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Jane Goodall : Tueurs innocents (1973)
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Jane Goodall : les chimpanzés et moi (1973)
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Jane Goodall : Ma vie avec les chimpanzés – publié en 1989)
A l’âge de cinq ans, Jane Goodall se passionnait déjà pour les animaux, passait des heures entières dans la nature, et rêvait d’en faire son métier. Son rêve s’est réalisé. Vingt ans plus tard, elle s’installa en pleine forêt africaine pour observer la vie sauvage des chimpanzés, ces animaux si extraordinairement intelligents. Elle fit des découvertes fabuleuses, et réussit même à devenir l’amie de toute une famille de chimpanzés. En vivant avec eux, elle comprit à quel point les chimpanzés nous ressemblent. C’est une aventure à la fois émouvante et pleine de surprise que nous raconte Jane Goodall. Car la vie dans la brousse n’est pas de tout repos : on y rencontre souvent des léopards, des lions, et il arrive même parfois qu’on trouve un serpent sous sa tente ! —-
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Florence Burgat ( sur Wikipedia)
Florence Burgat : La protection de l’animal (1997)
Cet ouvrage retrace l’histoire de la législation française sur la protection de l’animal ainsi que la réglementation sur l’utilisation des animaux sauvages et domestiques. Les réseaux et les objectifs des différentes associations sont présentés, ainsi que les problèmes auxquels peuvent être confrontés les propriétaires d’animaux.
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Florence Burgat : Animal mon prochain -( publié en 1997)
En dépit d’un titre peut être trop médiatique, cet ouvrage offre une étude sérieuse du statut de l’animal en Occident depuis le XVIIe siècle, qui intéressera autant l’historien que l’honnête homme. Il propose deux réflexions, étroitement imbriquées dans les chapitres mais que nous dissocions pour la clarté de la présentation. L’auteur examine principalement la manière dont a été construit le discours sur l’animal qui se résume en fait à un discours sur la différence entre l’homme et l’animal. Il entend démêler les nœuds du mécanisme interprétatif pour déconstruire le mécanisme de la différence. Son projet n’est pas de reformuler les notions de l’animalité et de l’humanité, comme l’on fait Luc Ferry, Jeanine Chanteur ou Yves Goffi quelques temps plus tôt (voir la bibliographie), mais d’entreprendre une critique des concepts utilisés dans les discours occidentaux pour bâtir une différence discriminante. Disons d’emblée que l’auteur est opposé à cette conception ambiante, mais c’est justement ce qui lui permet de bien l’étudier, d’un œil quasi extérieur sans chercher à la justifier, et d’en montrer les présupposés et les mécanismes que les historiens, qui travaillent sur l’histoire de l’animal, connaissent bien, je peux en témoigner, car ils les rencontrent à chaque ligne.—-
Florence Burgat : L’animal dans les pratiques de consommation (1998)
Cet ouvrage est la refonte du « Que sais-je? », n°374, écrit par l’ingénieur agronome Henry Rouy, édité en 1950 et réédité en 1967. Il était alors intitulé « La viande ». Le nouveau titre, « L’animal dans les pratiques de consommation », implique que nous ne limitions pas cette étude au seul produit « viande », mais que nous exposions la totalité du processus par lequel l’animal destiné à la boucherie est préparé et transformé à cette fin. Il ne sera question que des animaux dits de boucherie (bovins, ovins, caprins, équidés), de charcuterie (porcins), de basse-cour (cailles, faisans, gros gibier). Nous ne parlerons ni de la chasse qui induit d’autres pratiques, ni de la pêche. Par ailleurs, le sujet était traité dans l’ouvrage précédent, comme on a coutume de le faire, dans la seule perspective économique; sans négliger cet aspect, nous avons réservé une partie de cette étude aux représentations sociales qui affectent l’alimentation carnée.Notre plan suivra les trois moments de cette logique :1 / L’animal vivant (élevage, transport): 2 / La mise à mort (boucherie, abattoirs et techniques d’abattage); 3 / La viande (d’une part l’évolution de la production et de la consommation, d’autre part le déguisement de la présentation d’un produit de plus en plus éloigné de son processus d’engendrement).—–
Jean-Yves Goffi : Le philosophe et ses animaux : du statut éthique de l’animal (1998)————————————————————————————————————Collectif (Auteur), Guy Lobrichon (Auteur), Boris Cyrulnik : Si les lions pouvaient parler -(publié en 1998) La nature des relations que l’Homme entretien avec l’Animal obéit à une loi inexorable : nul ne saurait aborder le monde des animaux sans y projeter son propre univers mental, soucieux par-là, de marquer strictement la frontière entre humanité et animalité. Comment représenter le monde dans lequel vivent les animaux, quand il nous est très largement inconnu ? Pour en rendre compte, nous l’avons cerné en multipliant les approches et en mettant à profit toutes les compétences. Le vétérinaire, le mathématicien, le neurobiologiste, le psychanalyste, l’éthologue, l’historien, l’archéologue, l’anthropologue, le philosophe et le psychiatre apportent chacun leur contribution à l’édifice. Le choix des auteurs et l’organisation des textes répondent à cette volonté d’interdisciplinarité, soit par des contributions originales qui donnent le dernier état du savoir, soit par des extraits empruntés à de multiples sources d’Aristote à Zola, de Darwin à Lévi-Strauss, de Freud à Jean-Paul II, de Genet à Yourcenar . —Florence Burgat ( sur Wikipedia)
Florence Burgat : La protection de l’animal (1997)
Cet ouvrage retrace l’histoire de la législation française sur la protection de l’animal ainsi que la réglementation sur l’utilisation des animaux sauvages et domestiques. Les réseaux et les objectifs des différentes associations sont présentés, ainsi que les problèmes auxquels peuvent être confrontés les propriétaires d’animaux.
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Florence Burgat : Animal mon prochain -( publié en 1997)
En dépit d’un titre peut être trop médiatique, cet ouvrage offre une étude sérieuse du statut de l’animal en Occident depuis le XVIIe siècle, qui intéressera autant l’historien que l’honnête homme. Il propose deux réflexions, étroitement imbriquées dans les chapitres mais que nous dissocions pour la clarté de la présentation. L’auteur examine principalement la manière dont a été construit le discours sur l’animal qui se résume en fait à un discours sur la différence entre l’homme et l’animal. Il entend démêler les nœuds du mécanisme interprétatif pour déconstruire le mécanisme de la différence. Son projet n’est pas de reformuler les notions de l’animalité et de l’humanité, comme l’on fait Luc Ferry, Jeanine Chanteur ou Yves Goffi quelques temps plus tôt (voir la bibliographie), mais d’entreprendre une critique des concepts utilisés dans les discours occidentaux pour bâtir une différence discriminante. Disons d’emblée que l’auteur est opposé à cette conception ambiante, mais c’est justement ce qui lui permet de bien l’étudier, d’un œil quasi extérieur sans chercher à la justifier, et d’en montrer les présupposés et les mécanismes que les historiens, qui travaillent sur l’histoire de l’animal, connaissent bien, je peux en témoigner, car ils les rencontrent à chaque ligne.—-
Florence Burgat : L’animal dans les pratiques de consommation (1998)
Cet ouvrage est la refonte du « Que sais-je? », n°374, écrit par l’ingénieur agronome Henry Rouy, édité en 1950 et réédité en 1967. Il était alors intitulé « La viande ». Le nouveau titre, « L’animal dans les pratiques de consommation », implique que nous ne limitions pas cette étude au seul produit « viande », mais que nous exposions la totalité du processus par lequel l’animal destiné à la boucherie est préparé et transformé à cette fin. Il ne sera question que des animaux dits de boucherie (bovins, ovins, caprins, équidés), de charcuterie (porcins), de basse-cour (cailles, faisans, gros gibier). Nous ne parlerons ni de la chasse qui induit d’autres pratiques, ni de la pêche. Par ailleurs, le sujet était traité dans l’ouvrage précédent, comme on a coutume de le faire, dans la seule perspective économique; sans négliger cet aspect, nous avons réservé une partie de cette étude aux représentations sociales qui affectent l’alimentation carnée.Notre plan suivra les trois moments de cette logique :1 / L’animal vivant (élevage, transport): 2 / La mise à mort (boucherie, abattoirs et techniques d’abattage); 3 / La viande (d’une part l’évolution de la production et de la consommation, d’autre part le déguisement de la présentation d’un produit de plus en plus éloigné de son processus d’engendrement).—–
Florence Burgat ( sur Wikipedia)
Florence Burgat : La protection de l’animal (1997)
Cet ouvrage retrace l’histoire de la législation française sur la protection de l’animal ainsi que la réglementation sur l’utilisation des animaux sauvages et domestiques. Les réseaux et les objectifs des différentes associations sont présentés, ainsi que les problèmes auxquels peuvent être confrontés les propriétaires d’animaux.
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Florence Burgat : Animal mon prochain -( publié en 1997)
En dépit d’un titre peut être trop médiatique, cet ouvrage offre une étude sérieuse du statut de l’animal en Occident depuis le XVIIe siècle, qui intéressera autant l’historien que l’honnête homme. Il propose deux réflexions, étroitement imbriquées dans les chapitres mais que nous dissocions pour la clarté de la présentation. L’auteur examine principalement la manière dont a été construit le discours sur l’animal qui se résume en fait à un discours sur la différence entre l’homme et l’animal. Il entend démêler les nœuds du mécanisme interprétatif pour déconstruire le mécanisme de la différence. Son projet n’est pas de reformuler les notions de l’animalité et de l’humanité, comme l’on fait Luc Ferry, Jeanine Chanteur ou Yves Goffi quelques temps plus tôt (voir la bibliographie), mais d’entreprendre une critique des concepts utilisés dans les discours occidentaux pour bâtir une différence discriminante. Disons d’emblée que l’auteur est opposé à cette conception ambiante, mais c’est justement ce qui lui permet de bien l’étudier, d’un œil quasi extérieur sans chercher à la justifier, et d’en montrer les présupposés et les mécanismes que les historiens, qui travaillent sur l’histoire de l’animal, connaissent bien, je peux en témoigner, car ils les rencontrent à chaque ligne.—-
Florence Burgat : L’animal dans les pratiques de consommation (1998)
Cet ouvrage est la refonte du « Que sais-je? », n°374, écrit par l’ingénieur agronome Henry Rouy, édité en 1950 et réédité en 1967. Il était alors intitulé « La viande ». Le nouveau titre, « L’animal dans les pratiques de consommation », implique que nous ne limitions pas cette étude au seul produit « viande », mais que nous exposions la totalité du processus par lequel l’animal destiné à la boucherie est préparé et transformé à cette fin. Il ne sera question que des animaux dits de boucherie (bovins, ovins, caprins, équidés), de charcuterie (porcins), de basse-cour (cailles, faisans, gros gibier). Nous ne parlerons ni de la chasse qui induit d’autres pratiques, ni de la pêche. Par ailleurs, le sujet était traité dans l’ouvrage précédent, comme on a coutume de le faire, dans la seule perspective économique; sans négliger cet aspect, nous avons réservé une partie de cette étude aux représentations sociales qui affectent l’alimentation carnée.Notre plan suivra les trois moments de cette logique :1 / L’animal vivant (élevage, transport): 2 / La mise à mort (boucherie, abattoirs et techniques d’abattage); 3 / La viande (d’une part l’évolution de la production et de la consommation, d’autre part le déguisement de la présentation d’un produit de plus en plus éloigné de son processus d’engendrement).—
Jean-Yves Goffi : Le philosophe et ses animaux : du statut éthique de l’animal (1998)
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Collectif (Auteur), Guy Lobrichon (Auteur), Boris Cyrulnik : Si les lions pouvaient parler -(publié en 1998)
La nature des relations que l’Homme entretien avec l’Animal obéit à une loi inexorable : nul ne saurait aborder le monde des animaux sans y projeter son propre univers mental, soucieux par-là, de marquer strictement la frontière entre humanité et animalité. Comment représenter le monde dans lequel vivent les animaux, quand il nous est très largement inconnu ? Pour en rendre compte, nous l’avons cerné en multipliant les approches et en mettant à profit toutes les compétences. Le vétérinaire, le mathématicien, le neurobiologiste, le psychanalyste, l’éthologue, l’historien, l’archéologue, l’anthropologue, le philosophe et le psychiatre apportent chacun leur contribution à l’édifice. Le choix des auteurs et l’organisation des textes répondent à cette volonté d’interdisciplinarité, soit par des contributions originales qui donnent le dernier état du savoir, soit par des extraits empruntés à de multiples sources d’Aristote à Zola, de Darwin à Lévi-Strauss, de Freud à Jean-Paul II, de Genet à Yourcenar .———————————————————————————————-