une sorte de rappel dans notre pays » précise le Dr Camille Locht. Des essais cliniques, auxquels l’Institut Pasteur de Lille contribue, sont ainsi en cours ou sur le point d’être initiés en Europe, en Amérique Latine, aux Etats Unis d’Amérique, en Australie et en Afrique du Sud, afin de déterminer l’efficacité du vaccin sur la COVID-19.

« Le BCG, vaccin universel contre la tuberculose, a sauvé des millions de vies sur la planète. C’est un vaccin qui a beaucoup apporté à l’humanité. Ce serait magnifique qu’il puisse contribuer à atténuer les conséquences de l’infection par le SARS-CoV2, aux côtés d’autres traitements » souligne le Pr Xavier Nassif, Directeur Général de l’Institut Pasteur de Lille. «

DES MÉDICAMENTS ANCIENS

L’hydroxychloroquine, médicament prescrit pendant 70 ans auprès  de centaines de millions de personnes, a été brutalement retiré du marché, pour cause de dangerosité. Pour qui ?
Ce traitement du Covid très controversé,  présentait pourtant des résultats positifs, et pas seulement à l’IHU de Marseille,  mais aussi dans la médecine de ville.

La vitamine D  a fait l’objet  d’expérimentation, notamment aux USA par  le Dr Sweta Chekuri, de l’Albert Einstein College of Medicine à New York . L’étude a conclu aux effets positifs de la vitamine D, ce n’est certes pas un médicament miracle, mais la vitamine D peut empêcher les formes sévères du Covid-19,

L’ivermectine est un médicament utilisé depuis longtemps dans les traitements antiparasitaires, et qui pourrait être efficace contre le COVID selon une étude menée  par des chercheurs australiens et des expérimentations réalisées en Argentine :

« 800 soignants ont pris en prévention de l’ivermectine en gélule plus un spray nasal à base d’algues rouges antivirales appelées “iota-carrageenan”. 400 soignants n’ont pas pris part à l’étude. Ils n’ont pas pris de traitement préventif.
Dans le groupe des 800, il n’y a pas eu une seule infection ni de test PCR positif. Dans le groupe des 400, il y a eu près de 60% d’infection, soit 230 tests PCR positif »

 

11)Et pour terminer … Dansez encore…Malheur à celui qui pense, malheur à celui qui danse…Ne soyons pas sans résistance… Continuez à danser…

 

 

Le coup de force sanitaire : La technocrature jette le masque

 

technocrature  : Dictature guidée par la maîtrise technologique

Pieces & Main d’oeuvre  – vous n’avez encore rien vu …

On se croyait seuls depuis lundi soir, dans le silence de l’été, comme tant d’autres sans doute, « abasourdis », « sidérés » par la « brutalité » du coup de force sanitaire du Chef d’En Marche, champion de la classe technocratique. Des messages de désarroi nous parvenaient de gens « pris par surprise », contraints d’annuler des événements, des réunions, des voyages, des vacances, contraints de subir des injections sous peine d’exclusion sociale, fichés, dénoncés à la vindicte officielle – celles de l’État et des forces qui le soutiennent, CSP +++ et Bac +++, de droite et de gauche « en même temps », bourgeois technocrates du Figaro et technocrates bourgeois du Monde. En attendant quoi ? D’être harcelés à domicile par les brigades sanitaires ? On se croyait seuls en voyant ce million de récalcitrants céder à la contrainte, souvent la rage au cœur, et se précipiter sur les sites de vaccination, à peine terminé le discours du Médecin-Président, afin d’éviter les représailles.

Mais aujourd’hui nous ne sommes plus seuls. Partout dans le pays, à Annecy, Toulon, Perpignan, Grenoble, Chambéry, Paris, Toulouse, Montpellier, Lyon, Marseille, Rouen, Nantes, Caen, Bastia, Avignon, Saint-Etienne, Lille, Bordeaux, La Rochelle, Douarnenez, Avignon, des manifestations spontanées, sans partis ni syndicats, ont scandé « Liberté ! ». A Grenoble comme ailleurs, les 200 manifestants repoussés par les forces de l’ordre de la place où avait lieu le défilé militaire, ont ainsi célébré dignement le sens de la fête de la Fédération du 14 juillet 1790.

En annonçant l’obligation du « pass sanitaire » aux plus de 12 ans pour visiter les lieux culturels, les cafés-restaurants, les hôpitaux, les centres commerciaux et pour se déplacer en train ou en car, Emmanuel Macron relègue la France dans le cercle des pays qui font des droits fondamentaux la rançon de leur incompétence butée : Israël, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite et le Pakistan sont les seuls à imposer un passeport sanitaire pour l’accès à certains lieux.

Le président français prévient déjà que « nous devrons sans doute nous poser la question de la vaccination obligatoire pour tous les Français », c’est-à-dire rejoindre le Tadjikistan, le Turkménistan et le Vatican. Ce n’est pas du Tintin, c’est notre futur proche.

Et ailleurs ? La cour constitutionnelle espagnole a retoqué l’obligation vaccinale en Galice, en raison de la « limitation des droits fondamentaux » que celle-ci impliquait. Angela Merkel a été catégorique : « Nous n’avons pas l’intention de suivre la voie que la France vient de proposer ». Le Conseil d’Europe a voté le 27 janvier 2021 une résolution – non contraignante juridiquement – préconisant de « s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement. » [référence]

Gouverner, c’est mentir. Macron, fin avril 2021 :

« Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. » [référence]

La technocratie n’a pas plus de parole que de principes. La fin –l’efficacité et la puissance- justifie les moyens-la machination du monde et des hommes-.

La méthode (« une incitation maximale », selon Gabriel Attal, la voix de son maître) rappelle, entre mille précédents, la suppression des cabines téléphoniques plaçant les réfractaires au téléphone portable devant un fait accompli intenable. Nulle loi ne vous oblige à acheter un portable, naturellement. On ne vous oblige pas, mais vous êtes obligés.

Depuis un an et demi, les barrières tombent. État d’urgence sanitaire ; gouvernement par décrets sur décisions à huis-clos du « conseil de défense sanitaire » ; atteintes à la législation nationale (autorisation de pose d’antennes-relais hors cadre règlementaire) et européenne (dérogation à certaines règles sur les essais cliniques et sur l’usage d’OGM pour les vaccins) ; atteinte au secret médical, création de fichiers de malades (SI-Dep), de cas contact (Contact Covid), de vaccinés (SI Vaccin Covid), intégrant des données personnelles de santé sans l’autorisation des personnes ; traque numérique via TousAntiCovid ; site « anti fake news » du gouvernement recommandant les médias officiels, sans oublier le déferlement des techniques manipulatoires du nudge, telle cette « autorisation de déplacement dérogatoire » assortie d’amendes.

Le mépris du peuple et de la démocratie est tel qu’entre mars 2020 et mars 2021, le Conseil d’État, saisi par des citoyens, des associations, des organisations professionnelles, a suspendu 51 mesures du gouvernement ou de collectivités locales. Interdiction de manifester, usage de drones par la police, de caméras thermiques dans les écoles, obligation de port du masque partout, interdiction de sorties des résidents d’Ehpad : si on les avait oubliées, ces décisions que le Conseil d’État a suspendues « pour préserver des libertés auxquelles il était porté une atteinte excessive » rappellent la pente sur laquelle la technocratie nous entraîne, dans sa volonté de tout contrôler, tout centraliser, tout asservir au primat de l’efficacité et de sa puissance.

Nul ne sait aujourd’hui comment le Conseil d’État jugera le projet de loi destiné à imposer la vaccination, sous le masque d’un « pass sanitaire » triant les bons et les mauvais citoyens. La Cnil elle-même, chambre d’enregistrement des atteintes aux libertés, s’émeut d’un risque « d’accoutumance » à ce tri. De fait, l’injonction à l’injection fonctionne. Entre les lamenti des représentants des cafés-restaurants et du monde de la culture, craignant pour leur chiffre d’affaires et les complications pratiques, plus d’un million de Français ont cédé en quelques heures. Les vacances, comme prévu, quitte à se plier à la contrainte. Qu’accepteront-ils la prochaine fois ?

Nous ne sommes pas contre la vaccination. Nous avons reçu notre lot d’injections depuis notre enfance et dans nos voyages. Et sans doute, la plupart des récalcitrants ne seraient pas opposés à la vaccination si l’industrie pharmaceutique et l’État qui la soutient n’avaient multiplié depuis des décennies ce qu’ils nomment des « scandales sanitaires », et qui sont en fait des crimes industriels (sang contaminé, Mediator, thalidomide, etc).

Nous sommes contre la contrainte, comme ce quadragénaire vacciné, qui refuse de présenter son « passeport » pour bénéficier d’un droit légitime. Ou comme cette patronne de bistrot, qui se fera vacciner « à contrecœur » mais pour qui « il est humainement impossible de refuser de servir un client, quel qu’il soit ». Que vaudra son humanité quand elle risquera 45 000 € d’amende et de la prison ferme ?

Les statisticiens et les organisateurs nous abreuvent de ratio « bénéfice/risque », quand nous, les humains, sentons que le recours à la vaccination relève d’un équilibre entre intimité et responsabilité, entre choix des modes de soin et solidarité collective, impliquant un rapport personnel à la maladie, à la mort et au vivant, et un regard critique sur la technoscience et l’industrie. Chacun doit y penser par lui-même et dans la confrontation des idées. La santé publique n’est pas le domaine réservé des biocrates ( cf biocrate.com)

Ainsi devrait-on discuter les causes des « maladies de civilisation » – de la civilisation industrielle – qui tuent infiniment plus que le coronavirus. Le Covid-19 a tué en France, à ce jour, 0,17 % de la population (111 000 personnes). Chaque année, le cancer tue 0,23 % des Français (plus de 150 000). L’État n’interdit ni les pesticides, ni les productions cancérigènes de l’industrie chimique et du nucléaire, ni les industries polluant l’air ; leurs industriels ne risquent ni la prison ni des amendes colossales. Il est plus facile de s’en prendre à des patrons de cafés ou de cinémas. La technocratie, dans sa folie de toute-puissance, détruit en même temps la nature et la liberté.

« Fuyez la manie ancienne des gouvernements de vouloir trop gouverner ; […] en un mot, rendez à la liberté individuelle tout ce qui n’appartient pas naturellement à l’autorité publique, et vous aurez laissé d’autant moins de prise à l’ambition et à l’arbitraire. » (Robespierre, le 10 mai 1793).

Quand la voix de la Terreur elle-même nous met en garde contre l’ambition et l’arbitraire, nous avons quelques raisons de l’entendre. Nous savons que cette « crise sanitaire » constitue un exercice pour la technocratie dirigeante : toutes les contraintes instituées ne disparaîtront pas, elles seront aggravées avec chaque nouvelle crise (climatique, écologique, sociale, etc.), de façon à lui fournir un confort de pilotage maximal.

Nous en appelons à tous pour maintenir nos engagements, nos réunions, notre vie civique, sociale, culturelle, de façon paisible et déterminée. Nous ne devons pas perdre ce que nos aïeux ont gagné en 1789.

Refusons le chantage et l’intimidation.
Renforçons notre immunité individuelle et collective,
luttons contre le virus de la contrainte.

Pièces & Main d’œuvre
Grenopolis, 14 juillet 2021.

Non à l’obligation vaccinale et au pass sanitaire !

Le Temple des consciences relaie cet appel qu’il vient de recevoir d’un collectif de la ville de Lons le Saunier qui s’insurge contre l’obligation vaccinale prochaine chez les professionnels de santé et l’usage obligatoire du pass sanitaire  pour accéder à de nombreux lieux de vie .

Cet appel souligne d’abord et principalement que ces mesures vaccinales ne sont  justifiées par aucune nécessité impérieuse de santé publique. ( Je rajoute que les tranches d’âges les plus élevées susceptibles de cas graves sont  largement vaccinées, actuellement 79% des plus de 65 ans et ces vaccins administrés protègent à plus de 90% des risques graves de covid.   Cette épidémie ne peut donc engendrer actuellement une mortalité ou des cas graves  massifs dans la population qui justifieraient ces mesures d’exception. Par ailleurs le pouvoir politique a rejeté  toutes les autres solutions médicales privilégiant sans raison claire la seule piste vaccinale).

Il y a donc une disproportion flagrante entre la prise de ces mesures coercitives et la réalité sanitaire. Le collectif s’insurge à juste titre contre le caractère liberticide de ces mesures pour l’instant limité à certains groupes professionnels  dans la perspective  sans doute d’une extension généralisée à toute la population.

Il rappelle qu’elles sont contraires à de nombreux textes de loi qui régissent en France et en Europe nos libertés fondamentales dans le domaine de la santé, base même de notre République et du fonctionnement de l’Europe.

Ainsi l’article 16-1 du code civil : « le corps humain est inviolable »

article R 4127-36 du code de santé publique :

« Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.

Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquence »

article L1111-4 de la loi du 4 mars 2002 :

Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas recevoir un traitement.

Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.

Convention d’Oviedo de 1997 Conseil de l’Europe-( extraits)

Les Parties à la présente Convention protègent l’être humain dans sa dignité et son identité et
garantissent à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses
autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la
médecine.
Chaque Partie prend dans son droit interne les mesures nécessaires pour donner effet aux dispositions de la présente Convention.

etc…

Le collectif rappelle que les vaccins disponibles sont toujours en phase 3 des essais ( par exemple jusqu’au 2 mai 2023 pou Pfizer et ne bénéficie de ce fait que d’une autorisation de mise sur le marché ( AMM) conditionnelle et souligne ainsi la distorsion entre les risques non encore bien mesurés et les obligations d’utiliser malgré tout ces vaccins dans le domaine de la santé.

Il rappelle aussi que ces autorisations sont prises après la révélation de nombreux scandales sanitaires des autorités de santé publique et parmi d’autres ceux-ci  :

l’affaire du sang contaminé 

l’affaire Médiator 

l’affaire de la thalidomine

etc…

Pour toutes ces raisons les mesures politiques liberticides  soumises au parlement sont disproportionnées  par rapport aux exigences sanitaires réelles. Elles expriment la force répressive d’un pouvoir qui  limite  nos libertés aux seules libertés de consommer.

Le collectif rappelle enfin que ces mesures sont mises en place  par un pouvoir qui représente moins de 20% du corps électoral -(premier tour présidentielle 2017.)

Pour lire l’appel du collectif :

 Non à l’obligation vaccinale et au pass sanitaire – déclaration du collectif de personnels de santé et autres citoyens de Lons le Saunier.

avis du défenseur des droits du 20 juillet 2021

La Fabrication du consentement vu du côté américain puis français

 

du côté américain  avec Noam Chomsky et Edward Herman :

sur Acrimed 28/11/2008

 

L’ouvrage de Noam Chomsky et Edward Herman, Manufacturing consent, vient de reparaître dans sa version intégrale sous le titre La fabrication du consentement : une nouvelle édition revue et actualisée, une nouvelle traduction [1] aux Editions Agone.

On lira ci-dessous, précédé d’une rapide présentation du livre, de très larges extraits (reproduits avec l’autorisation de l’éditeur) de l’analyse de l’un des filtres du « modèle de propagande » proposé par les auteurs : le filtre constitué par les sources d’information.

Présentation de l’éditeur

« Dans cet ouvrage, désormais un classique outre-Atlantique (1988, rééd. 2002), les auteurs présentent leur « modèle de propagande », véritable outil d’analyse et de compréhension de la manière dont fonctionnent les médias dominants. Ils font la lumière sur la tendance lourde à ne travailler que dans le cadre de limites définies et à relayer, pour l’essentiel, les informations fournies par les élites économiques et politiques, les amenant ainsi à participer plus ou moins consciemment à la mise en place d’une propagande idéologique destinée à servir les intérêts des mêmes élites.

En disséquant les traitements médiatiques réservés à divers événements ou phénomènes historiques et politiques (communisme et anticommunisme, conflits et révolutions en Amérique Latine, guerres du Vietnam et du Cambodge, entre autres), ils mettent à jour des facteurs structurels qu’ils considèrent comme seuls susceptibles de rendre compte des comportements systématiques des principaux médias et des modes de traitement qu’ils réservent à l’information.
Ces facteurs structurels dessinent une grille qui révèle presque à coup sûr comment l’inscription des entreprises médiatiques dans le cadre de l’économie de marché en fait la propriété d’individus ou d’entreprises dont l’intérêt est exclusivement de faire du profit ; et comment elles dépendent, d’un point de vue financier, de leurs clients annonceurs publicitaires et, du point de vue des sources d’information, des administrations publiques et des grands groupes industriels. »

du côté français avec Pierre Chazal sur Agoravox -14/12/2020

Dans un entretien donné au Monde diplomatique datant du mois d’août 2007, l’intellectuel américain Noam Chomsky répondait ainsi à une question sur le fonctionnement du contrôle de la pensée dans une société démocratique : « Dans les pays totalitaires, l’Etat décide de la ligne à suivre et chacun doit ensuite s’y conformer. Les sociétés démocratiques opèrent autrement. La ligne n’est jamais énoncée comme telle, elle est sous-entendue. On procède, en quelque sorte, au lavage de cerveaux en liberté. Et même les débats passionnés dans les grands médias se situent dans le cadre des paramètres implicites consentis, lesquels tiennent en lisière nombre de points de vue contraires. Le système de contrôle des sociétés démocratiques est fort efficace ; il instille la ligne directrice comme l’air qu’on respire. On ne s’en aperçoit pas, et on s’imagine parfois être en présence d’un débat particulièrement vigoureux. Au fond, c’est infiniment plus performant que les systèmes totalitaires. »

« Davos, le Forum économique mondial, travaille à l’intégration économique planétaire, mais dans le seul intérêt des financiers, des banques et des fonds de pension. Puissances qui contrôlent aussi les médias. C’est leur conception de l’intégration globale, mais au service des investisseurs. Les médias dominants considèrent que cette intégration est la seule qui mérite, en quelque sorte, l’appellation officielle de mondialisation. (…) Dans ce monde, il existe des institutions tyranniques, ce sont les grandes entreprises. C’est ce qu’il y a de plus proche des institutions totalitaires. Elles n’ont, pour ainsi dire, aucun compte à rendre au public, à la société ; elles agissent à la manière de prédateurs dont d’autres entreprises seraient les proies. Pour s’en défendre, les populations ne disposent que d’un seul instrument : l’Etat. Or ce n’est pas un bouclier très efficace car il est, en général, étroitement lié aux prédateurs. »

L’avantage d’une presse qui peine à vendre, c’est qu’elle n’a, du coup, plus de comptes à rendre à ses lecteurs. Si une feuille de chou comme Libération peut accuser coup sur coup neuf millions (2018) puis six millions (2019) d’euros de pertes sans mettre la clé sous la porte, c’est que sa survie économique ne dépend plus de son lectorat mais du bon vouloir de ses bailleurs, à savoir ici l’Etat (six millions et demi de subventions versées en 2017) et le groupe Altice (qui s’est engagé à éponger les cinquante millions d’euros de dettes du journal). Pour la petite histoire, son PDG Patrick Drahi qui possède également L’ExpressRMC et BFM TV a fait entrer son fidèle lieutenant Bernard Mourad dans l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron en octobre 2016 en guise de remerciement pour avoir donné le feu vert, en 2014, au rachat de Numéricable par SFR Presse dont le PDG deviendra dans la foulée… Bernard Mourad.

Le journal Le Monde, un peu moins mal en point, avait toutefois reçu en 2017 la bagatelle de cinq millions d’euros d’aides publiques. Au titre de son supplément Afrique, le quotidien a également perçu depuis 2014 quatre millions de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates, donations en constante progression année après année. L’effet Macron ? Invité sur RTL le 12 décembre 2017, le philanthrope américain saluait le leadership du nouveau président français dans la lutte contre le réchauffement climatique au moment même ou Trump retirait les USA de l’Accord de Paris. Reçu à l’Elysée le 17 avril 2018, le couple se réjouissait à nouveau « de la relation que nous avons et de notre engagement grandissant pour améliorer la situation des pays en voie de développement. »

Le tirage et les ventes du Parisien sont, bien évidemment, en chute libre depuis de nombreuses années, mais le titre a d’ores et déjà touché sa quote-part des 483 millions d’aides exceptionnelles de l’Etat au nom de « l’importance du pluralisme » voulu par le chef de l’Etat.

il s’agit de maintenir tout au long de l’année un bruit de fond informationnel suffisamment fourni et homogène pour que dès qu’une télé s’allume, qu’une page internet s’ouvre ou qu’un ami ait la mauvaise idée ramener Le PointL’Obs ou L’Express à la maison, le nouvel homme libre qui n’avait rien demandé à personne soit rattrapé par la machine.

On n’échappe jamais totalement à Big Brother. Quelque soit le chemin qu’on choisisse pour s’émanciper du monde virtuel bâti patiemment par les médias pour faire concurrence au réel, il arrive toujours un moment où l’attention se relâche, où l’on met le pied dans une flaque. Et alors, très vite, si l’on n’y prend pas garde, c’est la rechute immédiate, la plongée en apnée dans l’univers impitoyable du narratif médiatique.

Témoins et garants de la légitimité des ébats, les médias corrompus et subventionnés doivent quant-à-eux s’assurer que personne n’ait oublié son carton d’invitation et que les déplaisants qui voudraient gâcher la cérémonie soient marqués au fer rouge ou enfermés dans la cave. L’usine P4 du consentement, inaugurée il y a de nombreuses années déjà, tourne désormais à plein régime et produit des résultats (41% de sondages favorables à Macron, 40% de Français prêts à se faire vacciner) dont l’ex-URSS serait verte de jalousie. Pour reprendre les mots de Noam Chomsky : « Comment se fait-il que nous disposions d’autant d’informations, mais que nous sachions si peu ? » Eléments de réponse par quelques tactiques médiatiques éprouvées à l’efficacité reconnue, et que cette campagne de 2020 aura permis de pousser à leur paroxysme.

Pour lire l’article 

 

 

 

Covid -19 -coordination SANTE LIBRE – l’Appel du 9 janvier 2021

 

En introduction à cet article un appel du Dr Fouché

 

https://twitter.com/Infirmier0/status/1349480054980538370


 

 

 

La  coordination  SANTE LIBRE vient d’être lancée le 9 janvier 2021. Elle regroupe différents collectifs de médecins, de soignants et de scientifiques qui ne partagent pas la gestion de la crise sanitaire actuelle – actuellement 30 000 médecins et autant de personnels médicaux ainsi qu’environ 100 000 citoyens se regroupent en coordinations pour défendre la liberté de prescrire des médecins.

 Pour cette première conférence  devant la presse  ont participé :

Violaine Guerin : Présidente de la coordination, endocrinologue et gynécologue principalement connue pour sa lutte contre les violences sexuelles. Elle est fondatrice du mouvement « laissons les médecins prescrire »

Claire Delval  médecin généraliste, représentante du collectif Réinfo Covid

Claude Escarguel médecin microbiologiste

Gerard Guillaume , médecin rhumatologue, représentant du groupe « Bon sens »

Martine Wonner médecin psychiatre député LREM 4 ième circonscription Bas Rhin

Alain Houpert , médecin radiologue, sénateur LR de Côte d’OR

Eric Menard médecin spécialiste en homéopathie, gemmothérapie, aromathérapie

première résolution : création d’un conseil scientifique indépendant. Des informations plus précises seront fournies dans les jours à venir.

deuxième résolution : Martine Wonner expose qu’en tant que député elle a déposé un projet de résolution pour supprimer l’état d’urgence sanitaire. Nos libertés, notamment celles de circuler et d’entreprendre sont gravement atteintes. Par ailleurs en tant que psychiatre je mesure l’état sanitaire détérioré de la population du fait des restrictions de liberté.

troisième résolution : création d’une cellule stratégie thérapeutique en charge des recommandations à donner à la population.

quatrième résolution : création d’une cellule chiffres en relation avec des statisticiens et travail à partir des données de l’INSEE.

 

 

 

 

 

 

 

Voici une interview de Violaine Guerin à Radio Sud le 12 janvier 2021 :

 

Télécharger et soutenir le manifeste Liberté

Les médecins engagés 

Les Associations et collectifs signataires du manifeste 

 

 

comment diriger démocratiquement nos sociétés

 

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sur Babelio.com

Under_The_Moon   31 mars 2018

 

Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.

Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie.

Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle [volonté d’ ?] intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir (la proposition est dans le roman d’Aldous Huxley).

 

À quand le temps subversif du vif et des vivants !

un poème de CAMILLE LOTY MALEBRANCHE

à lire sur son site : http://intellection.over-blog.com/

Voici les temps du blême

Les hommes hagards

De la société terne de l’utilitaire

Ont rabroué rêves et passions

Dans la course à l’insipide 

 

Voici les temps du blême

Les temps de l’assouvissement compulsif des folies de règne

Par l’avoir qui sacrifie l’être,

Immole la vie à l’autel des vanités

Ô tellement vains conquérants

Qui séquestrent le monde

Mais ne savent se conquérir eux-mêmes!

 

Voici les temps du blême

Où les fleurs humaines

Blêmies par l’érosion des consciences

Sont gestuelles mortes sur la scène du non sens

Ah! Que d’abominations justifiées dans la gracieuseté des mots officiels!

Que de crimes dans le cours macabre de l’Achéron des idéologues!

Crimes financiers que l’économie orchestre

Pour la gloire lugubre d’insatiables coryphées avides sans état d’âme!

 

Voici les temps du blême

Le sens avachi, abâtardi

Se moque de la dignité

Traitée en pathologie

Dans l’espace iatrogène des royautés pathogènes

Qui gouvernent par infection politique sans souci de leur nocuité

 

Voici les temps du blême

Des humanoïdes qui traînent dans le même

Sans jamais oser refuser!

Misérables organismes anthropomorphes,

Blêmis jusqu’à l’automation compulsive

Réflexes organiques, choses serviles

Des superstructures effaceuses,

Qui ne leur laissent que l’objectale contagion du flagorneur,

Morne pulsion d’infrabestialité…

 

Voici les temps du blême

Le blême que la connivence des soumis,

Inflige immonde, à la dignité minoritaire

Des hommes restés Homme, mais victimes de la machinalité du nombre,

 

Le blême temps sévit par la diligence des foules larbines

Entités desséchées, artisanes inconscientes du royaume des spectres

Que mènent les Charons cupides

Qui fabriquent en leur sinistre jonglerie,

Un monde-dépouille  

Pour bâfrer et s’en gaver,

Exhibant éhontés et cruels, leurs crocs ironiques inassouvis de comptes!

Ah! Anthropocide dévoration économique de leur morsure pécuniaire!

Triste et blême temps où les ombres heureuses aux réflexes d’esclaves

Entretiennent et servent l’insipide esbroufe financière des monstres!

 

À quand le temps subversif du vif et des vivants!

À quand le temps qui fera mourir la mort

Pour faire un monde humain ! ?

Engageons une réflexion sur la mainmise des multinationales du net

Je vous propose aujourd’hui d’abandonner momentanément la lutte pour la défense d’Antoine Delcour, celle contre CETA et TAFTA c’est à dire celle contre les paradis fiscaux  et contre la toute puissance des multinationales dont on veut infliger la mainmise sur les Etats Européens pour  réfléchir sur Google, Facebook et autres géants du net … ces derniers d’ailleurs déjà souvent rachetés par les deux premiers.

Pour le faire, je vais donc utiliser …Google et me référer à Jean-Marc Dupuy – nom de scène du net diront certains mais qu’importe- que vous connaissez peut-être déjà par ailleurs.

Sa lettre est un cri d’alarme, un parmi d’autres, mais si construit et si important qu’il mérite de s’y arrêter… et de ne pas laisser tomber.

Je vous invite à lire l’intégralité de cette lettre ici sur son site et j’en reprends ci dessous les principaux extraits.

« La plupart des gens imaginent qu’Internet est gratuit et libre. C’est fini aujourd’hui.

Vous avez l’impression que recevoir mes emails est gratuit.

Mais ce n’est pas le cas.

Mon Gmail s’est bloqué quand j’ai atteint 300 inscrits à Santé Nature Innovation. A partir de là, j’ai été obligé d’utiliser un système de « routage » professionnel et j’ai dû commencer à payer, sans quoi mes envois n’arrivaient plus.

Aujourd’hui, je paye des milliers d’euros chaque année pour avoir le droit de continuer à envoyer mes messages.

Très peu de personnes s’en doutent. Mais le fait est que je n’ai pas le choix. Si je n’utilisais pas ces systèmes, je serais tout simplement condamné au silence par les quelques grandes entreprises qui contrôlent Internet : Google, Orange, Free, Yahoo, Apple, etc.

Ces entreprises font ce qu’elles veulent.

A tout moment, elles peuvent décider de « suspendre » votre compte.

Elles imposent de plus en plus de normes et de mots « interdits » ; j’ai dû embaucher un informaticien spécialisé. Sinon, mes messages ne partent plus, ils n’arrivent plus chez les destinataires.

En cas de blocage, vous n’avez légalement aucun moyen de savoir pourquoi, aucun recours.

 

Pas plus tard que la semaine dernière, plus de 200 000 lecteurs ont cessé de recevoir mes messages. La communication a été rétablie depuis mais cela peut s’arrêter à tout moment.

 

Les grandes firmes et les gouvernements sont en train de restreindre l’accès à Internet

Techniquement, il était impossible d’empêcher les gens de dire et faire ce qu’ils voulaient avec Internet. Vous pouviez envoyer n’importe quel message à qui vous vouliez, y compris vos chansons préférées, ou n’importe quel texte que vous trouviez utile ou intéressant.

Mais les choses ont changé.

En 1995 sont apparus Yahoo et Wanadoo (devenu Orange), en 1998 est apparu Google, en 1999 Free, en 2004 Facebook, en 2005 Youtube, en 2006 Twitter, entre autres « géants du Web » comme on les appelle aujourd’hui.

Les dirigeants de ces sociétés sont peu nombreux : une vingtaine, au niveau mondial.

Ils se connaissent tous, ils partagent la même vision du monde. Ils sont proches des gouvernements, que ce soit le gouvernement américain, russe, anglais, allemand, japonais ou chinois.

Ils sont obligés de collaborer avec eux car sinon, ils pourraient être interdits (comme ce fut le cas de Google en Chine en 2010 [1] ; depuis, on peut dire qu’ils ont bien compris la leçon). Des milliards sont en jeu, et ils ne plaisantent pas. ( c’est pourquoi il est si important de lutter contre CETA/TAFTA car après l’adoption ce sera fini : les états dépendront de ces multinationales  ou alors ils paieront cher ! Nous le paierons cher !note du Temple des Consciences)

Ces sociétés au départ, paraissaient sympathiques : grâce à elles, on pouvait accéder à Internet et à toutes sortes de services (recherche, courrier électronique) pour une somme dérisoire, souvent même gratuitement.

Mais ce qui devait arriver, arriva.

 

 

Le pouvoir politique s’en mêle

Comme toujours, tout a commencé avec une cause qui paraissait juste : des sites étaient accusés de violer les droits des musiciens en les privant de leurs droits d’auteur. Les autorités les ont interdits, comme le site Napster fermé en 2001. [2]

On nous a aussi parlé des pédophiles, des terroristes, des trafiquants d’arme, et de drogue…

Tout le monde a dit « d’accord » parce que, évidemment, nous aimons tous les musiciens, et personne n’aime les pédophiles, les terroristes et les trafiquants.

Nous avons dit « d’accord » alors que nous savions que 75 % des droits sur la musique collectés au niveau mondial sont partagés entre seulement quatre multinationales cotées à Wall Street (Sony, Universal Music Group, EMI et Warner Music Group), et vont toujours aux mêmes « artistes », qui ne sont pas les meilleurs.

Nous avons dit « d’accord » alors que nous savions très bien que ceux qui étaient vraiment décidés à contourner les règles, les mafieux, les terroristes, allaient toujours trouver le moyen de le faire.

Mais ça passait encore, c’était pour la bonne cause, pensions-nous.

En réalité, l’interdiction du partage gratuit de musique, films et autres contenus sur Internet n’a eu qu’une conséquence : livrer « pieds et poings liés » les Internautes au matraquage publicitaire auquel ils échappaient jusque-là sur Internet.

Quel rapport ?

C’est bien simple :

Tous les sites déclarés, officiels, doivent désormais payer des droits pour utiliser des contenus. Des amendes colossales et jusqu’à 70 ans de prison sont prévus pour les contrevenants. [4] Cela n’a pas tardé à stopper toute initiative hors système de « fric », devenues illégales.

Ils n’ont plus d’autre choix que de mettre partout des « bannières », « pop-ups », « Google Ads », et autres vignettes publicitaires « Outbrain », « Taboola », etc.

Mais avec ce système, 85 % du revenu publicitaire mondial sur Internet aboutit dans les poches de seulement deux entreprises : Google et Facebook.

Comment Google et Facebook gagnent de l’argent sur votre dos de façon détournée

Grâce à leur taille, Google et Facebook ont pu se lancer sans aucune limite dans ce qu’ils appellent pudiquement la « monétisation des données » de leurs utilisateurs.

Cela veut dire qu’ils enregistrent tout ce que vous faites quand vous êtes sur leurs sites, puis revendent ces informations à des sociétés qui souhaitent mieux vous cibler.

Concrètement, la conséquence est que dès que vous utilisez une quelconque de ces applications, tout que vous faites, lisez ou écrivez sur les sites des géants d’Internet est méthodiquement consigné par ces mêmes entreprises. Les données sont ensuite revendues ou exploitées pour vous matraquer sur votre écran, votre iPhone, votre boîte email, votre iPad, d’offres commerciales toujours plus agressives.

Si Internet était resté libre, ça ne se serait pas produit car les utilisateurs auraient naturellement arrêté de fréquenter les sites qui collectent leurs données privées pour les revendre et les assommer de publicités.

Mais ce n’est encore rien…

Le pire du pire

Le pire du pire est que les grandes sociétés Internet ont aussi secrètement mis à la disposition des Etats les données et communications de leurs utilisateurs, sous prétexte de lutte contre la délinquance et, bien entendu, contre le « terrorisme ».

Ce système d’espionnage généralisé a été dévoilé grâce à Edward Snowden, [7] entre autres « lanceurs d’alertes ». Mais la révélation au public n’a absolument rien changé. Tout continue comme avant, en s’amplifiant.

Bien entendu, ce système de flicage n’a pas empêché les sanglants attentats terroristes, les guerres, ni mis le moindre frein à l’islamisme, au trafic de drogue, d’armes (y compris nucléaires) et autres réseaux de prostitution et de pédophilie qui se portent mieux que jamais aujourd’hui.

Ceux qui en ont besoin savent parfaitement se servir des systèmes de cryptage des données qui leur permettent d’échapper à cette surveillance sur Internet.

En revanche, le citoyen innocent, qui ne se doute de rien, et qui n’a rien à se reprocher, qui ne prend donc aucune précaution pour se cacher, celui-ci n’a plus aucune vie véritablement privée. Il n’y a plus rien qu’il fasse et qui ne soit pas enregistré définitivement sur les serveurs de Google et autres qui tiennent les données à disposition des autorités.

Pourquoi tout le monde est concerné

Ce système d’espionnage et d’enregistrement informatique semble ne pas poser de problème au citoyen honnête.

Mais cela ne reste vrai que tant que les libertés publiques sont respectées.

Pour peu que s’instaure dans un pays un climat de crainte ou d’intolérance, que certaines opinions jusque-là communément admises deviennent des « délits » (plusieurs opinions sont récemment devenues des délits en France), le citoyen devient juridiquement et physiquement menacé.

Les exemples historiques ne manquent malheureusement pas, où des pays où régnait l’état de droit se transforment, suite à une succession d’événements malheureux et inattendus, en états policiers, où les opposants sont arrêtés et persécutés pour leurs opinions.

Nul ne sait quelles sont les opinions ou actions qui, du jour au lendemain, deviennent répréhensibles. Cela peut-être quelque chose qui nous paraît invraisemblable aujourd’hui.

….

Des plans existent déjà pour faire interdire sur Internet tout message jugé « non conforme » sur la santé : non conforme à ce qui disent les autorités, et à l’intérêt des grandes firmes pharmaceutiques.

Au nom bien sûr de « l’intérêt général », Google a déjà commencé à « désindexer », c’est-à-dire à supprimer des pages de recherche, les références des sites Internet comme le nôtre qui diffusent des informations alternatives, libres, sur la santé. [11]

Google s’est allié avec le plus grand réseau de médecine conventionnel aux Etats-Unis pour fournir directement à leurs utilisateurs les traitements agréés par la FDA (les autorités de Santé). Ainsi, si vous tapez « arthritis » (arthrose) sur Google aux Etats-Unis, tous les sites libres (comme Santé Nature Innovation) cessent d’apparaître. Vous n’avez plus accès sur la première page qu’aux solutions « validées » par les autorités, au détriment de toute solution naturelle.

Ce système sera étendu d’ici peu à l’Europe et au reste du monde.

Une censure pire que dans les états policiers

Ce système est pire encore que la censure qui s’exerce dans les pays totalitaires. En effet, chez nous, les utilisateurs imaginent qu’ils sont libres, et qu’ils ont accès à une diversité de sources. Ils ne se doutent pas qu’ils sont manipulés, et sont donc encore beaucoup plus vulnérables à la propagande.

Pourtant, l’absence de diversité d’opinion, et donc de liberté d’opinion sur les grands sites Internet, crève les yeux.

Vous vous en rendez déjà compte quand vous cherchez à suivre les simples actualités.

Que vous alliez sur Google News, Yahoo News, Apple News ou sur n’importe quel site d’information officiel, ce sont essentiellement des moteurs, des machines qui reproduisent à l’infini les mêmes dépêches officielles, provenant des grandes « agences de presse » contrôlées par les gouvernements.

Garder l’esprit critique

….

Vous savez que j’existe, que je cherche, que je vis, que je trouve (parfois) des choses, que j’ai des hauts et des bas. Et vous avez raison car en effet, je suis là, je suis un homme en chair et en os, avec mes qualités et mes défauts, mes espoirs et mes craintes, mes joies et mes peines, mes réussites et mes erreurs.

Vous gardez votre esprit critique et vous avez raison : c’est exactement ce qu’il faut faire ! C’est la base d’une relation saine.

Je ne prétends pas avoir raison sur tout. Je ne suis pas là pour obliger le monde entier à s’aligner sur un même système de pensée.

Au contraire, je considère que la vie ne vaut la peine d’être vécue que si l’on est au poste de pilotage de sa propre existence. Je pense qu’il est important que chacun se serve de son cerveau, dispose des moyens de faire des choix, sans se laisser dicter un comportement et des idées convenues par les puissants.

….

Si vous avez encore un instant et le goût d’ouvrir encore votre conscience aller lire cette page du Temple des Consciences :

Vers un monde transrationnel

 

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