Choix de conscience
Choix de vie
Choisis !
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En toute conscience et dans cette dimension, nous sommes à nous-même notre propre juge – Dès lors, sans aucun jugement radical vis à vis d’autrui, sans esprit dogmatique, sans aucune prétention à vouloir convaincre qui que ce soit – Surtout pas ! – Ce serait une piètre et si dérisoire illusion ! Mais simplement, tranquillement, poser un questionnement, lancer des réflexions qui n’engagent bien évidemment ici que leurs auteurs, présents ou passés. Ainsi que des témoignages pour information éventuelle, envers ceux qui peut-être, n’auraient pas eu l’occasion d’aborder cette autre façon de considérer la vie.
Où il est donc question d’un choix de vie, en toute conscience, sur la façon d’opter, ou non, pour une alimentation qui réduit ou supprime les aliments carnés. Pour parler clair, qui réduit ou rejette le fait de se nourrir d’animaux. Il n’y a là aucune agressivité, mais bien une évidence. Lorsque l’on tue – et je ne m’attarderais pas sur les méthodes souvent abominables – on fait cuire ensuite un morceau découpé d’un animal mort, que l‘on peut appeler viande, c’est bien un morceau de chair. Nous savons que ce terme de viande vient à l’origine, d’une expression du Moyen-Age qui désignait le « repas qui maintient la vie », et qui n’était composé bien souvent, à l’époque, que d’aliments d’origine végétale, et animale pour les rares produits laitiers et autres sous produits animaux. Même Rabelais parle de « viande exquise », lorsqu’il prépare des poires au sucre et au vin !
Effectivement, en ancien françois, « viande » signifiait ainsi – nourriture – Le terme d’origine : vivenda, signifiant en latin: « ce qui sert à la vie », soit les légumes, les céréales, les légumineuses et galettes, qui était le menu du quotidien, avec les produits laitiers pour ceux qui en avaient les moyens. La viande réservée le plus souvent aux riches seigneurs, et autres possédants, était, en tant que « chair animale », désignée par le vocable de la même famille : la carne. Qui donna bien sûr le terme de carnassier.
Et de fait, attesté au milieu du XIe siècle, le terme viande l’emportera donc sur la carne, dans le langage courant, et s’emploiera ainsi à l’instar du latin, pour qualifier tout ce que l’on mange.
Mais, comme il a été justement dit, dans un lointain passé :
« Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme, mais ce qui en sort» – dixit Mathieu, je crois ?
Soit – mais ce qui en sort, ne peut-il pas être aussi influencé, en une certaine mesure, par ce que l’on ingère ? Car – « Nous sommes ce que nous mangeons » (!) disait déjà Hippocrate, 460 ans avant J.-C.
Le simple exemple basique d’une mauvaise digestion qui peut effectivement rendre, soit quelque peu irritable, soit légèrement dépressif, si la qualité du met était douteuse, soit anxieux du fait d’un métabolisme perturbé – dans les cas extrêmes bien sûr. Des mets trop riches, voire trop arrosés etc. peuvent effectivement rendre la personne agressive, violente ou au contraire, indolente. Bref tout ce que l’on ingère agit, via notre métabolisme, sur notre état physique et notre psychisme, et de plus, il y aurait possiblement un autre type d’influence, mais plus « ésotérique » celle-là, et donc non reconnue par la science. Ce serait celle de ces champs vibratoires qui entourent et imprègnent le vivant, et dont les fréquences « perturbées », pour le moins, imbibent la chair de l’animal. Car la terreur, la panique et autres détresses sont ressenties par cet animal dans son parcours vers la mort, par abattage ou autre supplice. Et cela imprégnerait donc sa chair … en dehors du fait principal, que nous lui avons ôté la vie.
On peut ainsi s’interroger à ce sujet, sur le comportement de ces Porteurs de Lumière du lointain passé, à plus proche de nous, qui dans la majorité des cas, s’abstenaient de manger de la viande.
Ainsi,
Pourquoi Siddhârta Gautama ?
Pourquoi les Esséniens ?
Pourquoi Yeshoua ? Dans la version essénienne ?
Pourquoi Pythagoras ? Et les pythagoriciens ?
Pourquoi Apollonius de Thyane ?
Pourquoi les Cathares ?
Pourquoi le Mahatma Gandhi ?
Pourquoi une grande partie des Sages de l’Inde ?
Pourquoi la plupart des Mystiques Soufis ?
Pourquoi les Kabir ? Et les Rabindranath Tagore ?
Pourquoi tous ces grands esprits, plutôt venus en majorité d’orient, surtout au « début » de cette quête de l’Absolu, du moins, à ce que l’on en sait, mais aussi ces occidentaux – qu’ils soient Penseurs – Scientifiques – Philosophes – etc… avaient opté naturellement pour cette façon de se nourrir ? Ce que nous rappelle, sur un mode pour le moins « fortissimo », Marguerite Yourcenar : «Tout comme Zénon, il me déplaît de digérer des agonies » !
Tout est dit !
Petit tour d’horizon des réflexions sur ce sujet :
Leonardo DA VINCI :«J’ai rejeté la viande depuis très tôt dans mon enfance, et le temps viendra où les hommes, comme moi, regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent maintenant le meurtre de leurs semblables ».
Léon TOLSTOÏ : « Si l’homme cherche sérieusement et honnêtement la Voie de la Morale, la première des choses qu’il doit abandonner, est la consommation de viande »
PYTHAGORE : « Quel crime d’engloutir des entrailles dans ses entrailles, d’engraisser avidement son corps d’un autre corps, et de vivre de la mort d’un être vivant comme nous! »
Et bien sûr SOCRATE – PORPHYRE – PLUTARQUE – l’exubérant EMPÉDOCLE – Plus à l’orient, CONFUCIUS : «Quiconque a entendu les cris d’un animal que l’on tue, ne peut plus jamais manger de sa chair – Ne faîtes pas à autrui, ce que vous ne voudriez pas que l’on vous fasse » (déjà lu quelque part il me semble, mais ici, ça date de 2500 ans !)
Mais aussi :
Arthur SCHOPENHAUER : « Le monde n’est pas une chose, et les animaux ne sont pas des produits pour notre usage et notre consommation. Plus que la miséricorde, nous leur devons la justice »
Francis BACON – un peu excessif quand même ce cher Bacon : « Si vous étiez convaincus qu’en donnant de la viande à vos enfants, vous leur communiquez tous les vices, vous arrêteriez cette main malfaisante et vous aimeriez qu’elle se desséchât plutôt que de lui faire exécuter un tel acte » –
BOSSUET – Le théologien, évêque de Meaux : « Comme dernière conséquence du meurtre des animaux, le sang humain, abrutit, ne peut plus s’élever aux choses de l’Esprit »
Alphonse de LAMARTINE:« Ma mère en était convaincu et j’ai gardé à cet égard, ses convictions que tuer des animaux pour se nourrir de leur chair et de leur sang, est l’une des plus déplorables et des plus honteuses infirmités de la condition humaine. C’est une de ces malédictions jetées sur l’homme ».
MICHELET philosophe :« Le régime végétarien ne contribue pas pour peu de chose, à la pureté de l’âme – Spectacle étrange que de voir une mère donner à sa fille, qu’hier encore elle allaitait, cette grossière alimentation de viandes sanglantes » –
Thomas EDISON – Ingénieur américain inventeur de l’ampoule et du cinéma :«Je suis végétarien et anti-alcoolique – Ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau »
Georges-Bernard SHAW (Nobel de littérature) : « Tant que nous sommes nous-mêmes les tombeaux vivants d’animaux assassinés, comment pouvons-nous espérer des conditions de vie idéales sur cette Terre ? » …
etc.. etc…avec parfois des outrances dans la manière de dire les choses, mais souvent une réelle sincérité me semble-il.
Alors on ne va pas détailler pour ERMERSON – Albert. EINSTEIN – Georges SAND – Dr Albert SCHWEITZER – JJ ROUSSEAU – Jiddu KRISHNAMURTI – Lanza Del VASTO – Professeur Théodore MONOD…
Bref, pourquoi tous ces êtres, d’un certain niveau d’évolution pour la plupart, pourquoi refusèrent-ils de se nourrir de cadavres d’animaux ? Ou, pour certains, émirent-ils au moins une opinion plus que favorable envers cette option ?.
Cela m’avait toujours interpellé dès ma plus jeune adolescence, et pourtant je l’étais déjà végétarien, par mes parents disons à 90 %. Mais ensuite est arrivé le temps où l’on se pose réellement la question du « Pourquoi ? ». Pourquoi cette nature si grandiose, si harmonieuse par certains côtés, porte-t-elle en elle la survie des espèces, assez majoritairement, par le biais de la prédation et donc de la mort de l’autre? Ne sommes-nous alors qu’un simple animal prédateur, comme les autres animaux carnassiers, sur ce point de vue spécifique de la nourriture? Ou bien, la conscience du respect de la vie précisément, doit-elle faire la différence ?
En tant que jeune ado à l’époque, ce « pourquoi ? » m’interpellait souvent. Mes parents m’avaient transmis tout naturellement cette nourriture du potager de notre campagne picarde – (Neuilly Saint-Front n’était pas un village végan !) – sans doctrine, ni même grande réflexion à ce que je me souvienne. Oui c’était naturel. Mais plus tard je voulus approfondir un peu la question.
Tous ces personnages divers et variés, souvent avec une certaine grandeur d’âme pour beaucoup, sont-ils à classer dans la rubrique des végans fanatiques, des spécistes et autres dogmatiques parfois violents ! (ça n’existait pas encore à l’époque)
Aurions-nous alors le pouvoir de transmuer le cadavre animal ingéré, de « digérer ces agonies » comme le dit M. Yourcenar et les transmuer en effluves embaumantes et nourricières ? Mais ici, ce n’est qu’un problème de microbiote !
Serions-nous à ce point plus évolués ? Accepterions-nous de « souiller » ce Temple dans l’homme, qui nous a été offert pour cette existence ? Par ces « viandes consacrées aux idoles » de la société de consommation, ou souvent règnent l’avidité, le désir insatiable, et autres addictions ?
Car, selon des réflexions plusieurs fois entendues de la part de certains « spiritualistes », ceux-ci sont persuadés pouvoir « dépasser et compenser le caractère nocif du cadavre » en le « transmuant par la seule force spirituelle » dixit ! Un certain Dr. suisse, affirmait : se mettre en « fréquence requin » pour digérer la chair animale ! (dixit)
En dehors de toutes théories controversées du reste, sur la véritable nature de l’homme – à savoir – est-il par sa nature animale, un simple omnivore-carnassier pensant, et de par sa nature spirituelle, un végétarien conscient? Il y a vraisemblablement un choix, et donc celui-ci lui appartient.
Car ainsi, selon cette optique, l’on peut mieux comprendre le comportement de tous les « Porteurs de Lumière », mais aussi sur d’autres fréquences, de toutes ces belles âmes qui ont, à leur manière, participé à apporter un peu de lumière dans ce monde.
L’homme n’a-t-il pas souvent tendance à se donner bonne conscience lorsque l’on aborde ce sujet, en avalisant tout ce que proclament une bonne majorité de scientifiques, biologistes et autres. A savoir : « l’homme doit manger de la viande pour vivre ! » Alors que nombreux sont ceux qui vilipendent dans le même temps ces mêmes groupes de scientifiques, et parfois à juste raison. Mais alors, pourquoi donc leur donner raison précisément lorsque ceux-ci affirment que l’homme est un carnivore par nature ? Et par conscience ? On dit omnivore, (ça heurte moins la conscience), mais la consommation moyenne par ex. aux USA est de 120 kilos de viande par habitants et par an, et l’on tue ainsi 45 milliards d’animaux par année sur cette terre ! – Source INRA 1997). Depuis ça a dû changer à la hausse. Effectivement, en 2018, on parle de 1380 milliards d’animaux abattus chaque année de part le monde, pour la nourriture humaine !
Agissant ainsi, l’homme ne rechercherait-il pas plutôt de bonnes raisons pour poursuivre tranquillement son petit festin carné ? A sucer paisiblement ses os de poulet, à dévorer ses entrecôtes ?
Dans ces viandes il y a de la souffrance, de l’angoisse, de la mort imprégnée dans chaque molécule. Le champ d’information existant n’est pas à l’usage unique de notre intellect. Il serait partout dans la nature, et l’imprégnation des cellules en fait partie.
L’animal, lors de la mise à mort dans l’abattoir, est pétri d’angoisse et de terreur. Le veau, le bœuf, l’agneau, bref tout animal sent la mort de loin. Qui a pu voir ces animaux essayant de s’échapper d’un camion lors du débarquement, sur les parkings de l’abattoir ? Fous d’angoisse et de terreur à l’odeur de la mort qui les attend ? Ce n’est pas du sentimentalisme, c’est une prise de conscience devant la souffrance infligée par des humains, simples employés qui se sont sans doute comme « blindés» à la souffrance, à des créatures vivantes et sans défense. Capables d’éprouver des émotions, puisque étant doté comme les humains d’un corps astral comme l’on dit, et donc capables de pressentir l’angoisse de leur funeste destin aussi.
Choix de Conscience – Choix de Vie – Choisissons.
Patje SEKO
Catégorie : santé, alimentation et agriculture
KAREN KINGSTON, une ancienne employée de PFIZER lance une bombe et le Dr Jean Steven mène une enquête sur l’origine non naturelle du Covid 19
dernière mise à jour : 19 novembre 2022
Dans l’article qui suit, il y a beaucoup d’informations diverses et sourcées à propos des vaccins ARN messager et de l’origine artificielle du Sars COV 2.
Si vous êtes pressés, écoutez d’abord cette vidéo d’une ancienne employée de Pfizer devenue consultante pour les laboratoires pharmaceutiques avant de consacrer son temps à la lutte pour faire avancer la vérité cachée derrière l’immense mensonge planétaire relatif ici à l’ obligation vaccinale du Covid 19 ( n’oubliez jamais : plus c’est gros .. et plus ça passe. Pensez aux fausses preuves d’ armes de destruction massive en Irak présentées par Colin Powell d’abord chef d’état major des armées puis secrétaire d’état du gouvernement Bush)
lisez aussi ceci : Au cours des réunions annuelles du Forum de Davos, Yuval Harari répétait à l’envi combien il est simple de faire croire aux mensonges : “Si vous répétez un mensonge assez souvent, les gens penseront que c’est la vérité et plus le mensonge est gros, mieux c’est”, martelait-il lors d’une interview de l’émission TED, en février 2017. ( France Soir 19 avril 22)
Puis, vous allez à la fin de l’article, lire l’interview du Dr Jean Stevens, cardiologue qui a mené l’enquête sur le covid 19 et l’obligation vaccinale à propos de la sortie de son livre le 1/6/22 : “la pandémie du mensonge et de la peur”.
Avec plus de temps et d’attention, vous pourrez parcourir aussi les liens vers d’autres articles sur le sujet et parus sur ce blog. Vous découvrirez alors ce faisceau de révélations vers ce qui est le plus grand mensonge et la plus grande duperie de tous les temps. Sortis de ce sujet, mais forts de ce constat, vous comprendrez alors que tous les moyens technologiques, scientifiques et d’information sont déjà en place pour diriger le troupeau et l’application anti-covid a préparé le terrain.
Je vous conseille particulièrement ces deux liens relatifs à des révélations sur le sujet du graphène dans les vaccins ( plus précisément de l’hydroxyde de graphène ) et faites par deux chimistes européens :
celles du docteur en chimie espagnol Pablo Campa
celles du docteur en chimie autrichien spécialiste du graphène Andreas Noack
Les plus opposés à cet article, soit par intérêt parce qu’ils participent à guider le troupeau à leur profit , soit, les plus nombreux, par refus de reconnaître l’immense bévue qui les a conduit à tout gober, sans broncher et souvent aussi par peur .. puis à s’opposer de façon virulente à la minorité qui a battu le pavé, vont crier encore et encore au complotisme.
La minorité combative était regroupée autour de celle issue du monde médical qui a dit “non” et qui est devenue aujourd’hui le groupe des “ supendus”, suspendus entre un avenir à reconstruire et … rien, le néant, le “sans statut”, l’inexistant.
Après cet épisode violent juridiquement et socialement, le grand nombre est retourné à ses occupations, son travail, ses vacances, son petit confort… Mais la vérité devra surgir. Déjà, certains sachants de plateaux, certains communicants ou journalistes ont atténué leurs propos main stream voire changer d’avis. C’est un espoir !
On prêtait déjà au général de Gaulle cette phrase : “les Français sont des veaux” . Les choses ne se sont pas arrangées depuis et on pourrait juste remplacer “Français” par “humains“. … Le consommateur a remplacé le citoyen dans notre monde occidental et partout sur la planète, l’Homme est devenu un veau que l’on élève, nourrit, exploite de plus en plus comme un animal domestique dont on va tirer la substantifique moelle. Hors du monde occidental, les choses ne sont pas mieux …quand elles ne sont pas souvent bien pire !
Yuval Harari, le bras droit de Klaus Schwab, énonçait avec vigueur : “Nous voyons maintenant des systèmes de surveillance de masse, même dans les pays démocratiques qui, jusque-là, les avaient rejetés […]. Avant la surveillance était hors de notre corps, maintenant elle rentre dans notre corps.”
Yuval Harari allait jusqu’à déclarer que “Les humains sont désormais des animaux que l’on peut pirater.” Il explique que pour pirater un être humain, deux choses suffisent : “Beaucoup de puissance de calcul et beaucoup de données, plus particulièrement, des données biométriques.” (article France Soir)
Il n’y a que la révolte des consciences qui peut opposer un combat frontal à cette dérive planétaire de l’anéantissement de la dignité humaine. Cette révolte, formée autour de petits groupes épars, doit s’appuyer sur quelque chose de beaucoup plus profond et solide qu’un simple point de vue, fut-il porté à l’incandescence par et pour une idéologie.
En plaçant l’Homme comme point omega, la vision de l’humanisme libérateur de l’obscurantisme est parvenue paradoxalement aujourd’hui à en faire un esclave… qui se croit libre ! Nous sommes en train de passer de l’humanisme au transhumanisme avec l’aide et sous le contrôle de l’intelligence artificielle. L’épisode Covid 19 constitue une période charnière de basculement où les populations ont largement accepté par crainte et aussi par obligation cette nouvelle soumission technocratique et anti-démocratique menée au nom de l’intérêt collectif.
J’en appelle à la révolte des consciences, à retrouver en nous le divin ou quel que soit notre chemin, la transcendance, pour lutter contre l’anéantissement de l’homme par l’homme qui se met en place. J’en appelle à la révolte du peuple contre les élites qui veulent l’utiliser aujourd’hui en tant que mine d’extraction de richesses comme leurs prédécesseurs l’ont utilisé hier comme robot humain dans les usines.
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D’abord Karen KINGSTON
Elle déclare être actuellement analyste pour l’industrie pharmaceutique et le matériel médical. Elle dit être aussi analyste de la propriété intellectuelle, rédactrice scientifique et aussi analyste clinique.
Karen KINGSTON déclare travailler à plein temps depuis mai 2021 pour miFight ( dont le site est en cours de développement)après avoir été fondatrice et présidente durant 15 ans de Varitage où on peut lire que la structure est caratérisée de la façon suivante :
Des services vont de la planification commerciale stratégique et des communications cliniques à l'élaboration de plans de marketing numérique de grande envergure et de plateformes de commerce électronique. Les clients comprennent des leaders de l'industrie, tels que Pfizer et Medtronic, des start-ups et des sociétés de capital-risque de premier plan, telles que Johnson & Johnson Development
miFight est une plate-forme en ligne fournissant de la documentation et une analyse des problèmes de santé, des politiques et des « vaccins » liés au COVID-19. Les « vaccins » COVID-19 actuellement disponibles pour la population américaine sont tous classés dans la catégorie des contre-mesures médicales autorisées pour une utilisation d'urgence (EUA).
Depuis mai 2021, miFight travaille volontairement avec des avocats nationaux et mondiaux, des responsables gouvernementaux et des influenceurs clés en fournissant des données et une documentation irréfutables sur les conséquences néfastes connues des injections de COVID-19 par rapport au virus SARS-CoV-2. miFight présente des explications cliniques raisonnables et documentées des effets nocifs et parfois mortels des injections de COVID-19, où la FDA, le CDC et le système de santé n'ont pas fourni de réponses. La documentation présentée provient directement des fabricants de vaccins, ainsi que des documents de la FDA, des NIH, des CDC, du HHS, du DHS, du DOJ, du DOD et d'autres organisations gouvernementales.
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Puis des liens vers d’autres articles du blog sur le même sujet…
entretien sur France Soir – 25/9/22 : Jean-Marc Sabatier, directeur de recherches au CNRS à Marseille et Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, nous a accordé un entretien au sujet du Covid-19, de la vaccination, du pass vaccinal et de la politique sanitaire instaurée par les autorités. Depuis deux ans, il travaille particulièrement sur le SARS-CoV-2 et la Covid-19, en collaboration avec les deux responsables du laboratoire d’état de virologie de Wuhan en Chine.
Une infection au virus SARS-CoV-2 conduit à des anomalies de la coagulation du sang chez environ 15% des personnes infectées. Ces problèmes de coagulation sanguine peuvent également se retrouver chez des personnes non-infectées (au SARS-CoV-2), après une ou plusieurs injections vaccinales. Environ 70 à 80% des personnes atteintes de formes graves de la Covid-19 présentent des troubles de la coagulation.
Il apparaît alors possible que la protéine Spike produite ou contenue dans les vaccins anti-Covid-19 interagisse avec les globules rouges modifiant leurs propriétés et comportement.
Personnellement, je pense que dans le cas des effets observés après injections des vaccins anti-Covid-19, la protéine Spike vaccinale produite (vaccins à ARNm et à vecteurs viraux) ou existante (vaccins à virus inactivés et à protéine Spike recombinante) entrainerait la formation de « rouleaux » de globules rouges en s’adsorbant à la surface de ces cellules — via les glycophorines (glycophorine-A) — modifiant ainsi la charge électrique de surface et le potentiel Zêta membranaire (ce potentiel Zêta — correspondant à la différence entre les charges électriques situées à la surface des globules rouges et celles du nuage externe — permet normalement de repousser ces cellules les empêchant de s’agréger)
Le graphène est-il utilisé expérimentalement comme une plate-forme vaccinale dans les vaccins anti-Covid-19 à ARNm ? Nous devrions le savoir prochainement, notamment parce que la justice a été saisie dans plusieurs pays pour une étude approfondie de la composition de ces vaccins. Pour ma part, je n’ai à ce jour aucune certitude quant à la présence ou non de graphène ou d’oxyde de graphène (ou autre(s) dérivé(s) apparenté(s)) dans les vaccins à ARNm, mais je ne suis pas la personne la mieux informée dans le domaine… et il y a rarement de fumée sans feu.
Selon moi, le vrai problème lié aux multiples injections de ces pseudo-vaccins va être le potentiel fonctionnel altéré du sang de l’hôte. En effet, ces injections vaccinales répétées vont inévitablement conduire à une déficience du système immunitaire inné (immunité immédiate non spécifique) et, par voie de conséquence, à une déficience du système immunitaire adaptatif/acquis (immunité plus tardive d’environ 4 jours et spécifique de l’agent infectieux, ou autre), c’est-à-dire à une déficience généralisée du système immunitaire.
Evénements indésirables graves non signalés dans les essais cliniques de Pfizer – révélation de Brook Jackson qui a participé aux essais en tant que directrice médicale de Ventavia Research Group et de Christine Cotton, biostatisticienne, qui a, quant à elle, écrit une expertise méthodologique sur cet essai. ( témoignage 29 /9/22)
des nanoparticules dans les vaccins ( publié le 4 mai 2022)
Dans un article publié par Laurent Aventin, docteur en santé publique, l’auteur présente les recherches d’un scientifique espagnol Pablo Campra docteur en chimie et diplômé de biologie. Celui-ci a découvert sur des vaccins ARNm, pris au hasard, des objets contenus dans ceux-ci et qui sont soit des cristaux soit des ensembles de nanotechnologie. Ces objets ne figurent pas dans les brevets déposés. Il appelle la communauté scientifique à approfondir le sujet pour comprendre le but de cette présence à priori insolite.
Vaccins anti-Covid: une étude allemande rapporte des effets inquiétants sur le sang
« Les programmes de vaccination Covid-19 doivent cesser sur-le-champ ». C’est ainsi que s’achève un rapport allemand sur les effets néfastes des vaccins anti-Covid, rendu public le 6 juillet dernier sans qu’aucun média mainstream n’en fasse état.
Le résumé se compose de 70 pages (une dizaine de pages destinées au public général et 60 pages de documentation technique avec clichés, graphiques etc.) et constitue la version préliminaire d’une présentation « en évolution continue » où figurent les recherches et conclusions concernant les vaccins, leur impact sur le corps humain, et surtout, sur le sang. Le rapport est publié sous la responsabilité du physicien et astronome Dr Klaus Retzlaff, à Hecklingen, qui a accès à des laboratoires dotés d’équipements de pointe. Le Dr Retzlaff collabore avec les auteurs du rapport, groupe interdisciplinaire d’environ 60 spécialistes, réunis autour de l’association de type 1901 Aerzte fuer Aufklaerung (ÄfA, Médecins pour l’élucidation).
À la surprise des scientifiques, la présence des éléments métalliques suivants (dimension des particules : de 1 µm à 100 µm) a été détectée dans les doses d’AstraZeneca, de BioNTech/Pfizer et de Moderna :
– métaux alkalins : caesium (Cs), potassium (K),
– métaux alcalino-terreux : calcium (Ca), barium (Ba),
– métaux de transition : cobalt (Co), iron (Fe), chromium (Cr), titanium (Ti),
– métaux de terres rares : cerium (Ce), gadolinium (Gd),
– Groupe boron : aluminium (Al),
– Groupe carbone : silicon (Si) (en partie matériel du support /transparent),
– Groupe oxygène : sulphur (S)
En trois points, les chercheurs présentent leurs conclusions :
1. Dans tous les échantillons des doses de vaccins, sans exception, il a été trouvé des composants qui :
« – sont toxiques selon les recommandations médicales, dans les quantités présentes,
« – n’avaient pas été déclarées par les fabricants,
« – sont en leur majorité métalliques,
« – sont visibles en microscopie à fond noir comme étant des structures complexes et distinctives […]
« – ne sont qu’en partie explicables comme issus de la cristallisation ou de la décomposition,
« – ne peuvent être expliquées comme une contamination issue du processus de fabrication. »
voir aussi cet article : l’internet des objets bio-nano (extrait article publié en 2015)
L’Internet des objets (IoT) est devenu un sujet de recherche important au cours de la dernière décennie, où les choses se réfèrent à des machines et des objets interconnectés avec des capacités informatiques intégrées utilisées pour étendre Internet à de nombreux domaines d’application. Alors que la recherche et le développement se poursuivent pour les appareils IoT généraux, il existe de nombreux domaines d’application où de très petites choses dissimulables et non intrusives sont nécessaires.
Localisation des bio-capteurs dans le corps pour la détection d’anomalies via le positionnement inertiel et la communication par rétrodiffusion THz ( publié avril 2022)
Cet article présente un concept de localisation et de suivi pour les bionanocapteurs flottant dans la circulation sanguine humaine afin de détecter des anomalies dans le corps. Outre les capteurs à l’échelle nanométrique, le système proposé comprend également des nœuds d’ancrage à l’échelle macroscopique attachés à la peau de la personne surveillée.
modélisation de nano-capteurs pour les nano-réseaux intra-corporels ( publié juin 2021)
Dans ce travail, l’auteur a évalué la propagation des ondes électromagnétiques à l’intérieur des tissus humains tels que le sang, la peau et la graisse pour les couches à trajet unique et à trajets multiples selon les calculs de puissance de transmission des nano-capteurs.
sans oublier….
sur l’Usine Nouvelle -27/11/2020 – les explications d’Axel Kahn, généticien et spécialiste de l’éthique Axel Kahn, par ailleurs président de la Ligue contre le cancer.
Le scientifique rappelle notamment les différentes phases d’essais cliniques qui doivent être poursuivies avant de pouvoir être autorisées à commercialiser un vaccin.
le nouveau coronavirus 2019-nCoV contiendrait des traces d’outils génétiques ( 25 mars 2020)
le chercheur en génomique James Lyons-Weiler dans un article publié le 30 janvier 2020 : le code génétique de l’outil pShuttle se trouve dans le coronavirus qui circule dans la nature.
Un mémo révèle que le département d’État savait déjà début 2020 qu’une fuite de laboratoire était l’origine la plus probable du Covid
SARS COV 2 – aux origines du mal – le livre de Brice Perrier épisode 4(publié 5 mai 2021)
Brice Perrier est journaliste à Marianne où il est responsable de la rubrique scientifique. Il publie le 5 mai 2021 un livre qui fait le point sur la question fondamentale pour la science : comment le Covid-19 a-t-il contaminé les premiers humains ?
Le point sur les vaccins ARN -Dr Fouché (27/11/2020)
La vaccination à base d’acides nucléiques repose sur un processus complexe, où deux éléments doivent être pris en compte pour optimiser à la fois la production de l’immunogène et la stimulation de l’immunité innée créant un environnement propice à l’activation d’une réponse immune spécifique de l’immunogène. Les molécules d’ADN plasmidique et d’ARNm doivent respectivement transiter directement par le cytoplasme et par les endosomes des cellules cibles. Compte tenu de ces contraintes spatiales et des propriétés physico-chimiques différentes de l’ADN et des ARNm, deux systèmes synthétiques de délivrance différents ont été inventés, reposant respectivement sur des polymères amphiphiles en forme d’étoile et sur des lipides dérivés de sucres naturels.
le coup de force sanitaire : la technostructure jette le masque (20 juillet 2021) sur Pièce et Main d’oeuvre
Depuis un an et demi, les barrières tombent. État d’urgence sanitaire ; gouvernement par décrets sur décisions à huis-clos du « conseil de défense sanitaire » ; atteintes à la législation nationale (autorisation de pose d’antennes-relais hors cadre règlementaire) et européenne (dérogation à certaines règles sur les essais cliniques et sur l’usage d’OGM pour les vaccins) ; atteinte au secret médical, création de fichiers de malades (SI-Dep), de cas contact (Contact Covid), de vaccinés (SI Vaccin Covid), intégrant des données personnelles de santé sans l’autorisation des personnes ; traque numérique via TousAntiCovid ; site « anti fake news » du gouvernement recommandant les médias officiels, sans oublier le déferlement des techniques manipulatoires du nudge, telle cette « autorisation de déplacement dérogatoire » assortie d’amendes.
Un scientifique démontre que le COVID est un virus modifié artificiellement ! ( 4 novembre 2020)
Axandra Henrion Caude, généticienne, est interviewée sur Odysée (chaîne du Dr Peter EL BAZE)
Le lanceur d’alerte Dr. Andreas Noack, docteur en chimie autrichien renommé et expert du carbone et du graphène, est mort quelques heures seulement après avoir dénoncé les effets de l’adjuvant hydroxide de graphène, une nanotechnologie qui serait présente dans l’injection, expliquant que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, “comme des nano-lames de rasoir”.
Il affirme que cela pourrait expliquer pourquoi les athlètes meurent soudainement pendant les entraînements et les matchs, ou pourquoi certains meurent instantanément si l’adjuvant a été injecté dans la circulation sanguine plutôt que dans le muscle…
Cette semaine, entre le 23 et 26 novembre 2021, le Dr Noack a subit une “attaque furtive” après sa dernière vidéo, selon sa femme enceinte, et serait décédé peu de temps après d’une crise cardiaque.
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L’appel international d’Alexandra Henrion Caude, généticienne,
DÉCLARATION DE CRISE MÉDICALE INTERNATIONALE DUE AUX MALADIES ET DÉCÈS CO-LIÉS AUX « VACCINS COVID-19 »
Nous, médecins et scientifiques du monde entier, déclarons qu’il existe une crise médicale internationale due aux maladies et aux décès co-liés à l’administration de produits connus sous le nom de “vaccins COVID-19”.
Nous assistons actuellement à une surmortalité dans les pays où la majorité de la population a reçu les soi-disant « vaccins COVID-19 ». A ce jour, cette surmortalité n’a été ni suffisamment investiguée ni étudiée par les institutions sanitaires nationales et internationales.
Le grand nombre de morts subites chez des jeunes auparavant en bonne santé qui ont reçu ces « vaccins » est particulièrement préoccupant, tout comme l’incidence élevée de fausses couches et de décès périnataux qui n’ont pas fait l’objet d’enquêtes.
Un grand nombre d’effets secondaires indésirables, notamment des hospitalisations, des incapacités permanentes et des décès liés aux vaccins dits “COVID-19”, ont été officiellement signalés.
Le nombre enregistré n’a pas de précédent dans l’histoire mondiale de la vaccination.
En examinant les rapports sur le VAERS du CDC, le système de carte jaune du Royaume-Uni, le système australien de surveillance des événements indésirables, le système européen EudraVigilance et la base de données VigiAccess de l’OMS, à ce jour, il y a eu plus de 11 millions de rapports d’effets indésirables et plus de 70 000 décès co-liés à l’inoculation des produits dits “vaccins covid”.
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Pour terminer, le livre et l’interview du docteur Jean Stevens
1 juin 2022
Interview sur le site de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
Covid-19 : le virus avait-il une origine naturelle ? L’avis du Dr Jean Stevens
Le Dr Jean Stevens est médecin clinicien retraité. Il a une formation d’interniste [1] à l’Université de Louvain en Belgique. Il a aussi pratiqué la médecine générale pendant 7 ans. Lorsqu’il s’est établi en France, il n’a plus exercé que la cardiologie en privé.
Jean Stevens a écrit un livre intitulé La pandémie du mensonge et de la peur qui constitue une enquête sur la situation sanitaire que nous vivons depuis deux ans.
Pour lui, il y a eu une volonté manifeste de la part d’une partie des institutions sanitaires, du monde scientifique, des médias et des responsables politiques de cacher la vérité sur le SARS coV 2 et les risques réels liés à l’épidémie.
Je l’ai interviewé pour mieux comprendre comment ce médecin si sérieux en était arrivé à des conclusions aussi inquiétantes. Il nous explique son cheminement et sa vision de la crise sanitaire.
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Alertes Santé : Cher Jean Stevens, au moment où le coronavirus apparaît dans nos vies, comment perçois-tu l’arrivée de cette nouvelle épidémie ? Où en es-tu toi-même de ta vie professionnelle à ce moment-là ?
Jean Stevens : En 2020, j’étais retraité depuis deux ans. Et j’avais tourné la page. Je n’étais plus en accord avec ce système. Pour moi, la médecine vit une dérive technologique et la Science une forme d’impérialisme. La médecine est de moins en moins tournée vers l’humain et la clinique.
Quand j’ai appris ce qui se passait avec ce virus de Chine, et que j’ai vu la peur et tout le reste, je me suis dit : “ils nous refont le coup de H1N1. Ils exagèrent. Ce sont des alarmistes. C’est peut-être une grosse grippe mais ce n’est pas aussi grave que ce qu’ils disent. Et ils (Big Pharma) espèrent en profiter.”
J’étais déjà sensibilisé par l’histoire de la grippe H1N1 parce que cela avait été une manifeste « fausse pandémie ». À l’époque, ils avaient déclaré une pandémie mondiale. Ils avaient affolé tout le monde. On avait commandé 60 millions de vaccins en France. Au moment où on a voulu les administrer, on s’est rendu compte qu’il n’y avait plus d’épidémie. C’était terminé.
Si on va voir les travaux de la commission sénatoriale qui s’est mise en place après H1N1, (commission n°685) pour éclairer cette « fake pandemic », on voit que les sénateurs ont analysé tout ce qui s’était passé puis ont terminé par des recommandations.
Quand on lit les recommandations sénatoriales, on s’aperçoit que le gouvernement Macron a fait, dans l’épidémie du covid 19, tout le contraire.
- La première chose sur laquelle les sénateurs insistent est qu’il faut se méfier de Big Pharma parce qu’il crée chez les experts des conflits d’intérêts importants.
- Ensuite, ils disent qu’il faut inclure les médecins généralistes. On a fait exactement le contraire.
- Il faut bannir les campagnes anxiogènes. C’est ce qu’ils ont fait tout le temps.
- Il faut se méfier de l’OMS parce que l’OMS est percluse de conflits d’intérêts.
- Il faut se méfier des experts alarmistes. On a vu que des « experts » sur les plateaux TV.
- Il faut se méfier des modélisations mathématiques. Et c’est une évidence ! Ces modèles ont fait prendre des décisions stratégiques importantes alors qu’ils étaient complètement faux !
Et puis il faut éviter, à la fois les tests de masse qu’ ici on a multipliés par mille, et éviter les vaccinations de masse. On a fait exactement le contraire.
AS : Te souviens-tu exactement de ce que tu as ressenti au moment de l’annonce du premier confinement ?
Jean Stevens : En mars 2020, il y a eu deux allocutions du Président Macron
La première faisait suite à la déclaration par l’OMS d’une pandémie mondiale. Et donc il a fait un discours qui était encore assez solidaire : on va s’en sortir, ce n’est pas un gros problème et trois fois il a répété « quoi qu’il en coûte », etc. Cette phrase sympa est une folie sur le plan économique car la santé a un prix mais ça c’est un autre problème.
Puis, il a donné le 16 mars une nouvelle allocution où il a fait un virage à 180°. Ce qui s’est passé c’est qu’entre les deux, il a rencontré un épidémiologiste de l’Institut Pasteur ami de Neil Ferguson. Ce dernier est également épidémiologiste mais à Londres, à l’Impérial College.
Neil Ferguson est passé dans toutes les capitales européennes pour que tous les gouvernements imposent le confinement.
Ce Neil Ferguson a été la clef de toutes nos misères en quelque sorte. Mais il faut suivre dans le détail son parcours. On pourrait dire ses « faits d’armes ».
- En 2001, il y a eu une fièvre aphteuse bovine au Royaume-Uni. Il a fait abattre 11 millions de bovins.
- En 2002, éclate la crise de la vache folle, Neil Ferguson prévoit qu’il y aura 150 000 morts d’ici 2080. A ce jour, on compte 177 morts au Royaume-Uni et 223 dans le monde.
- En 2005, arrive la grippe aviaire H5N1, il prévoit cette fois 150 millions de morts dans le monde. En fait, il y en a eu 282.
- En 2009, pour l’épidémie H1N1, il prévoyait, au Royaume-Uni, 65 000 décès. Il y en a eu 457.
Donc, je dirais que l’on a choisi un charlatan alarmiste pour faire le tour des capitales de l’Europe et mettre le feu aux poudres.
Quand Emmanuel Macron a fini son allocution, je me suis levé de ma chaise et j’ai crié : “mais il est complètement fou !”
Que venait-il de dire ? Il a commencé par dire « On est en guerre ». Jamais un chef de gouvernement n’a déclaré une guerre à un microbe ou une maladie. C’est stupide du point de vue médical mais cela a permis aux responsables politiques de prendre le pouvoir à la place des médecins.
Ensuite il a lancé le confinement de toute la nation. Ce confinement est une première dans l’histoire de l’épidémiologie. Aucun article scientifique ne démontre l’utilité de cette mesure-là.
Après, il a dit aux médecins généralistes : “rentrez chez vous !”. On a exclu les médecins généralistes ! C’est une guerre où l’on dit à tous les fantassins, « N’y allez pas ! Rentrez chez vous ! Et surtout ne tirez pas une balle sur le vilain virus ».
Il a annoncé le “plan blanc” pour les hôpitaux. On supprimait toutes les opérations qui n’étaient pas urgentes. Il y a eu plein de chirurgiens qui se sont tournés les pouces durant plusieurs mois ! Cela a retardé des opérations urgentes, cela a retardé des suivis de cancers donc cela a fait des dégâts.
Dernier point : les masques. Là il a dit que c’était absolument inutile, que les masques on les gardait pour les soignants. Mais plus tard, quand ils ont trouvé un stock de masques, tout d’un coup, le masque est devenu obligatoire pour tout le monde ! Quelle mascarade !
En effet, il n’y a pas d’études qui démontrent l’utilité des masques, bien au contraire ! Il y a des études qui ont été faites et qui montrent que cela ne sert à rien pour les gens en bonne santé et non-soignants.
Donc il déclare la guerre à un virus que l’on ne connaît pas et il met en place une stratégie que personne n’avait jamais imaginée. Je m’attendais, après ce qu’il avait dit, à ce qu’il y ait une révolte des médecins généralistes et de l’Ordre des médecins.
En effet, le Président Macron marchait sur tous les principes de l’éthique de la médecine ! J’ai attendu une semaine puis deux, mais rien n’est venu. Il n’y a pas eu de révolte. En fait, il y a bien eu une révolte mais elle a été tuée dans l’œuf. Certains médecins se sont levés mais on les a fait taire très vite.
AS : Et la presse n’a rien dit ?
Jean Stevens : Non, rien. Non, ça n’a pas été raconté mais j’ai été au courant de réactions individuelles. Il y a des groupements qui ont été créés mais tout cela a été étouffé dans la presse. J’étais tellement révolté contre cette folie acceptée par mes confrères que j’ai décidé de ne plus m’intéresser à la pandémie.
AS : Quel a été l’élément déclencheur ? Quand as-tu décidé de te mettre sur un bureau pour rassembler tes idées et les mettre par écrit ?
Jean Stevens : C’est à cause du pass sanitaire. Je devais me rendre en Belgique.
Je n’étais pas chaud pour le vaccin parce que, pharmacologiquement parlant, c’était tout à fait nouveau. En plus, c’était une thérapie génique. Depuis 40 ans, ils n’avaient rien sorti de « vendable » et là soudainement dans l’urgence ils sortaient quelque chose soi-disant d’utile, sûr et efficace.
Avant de me faire vacciner, je me suis renseigné sur ce qui avait été publié. Je me souviens, par exemple, d’une étude du New England Journal of Medecine qui publiait un essai du vaccin Pfizer [3] :
- Efficacité : 95% ;
- Sécurité : « pas plus d’effet secondaire qu’avec les autres vaccins viraux ». D’après ce papier ce n’était donc pas pire que le vaccin contre la grippe.
Je me suis dit que j’avais été trop méfiant et comme je devais absolument me rendre en Belgique, je me suis fait vacciner.
La première vaccination est passée sans problème. Mais la deuxième ! J’ai vieilli de dix ans en dix jours ! Je me trouvais comme une chiffe molle. Je n’avais plus la force de remonter du fond du jardin à ma maison. Cela a duré trois mois et je ne suis toujours pas remis.
J’étais en contact avec ma famille. J’ai une sœur qui est infirmière. Son fils, 40 ans, a eu, 15 jours après sa vaccination, une rupture spontanée de l’artère pancréatique. Je n’ai jamais entendu un tel diagnostic de toute ma carrière. Sa fille ne faisait plus d’asthme depuis 10 ans, elle refait de l’asthme. Deux de mes ex-belles-sœurs ont fait un petit AVC dans les 15 jours qui suivent la vaccination. Une des amies de ma sœur a un fils de 15 ans qui fait une myocardite ; la fille d’autres amis fait au milieu de la nuit un ralentissement cardiaque. Elle faisait un bloc auriculo-ventriculaire. On a dû lui mettre un pacemaker. Une amie de ma sœur a fait une phlébite, une autre de ses connaissances a fait une embolie pulmonaire. Je me suis dit alors : « Ce n’est pas possible ! C’est une hécatombe ! » Rien de tout cela ne ressemble aux effets secondaires du vaccin de la grippe !
A ce moment-là, j’ai eu la très sale impression que « on nous mentait » mais je ne savais pas du tout qui était le “on”.
Et puis, dans ce “on” il me semblait que beaucoup de beau monde était impliqué, comme le monde scientifique parce que le New England Journal of Medicine m’avait menti.
Donc, avant de formuler une critique publique, je me suis dit: “il faut que j’affûte mes armes”. J’ai donc mené une enquête pendant les six mois qui ont suivi et j’ai réuni mes découvertes dans mon livre.
AS : L’une de tes hypothèses est que le virus a été créé en laboratoire. Peux-tu nous dire pourquoi ?
Jean Stevens : Au début de mon enquête, j’ai découvert une vidéo de Richard Flemming qui est un cardiologue interniste comme moi mais, lui, très connu. J’étais habitué à le voir s’adresser à 6000 cardiologues dans d’immenses congrès tenus dans des salles prestigieuses. Là, il parlait dans une espèce de salle paroissiale.
J’ai compris en le voyant qu’il était censuré et ostracisé. Il n’était pas le seul. Il y avait, dans la presse, une manœuvre de décrédibilisation des personnes les plus compétentes. Le point qu’il soutenait a d’emblée attiré mon attention. Pour lui ce virus sortait d’un laboratoire et était destiné à être une arme biologique. Il se serait échappé par erreur.
J’ai donc creusé cette piste et lu les articles de la controverse sur l’origine naturelle ou artificielle du virus.
J’ai vu que des virologues (français entre autres) étaient vent debout contre cette histoire d’origine naturelle. Je me suis rendu compte de la mauvaise foi complète de certains de ces scientifiques, notamment des Américains autour de Peter Daszak, qui ont sorti des articles dans les revues les plus prestigieuses en disant que l’hypothèse du « lab leak » (fuite du laboratoire) était le fait de « complotistes » et qu’il était « évident » que le virus était d’origine naturelle.[4]
Mais il n’y avait aucun argument valable qui venait étayer cette thèse.
AS : En quoi l’hypothèse du virus naturel ne tient pas la route ?
Jean Stevens : Il y a trois grands arguments contre l’hypothèse naturelle :
- Le premier est génétique. Il y a, à l’extrémité de la protéine spike, un petit insert très étonnant de quatre acides aminés codé par 12 (4×3) nucléotides dans la séquence génétique du SARS-CoV-2. Quand on la compare aux séquences génétiques des virus de ses plus proches cousins, des virus de chauve-souris du sud de la Chine, on s’aperçoit qu’il y a comme un « trou ». Il y a douze nucléotides qui sont présents dans le SARS-Cov-2 et qui ne sont présents chez aucun de ses cousins naturels. C’est un enfant sans parents.
En plus, deux des acides aminés sont codés avec des nucléotides très rares. Cela fait des raretés de rareté. Comment de tels nucléotides auraient-ils pu arriver là, exactement au même endroit par mutation aléatoire ?
C’est d’une probabilité statistique très très faible.
- Le deuxième argument est géographique. L’épidémie a commencé à Wuhan en Chine où se trouve le fleuron de la technologie chinoise : un laboratoire de virologie P4 (de haute sécurité) dans lequel la patronne, Shi Zengli, est l’une des plus grandes spécialistes du monde des virus de chauve-souris. Les scientifiques du milieu l’appellent “Batwoman”. Elle a travaillé avec Ralph Baric, un épidémiologiste de l’Université de Caroline du Nord, à la pointe de la recherche sur les gains de fonction et, lui aussi spécialiste de ces mêmes virus.
- Le troisième argument est psychologique et politique. Peter Daszak, grand argentier de la virologie aux USA, dont on a depuis appris qu’il travaillait également avec le laboratoire P4 de Wuhan, a réagi très vite après l’apparition du virus. Il a réuni dans une tribune 29 collègues virologues qui ont décrété que l’hypothèse d’un virus de laboratoire était une hypothèse « complotiste ». Son article était de mauvaise foi et ne reposait sur aucun argument scientifique.
Pour moi, son objectif était de cacher au monde un scandale qui aurait jeté le discrédit sur les virologues dont les programmes de recherche sont subventionnés par les fonds publics. Ni lui, ni ses collègues, ni les responsables politiques américains et chinois qui l’ont soutenu n’avaient envie que l’on sache qu’il existait à Wuhan un programme de recherche bactériologique à vocation militaire.
Et de fait, en 2018, Peter Daszak et Shi Zheng Li avaient fait une demande de subvention à la DARPA, une agence militaire américaine, pour financer un projet de recherche sur la protéine spike dans les virus de chauve-souris et les moyens de la modifier. Cette demande avait été refusée pour des raisons éthiques. En quittant les USA, Shi Zheng Li a très probablement repris le projet à Wuhan.
AS : Dans ton livre, tu prends le temps d’analyser ce mensonge originel et tout ce qui a suivi : les mensonges du gouvernement, la mise à l’écart des médecins généralistes, le rôle qu’ont joué l’OMS et la Fondation Bill et Melinda Gates. C’est une enquête que les lecteurs peuvent découvrir ici.
Merci Jean Stevens !
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Le 10 octobre 2022, deuxième audition au parlement européen des représentants de l’industrie pharmaceutique ayant travaillé sur les vaccins anti-covid-19
L’Union européenne a acheté pour 75 milliards d’euros au géant Pfizer.
La commission spéciale du Parlement européen sur le Covid a souhaité entendre les responsables des laboratoires ayant mis en place les vaccins et d’abord Albert Bourla PDG de Pfizer. En effet la a Cour des Comptes européenne n’a pas hésité à dénoncer les conditions anormales de négociation des contrats dans ses conclusions de son rapport publié sur ce sujet le 12 septembre 2022.
M. Bourla ne s’est pas déplacé et c’est Janine Small, présidente régionale de Pfizer, responsable du développement des marchés internationaux.
Sur la question de la composition des vaccins, Janine Small n’a apporté aucune information susceptible de satisfaire les eurodéputés. Également présent à l’audition, Franz Werner Haas, Président directeur général de CureVac qui a développé le vaccin avec Pfizer s’est contenté de répéter qu’en matière de sécurité, CureVac était très exigeant.
Virigine Joron (groupe Identité et démocratie) Française, Rassemblement national) a mis sur la table le coût des effets secondaires : dernier rapport de l’Agence de sécurité du médicament « qui a répertorié en France plus de 30 000 cas graves comme AVC, embolies pulmonaires et décès (…) tandis qu’au niveau européen, c’est plus de 900 000 effets secondaires dont 8 209 issues fatales »
L’eurodéputée Michelle Rivasi (Verts / Alliance libre européenne), n’a pas caché son mécontentement, n’hésitant pas à dénoncer « un simulacre de commission d’investigation ».
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22-10-2022 -Karen Kingston : le covid-19 n’est pas un virus c’est un parasite à intelligence artificielle
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nota : ce document de synthèse sur la face cachée des”vaccins” ARNm contre le Covid 19 a été adressé à de nombreux membres d’opposition de la commission des affaires sociales de l’Assemblé nationale, au Président et aux Vice-présidents de la commission des affaires sociales du Sénat avec l’espoir que des membres de ces commissions s’emparent du sujet pour aboutir à la création d’une commission d’enquête parlementaire sur le sujet de l’origine, du contenu exact des “vaccins” et de tous le problèmes qui gravitent autour. Un groupe parlementaire au parlement européen a également été saisi de ce problème sachant qu’ils ont déjà obtenu une commission d’enquêtes qui étudie les conditions de passation des marchés entre la commission européenne et les fournisseurs de ces “vaccins”.
Enfin cet article a été envoyé à de nombreux organes de presse essentiellement régionaux mais aussi quelques journaux ou magazines nationaux.
Je demande à chaque lecteur de cet article convaincu du besoin d’enquêter sur l’origine et le contenu exact des “vaccins” de partager cet article pour lui donner du poids à l’égard de nos décideurs politiques.
Suspendus …Des soignants entre deux mondes
“Quels ont été leurs doutes, leurs peurs et les réactions de leur institution et de leurs collègues ?”
Il ya quelques jours seulement je présentais le livre du collectif39 “les Oubliés paroles de suspendus “
Cette présentation s’inscrivait dans une suite d’articles consacrés au SRAS COV 2 et à certaines manifestations locales contre le pass sanitaire qu’on peut retrouver là à la rubrique santé.
Fabien Moine a présenté son film sur son site :
Le film est en accès libre sur Viméo et une participation volontaire sur Tipeee est laissée à l’appréciation de chacun.
Pour visionner le film Suspendus … des soignants entre deux mondes
Les Oubliés – paroles de soignants suspendus
(livre déposé dans certaines librairies locales -tarif 8€- ou à commander au comité Agir 39 : comiteagir39@gmail.com)
Les oubliés, c’est d’abord un livre de 17 témoignages en mémoire du combat mené dans le Jura par des soignants. Il est écrit d’octobre 2021 à janvier 2022.
Dans son introduction l’auteur écrit que dans ces témoignages il n’y a pas de haine mais bien sûr de la colère et beaucoup d’incompréhension.
Il n’y a pas non plus d’appel à la violence, ni d’insultes.
Alors, ces suspendus sont effectivement, au pays des libertés et des droits de l’homme, devenus des sous-citoyens alors qu’il y a dix-huit mois c’étaient les héros du moment.
Comment une société a -t-elle pu perdre ses repères aussi rapidement et jusqu’où peut-elle encore se déliter , s’auto-détruire ?
Ils vivent depuis des mois en marge, humiliés, insultés ( j’ajouterai y compris dans de nombreux médias ) sans travail, sans salaire, sans aides, sans droit à formation pour une réorientation et sans même retrouver du travail car non licenciés… Ils sont juste suspendus.
Ils ont battu le pavé chaque samedi pendant plus de trente semaines, plus de 7 mois ! pour alerter, s’expliquer, convaincre.
Comment, dans une société du vivre ensemble, a-t-on pu basculer dans celle du contrôle, du masque, du pass, de l’injection obligatoire ; du flicage des citoyens entre eux ?
Ce livre, c’est d’abord les paroles, les mots, les formules de ces braves qui ont refusé la soumission à des ordres contradictoires et changeants. Ces ordres, appuyés sur des données scientifiques insuffisantes seront pourtant mondialement appliqués avec plus ou moins de zèle.
Il y a aussi dans ces témoignages le constat du long délitement de l’hôpital public, les postes non remplacés, les lits fermés, la fatigue et le stress, les burn-out et les arrêts maladie.
Ces soignants expliquent pourquoi ils refusent l’injection de ce qu’ils contestent être un “vaccin”. Ils diront aussi pourquoi il est inutile et dément de faire ce “vaccin” aux enfants.
Dans les médias, nombreux intervenants les ont immédiatement traités de complotistes et d’antivax, deux mots choisis pour les anéantir médiatiquement et refuser ainsi d’entrer dans le dialogue sur le fond du sujet. Pourtant, ces soignants avaient tous eu jusqu’ici leurs vaccins et ils ne refusaient pas aux autres le droit de se faire vacciner, respectant aussi leur choix comme ils demandaient qu’on respecte le leur.
Ils voient et dénoncent un monde en proie à la démence et au mirage du tout sécuritaire.
Ils n’attendent pas non plus le grand soir … et les lendemains qui chantent. Ils veulent juste le respect des droits fondamentaux et notamment celui de disposer du choix des moyens de se soigner.
Et Armand Spicher qui a écrit cette introduction, conclut : “ce sont de belles personnes. Des êtres humains au sens plein du terme“
Moi qui écris cet article, ayant ma fille qui fait partie de celles et ceux qui ont dit non et qui aujourd’hui encore est suspendue, je suis fier aujourd’hui de son “non”: non d’abord à la peur qui a submergé la population, non à la soumission à des ordres non fondés scientifiquement, non à une gouvernance mondiale technocratique, dirigée essentiellement par l’intérêt de l’argent et du pouvoir des laboratoires et des sphères qui gravitent autour… Mais en tant que père, j’ai aussi et de ce fait, de l’inquiétude pour son avenir.
Avant de laisser la parole aux suspendus, le livre s’ouvre sur quelques chiffres dont ceux-ci :
5700 lits supprimés depuis le début de la crise covid.
30% des jeunes infirmiers abandonnent dans les 5 ans.
67% des soignants se disent en situation d’épuisement.
L’espérance de vie pour une infirmière est de 78 ans contre 85 pour les françaises.
30% des aides -soignantes et 20% des infirmières partent en retraite avec un taux d’invalidité.
Arrivent alors les témoignages qui s’ouvrent à la lettre A … A comme avocat des soignants suspendus.
Cet avocat s’interroge d’abord de ce qu’il restera de ces luttes dans 10, 15 ou 100 ans, de ces carrières cassées…
Il dit l’hébétude totale et l’angoisse non moins grande des avocats devant la démolition de l’ordre juridique et des normes applicables. Il dit aussi que ces heures de lutte lui ont permis de comprendre que la santé publique est désormais le sésame liberticide qui ouvre toutes les portes de l’absurde d’une société aseptisée.
Il estime qu’il a manqué, à tant de niveaux dans la société, le courage de dire non et aussi le droit d’écouter vraiment et sincèrement.
Il dit enfin, qu’à travers quelques décisions de justice, se lèvent tout de même un espoir sur le plan juridique.
Le livre s’ouvre alors sur les témoignages personnels à découvrir …
On y rencontre :
- B… 42 ans, mariée, deux enfants , opticienne optométriste en cabinet privé, vaccinée contre son gré. Elle a commencé médecine puis arrêté après le décès de son papa agriculteur. Reconversion en BTS optique. Son patron lui dit : “soit vous vous vaccinez, soit c’est la mise à pied”.
- C… 47 ans, aide-soignante en gynécologie, 28 ans de carrière, mariée, trois enfants. Vaccinée. Arrêtée pour burn-out. Attirée par l’humain elle commence ASH ( agent de service hospitalier) et travaille d’abord dans un grand hôpital de Savoie… où elle découvre qu’il n’y avait aucun moyen.
- D…34 ans, médecin depuis 5 ans exerçant à l’hôpital, célibataire. Il fait partie d’une petite équipe mobile de soins palliatifs. Il dit que ce qui le gêne ce n’est pas la vaccination, c’est son obligation qui va à l’encontre de l’éthique et du droit des patients. Il a soldé ses congés et a été suspendu le 29 septembre. Il dit aussi que la médecine telle qu’elle est devenue n’est pas sa médecine, ce n’est pas son monde et sa conception de la relation avec les patients.
- E…, 48 ans, technicienne DIM ( département de l’information médicale où on codifie tous les séjours et où on envoie les données à l’ARS), 26 ans de carrière, divorcée, un enfant. En arrêt maladie. Elle a travaillé pendant 7 ans comme ASH en hôpital et clinique avant de revenir au centre hospitalier en 2002 et découvrir de multiples services : médecine, cancérologie, maison de retraite, longs séjours, chirurgie…Elle ne supporte plus ce travail.
- F…, 59 ans, marié, médecin hospitalier, exerce depuis 30 ans, deux enfants. Il a fait ses études de médecine en tant qu’élève officier à l’école du Service de Santé des Armées de Lyon. Il voulait prendre soin des gens et il a découvert cette ouverture dans le service des soins palliatifs. L”obligation vaccinale lui a posé un gros problème et donc pour lui ce fut un refus catégorique.
- G…; 58 ans, aide-soignante de nuit en soins intensifs, 30 ans de carrière, divorcée, deux enfants. En arrêt maladie. Ayant du mal à travailler en équipe elle a choisi le travail de nuit. Elle dit que les médecins abordent aujourd’hui le soin comme un produit qu’on vend et le personnel, lui, baisse les bras. Elle a été arrêtée le 14 septembre et reconduite chaque mois avec un diagnostic de dépression latente chronique. Elle a demandé sa retraite pour le 1er mai.
- H…47 ans, 8 ans de carrière, agent hospitalier, il a mesuré la dose d’hypocrisie autour de lui au moment de la vaccination obligatoire.
- I …, 58 ans, technicienne de laboratoire, 37 ans de carrière, mariée, deux enfants. Suspendue. Attirée par la technique pour soigner les malades. Depuis 15 ans elle estime qu’on n’a plus le temps de travailler correctement et de s’occuper des malades. Elle n’a été suspendue que le 1 er décembre.
- J…, 26 ans, service de soins de suite et réadaptation (SSR) en hôpital depuis trois ans et demi, en couple sans enfant. Vaccinée contre son gré le 6 octobre, a repris le travail fin octobre. Elle redoutait les maladies auto-immunes. Elle a fait une infection pulmonaire et des crises d’asthme une semaine après l’injection.Son époux a perdu son travail ne voulant pas se faire vacciner. Elle a donc cédé à la vaccination mais est essoufflée pour un rien et épuisée.
- K…, aide-soignante en gériatrie depuis 25 ans, célibataire. Elle dit la grande solitude de la plupart de ces patients et aussi souvent leurs souffrances.
- L…, sage-femme en hôpital depuis 23 ans, avec les 3/4 de son temps en salle d’accouchement, mariée, deux garçons. On lui dit que le refus du vaccin est son choix. Pour elle la vaccination est la goutte d’eau qui lui fait prendre conscience qu’on tue l’hôpital public pas rentable.
- M…, manipulatrice radio depuis 30 ans, divorcée, une fille de 15 ans et un fils de 25 ans. Depuis 10 ans elle dit être dégoûtée de la façon dont sont traités les gens dans son service.
- N…, 41 ans, manipulateur radio puis kiné, divorcé, deux enfants, 17 ans de carrière. Il refuse la vaccination obligatoire.
- O…, 48 ans, 26 ans au service logistique ( tout ce qui entre et sort de l’hôpital hors médicaments), deux enfants de 22 et 18 ans. Suspendu. Syndicaliste, il estime que si on avait tenu bon quand on était 300 à refuser le vaccin au niveau local il y avait de l’espoir car la Direction n’aurait pu l’imposer.
- P…, aide-soignante depuis 18 ans, travaille en oncologie à 90%, mariée, deux enfants. Est actuellement arrêtée pour accident du travail.
- Q…, 43 ans, aide-soignante dans différents services et diverses structures depuis 16 ans, en couple. Elle a d’abord travaillé en hôpital et depuis la pression au travail survenue en 2007-2008, elle a fait un burn-out. Réorientée en structure médico-sociale (semi-associative) pour s’occuper des polyhandicapés elle refait un deuxième burn-out en 2010 face au manque de moyens et la détresse des familles.
Ces témoignages révèlent une énorme souffrance et un gâchis social sans précédent et pourtant ils sont lumineux de force et d’espérance .
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Le livre évoque ensuite l’histoire de l’épidémie :
Depuis mars 2020, un état de panique est mis en place avec notamment cette déclaration d’Emmanuel Macron le 16 mars 2020 au journal les Echos : “Nous sommes en guerre , en guerre sanitaire certes, mais l’ennemi est là, insaisissable et qui progresse.“
Tweet d’Olivier Véran ministre de la santé le 23 mai 2020 : ” Suite à la publication dans the Lancet d’une étude alertant sur l’inefficacité et les risques de certains traitements de la Covid 19 dont l’hydroxychloroquine, j’ai saisi le HCSP( haut conseil de la santé publique) pour qu’il analyse et me propose sous 48 heures une révision des règles dérogatoires de prescription. “
Ce fut ensuite le Lancetgate – cf article du Monde du 15 juin 2020 avec rétractation de l’article dans The Lancet… mais la position gouvernementale ne changera pas après la publication des fausses études scientifiques !
Voici un passage de l’article du Monde qui permet de comprendre rapidement :
Quelle sera la place de Sapan Desai, ce médecin et entrepreneur américain, fondateur d’une obscure société, au panthéon de l’inconduite scientifique ? Devra-t-on le classer au rayon des fraudeurs patentés, ou plutôt à celui des arrivistes aux données frelatées ? A la tête de sa société il est en tout cas parvenu, en quelques semaines, à cosigner des études sur le Covid-19 dans deux des plus prestigieuses revues médicales – le New England Journal of Medicine (NEJM) puis The Lancet – fondées sur des données de santé qu’il dit avoir collectées auprès d’hôpitaux du monde entier. Et ainsi à infléchir la politique sanitaire d’un pays comme la France – qui a abrogé l’usage de l’hydroxychloroquine contre le nouveau coronavirus –, et à faire suspendre des essais cliniques internationaux sur cette molécule, au plus fort d’une pandémie mondiale. Avant de choir de ce piédestal, ses données mises en cause, sa réputation en pièces et ses articles rétractés.
Et pourtant … les traitements pour les personnes atteintes existent et on les connaissait dès le début 2020. Les médecins généralistes qui les utilisaient témoignent de leur efficacité si elles sont appliquées tôt dans le processus d’évolution du Covid :
- l’hydroxychlorochine +azithromicine : cf article du 27/05/2020 sur academic.oup.com
- L’ivermectine : communiqué de presse Institut Pasteur du 12/7/2021
- 2 familles d’antibiotiques bactéricides et virucides avec l’azitromycine par exemple.
- Enfin, vitamine D et Zinc participent au maintien d’une immunité efficace et au rétablissement des malades.
Pour l’année 2020, on a constaté une surmortalité de 55 000 cas alors que les décès Covid déclarés auraient été de 68 000. Quel est alors le nombre des vrais décès Covid ?
Par ailleurs, les vaccins sont encore en phase expérimentale : la phase III des vaccins Pfizer-Bio N Tech et Moderna a été lancée en juillet 2020. Elle devrait se poursuivre jusqu’à l’automne 2022 pour le premier et printemps 2023 pour le second (voir le site de l’Inserm ). Il est précisé qu’il faut près de 15 ans pour qu’une molécule d’intérêt thérapeutique devienne un “vrai médicament”(la phase III est la phase finale avant la mise sur le marché. Elle permet d’évaluer l’efficacité du médicament sur une cohorte de patients plus importante : de quelques centaines en cas de cancer, à des milliers pour des maladies très fréquentes comme l’hypertension)
Il s’agit surtout et aussi de “vaccins” innovants et transgressifs. Un véritable vaccin est un élément étranger capable d’induire une réponse immunitaire sans provoquer de maladie et qui crée une mémoire pour de nombreuses années. Tout autre sont les injections géniques ( ARN ou ADN) comportant entre autre un gène modifié de la protéine Spike. Mais quelles cellules vont utiliser ces molécules inoculées ? Quelles sont les conséquences sur l’organisme ( risques de maladies auto-immunes par exemple). Quels sont les risques de rétrotranscription de l’ARN en ADN et intégration de ce dernier dans le génome humain. cf mdpi.com : université de Lund en Suède, 18 janvier 2022 qui montre que cette rétrotranscription est constatée. (Les connaissances sont alors résumées par le « dogme central » énoncé par Francis H. C. Crick, qui veut que l’information aille uniquement de l’ADN (acide désoxyribonucléique) à l’ARN (acide ribonucléique), puis de l’ARN à la protéine. Le passage inverse des protéines à l’ARN puis à l’ADN est d’autant plus exclu que, s’il existait, il pourrait rendre compte de la capacité de codage d’un nouveau caractère par le génome. Pourtant, en étudiant le mécanisme de réplication de certains virus ayant un matériel génétique formé d’ARN, les Américains Howard Temin (1934-1994) et David Baltimore (né en 1938) isolent, en 1970, une enzyme baptisée transcriptase inverse (reverse transcriptase en anglais), capable de synthétiser de l’ADN à partir de l’ARN (ce que l’on appelle la rétrotranscription). Le dogme central de la biologie moléculaire est bousculé, ce qui est très mal pris dans un premier temps, avant que ce processus ne soit vérifié et accepté)
Ces injections laissent beaucoup trop d’incertitudes sur la fiabilité dans le temps et constituent un saut dans l’inconnu génétique et sanitaire.
Les effets secondaires consécutifs à ces “vaccins” sont de loin les plus dangereux et les plus nombreux de toute l’histoire de la vaccination. cf données CDC , VAERS
Le livre se poursuit par une quarantaine de références à des articles scientifiques et des médias qui justifient le combat mené par ces révoltés devant la réalité des faits scientifiques observés.
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Sur ce site, j’ai déjà publié plusieurs articles sur l’origine du SARS Cov 2, les manifestations locales contre le pass sanitaire avec chaque fois des rappels sur les doutes qui résultent des décisions prises par les autorités de santé. Ils sont consultables dans la catégorie des articles relatifs à la santé – cf là
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Pour aller plus loin, après HOLD ON et HOLD UP voici le film HOLD OUT
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Et pour terminer malgré tout, en chanson …
“DANSER ENCORE” – Flashmob – Gare du Nord – 4 Mars 2021
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MON DOCUMENTAIRE SUR LES SOIGNANTS SUSPENDUS
par Fabien Moine
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Un lien vers le site soignants-suspendus.fr
Ma rencontre avec une barreuse de feu
Il y a un an, après un examen sanguin de routine suivi d’une biopsie, les médecins me détectent un cancer de forme agressive. Ceux-ci me proposent alors quarante séances de radiothérapie accompagnées d’autres soins. J’entre alors dans un des nombreux parcours médicaux de suivi des cancers.
L’article qui suit a d’abord pour objet de dire publiquement un immense merci à Annie qui barre les brûlures et qui m’a accompagné dans ce processus de soins. Il a aussi pour objet de témoigner auprès de tous de l’efficacité de ses interventions. J’ajoute que si vous ou une de vos connaissances se trouve confrontée à ce type de problème, vous ou celle-ci pouvez me joindre à partir de l’onglet “contact” sur la page d’accueil du site afin que je vous communique les coordonnées d’Annie. Je rentrerai ainsi indirectement dans la chaîne d’aide à des personnes qui font face à ce type de traitement.
Cet article est aussi l’occasion pour moi avec cette diffusion de dire que je poursuis mon message pour aider à sortir du matérialisme étroit de notre société. Ce dernier a envahi notre monde et l’a réduit à sa seule dimension rationnelle. Sans rejeter celle-ci, j’ouvre ainsi sur ce site et depuis plus de dix ans, des portes vers d’autres ailleurs qui nous conduisent à divers domaines de ce que j’appelle la transrationalité – cf là -.
Ces portes m’ont amené récemment à ouvrir un nouveau blog qui s’intéressera à l’ABSOLU .
Je profite aussi de ce moment pour remercier les amis qui m’ont aidé en me conseillant de m’entourer de l’assistance d’un barreur de feu pour mieux supporter les séances de radiothérapie et qui m’ont donné alors plusieurs adresses. Je pense ici en priorité à Mauricette qui m’a donné celle d’Annie. Je remercie aussi celles et ceux qui professionnellement m’ont accompagné avec humanité dans ce parcours de soins.
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Annie travaille à partir d’une photo, les autres propositions concernaient un travail à distance par téléphone. Mais, sans douter de l’efficacité de ces recours, je décide d’abord de m’en passer, craignant que ces interventions puissent avoir un effet réducteur sur le traitement envisagé.
Le médecin oncologue m’avertit que sur les huit semaines de traitement quotidien hors week-end, les six premières se passent généralement bien pour tous et que les effets secondaires dus à des brûlures sur d’autres organes apparaissent de façon exponentielle au cours des deux dernières et chez certains patients seulement.
Les premières séances se révèlent être sans effets secondaires mais très rapidement je ressens une gêne à proximité de la zone traitée et qui occasionne un début de douleur persistante. Ma décision de recourir à l’aide d’Annie est immédiate. Nous sommes alors fin de la première semaine de traitement. Je la contacte et celle-ci, d’une voix que je ressens immédiatement comme exceptionnellement chaleureuse et sincère, m’invite à lui faire parvenir rapidement une photo .
J’envoie cette photo en fin de matinée et dans l’après-midi j’observe que la douleur a disparu. Annie m’avait indiqué qu’elle intervenait chaque jour pour l’ensemble de ses patients et demandait à ceux-ci de lui donner chaque semaine l’état des effets secondaires de la radiothérapie, ajoutant qu’en cas de douleur nouvelle, il convenait de la prévenir rapidement pour qu’elle multiplie ses interventions.
Le traitement quotidien s’est poursuivi ainsi sans problème durant les premières semaines mais à partir de la sixième ou septième semaine les douleurs sont réapparues. J’ai donc prévenu immédiatement Annie et le soir même de mon appel ces douleurs avaient à nouveau disparu. J’ai pu ainsi terminer mon traitement.
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Il y a bientôt trois ans, j’avais eu l’occasion de publier un article au sujet de la parution d’un livre intitulé “place du magnétisme dans l’offre de soins en médecine générale” écrit pas le docteur Denis Piotte . Cet article est ici.
Son livre comprenait notamment une partie d’enquête auprès de 25 magnétiseurs de sa région et j’extrais quelques conclusions de l’auteur à propos de la pratique de ces magnétiseurs qu’il a rencontrés . Il écrit que :
- “tous et toutes ont une forme de foi
- Soit une foi chrétienne profondément ancrée et pour certains d’entre eux, celle-ci explique leur don.
- Soit une sorte de spiritualité avec une foi en des forces de vie, une foi en des forces cosmiques ou une foi puissante en l’Homme et cette envie d’aider et de mettre leur Energie au service des humains. C’est ce qu’on nomme l’intention et qui est une véritable force mentale, une Energie qui précède la transmission de celle-ci.
- C’est l’intention qui permet de canaliser le fluide et de le focaliser sur le malade.
Pour la plupart des magnétiseurs, on peut parler de compassion, d’altruisme et même d’un “véritable don de soi“. Chez l’un d’entre eux, il était écrit : “Je ne connais qu’un devoir c’est celui d’aimer” .
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Annie a volontiers accepté de me raconter comment elle est arrivée à sa pratique actuelle de barreuse de feu.
Née dans un petit village de la proximité d’une grande ville, sa jeunesse fut extrêmement difficile. Sa mère avait tout fait pour éviter sa naissance alors qu’elle se trouvait enceinte d’un homme qui n’accepta pas le mariage lorsqu’elle lui révéla sont état.
Elle fut élevée par sa mère dans une ferme. Cette dernière se maria à un autre homme devenu son père adoptif. Elle fut l’aînée d’une fratrie avec une autre soeur et deux autres frères. Mise toujours à l’écart, sollicitée continuellement pour des travaux du matin et du soir à l’étable avant et après l’école, elle ressent très douloureusement le rejet de sa mère, subit ses claques à tout moment. Malgré tout, elle l’aime profondément. Elle subit aussi sa mise à l’écart par les enfants de l’école qui lui disait qu’elle “sentait la vache”. Elle survit comme elle peut et sans amour si ce n’est celui de ses grands-parents maternels. Elle est dans un environnement familial toujours hostile, pleurant en cachette car sa mère lui interdisait de pleurer devant elle. Elle survit aussi essentiellement en priant beaucoup, elle qui fut élevée dans une famille chrétienne pratiquante. Mais elle eut tout de même le soutien de sa grand-mère maternelle qui habitait le même corps de bâtiment. Elle venait se réfugier vers elle de temps à autre quand elle le pouvait et elle l’enserrait alors de ses bras. Vers ses dix ans et à force d’observations minutieuses, elle découvrit l’origine de son rejet par sa mère.
Alors qu’elle a seize ans, une connaissance de sa famille lui proposa un travail d’été en tant que caissière dans un petit commerce à la ville. Ses patrons attentifs à sa détresse l’aideront à évoluer. Ce fut pour elle l’occasion de sortir partiellement de ce cercle familial. Cette expérience fut d’autant mieux acceptée par les parents qu’elle leur reversait l’intégralité de sa paie.
Elle se mariera vers 19 ans, échappant ainsi définitivement à l’emprise parentale et elle eut deux enfants avec son époux. Sept ans après son mariage, celui-ci décède. Et trois ans après ce premier drame, sa soeur se suicide. Elle est alors profondément atteinte par cette deuxième disparition et doit faire face à l’insomnie et aux crises d’angoisse.
On lui indique les bienfaits qu’opère un magnétiseur, M. Paul, installé à la ville. Elle commence ainsi avec lui un suivi mensuel qui lui apporte momentanément un bienfait qui ne dure que quelques jours. Elle ose finalement lui faire part de cet échec. C’est alors que le déclic se fait : celui-ci lui révèle qu’elle a un don, comme lui, et ce pouvoir en elle l’empêche d’obtenir selon lui les résultats qu’il a avec ses autres patients.
Les années passent, Annie se remarie et de cette union naitra une petite fille. Mais au fond d’elle-même, la révélation du magnétiseur l’interpelle toujours. Depuis toute petite elle “sentait qu’il y avait quelque chose en elle” et M. Paul lui avait révélé ce qu’était ce “quelque chose.” Elle avait bien demandé son aide pour mettre en pratique son don mais celui-ci avait catégoriquement refusé en lui disant de se débrouiller seule.
Elle travaillait alors en usine. Un jour une amie lui parle des barreurs de feu. Elle lui dit que ceci consiste à dire une formule, une prière et elle lui donne quelques indications imprécises.
C’est à partir de ces indications et avec l’assurance aussi que lui avait donnée le magnétiseur, qu’elle va bâtir sa formule, sa prière, à laquelle elle associe divers signes de croix car elle reste depuis son enfance et comme je l’ai déjà écrit, imprégnée par sa foi chrétienne.
Le rejet par sa mère associé à sa foi profonde semblent l’avoir orientée vers une vocation de soin. C’est par ce don, qui lui est donné et qu’elle développe, qu’elle aura notamment l’opportunité de donner de l’amour à son prochain.
Pour soigner à distance les brûlés, elle imagine réaliser son aide au moyen d’ un support visuel et elle pense très vite à s’appuyer sur une photo qui lui permettra de se focaliser sur une zone corporelle qui encadre largement la zone atteinte. Le premier test est réalisé avec sa fille qui s’était brûlée. Et ô merveille ! Elle a alors la preuve que son intervention a réussi en constatant que la brûlure avait disparu rapidement. Bien entendu, son entourage aura connaissance de ce don qu’elle pourra ainsi commencer à exercer dans son cercle familial et d’amis. Le résultat est toujours positif pour les brûlures par accident.
Elle étendra plus tard ses interventions à certaines maladies de peau comme le traitement du zona et de l’eczéma mais dit-elle, elle devra sensiblement adapter sa prière pour obtenir, dans ces cas là, de meilleurs résultats.
Une amie recourt un jour à elle pour qu’elle soigne les brûlures occasionnées par le traitement par radiothérapie chez son beau-frère. Elle intervient à distance et Pierre, alors son premier malade atteint d’un cancer, va ainsi être soulagé. Devant les résultats positifs et avec le bouche à oreille, cette activité va vite se développer pour faire face aux brûlures par radiothérapie et c’est ainsi qu’il y a un an, j’ai donc fait appel à Annie.
Je dois rappeler que sa pratique quotidienne durant le traitement et encore quinze jours après la fin de celui-ci se fait dans un amour profond des autres, un amour qu’elle donne sans compter, elle qui, petite fille, en a tant manqué notamment de la part de sa mère.
Le caractère extraordinaire de ses interventions est actuellement inexplicable par la science. Déjà le magnétisme humain relève encore actuellement de l’extraordinaire mais ici, le traitement à distance et quelle que soit celle-ci, dépasse très largement le cas du magnétisme humain.
La médecine, à ma connaissance, ne combat plus devant les tribunaux ce genre de pratiques comme elle le faisait encore systématiquement dans les années cinquante. Et même certains hôpitaux, dans les services de grands brûlés, y recourt officieusement.
Je dois témoigner qu’en rencontrant Annie qui m’a tant aidé comme elle aide aussi tant d’autres personnes en France et aussi à l’étranger, j’ai rencontré quelqu’un qui irradie de façon exceptionnelle l’amour pour les autres.
J’ai recueilli sur un site et à l’occasion de la rédaction de cet article ces paroles chrétiennes qui me font tant penser à la vie d’Annie :
“La grâce c’est un accompagnement d’amour Divin inconditionnel et durable qui enrichit chacun de nous et le protège. Elle est une bénédiction imméritée qui nous est attribuée par Dieu lui même. Nous sommes tous des trophées de la grâce. C’est un état permanent à vivre intensément ( Tite 2:11 ). Elle se révèle une source de salut et en plus elle rend humble, heureux et reconnaissant.”
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Pour terminer voici quelques messages qu’Annie a extraits de sa “boîte de témoignages de reconnaissance” pour la rédaction de cet article.
Des nanotechnologies dans les vaccins : une étude indépendante alerte l’opinion publique
source : Campra, P. MICROSTRUCTURES IN COVID VACCINES: ¿inorganic crystals or Wireless Nanosensors Network?.
RESEARCHGATE presentation, November 2021.
– AUTHOR: Pablo Campra, PhD. Almería, Spain
– CONTACT: pcampra@ual.es
le courrier des stratèges -Laurent Aventin 2 mai 2022
Commençons par présenter Laurent Aventin auteur de cet article : Laurent Aventin est docteur en santé publique et économie de la santé – Université Aix Marseille II. Il est depuis plus de 11 ans consultant indépendant et auteur le 27/10/2021, en tant que catholique, d’une lettre ouverte aux évêques de France au sujet de leur position sur la vaccination contre le COVID qu’il ne partage pas- cf riposte catholique
“Des nanotechnologies dans les vaccins ” est le titre qu’il donne à son article du 2 mai sur le Courrier des stratèges – cf ici .
Cet article commence par la présentation de la publication du scientifique à l’origine de cet article :
Pablo Campra, docteur en chimie et diplômé en biologie, rattaché à l’université d’Alméria, a réalisé une étude indépendante sur la composition des vaccins – sans lien avec son université. Sa double compétence disciplinaire et le matériel dont il dispose lui ont permis de mettre en évidence dans les sérums un ensemble d’éléments qui correspond à un réseau de nanosenseurs sans fil. ( cf article sur l’avancée sur les biocapteurs)
Cet article a pour but d’expliquer ce que l’on découvre dans les vaccins. Par « on » il faut entendre notamment le Dr Pablo Campra, attaché universitaire, même si d’autres chercheurs chimistes et/ou biologistes ont également confirmé ce que Campra annonce dans un document mis en ligne fin novembre 2021 : la présence de nano capteurs, de nano routeurs ou de nano antennes.
Pablo Campra précise dans sa publication scientifique : ” Nous montrons ici quelques objets de géométries fréquentes qui pourraient être observés dans des flacons scellés de différents échantillons aléatoires de vaccins à ARNm COVID19, en utilisant la microscopie optique à fond clair ou sombre, en utilisant de faibles grossissements entre 100x et 600X. COMME HYPOTHÈSE DE TRAVAIL, certains de ces objets ont été proposés comme éléments possibles d’un RÉSEAU DE NANOSENSEURS SANS FIL (WNSN), que ce soit en tant que nano-capteurs, en tant que nano-routeurs ou en tant que nano-antennes : https://corona2inspect.blogspot.com /2021/09/redes-nanocomunicacion-inalambrica-nanotecnologia-cuerpo-humano.html .
La plupart de ces objets apparaissent après séchage à température ambiante des échantillons. Ils restent noyés dans l’hydrogel restant. A notre connaissance, ni l’identité de ces objets, qu’il s’agisse de cristaux minéraux ou de dispositifs nanotechnologiques, n’ont pas été précisés par les fabricants, ni correctement caractérisés par des laboratoires indépendants. (En réalité – comme expliqué dans un article précédent, (la convention d’Oviedo n’a pas légiféré sur l’obligation d’indiquer dans les produits médicaux la présence de nanotechnologies, il existe donc un vide juridique) – La caractérisation de ces objets sort du cadre de ce rapport.
Notre intention est simplement de rendre ces images d’usage public pour une discussion technique par des experts dans le domaine de la cristallographie ou de l’ingénierie des nano-communications.”
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La méthode utilisée par Campra repose sur une observation de différents échantillons de vaccins à ARNm (Pfizer-BioNtech, Janssen) contre le Covid. Les sérums sont choisis aléatoirement et l’observation microscopique avec champ clair ou sombre exploite des grossissements entre 100x et 600x. La publication en haut de cet article de 4 photos donne une idée des observations du docteur Pablo Campra.
Dans un article publié le 14/07/21 sur nouveau monde.ca Karine Bechet-Golovko s’interroge ; que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ? à propos d’une vidéo du forum de la santé 2020 à St Pétersbourg.
A la question posée par Anna Popova à la tête de l’Agence fédérale de la consommation, Natalia Bieloziorova, directrice du Centre de recherche et de développement de l’Institut des vaccins de Saint-Pétersbourg, est pour le moins surprenante :
Les vaccins, dans le Centre de l’Institut de recherche de Saint-Pétersbourg, sont développés sur la base de trois plateformes : d’ADN modifié, de protéines recombinées et de nanotechnologies.
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Quelle est la fonction des nanotechnologies dans les vaccins contre Covid ?
Laurent Aventin précise :
” Alors que viennent faire des nano routeurs dans un vaccin ? Lors d’un récent article, je me suis fait insulter par un lecteur en qualifiant la vaccination contre le Covid de projet transhumaniste, je me suis dit que je manquais de pédagogie. La présence d’oxyde de graphène dans les vaccins avait déjà été abordée au Courrier des Stratèges le 28 avril 2022 et le rôle de ce matériau est important pour le fonctionnement de ce qui s’apparente à un réseau de nano-communications sans fil intracorporel.
Il existe un lien étroit entre les points quantiques de graphène observés dans les vaccins et les nano routeurs ou nano capteurs qui participent à un nanoréseau de communication. Ces dispositifs existent dans la littérature scientifique ; Akyildiz et al. montrent que l’interconnexion de centaines ou de milliers de nanocapteurs et de nanoactionneurs, situés à l’intérieur du corps humain est acquise. Un nano réseau introduit par la vaccination est présent dans tout le corps, y compris dans le cerveau. Un autre scientifique, Mik Andersen, a réalisé un travail remarquable, son blog est régulièrement attaqué et indisponible, voici ce qu’il dit à propos du nano réseau introduit par les vaccins : « Il permet de contrôler en temps réel les neurotransmetteurs responsables de la transmission des informations dans le système nerveux, qui sont donc responsables des stimuli, du désir, du plaisir, de l’apprentissage, du conditionnement, de la dépendance, de la douleur, des sentiments, de l’inhibition, entre autres ». cf ici un résumé sur le nano-réseau d’implants corporels de Mik Andersen et pour aller plus loin .
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La question de l’oxyde de graphène dans les vaccins contre le coronavirus est l’objet de nombreux débats souvent très polémiques. Nous avions déjà évoqué ce point délicat dans nos colonnes. ”
Dans un long article scientifique paru le 18/2/2022 sur Xochipelli.fr Mik Andersen présente l’auto-assemblage de cristaux d’ADN . Le résumé de cet article sur le site est le suivant :
La présence de cristaux d’ADN auto-assemblés dans les échantillons de vaccins a des implications importantes pour les recherches en cours. Tout d’abord, leur simple présence dans les vaccins implique l’utilisation de nanotechnologies très avancées, l’auto-assemblage d’objets selon des modèles et des gabarits prédéterminés en laboratoire, et confirme donc une intentionnalité et une finalité préméditées, avec le fait clair et évident qu’il y a de l’ADN artificiel synthétique, qui avec le graphène constitue un nouvel élément non déclaré dans le vaccin.
Deuxièmement, cette découverte a des implications importantes pour les axes de recherche qui portent sur l’étude et l’analyse des vaccins, puisqu’il n’y a plus seulement le graphène ou un hydrogel à disposition. Nous devons maintenant envisager la présence de toutes sortes d’objets auto-assemblés avec de l’ADN, ce qui élargit les possibilités de bio-ingénierie dans le corps humain, le développement de biocapteurs et de dispositifs dans le contexte du réseau intracorporel de nanocommunications sans fil.
Troisièmement, la présence de cristaux d’ADN ayant été démontrée, elle implique donc, avec une forte probabilité, la présence de circuits et de systèmes informatiques basés sur l’ADN. Comme cela a été démontré, il existe de nombreuses preuves scientifiques qu’il est possible de développer des circuits, des transistors et des dispositifs électroniques avec des brins d’ADN, permettant le fonctionnement de toutes sortes de signaux et de données, notamment de type binaire.
Primum non Nocere – En premier ne pas nuire – le film Hold On
« Primum non necere » fut proposé par Hippocrate dans son traité des épidémies. Ce « D’abord ne pas nuire » peut sembler une évidence, mais comme tout remède comporte des effets secondaires, aucun soin n’est inoffensif. La question qui est posée dans tout traitement médical est d’apporter plus d’avantages que d’inconvénients. Une évidence qu’il n’est aujourd’hui toujours pas si aisée à cerner, tant la multiplicité des facteurs intriqués est grande. (sur maieusthesie.com)
réalisateur Pierre Barnérias
France Soir 28/12 : Hold On”, le documentaire qui prend la suite de “Hold Up”, sorti l’année dernière, a été diffusé en libre accès hier sur toutes les plateformes ne le censurant pas.
Hold Up avait connu un grand succès médiatique car il était le premier documentaire, en novembre 2020, à revenir sur six mois de controverse autour de la crise liée au Covid-19.
L’équipe de “Hold On”, Citizen Light, qui a produit et réalisé ce deuxième volet a annoncé le partager gratuitement, pour s’opposer à “la vaccination des enfants de 5 ans qui a déjà commencé”. Ce collectif de journalistes ayant travaillé dans les “grands médias”, entend lutter contre cette politique, grâce à l’information : “le but de cette décision est d’alerter le plus grand nombre sur les dangers de ces injections expérimentales”, nous confie Pierre Barnérias, membre de l’équipe, joint par téléphone.
Ce film avait déjà été financé par le public. Dans leur lettre disponible sur leur site Citizen-light.fr, ils remercient dans le même temps leurs contributeurs et ouvre déjà la porte à un prochain numéro, “Hold Out” – ils avaient annoncé une trilogie.
La sortie de Hold On a été difficile à cause de nombreux problèmes techniques et de l’inexorable censure qui règne sur les grandes plateformes de diffusion.
Besançon 4 septembre – manifestation contre le passe sanitaire et pour la liberté des soins
dernière mise à jour le 6 septembre 2021
“La peur de la mort n’empêche pas de mourir mais elle empêche de vivre “
(Nagib Mahfouz, prix Nobel de littérature 1988).
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Besançon le 4 septembre 2021, en partant de la place de la Révolution... en passant par celle du 8 septembre 1944, jour de la libération de la ville…
Suivons donc cette manifestation, l’une des 220, organisées ce jour en France contre l’obligation du passe sanitaire pour les soignants, mais aussi pour de nombreux autres professionnels et pour celles et ceux qui fréquentent ces lieux. Cette obligation est justifiée en dehors de toute cohérence scientifiquement prouvée ainsi que nous allons le rappeler plus loin.
Partagez largement cet article afin de faire prendre conscience au plus grand nombre des dangers réels de ce glissement soudain vers une société du contrôle numérique obligatoire, assuré de surcroît et par obligation, par une partie de la population. Les licenciements de fait des professionnels qui refusent ces mesures liberticides et anti-constitutionnelles sont justifiés par le recours au vaccin comme seul moyen de lutte contre la covid… après avoir interdit tous les autres. Cette obligation vaccinale ne trouve actuellement aucune justification épidémiologique avérée ainsi que nous allons le voir plus loin.
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Une libre expression du rejet d’une société de surveillance globale et de la revendication de la liberté des soins pour les médecins et les patients
1) Découvrez ci-dessous quelques autres photos de la manifestation de Besançon du 4 septembre 2021
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2) la vidéo de la manifestation du 4 septembre à Besançon
2bis) la traversée du tunnel sous la citadelle avec Frederic Vuillaume
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4) Tribune : « A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France? »
30/08/2021
Dans une tribune exclusive publiée par QG, plus de 2.000 chercheurs, universitaires, soignants, juristes, artistes et enseignants, dénoncent la censure inédite opérée autant par les médias que par les GAFAS au sujet de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid. Chasse aux sorcières, règlements de compte, rien n’est épargné aux personnes qui contestent le bien-fondé du passe sanitaire, et réclament simplement plus de transparence concernant le processus vaccinal, ainsi qu’un débat contradictoire sur la stratégie sanitaire nationale
Le Media des enchaînés- 3 septembre
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sur Guy Boulianne
5) L’avocat Reiner Fuellmich a pris la parole le 24 juillet lors de la manifestation pour la liberté au Trafalgar Square de Westminster, à Londres
” Chers amis, il se passe quelque chose. Le front retranché des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre. Et cela, parce que notre pouvoir, le pouvoir de l’humanité, est plus grand que le pouvoir de ceux qui sont de l’autre côté. Mais chez les humains, l’humanité avec ses émotions l’emportera toujours sur la numérisation et l’intelligence artificielle.
Je dis cela après que le Comité d’enquête sur le corona de Berlin (cf : Comité Corona), et ce depuis sa création le 10 juillet, a entendu les témoignages de plus de 110 experts très respectés du monde entier sur les questions suivantes. Quel est le danger du virus? Quel est le danger des mesures anti corona pour la vie et la santé humaine et pour l’économie? Et quelle est la fiabilité du test PCR de Drosten qui sous-tend toutes ces mesures dans le monde? Eh bien, entre temps, même l’OMS a concédé que le virus, qu’il soit entièrement ou semi artificiel ou naturel, n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire, avec un taux de mortalité par infection de 1,4%. Et en conséquence, Singapour est tombé d’accord et a supprimé toutes les mesures. Ces mesures sont aussi mortelles et destructrices que le serait une Troisième Guerre mondiale. Et le test PCR de Drosten, qui a été déclaré par l’OMS, qui est sous le contrôle de Bill Gates et des Chinois, comme étant l’étalon d’or pour détecter les infections, est une fraude scandaleuse.
Premièrement, un test PCR ne peut pas détecter les infections.
Deuxièmement, le test PCR de Drosten, avec 45 cycles d’amplification, aurait donné 100% de faux positifs pour les cas dits de Corona. Car à partir de 24 cycles, le test n’a rien de scientifique, et à 35 cycles il produit au moins 97% de faux positifs, selon le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ce ne sont que ces soi-disant cas qui ont en réalité été truqués avec le test — à l’aide de ce test — qui ont servi de base à la détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale en février 2020. L’acronyme, d’ailleurs, de Public Health Emergency of International Concern est PHEIC, prononcé « feik » (fake / faux).
Cette détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale était à son tour nécessaire à l’Alliance mondiale des industries pharmaceutiques et technologiques afin d’atteindre l’objectif des soi-disant vaccinations qui étaient leurs véritables intentions déclarées dès le début. Uniquement sur la base de cette urgence de santé publique de portée internationale qui est à la base de cet état d’urgence, il est possible, selon les règles de l’OMS, d’utiliser des médicaments non testés sur des humains par le biais de cette approbation d’urgence. Toutes les autres mesures la distanciation sociale, le confinement, le port du masque, etc. n’ont servi qu’à donner à la population, d’une part, une raison visible à une panique par ailleurs illusoire, créée uniquement par des opérations psychologiques, et d’autre part à la subjuguer pour qu’elle accepte finalement même les soi-disant vaccinations.
En réalité, bien sûr, ces vaccinations sont des thérapies géniques expérimentales, sans aucune étude scientifique à la base. Elles n’ont aucune raison d’être et ne sont même pas nécessaires. Tout d’abord, il n’existe aucune preuve d’une pandémie. Seul le faux test PCR de Drosten, avec ses faux positifs, est responsable de l’urgence de santé publique de portée internationale, comme expliqué ci-dessus.
Deuxièmement, il existe des méthodes de traitement alternatives, efficaces et, en règle générale, sur le système immunitaire humain et très bien équipé pour combattre les virus, même ceux créés par l’homme. En dehors de cela, les vaccinations manquent d’efficacité, comme vient de le prouver une étude très récente de dossier scientifique concernant Pfizer Biotech. Et pour couronner le tout, ces vaccins sont extrêmement dangereux, comme le prouvent les derniers chiffres officiels des Etats-Unis.
Selon le VAERS, le registre officiel des événements indésirables après vaccination, 45.000 personnes sont mortes après une vaccination en 180 jours depuis le début de ces soi-disant vaccinations.
Cependant, comme notre collègue Tom Renz l’a appris d’un lanceur d’alerte, ces chiffres ont été tenus secrets et de faux chiffres ont été donnés, à savoir seulement environ 11.000 décès après vaccination. Pire encore. En temps normal, on peut supposer qu’au maximum, entre 1% et 10% de tous les événements indésirables réels liés à la vaccination sont signalés. Mais nous ne sommes pas en temps normal.
Les médias grand public et les politiciens, qui sont tous deux sous le contrôle des entreprises mondiales et des ONG mondiales, font tout ce qui est en leur pouvoir pour rendre l’enregistrement des événements indésirables liés à la vaccination aussi difficile que possible, de sorte qu’en réalité, il est fort probable que nous soyons confrontés à environ 500 000 morts après la vaccination, aux États-Unis seulement.
Cela fait paniquer l’autre camp, car cela ne fait pas partie de son plan. C’est pourquoi cet autre côté, sans empathie ni émotion, fait maintenant tomber tous les masques. En France, par exemple, le gouvernement menace de rendre la vaccination essentielle et d’introduire la vaccination obligatoire, et aux Etats-Unis le président veut censurer même les communications privées, même s’il s’agit de déclarations tout-à-fait correctes, dont le seul problème est qu’elles ne correspondent pas à la ligne officielle frauduleuse annoncée par le gouvernement.
Entre temps, en Inde et en Afrique du Sud, aux États-Unis et au Canada, ainsi qu’en France, de très importantes batailles juridiques ont été engagées ou sont en train de l’être.
Au Portugal, en Autriche et en Allemagne, d’excellentes décisions de justice ont été rendues stipulant que le test de Drosten et le test PCR, totalement inadaptés, ne peuvent servir de base à aucune mesure anti corona.
Le Comité d’enquête Corona de Berlin a déjà accumulé des preuves extrêmement incriminantes qui prouvent qu’il n’a jamais été question de santé, mais que « Monsieur Global », comme l’ancienne banquière d’affaires et secrétaire adjointe au logement et au développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, appelle les entreprises mondiales, les ONG et leurs bailleurs de fonds. Monsieur Global poursuit exclusivement ses objectifs avec ces mesures. La destruction des économies régionales pour rendre la population mondiale dépendante des chaînes d’approvisionnement mondiales. En déplaçant la richesse de la population mondiale du bas vers le haut, c’est-à-dire vers les super riches. Réduction de la population, ce qui signifie génocide. Et l’obtention d’un contrôle total sur la population restante.
Il est évident que nous avons affaire ici à des psychopathes et des sociopathes mégalomanes qui auraient dû être arrêtés il y a longtemps, mais le moment est venu de le faire. C’est pourquoi des millions de personnes manifestent aujourd’hui dans le monde entier.
Un autre aspect doit être souligné. En plus de notre travail juridique et de nos efforts pour mettre en lumière ces sombres vérités, il existe un troisième niveau, à savoir le niveau spirituel, religieux ou cosmique. Appelez-le comme vous voulez. Et ce niveau est crucial. C’est ce que nous montre une histoire qu’un médecin allemand nous a raconté la semaine dernière. Il voulait retirer de l’argent à un distributeur automatique de billets et s’est rendu dans le hall d’une banque à cette fin. Il y avait là une femme âgée portant un masque qui a reculé craintivement devant lui parce qu’il ne portait pas de masque. Elle a dit qu’il devait porter un masque parce que sinon, elle avait peur de se contaminer, ainsi que son mari. Le médecin lui a alors dit qu’elle ne devait pas avoir peur. Il s’est approché d’elle, a enlevé son masque et l’a prise dans ses bras. La femme s’est mise à pleurer et a dit que personne ne l’avait prise dans ses bras depuis plus d’un an. C’est de cela qu’il s’agit.
C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui – oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création.

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6) Syndicat liberté Santé
Face à la crise sanitaire et à l’obligation vaccinale qui touche les soignants français, le collectif Soignant de RéInfoCovid a décidé de mettre en place un syndicat :
Le Syndicat Liberté Santé
Syndicat Liberté Santé – 7 Lieu-Dit Moulin Toussaint -25010 Arc-et-Senans
SOIGNANTS, vous pouvez adhérer dès à présent,
CITOYENS, vous pouvez contribuer à la caisse de solidarité afin de maintenir pour chaque soignant le droit de choisir ou non de se faire vacciner, sans risquer de perdre son emploi, qui est aussi une vocation.
Hier, les soignants qui se sont dévoués au risque de leur vie pour beaucoup d’entre eux, étaient applaudis tous les soirs. Aujourd’hui, ils sont menacés de perdre leur emploi et de se retrouver en grande souffrance morale et matérielle.
Les soignants sont bien placés pour voir au quotidien le nombre considérable d’effets secondaires graves ou de décès suite au « vaccin ».
…
L’adhésion est ouverte à tous les soignants et assimilés qui, par la loi du 5 août 2021, se voient menacés par l’obligation vaccinale.
Nous avons mis en place des cotisations abordables pour tous.
Nous travaillons avec des groupes de juristes et d’avocats pour vous apporter des solutions concrètes.
Nous mettons en place une caisse de solidarité à laquelle tous ceux qui le souhaitent peuvent contribuer. Elle permettra d’aider matériellement et juridiquement tous les membres du Syndicat.
Vous êtes nombreux depuis des mois à vous sentir impuissants, à nous demander comment aider. Voici la possibilité de nous aider et de soutenir tous les soignants que vous avez applaudis et qui se dévouent au quotidien pour vous.
Vous soignants, vous n’êtes plus seuls, le peuple français entier peut vous soutenir.
Nous vous tiendrons rapidement au courant de nos actions et propositions.
Jean-Philippe Danjou , médecin
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Danser encore…
Malheur à celui qui pense…
Malheur à celui qui danse…
Petites réflexions COVID à propos des dénis de démocratie, et des effets immédiats des vaccins
dernière mise à jour : 31/08/2021
“La peur de la mort n’empêche pas de mourir mais elle empêche de vivre “
Besançon le 28 août 2021, en partant de la place de la Révolution... en passant par celle du 8 septembre 1944, jour de la libération de la ville…
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1) écoutez avec attention cette vidéo du docteur Montesino, médecin réanimateur
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2)Le mépris de ceux qui sont remplis de certitudes, à l’égard de ceux qui refusent le glissement vers une société de surveillance globale et demandent la liberté des modes de soins :
Les “petits connards”,
les “ultracrépidarianistes” comme les appellent certains “sachants”,
ceux qui “délirent “
étaient très nombreux à Besançon cette semaine pour venir dire :
Liberté !
non à la société de surveillance globale qui se met en place avec le passe sanitaire,
oui à la liberté des modes de soins
Liberté !
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3) Découvrez ci-dessous la vidéo sur la manifestation de Besançon du 28 août, l’une des 220 manifestations organisées ce jour en FRANCE
4)… et là, une compilation des manifestations en France
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Les diverses manifestations qui ont lieu en France chaque samedi depuis le 17 juillet regroupent des opposants d’origines et motivations diverses. Certains luttent contre la vaccination obligatoire et la mise en place du passe sanitaire estimées attentatoires aux libertés publiques dans le droit français et européen. D’autres, combattent le principe du vaccin obligatoire sur le plan de la santé des populations arguant du fait que des publications récentes montrent que ces vaccins ne sont pas l’arme ultime contre la propagation du virus. Ce vaccin favoriserait même à contrario la sélection des variants les plus robustes, alors que des alternatives de soins substitutives ou complémentaires sont ignorées, voire interdites, ôtant toutes initiatives pour ces solutions de santé envisageables. Nous nous limiterons ici à l’examen de ces positions politiques ou scientifiques.
Examinons d’abord les arguments relatifs aux privations de libertés formulées par un collectif de citoyens
Ces arguments sont développés dans une lettre ouverte adressée aux élus de la nation le 26 août.
Reprenons une partie de cette lettre qui énonce en quoi la loi du 5 août 2021 sur l’obligation vaccinale pour les personnels de santé et d’autres professions apparait aux yeux de ce collectif comme privative des libertés fondamentales de ces citoyens. Cette lettre ouverte s’ouvre sur le préambule de la déclaration des droits de l’homme :
Préambule à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 :
« Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »
La lettre ouverte souligne la mise à l’écart de la vie des citoyens qui n’adhèrent pas au principe de l’obligation vaccinale et du passe sanitaire. Elle estime ces mesures contraires aux principes des libertés construits au fil du temps dans notre droit national ou européen :
“Aujourd’hui, l’heure est grave. Des textes de lois nationaux et supranationaux ont toujours protégé les libertés individuelles et collectives, ils sont désormais foulés au pied par l’obligation vaccinale prévue par la loi du 5 août 2021, applicable aux soignants et à bien d’autres professions : article 16-1 du code civil sur le droit à chacun au respect de son corps ; article L.1111-4 de la loi du 4 mars 2002 dite Kouchner stipulant qu’aucun acte médical ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne ; article R 4127 du code de la santé publique ; convention d’Oviedo sur la bioéthique ratifiée par la France par l’article 1° de la loi du 7 juillet 2011 ; arrêt Salvetti de la Cour Européenne des Droits de l’Homme du 9 juillet 2002 rappelant que la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée ; Déclaration de Genève par l’association médicale mondiale appelant au respect à l’autonomie et à la dignité de chaque patient ; résolution 2361 du Conseil de l’Europe du 28 janvier 2021 demandant aux Etats membres de s’assurer que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner et que personne n’est victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.”
L’idée principale pour soutenir ces restrictions de libertés individuelles est de défendre le fait que la vaccin est le seul moyen de lutte efficace contre le virus et qui nous permette de ce fait de sortir de cette crise sanitaire. S’il en était ainsi la sauvegarde de la santé générale de la population primerait à bon droit sur l’intérêt individuel.
Hélas, cette position de fond repose sur des hypothèses inexactes. Le site Réinfocovid créé à l’initiative de professionnels de santé qui contestent cette vision médicale fournit des éléments factuels et justifiés qui prouvent les dangers de la vaccination de masse et montre qu’en dessous d’un âge de 45 ans les risques vaccinaux immédiats sont supérieurs aux bénéfices escomptés en terme de population. Il n’est évidemment rien dit des effets à long terme qui sont encore inconnus pour les vaccins de type ARN messager.
Le site Alternative Bien Être s’appuyant sur le cas de l’état d’Israël longtemps cité en exemple pour l’un des meilleurs taux mondial de vaccination montre que malgré celui-ci, les nouveaux cas de contamination atteignent actuellement les sommets jusqu’ici constatés depuis le début de l’épidémie. Parallèlement le nombre de morts quotidiens dus au covid est déjà à la moitié du maximum observé depuis le début de l’épidémie. Ces résultats sont constatés avec une population vaccinée à plus de 60%. Les nouvelles hospitalisations concernent pour 60% une population totalement vaccinée.
En conclusion, l’obligation vaccinale en dehors des populations à risques- personnes âgées ou à risques de comorbidité- ne présente pas d’intérêt au plan bénéfices risques ce que montre l’exemple israélien.
Voici quelques éléments de ces observations.
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5)Voyons à présent certains arguments à caractère scientifique :
publiés sur le site de Réinfocovid
Où en sommes-nous le 26 août 2021 ?
Alors que le conseil constitutionnel a validé les points essentiels [1, 2] du projet de loi [3] instaurant entre autres, la vaccination obligatoire des soignants et la généralisation d’un passe sanitaire pour accéder aux activités de la vie courante (y compris les hôpitaux), il est raisonnable de s’interroger sur la balance bénéfices/risques de la vaccination de masse, en comparant la mortalité liée à la Covid-19 et la létalité supposée liée à la vaccination par tranche d’âge.
Sur la page bénéfices/risques par tranche d’âge arrêtée au 16 juillet (car santé publique France ne publie plus depuis cette date ces statistiques) on retiendra la conclusion suivante :
- Nous ne pouvons plus établir le bénéfice/risque des vaccins Covid après le 16 juillet 21, car Santé Publique France ne publie plus les données brutes nécessaire à ces calculs
- Pour les personnes de moins de 45 ans, la létalité supposée liée au vaccin est plus importante que la mortalité liée à la Covid-19.
- Les séquelles très graves regroupant les décès, invalidités et pronostic vital engagé, ont plus que doublé entre le 27 mai et le 1er juillet 2021 pour les patients vaccinés Pfizer.
- Pour les personnes sans comorbidité, le vaccin apparaît délétère pour les moins de 65 ans.
- Le rapport bénéfice/risque de la vaccination est défavorable lorsque le nombre est supérieur à 1 (cases rouges).
Les tableaux présentés ont été construits à partir des données suivantes :
- La répartition INSEE de la population par âge en 2021 [4]
- Le nombre de décès par tranche d’âge à l’hôpital (page 20) et en EHPAD (page 23) du point épidémiologique publié par Santé Publique France du 1er juillet 2021 [5]
- Les informations relatives aux comorbidités par classe d’âge uniquement disponibles pour les décès certifiés par voie électronique (page 43 de [6])
- Les données de pharmacovigilance des vaccins du 1er juillet 2021 pour Pfizer [7] et Moderna [8], et du 08 juillet 2021 pour Astrazeneca [9]
- Les détails des calculs sont téléchargeables ici [10]
Résultats
Les résultats concernant la mortalité de la Covid-19 (tableau 1) ont été exprimés en « risque pour 100 000 habitants ».
Tableau 1 : Mortalité liée à la Covid-19 par tranche d’âge, estimation de la mortalité des personnes sans comorbidité à partir des certificats électroniques [5, 6]
Concernant les effets secondaires supposés liés aux vaccins, exprimés en « risque pour 100 000 vaccinés », les résultats ont été obtenus en divisant le nombre de décès supposés liés aux vaccins par le nombre de personnes ayant été vaccinées, c’est-à-dire le nombre de premières doses. Les séquelles très graves regroupant les décès, invalidité et mise en jeu du pronostic vital, ont également été analysées. Selon les déclarations d’effets secondaires rapportées auprès de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM), on peut obtenir le tableau suivant :
Le bénéfice tiré de la vaccination est donc à relativiser pour les personnes en bonne santé, c’est-à-dire ne présentant pas de comorbidité.
Il apparaît alors clairement que pour les personnes âgées de moins de 45 ans, le risque de décès après vaccination est 1,4 fois plus élevé (Astrazeneca) par rapport à la mortalité Covid-19 et le risque de séquelles très graves entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé est jusque 5,2 fois plus élevé pour Pfizer.
Pour les personnes sans comorbidité, le vaccin apparaît délétère pour les moins de 65 ans.
Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est de 41 à 56 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé.
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6)Le vaccin est-il la solution ou le problème ?
Le violent retour de bâton israélien
Israël va-t-il sauver la face ? Ce pays, vous le savez, a été un « pionnier » dans la vaccination de masse de sa population.
Voici les chiffres[1] de contamination en Israël à la date du 25 août 2021 :
Le pays est en train de retrouver le même nombre de cas journaliers (8000) qu’au moment des tout débuts de la vaccination de masse (décembre 2020).
Et simultanément le nombre de décès quotidiens en Israël est en train de repartir en flèche. Notez que le décalage entre les courbes des deux tableaux est logique : les « décès » sont la conséquence des « nouveaux cas » des semaines précédentes.
En janvier, Israël promettait d’en avoir terminé avec le Covid à l’été 2021.
Nous y sommes.
Et non seulement l’épidémie n’est pas terminée, mais elle rebondit très fort.
Nous pouvons avancer plusieurs explications :
- Le vaccin est inefficace contre le variant delta ;
- Les anticorps vaccinaux ont cessé de faire effet ;
- Les « nouveaux cas » ne sont pas vaccinés.
On sait que 60% des patients hospitalisés en Israël sont pleinement vaccinés (deux doses)[2].
C’est symétrique à la proportion de personnes vaccinées dans la population générale en Israël, qui est de 62,5%[3].
On peut retourner le problème dans tous les sens, le constat est le même : la vaccination de masse n’a PAS mis fin à l’épidémie.
L’immunité naturelle plus forte que l’immunité vaccinale
Cette efficacité vaccinale est, vous le savez, en train de dégringoler. Non seulement face aux variants « classiques », si j’ose dire, mais également face au variant delta.
Une fois de plus, c’est Israël, le pays qui a de l’avance sur le reste du monde pour apprécier l’efficacité des vaccins, qui le confirme via une importante étude scientifique.
Publiée hier (25 août), cette étude compare :
- l’immunité des primo-vaccinés (en janvier-février 2021)
- avec celle des patients infectés par le Covid sur la même période.
Il s’agit donc de comparer l’immunité acquise à l’immunité naturelle.
Les résultats sont sans appel : les vaccinés ont 13 fois plus de chances de contracter de nouveau le Covid que les patients ayant développé des anticorps naturels[4].
« Vous êtes bien gentil Rodolphe, mais si on n’a pas eu une première fois le Covid, mieux vaut quand même se faire vacciner, non ? »
Je réponds « ça dépend ».
Si vous êtes un patient à risque, avec plusieurs comorbidités, et que contracter le Covid représente pour vous un risque très sérieux alors oui, il est sans doute préférable pour vous de vous faire vacciner.
Si ce n’est pas le cas, non seulement vous vous exposez à un cortège d’effets secondaires, certains inoffensifs, d’autres plus graves, mais surtout vous accentuez la pression évolutive sur le virus et le fait qu’il produise des variants.
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7)Sur Futura Santé 26/08 modifié le 27/08
L’efficacité des vaccins de Pfizer et Moderna contre l’infection au coronavirus a baissé de 91 % à 66 % depuis que le variant Delta est dominant aux États-Unis.
Les données publiées le 24 août par les autorités sanitaires américaines proviennent d’une étude menée sur des milliers d’employés de centres de soins et d’hôpitaux à travers six États, afin d’examiner les performances des vaccins contre la Covid-19 en conditions réelles.
Entre décembre 2020 et avril 2021, l’efficacité des vaccins pour empêcher l’infection était alors de 91 %, selon ces données publiées par les Centres de lutte et de prévention des maladies (CDC)
Mais sur les semaines où le variant Delta est devenu dominant, c’est-à-dire où il était responsable de plus de 50 % des cas selon le séquençage, l’efficacité est tombée à 66 %. (Delta est à présent responsable de plus de 98 % des infections aux États-Unis). Les auteurs de l’étude préviennent toutefois que cette baisse pourrait n’être pas uniquement causée par le variant Delta, mais aussi par une efficacité de la vaccination s’érodant avec le temps.
Selon la nouvelle enquête de suivi REACT-1, réalisée par l’Imperial College de Londres réalisée sur la période du 24 juin au 12 juillet au Royaume-Uni auprès de 100.000 personnes et après ajustement des différents facteurs (âge, comorbidités, etc.), l’efficacité du vaccin est ainsi estimée à 49 %.
Néanmoins cette dernière étude indique une prévalence (pourcentage de personnes atteintes) de 1,21 % chez les personnes non vaccinées, contre 0,40 % chez les personnes vaccinées avec deux doses de vaccin indiquant la moindre circulation du virus chez les personnes vaccinées.
Autre fait inquiétant : alors que l’on observait jusqu’ici une décorrélation entre les contaminations et les hospitalisations (autrement dit, les hospitalisations n’augmentaient pas proportionnellement aux nouveaux cas), « on voit un rapprochement des courbes depuis avril, même s’il se traduit par une plus faible mortalité », alertent les chercheurs, qui y voient clairement l’influence du variant Delta ayant remplacé le variant Alpha.
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La Grande réinitialisation » : la vision mondialiste du Professeur Schwab fondateur et organisateur du forum économique mondial
selon la présentation de l’ouvrage : Depuis ses débuts sur la scène internationale, la COVID-19 a radicalement bouleversé la manière de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de participer à l’économie mondiale. « COVID-19 : la Grande réinitialisation » est un guide pour tous ceux qui veulent comprendre dans quelle mesure le nouveau coronavirus pourrait être source de perturbations et de souffrances, et quels changements sont nécessaires pour créer un monde plus inclusif, plus résilient et plus durable. Ce livre propose une analyse inquiétante et pourtant pleine d’espoir. La COVID-19, la plus grande crise de santé publique de ce siècle, a entraîné une catastrophe économique phénoménale et empiré les inégalités déjà présentes. Mais la force de l’être humain réside dans sa clairvoyance, son ingéniosité et, du moins dans une certaine mesure, sa capacité à prendre son destin en main et planifier un avenir meilleur. Ce livre nous montre par où commencer. Le Professeur Klaus Schwab est le fondateur et président du Forum Économique Mondial. Défenseur de la première heure du « capitalisme des parties prenantes », il est l’auteur de plusieurs ouvrages, y compris « La quatrième révolution industrielle ». Thierry Malleret est le directeur associé de Monthly Barometer, un service d’analyse prédictive succincte. Il a écrit plusieurs ouvrages économiques et articles universitaires et a publié quatre romans.
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9)Le courrier des stratèges -20 août
L’exemple de Thalès qui nous montre comment la stratégie du contrôle mondial des populations se met en place :
Mais en quoi le Great Reset a-t-il vraiment besoin du passe sanitaire pour se mettre en place ? Cette question dont on pressent l’importance grandissante depuis plusieurs semaines, et qui s’impose aujourd’hui comme la charnière explicative des politiques publiques, donne lieu à de nombreuses supputations. Il ne suffit en effet pas d’écouter les discours de la caste appelant tous à une ségrégation contre les non-vaccinés pour comprendre l’intention fondamentale de cette innovation. C’est en plongeant dans l’un de tes blogs de l’entreprise transnationale française Thalès que l’on comprend la stratégie d’ensemble qui se met en place, et les étapes qui suivront.
vers l’identité numérique et la société du crédit social
Pourquoi Macron tient-il tant à son passe sanitaire ?
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10)sur cuisine des patrons.com (publié le 7 août) : PASS SANITAIRE ET VACCINATION MASSIVE : UN FAUX DÉBAT
Car fondé sur des postulats théoriques non vérifiés (publé le 7 août 2021)
L’obligation du pass sanitaire repose sur trois postulats :
– la vaccination massive serait indispensable à l’éradication de la pandémie,
– les vaccins génétiques seraient sécurisés, sans effets secondaires à court ou long terme,
– aucune autre alternative sérieuse ne pourrait être envisagée
Ces affirmations ne résistent pas à l’épreuve des faits..
Évolution de l’épidémie chez les populations vaccinées massivement
Laurent Mucchielli analyse, à partir des statistiques publiées par le site « Our world in Data », la situation des 15 pays les plus vaccinés : de 100% à Gibraltar à 64% en Mongolie, en passant par des pays du Moyen Orient, d’Amérique du Nord et du Sud et des pays européens (Royaume Uni, Pays Bas, Belgique Danemark).
En Amérique du Sud, le Paraguay , population de 7 millions d’habitants, vaccinée à 10% , l’Uruguay , population de 3,5 millions d’habitants vaccinée à 70% , ont connu un développement quasi identique de l’épidémie durant les 6 derniers mois : après une forte reprise en mars juin, on constate une décrue dans les deux pays tant en terme de contamination que de décès.
Au Moyen Orient, l’Arabie Saoudite , population de 35 millions habitants vaccinée à 53% et les Emirats Arabes Unis, population de 10 millions d’habitants vaccinée à 77,5% , ont connu une même évolution de l’épidémie, comme le note L Mucchielli « les cas et les décés évoluent parallèlement, comme si la vaccination était sans effet ».
En Israël : « 90% des nouveaux cas de plus de 50 ans sont totalement vaccinés. 60% des cas sévères sont également vaccinés ……. Par ailleurs une étude israélienne vient de démontrer que les personnes qui ont eu le Covid-19 naturellement sont bien moins susceptibles d’être infectées que les personnes vaccinées »
Vaccination massive, une grave erreur ?
Selon Christian Vélot, professeur en biologie cellulaire à l’Université Paris Sud, la vaccination massive serait une erreur massive,
Il faudrait laisser circuler le virus chez les personnes asymptomatiques, pour créer une immunité collective naturelle (voir plus haut le cas d’Israël), plus efficace que l’immunité vaccinale.
La vaccination ne devrait concerner que les personnes vulnérables celles déjà atteintes par une autre affection, la comorbidité constituant un facteur aggravant (94% des décés selon Santé Publique France)
Des vaccins aux effets indésirables
Des vaccins d’un genre nouveau en phase expérimentale
Le principe des vaccins classiques était fondé sur l’injection d’un virus atténué pour développer des anticorps, immunisant la personne vaccinée et évitant ainsi la contamination.
Le principe des vaccins anticovid est nouveau, car fondé sur l’injection non du virus, mais de molécules d’ARN ou d’ADN (selon les types de vaccin), créant les protéines capables de déclencher une réponse immunitaire.
Sur le blog de Laurent Mucchielli, Philippe Ségur, professeur de Droit Public à l’Université de Perpignan : :
« Les vaccins anti-covid Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ont ainsi bénéficié d’une autorisation dérogatoire de mise sur le marché délivrée par l’Agence européenne des médicaments, bien qu’ils se trouvent encore au stade des essais cliniques de phase 3, mais à la condition de terminer ces essais. Ceux-ci s’achèveront le 27 octobre 2022 pour Moderna, le 14 février 2023 pour Astrazeneca, le 2 mai 2023 pour Pfizer.
Le droit français est concordant, puisqu’il affirme qu’aucune recherche interventionnelle « ne peut être pratiquée sur une personne sans son consentement libre et éclairé » (art. 1122-1-1 du Code de la santé publique)»
Donc le pass sanitaire faisant obligation de vaccination aux salariés est clairement illégal, pour des vaccins en phase expérimentale. Le conseil constitutionnel l’a pourtant validé !
Des effets indésirables réels et bien masqués
(source : Article de Laurent Mucchielli,« La vaccination Covid à l’épreuve des faits. 2ème partie : une mortalité inédite.« ,
Sur six mois
Dans son article, Laurent Mucchielli, à partir d’une analyse par type de vaccin, dresse la liste des effets indésirables, en particulier les plus graves : de l’hospitalisation au décés.
Des professionnels de santé, essentiellement des médecins, tirent la sonnette d’alarme sur leur site (Association Internationale pour une Médecine Scientifique indépendante et Bienveillante (AIMSIB)) avec un article intitulé « La comparaison entre mortalité par Covid et létalité due aux vaccins est juste catastrophique », dont cet extrait :
«Si vous ne deviez retenir que 3 points de cet article :
• Pour les personnes de moins de 45 ans, la létalité supposée liée au vaccin est plus importante que la mortalité liée à la Covid-19.
• Selon les statistiques actuelles, la vaccination des 12-14 ans pourrait entrainer 85 décès et jusqu’à 235 invalidités graves, pour un bénéfice totalement inexistant.
• A ce jour, aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19. »
En Europe, (données partielles de l’Agence européenne du médicament)
« A la fin du mois de juin, la pharmacovigilance européenne avait déjà enregistré environ 9 000 décès liés à la vaccination uniquement pour le vaccin de Pfizer, notamment du fait de complications cardiaques, pulmonaires ou cérébro-vasculaires, inclues des morts par Covid. »
D’autres solutions alternatives à la vaccination massive
Des traitements alternatifs aux vaccins actuels
Il ne s’agit pas de dresser une liste exhaustive ni d’assener des certitudes, le manque de transparence, le caractère technique des arguments ne le permettent pas .
Le projet THERAPIDE, labellisée Priorité Nationale de Recherche (source Site de l’Institut Pasteur)
« les équipes de l’Institut Pasteur de Lille ont identifié, au sein de leur chimiothèque, une molécule particulièrement puissante contre le SARS-CoV-2. Les tests in vitro ont montré l’efficacité de cette molécule pour inhiber la réplication du virus. Il s’agit d’un médicament commercialisé en Europe et ayant déjà eu une autorisation de mise sur le marché en France dans une autre indication. Il pourrait donc être repositionné comme traitement de la COVID-19.
Le 10 juin (2021), l’ANSM a émis un avis favorable après celui du CPP. L’essai clinique va pouvoir démarrer, toute la logistique est prête. Le déploiement se fera localité par localité. …
Les chercheurs en sont au stade des essais cliniques
(Contrairement aux vaccins des laboratoires privés, la procédure d’expérimentation est suivie scrupuleusement.
L’urgence n’est pas la même selon la nature des enjeux sont publics ou privés (bénéfices et dividendes).
Évaluation de l’efficacité du vaccin BCG contre la COVID-19
« Le vaccin ….. a été conçu et mis au point à l’Institut Pasteur de Lille, il y a environ 100 ans. Ce vaccin vivant a montré des résultats intéressants contre d’autres infections respiratoires et pourrait être un atout contre la Covid-19. Ce vaccin pourrait donc vivre une seconde jeunesse. « Le BCG pourrait avoir un effet bénéfique chez les personnes atteintes de la COVID-19. Le vaccin pourrait atténuer les symptômes de l’infection par le SARS-CoV-2 et prévenir certaines formes graves. « Obligatoire en France jusque 2007, le vaccin BCG constituerait alors une sorte de rappel dans notre pays » précise le Dr Camille Locht. Des essais cliniques, auxquels l’Institut Pasteur de Lille contribue, sont ainsi en cours ou sur le point d’être initiés en Europe, en Amérique Latine, aux Etats Unis d’Amérique, en Australie et en Afrique du Sud, afin de déterminer l’efficacité du vaccin sur la COVID-19.
« Le BCG, vaccin universel contre la tuberculose, a sauvé des millions de vies sur la planète. C’est un vaccin qui a beaucoup apporté à l’humanité. Ce serait magnifique qu’il puisse contribuer à atténuer les conséquences de l’infection par le SARS-CoV2, aux côtés d’autres traitements » souligne le Pr Xavier Nassif, Directeur Général de l’Institut Pasteur de Lille. «
DES MÉDICAMENTS ANCIENS
L’hydroxychloroquine, médicament prescrit pendant 70 ans auprès de centaines de millions de personnes, a été brutalement retiré du marché, pour cause de dangerosité. Pour qui ?
Ce traitement du Covid très controversé, présentait pourtant des résultats positifs, et pas seulement à l’IHU de Marseille, mais aussi dans la médecine de ville.
La vitamine D a fait l’objet d’expérimentation, notamment aux USA par le Dr Sweta Chekuri, de l’Albert Einstein College of Medicine à New York . L’étude a conclu aux effets positifs de la vitamine D, ce n’est certes pas un médicament miracle, mais la vitamine D peut empêcher les formes sévères du Covid-19,
L’ivermectine est un médicament utilisé depuis longtemps dans les traitements antiparasitaires, et qui pourrait être efficace contre le COVID selon une étude menée par des chercheurs australiens et des expérimentations réalisées en Argentine :
« 800 soignants ont pris en prévention de l’ivermectine en gélule plus un spray nasal à base d’algues rouges antivirales appelées “iota-carrageenan”. 400 soignants n’ont pas pris part à l’étude. Ils n’ont pas pris de traitement préventif.
Dans le groupe des 800, il n’y a pas eu une seule infection ni de test PCR positif. Dans le groupe des 400, il y a eu près de 60% d’infection, soit 230 tests PCR positif »
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11)Et pour terminer … Dansez encore…Malheur à celui qui pense, malheur à celui qui danse…Ne soyons pas sans résistance… Continuez à danser…
SARS-COV-2-Aux origines du mal- épisode 4
date de création : 3 mai 2021
dernière mise à jour : 20 septembre 2021
Brice Perrier est journaliste à Marianne où il est responsable de la rubrique scientifique. Il publie le 5 mai 2021 un livre qui fait le point sur la question fondamentale pour la science : comment le Covid-19 a-t-il contaminé les premiers humains ?
Cette question a déjà fait l’objet de précédents articles sur ce site évoquant à partir de déclarations de scientifiques les raisons pour lesquelles la piste du laboratoire reste la plus sérieuse à ce jour sur la naissance du SARS-COV-2 :
- article du 25 mars 2020
- Cet article s’appuyait sur les révélations d’un généticien américain James Lyon Weiler qui affirmait et apportait la preuve des traces génétiques laissées par l’outil p-Shuttle dans le génome du virus.
- article du 5 novembre 2020
- Ce deuxième article ajoutait deux autres sources d’interrogation sur l’origine artificielle de ce virus. D’abord, la publication le 26/10 d’un article de Yaroslav Pigenet dans le journal du CNRS -virologie où ce chercheur indiquait que la piste du laboratoire restait sérieuse en l’état actuel des connaissances scientifiques.
Ensuite, cet article présentait une interview de la généticienne Henrion-Caude qui affirmait qu’elle avait trouvé qu’une partie de la membrane du virus ne pouvait être naturelle.
- article du 1/12/2020
- Avec HOLD-UP et cet épisode 3 sur les origines du virus nous avons suivi les révélations du Dr Henrion Caude dans une vidéo du 27 /11/2020 sur Sud Radio. Elle nous révèle l’existence des affirmations d’une chercheuse virologue chinoise Li Meng Yan. Dans deux rapports consécutifs publiés sur Zenodo.org le premier le 14/9/2019 puis toujours sur Zenodo, le second, le 8 octobre 2020, elle révèle que le SARS-Cov 2 est une arme biologique résultant d’une fraude scientifique à grand échelle : “SARS-CoV-2 Is an Unrestricted Bioweapon : A Truth Revealed through Uncovering a Large-Scale, Organized Scientific Fraud”
Avec l’épisode 4 nous découvrons donc l’enquête du journaliste Brice Perrier objet de son livre “SARS-COV2- Aux origines du mal” sorti en librairie le 5 mai 2021. La présentation qui suit est tirée de l’article de Célia Cuordifède paru dans Mariane du 30 avril au 6 mai.
Brice Perrier évoque d’abord les dizaines d’enquêtes, la plupart signées par des chercheurs chinois et parues dans les prestigieuses revues scientifiques Nature ou the Lancet indiquant que le passage du virus à l’homme s’était fait par l’intermédiaire du pangolin, hôte intermédiaire. Mais ces hypothèses durent être abandonnées par la suite par la communauté scientifique car le génome du virus identifié chez le pangolin s’est révélé trop éloigné de celui du virus découvert chez l’homme.
Certains scientifiques se tournent vers des laboratoires P2 ou P3 de la région de Wuhan spécialisés sur l’étude des coronavirus de chauve-souris (autres que le fameux laboratoire P4 inauguré par le premier ministre français). Ils retiennent l’hypothèse d’une fuite accidentelle alors que d’autres se refusent à y croire, privilégiant l’hypothèse d’une création naturelle.
Cette lutte entre les approches d’origine laboratoire ou d’origine naturelle constituent la trame de cette enquête.
Brice Perrier aborde dans son livre, à la fois technique et fourni, toutes les pistes, même celles qui paraissent interdites. A la lecture de celui-ci, on découvre d’abord le rôle prépondérant joué par les grandes revues scientifiques qui sont parfois attachées à la pensée scientifique dominante écartant la publication d’études qui s’en éloignent et participant ainsi par cette sélection à renforcer cette pensée dominante.
Le livre met aussi la lumière sur des expériences parfois périlleuses mais couramment effectuées en laboratoire et dont l’objectif est celui dit des gains de fonction. Il s’agit d’ajouter une fonction à une cellule pour améliorer la lutte contre les virus. cf le “Frankenvirus” H5N1 sur le site controverses.minesparis
Brice Perrier clos son ouvrage par la publication de l’appel de 27 chercheurs pour le lancement d’une enquête internationale complète et sans restriction sur les origines du covid-19.
Cet appel est publié le 13 avril 2021 dans le Point. Le but est scientifique : rechercher l’origine réelle de cette pandémie afin d’éviter la possibilité d’une nouvelle épidémie de même type. La conférence de presse de l’OMS le 30 mars 2021 après leur visite à Wuhan montre que toutes les pistes n’ont pas été étudiées de façon identique. L’étude conjointe de l’OMS avec les chercheurs chinois a été ciblée sur la recherche des pistes zooniques.
Ces scientifiques de l’OMS concluent “qu’ aucune justification solide n’est fournie pour expliquer pourquoi ce serait un « accident de laboratoire » (qu’il s’agisse d’une fuite de laboratoire ou d’un accident lors d’un prélèvement d’échantillons). L’OMS prétend qu’à défaut de telles preuves, cette hypothèse de la fuite d’un laboratoire devrait être considéré comme « extrêmement improbable ».
Dans son livre, Brice Perrier rappelle que dès le 19 février 2020 des chercheurs ont signé une tribune dans the Lancet condamnant les théories du complot qui suggèrent que le covid 19 n’est pas d’origine naturelle. Il révèle, preuves à l’appui et s’appuyant sur une enquête américaine, que cette tribune a, été rédigée en fait par Peter Daszak président d’EcoHealth Alliance et cosignée par d’autres scientifiques. Elle s’opposait de manière collective à la révélation de Botao Xiao, professeur à l’Université de technologie de Chine méridionale qui venait de poster le 6 février qu’il était possible que le virus soit sorti de Wuhan.
Or, l’association US Right to know -, déjà bien connue pour sa lutte contre Monsanto-a révélé l’origine de la rédaction de cet appel du 19 février par des scientifiques de renom. Elle révèle que Peter Daszak auteur de cet article a publié une vingtaine d’études avec l’institut de virologie de Wuhan et qu’il a contribué au financement de cet institut chinois grâce à des fonds publics américains. La proximité de ce scientifique avec le centre de Wuhan est révélée malgré les précautions prises par son auteur pour dissimuler son initiative mais découvertes par US Right.
Cet appel collectif ainsi publié très tôt dans the Lancet le 19 février 2000 a imposé à la communauté scientifique spécialisée la vision de l’origine naturelle du virus. Le processus a été renforcé par les revues scientifiques qui censurent alors la théorie de l’origine du laboratoire ne voulant sans doute pas apparaître comme des supports d’une thèse qualifiée de complotisme scientifique. Les déclarations du président américain Donald Trump sur “le virus chinois” ont renforcé ce caractère devenu tabou de l’accident de laboratoire et déclaré d’entrée de jeu comme une hypothèse complotiste.
C’est ainsi qu’ont été censurés plusieurs chercheurs dont les virilogues norvégien Birger Sorensen et le chercheur anglais Angus Dalgleish qui disaient avoir observé une capacité d’action particulière du SARS-COV-2 qui pourrait être liée à 6 insertions dans la protéine Spike.
Pour rédiger son article, la journaliste de Marianne a rencontré deux directeurs de recherche français d’orientation scientifique éloignée quant à l’origine du SARS-COV-2.
Etienne Decroly est virologue spécialiste du VIH, directeur de recherche CNRS à l’Université d’Aix Marseille – afmb-architecture et fonctions des macromolécules biologiques-. Il précise qu’il n’ a pas de position définitive sur la question de l’origine mais s’étonne que l’hypothèse de la zoonose retenue par l’OMS comme la plus favorable mentionne à l’appui de sa conclusion un prélèvement de quelques 80 000 échantillons effectués avec cette hypothèse alors que les 80 000 échantillons étaient tous négatifs par rapport à la piste de la zoonose. Il affirme qu’en pareil cas, la méthode scientifique veut que l’on teste d’autres hypothèses car la science progresse toujours sur la contradiction et le débat. Il fait observer aussi que, dans ce débat, existent aussi d’autres intérêts que le seul intérêt scientifique et il souligne des intérêts financiers et politiques. Mais le temps efface les traces et c’est pourquoi la communauté scientifique doit soutenir davantage l’OMS qui souhaite des études approfondies sur la question.
Face à Etienne Decroly, la journaliste Celia Cuordifede a rencontré Yves Gaudin lui aussi directeur de recherche CNRS et responsable de l’équipe Rhabdovirus à l’institut de biologie intégrative de la cellule à Paris Saclay.
Ce chercheur a beaucoup étudié les mécanismes d’entrée des virus dans l’organisme. Selon celui-ci, il n’y a que deux hypothèses possibles sur l’origine SARS-COV-2 : la première est celle de l’hôte intermédiaire et la seconde la transmission directe à l’homme par la chauve-souris. Il ne croit pas à la fuite accidentelle du laboratoire. Il penche plutôt pour l’hôte intermédiaire et de citer alors l’origine du SARS-COV-1 avec la civette et du MERS-COV-V avec le dromadaire.
Interrogé sur la découverte d’un “site de clivage de furin ” il reconnaît qu’effectivement ceci n’a jamais été découvert chez d’autres coronavirus mais il soutient néanmoins l’hypothèse qu’il puisse apparaître spontanément dans la nature. Sa présence ici dans le SARS-COV-2 ne prouverait donc selon lui pas grand chose.
Interrogé sur les expériences de gain de fonction qui modifient le code génétique d’un virus afin de voir comment il évolue et in fine de créer des vaccins, il reconnait que certaines de ces expériences sont douteuses et il donne l’exemple à l’appui, du gain de fonctions sur la grippe H5N1 en 2012 qui a permis finalement que ce virus passe ainsi à l’homme… Il reconnait donc l’existence d’un précédent scientifique dans la propagation d’un nouveau virus.
Il souligne à contrario, que ces expériences de gain de fonctions ont permis néanmoins de nombreuses avancées scientifiques et précise que cette recherche vise à orienter les virus dans un sens qui intéresse les scientifiques. Par exemple il dit que son équipe travaille sur le virus de la stomatite vésiculaire pour cibler les cellules tumorales de façon préférentielle. A travers le gain de fonction, on cherche à ce que le virus entre dans les cellules tumorales et puisse à terme être utilisé en stratégie thérapeutique anticancéreuse.
Revenant sur l’origine du SARS-COV-2 il estime qu’en outre, l’hypothèse de l’accident de laboratoire sera probablement difficile à prouver. Il penche pour l’origine naturelle qui doit être absolument explorée car celle -ci peut permettre de découvrir d’autres virus dangereux.
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Pour terminer cet article, je conclurai que l’interview de ce chercheur révèle que le domaine même de sa recherche l’empêche d’admettre le besoin de l’étude de la piste du laboratoire. Si cette hypothèse devait finalement prévaloir, elle constituerait un grand discrédit pour les recherches de ce type et au-delà, compte tenu de l’impact planétaire, elle serait un énorme revers pour la religion du progrès qui s’appuie justement et quasi exclusivement sur la science pour orienter notre avenir.
Au delà des conflits d’intérêts de certains chercheurs, au delà de l’opposition politique entre Chine, à l’origine géographique de la découverte du problème et Etats-Unis, il apparaît en toile de fond qu’actuellement, l’immense majorité des spécialistes reste muette face à l’hypothèse de l’origine du laboratoire qui est, comme on vient de le voir dans l’interview du directeur de recherche Yves Gaudin simplement évacuée d’une phrase ou d’un trait de plume : circulez il n’y a rien à voir du côté des laboratoires.
A travers ces comportements, la majorité des scientifiques poursuit son rêve prométhéen de dompter et orienter la nature à sa guise. La balance bénéfices / risques est toujours mise en avant et souligne, une fois de plus, que les bénéfices, ici seulement espérés sur d’hypothétiques découvertes, viennent heurter le coût humain gigantesque et planétaire mais réel de cette pandémie, qu’il soit sanitaire – et bien au-delà du simple décompte des morts- mais aussi économique et social.
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voir appel du 31 mars 2021 des Gouvernements de l’Australie, du Canada, de la République de Corée, du Danemark, de l’Estonie, d’Israël, du Japon, de la Lettonie, de la Lituanie, de la Norvège, de la Slovénie, du Royaume-Uni et des États-Unis d’Amérique demeurent fermement déterminés à travailler avec le monde de l’ Organisation de la santé (OMS), des experts internationaux qui ont une mission vitale et la communauté mondiale pour comprendre les origines de cette pandémie afin d’améliorer notre sécurité sanitaire mondiale et notre réponse. Ensemble, nous soutenons une analyse et une évaluation transparentes et indépendantes, sans interférence ni influence indue, des origines de la pandémie COVID-19. À cet égard, nous nous associons pour exprimer les préoccupations communes concernant la récente étude organisée par l’ OMS en Chine, tout en renforçant dans le même temps l’importance de travailler ensemble pour développer et utiliser un processus rapide, efficace, transparent, scientifique et indépendant pour les évaluations internationales de ces flambées d’origine inconnue à l’avenir.
voir : journal international de médecine 4 mai 2021
voir Watson : la thèse de la fuite d’un labo rejaillit 4 mai 2021
voir Ouest France 14 mai : Dans une correspondance publiée dans la revue Science, jeudi 13 mai, 18 éminents biologistes appuient les appels en faveur d’une nouvelle enquête sur toutes les origines possibles du virus et demandent aux laboratoires et agences chinoises d’ouvrir leurs dossiers à des analyses indépendantes.
La lettre, écrite par le microbiologiste David Relman de l’université de Stanford et le virologue Jesse Bloom de l’université de Washington, s’en prend à une récente étude conjointe sur les origines du covid-19 menée par l’Organisation mondiale de la santé et la Chine, qui a conclu qu’un virus de chauve-souris avait probablement atteint l’homme via un animal intermédiaire et qu’un accident de laboratoire était « extrêmement improbable ».
Cette conclusion n’était pas scientifiquement justifiée, selon les auteurs de la lettre, puisqu’aucune trace de la façon dont le virus est passé à l’homme n’a été trouvée. La théorie d’un accident de laboratoire n’a été examinée que superficiellement. Une poignée seulement des 313 pages du rapport sur les origines de l’OMS et de ses annexes est consacrée à ce sujet.
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Même si les scientifiques chinois ont affirmé qu’aucune fuite n’a eu lieu, les auteurs demandent une enquête plus indépendante. « Une enquête digne de ce nom doit être transparente, objective, fondée sur des données, inclure une large expertise, faire l’objet d’une surveillance indépendante et être gérée de manière responsable afin de minimiser l’impact des conflits d’intérêts », écrivent-ils.
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Pour répondre à ce refus d’inclure notamment la piste laboratoire un groupe indépendant s’est constitué autour de chercheurs :
DRASTIC : création d’un collectif de recherche indépendant qui enquête sur l’origine du coronavirus – cf 20 minutes 29 mars 2021
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Une interview de Brice Perrrier sur Thinkerview diffusée le 30 /04/21
( 1:41:44)
sur the Epoch Times (12 juin 2021): Des experts mettent en avant des preuves « accablantes » d’épissage de gènes, indiquant que le virus du PCC provient probablement d’un laboratoire
Après la publication vendredi du résumé d’un rapport d’enquête du renseignement américain, le président américain Joe Biden a accusé la Chine de dissimuler les “informations cruciales sur les origines de la pandémie de Covid-19”.
Le virus du Covid-19 n’a pas été développé “comme arme biologique” et n’a “probablement” pas été conçu “génétiquement” : telles sont les conclusions des renseignements américains, selon le résumé d’un rapport publié vendredi 27 août. L’origine de ce nouveau coronavirus, apparu fin 2019 en Chine, reste toutefois une énigme. Infection transmise par un animal ? Accident de laboratoire ? Les renseignements américains sont divisés et n’ont pas de réponse claire et définie.
Dans un communiqué diffusé après la publication du rapport d’enquête qu’il avait lui-même demandé au printemps, Joe Biden a accusé la Chine de dissimuler des “informations cruciales sur les origines de la pandémie”. Ces informations “existent”, estime le chef d’État, “et pourtant depuis le début, des responsables gouvernementaux en Chine œuvrent pour empêcher les enquêteurs internationaux et les acteurs mondiaux de la santé publique d’y accéder”.