ARIASE : la 5G
SFR : présentation de la 5G, le réseau du futur
ORANGE : la 5G sur les réseaux Orange
ORANGE : explication 5G
BOUYGUES et la 5G
FREE et la 5G
EMF Alliance -Global Health at Risk from Exposure to Electromagnetic Fields
la 5G sur WatIs.com
Ondes expertise – David Bruno à Aix -en-Provence
PRIARTEM
(Pour Rassembler, Informer et Agir sur les Risques liés aux Technologies ElectroMagnétiques.)
Association nationale agréée usagers du système de santé (arrêté du 31 octobre 2017) et protection de l’environnement.
Créée en 2000 (JO du 07 octobre 2000), PRIARTEM a été la première association à faire émerger au niveau national ces questions.
Renouvellement du Conseil d’Administration et du Bureau de l’Association
Comme chaque année, l’Assemblée Générale ordinaire de Priartem qui s’est tenue le samedi 1er février 2020 a élu le nouveau Conseil d’Administration de l’Association. Celui-ci, composé désormais de 21 membres, s’est réuni à la suite de l’AG pour élire le Bureau.
Le nouveau Bureau est composé de 10 personnes :
* Sophie Pelletier, Présidente ;
– cofondatrice du collectif des électrosensibles de France
Virginie Blin, Trésorière ;
* Chantal Cicé, Secrétaire, Cofondatrice en 2000 de l’Association ;
Anne Vienney, Coordinatrice du réseau ;
* Christophe Bolard, Délégué aux demandes de mesures de champ et prêt d’appareils de mesure ;
Manuel Hervouet, Délégué des Electrosensibles de France et site ;
Patricia Mira, Déléguée à la gestion des courriels ;
Isabelle Jooris, Référente pour les permanences téléphoniques ;
Lysiane Brasset, Déléguée de secteur IDF.
Avec le développement des technologies, les ondes électromagnétiques artificielles sont de plus en plus présentes dans notre environnement et notre quotidien. Les risques potentiels pour la santé et l’environnement, bien que faisant l’objet d’une forte controverse, en rapport avec les enjeux stratégiques et économiques en jeu, commencent à être de mieux en mieux appréhendés.
D’abord préoccupée par l’implantation des antennes-relais de téléphonie mobile comme en atteste la signification de son premier acronyme – Pour une Réglementation de l’Implantation des Antennes-Relais de Téléphonie Mobile -, (exemple du cas de L’Ile aux Moines point de départ de la création de Priartem) elle a progressivement élargi son champ d’action à l’ensemble des technologies de la communication sans fil dans le domaine des radiofréquences (en 2004), puis, intégrant la problématique des personnes devenues électrosensibles, à l’ensemble des gammes de fréquences (en 2014).
A cette occasion, PRIARTEM a intégré en son sein le collectif des Electrosensibles de France, créé en 2008, par des personnes victimes de cette pathologie pour la faire reconnaître et défendre le droit des malades.
Cette intégration a été validée par un vote, lors de l’Assemblée générale qui s’est tenue le 6 décembre 2014, laquelle a également voté de nouveaux statuts de l’association et a acté le changement de la signification de son acronyme, qui se décline maintenant comme suit : Pour Rassembler, Informer et Agir sur les Risques liés aux Technologies ElectroMagnétiques.
Jusqu’à présent ses partenaires les plus réguliers ont été principalement l’Association Agir pour l’Environnement, Les Electrosensibles de France (site repris par Priartem)et l’IEMFA à l’international. Priartem a ouvert un nouveau partenariat avec le CNAFAL, (Conseil National des Associations Familiales Laïques) ;
les antennes contestées
compteurs Linky
l’hyperélectrosensibilité
informations scientifiques
l’expertise scientifique
la gestion des risques
information technique
5G
la réglementation
les actions judiciaires
les chartes
actualité nationale
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Robin des Toits
Association nationale Robin Des Toits Association régie par la loi du 1er juillet 1901 Date de fondation : 19 mai 2004. Siège social : 22 rue Descartes 78460 CHEVREUSE Robin des Toits est une association nationale ayant pour objet : — d’informer sur l’impact sanitaire, environnemental et sociétal des technologies sans fil en hautes fréquences, ainsi que des basses et très basses fréquences ; –
Conseil d’administration :
Monsieur Pierre-Marie THEVENIAUD, Président
Madame Marie-France HEBRARD, Trésorière
Madame Patricia De Gât, secrétaire
Monsieur Thierry MERCIER,
Monsieur Patrice GOYAUD,
Monsieur Jean-Jacques TORDJMAN
Monsieur Daniel CABRERE
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ASEF -Association santé environnement France
L’ASEF a été créée en 2008 par le Dr Pierre Souvet, cardiologue, et le Dr Patrice Halimi, chirurgien-pédiatre. Elle réunit des médecins désirant répondre aux problèmes de santé-environnement. Elle est reconnue d’intérêt général depuis mars 2010.
« Lorsque nous avons créé l’Association Santé Environnement France il y a plus de huit ans avec mon confrère et ami, le Dr Patrice Halimi, nous avions un seul objectif : prévenir plutôt que guérir. Trop d’asthmes, trop de cas de stérilité, trop de cancers, et malheureusement trop de jeunes. Nous voulions anticiper. Nous étions alors les premiers à nous saisir de ces questions de santé-environnement. »
Elle s’intéresse aux ondes électromagnétiques
EXPOSITION ET NORMES
Les téléphones portables sont des transmetteurs de radiofréquence de faible énergie, qui utilise des fréquences situées entre 450 et 2700 MHz ; l’émission maximale se situe entre 0,1 et 2 watts. L’énergie émise décroît rapidement avec la distance, comme l’exposition de l’utilisateur aux radiofréquences.
Le DAS, c’est-à-dire le Débit d’Absorption Spécifique, est un indice indiquant la quantité d’énergie véhiculée par les ondes reçues par un appareil récepteur, lorsque cet appareil fonctionne à pleine puissance. Il est exprimé en Watt/kg. Plus le DAS d’un appareil radioélectrique est faible, moins cet appareil a le potentiel d’être dangereux pour la santé. Aux USA, la norme pour les téléphones est de moins de 1.6W/kg. L’Union Européenne a quant à elle établi un seuil à 2W/kg. La plupart des téléphones ont un DAS inférieur à 1W/kg.
Depuis le 15 avril 2011, le décret n°2010-1207 du 12 octobre 2010 impose au vendeur d’afficher sur le lieu de vente le DAS des équipements terminaux radioélectriques qu’ils proposent à la vente.
Enfin, depuis avril 2016, les normes concernant le DAS se sont durcies : la mesure doit être effectuée à 5mm au lieu de 25mm précédemment. Certains téléphones précédemment mis sur le marché ne sont donc plus conformes à ces seuils.
Le saviez-vous ? L’exposition aux ondes via la téléphonie fixe sans fil est la même que celle via la téléphonie mobile.
Effets sur le cerveau
Une étude de grande ampleur, l’étude «Interphone» publiée en juin 2010, s’est penchée sur la relation entre l’utilisation de téléphone mobile et le développement de certaines tumeurs (gliomes et méningiomes) au niveau du cerveau. Cette étude cas-témoins a été menée dans 13 pays selon un protocole commun, et a suggéré un risque accru de gliome et dans une moindre mesure de méningiome chez certains sujets particulièrement utilisateurs de téléphone portable. Cependant il a été impossible d’établir un réel lien de cause à effet.
D’autres études se sont penchées sur les effets des téléphones portables sur le cerveau. En décembre 2012 a été publiée une étude grecque sur des souris. Elle a montré que l’exposition au téléphone portable et aux émetteurs sans fil pouvait entraîner des modifications du cerveau susceptibles d’entraîner des maux de tête, vertiges, ou troubles du sommeil.
Une autre étude en Suède, publiée en décembre 2013, a montré une augmentation de 80% des risques de tumeur cérébrale après 1 à 5 ans d’utilisation du téléphone mobile .
En France, des travaux de l’Institut de Santé Publique publié en juillet 2014 , d’Epidémiologie et de Développement (ISPED) ont démontré une augmentation des risques chez les gens passant plus de 900 heures au téléphone dans leur vie, une durée atteinte en 5 ans lorsqu’on utilise le téléphone portable 30 minutes par jour.
D’autres travaux publiés en juin 2008, ont suggéré un risque de tumeur de la glande parotide chez les personnes utilisant leur téléphone plus de 45 minutes par jour
Une méta-analyse récente de 24 études publiée en février 2017, suggère que l’utilisation à long terme du téléphone mobile (plus de 10 années) augmente le risque de tumeur intracrânienne, plus particulièrement dans le cas d’une exposition unilatérale
Encore plus récemment, une autre revue de littérature présente en juillet 2017 des résultats montrant une augmentation de l’excitabilité corticale et une diminution du temps de réaction lors de l’exposition aux ondes électromagnétiques, possiblement en lien avec des troubles du sommeil.
Enfin, une étude publiée en mai 2011 a retrouvé un risque de développement de gliome ou d’astrocytome chez les personnes ayant utilisé leur téléphone 1h par jour pendant 10 ans ; le risque semble particulièrement important chez les moins de 20 ans.
Malgré toutes ces données, dans un rapport d’expertise collective d’octobre 2013, l’ANSES a conclu à une absence d’effet des ondes électromagnétiques sur la réponse cellulaire cérébrale, la barrière hémato-encéphalique et l’expression de gènes impliqués dans la cancérogenèse. Il pourrait en revanche exister un effet sur la mort cellulaire neuronale et le stress oxydant ainsi que sur l’activité électrique cérébrale.
En mars 2018 , deux rapports du National Toxicology Program of Cancerogenesis ont été publiés. & https://ntp.niehs.nih.gov/ntp/about_ntp/trpanel/2018/march/tr596peerdraft.pdf
Des rats Sprague Dawley® ont été exposés aux radiofréquences in utero et tout au long de leur vie. Ces études ont trouvé de faibles incidences de gliomes malins dans le cerveau et des schwannomes dans le cœur de rats mâles exposés aux radiofréquences couramment utilisées aux Etats-Unis (GSM, CDMA).
( ajout personnel -> cf EUROPEAN SCIENTIST –>Le 2 février 2018, le National Toxicology Program[1] (ou NTP), programme gouvernemental de recherche américain en toxicologie, a diffusé deux rapports [1, 2] et un communiqué de presse[2] concernant les résultats d’études expérimentales sur les effets des ondes électromagnétiques radiofréquences, respectivement chez le rat et la souris. Initiée en 2003 et réalisée avec un budget de 25 millions de dollars US sur 10 ans, l’étude est présentée comme la plus complète jamais réalisée pour évaluer les effets d’une exposition aux ondes de téléphonie mobile sur la santé des rongeurs. Ces rapports sont actuellement soumis au processus de révision par un panel de scientifiques dont les analyses sont attendues pour fin mars, et ne sont donc pas considérés comme définitifs.
Des lésions potentiellement prénéoplastiques ont également été observées dans le cerveau et le cœur de rats mâles exposés aux radiofréquences-(rapport novembre 2018)
Que conclut European Scientist ?
A l’issue de cette étude, les auteurs ne sont pas en mesure d’affirmer que l’exposition aux champs radiofréquences étudiées provoque des effets sanitaires et ce, à des niveaux bien supérieurs à ceux rencontrés dans l’environnement. La contribution du NTP s’ajoute à de nombreuses recherches conduites dans le domaine des champs radiofréquences. Elle conforte l’état des connaissances et le fait que lorsque des effets des champs radiofréquences de la téléphonie mobile sont observés, c’est pour des niveaux d’exposition qui dépassent largement les valeurs maximales d’exposition autorisées. En pratique, ces limites ne peuvent pas être atteintes avec les technologies de communication sans fil couramment utilisées (antennes relais, téléphones mobile, Wifi…).
En communiquant dès 2016 les résultats préliminaires d’une étude réalisée dans des conditions d’exposition qui n’ont rien à voir avec à celles engendrées par la téléphonie mobile ou d’autres systèmes de communications sans fil usuels, le NTP a alimenté pendant plusieurs mois et inutilement des rumeurs et des inquiétudes, sans donner de clés de lecture à ceux qui ne sont pas spécialistes du sujet. En définitive, l’analyse finale et approfondie des résultats de cette étude est, malgré ses faiblesses, rassurante : elle n’apporte aucun élément tangible en faveur de l’existence d’effet non thermique des champs radiofréquences.
Effets sur le génome
Les résultats du programme « REFLEX », financé par la Commission européenne, le Gouvernement Finlandais et le Gouvernement Suisse ont été rendus publics en décembre 2004, (cf traduction sur Priartem) lors d’une conférence par le Professeur Adlkoffer, directeur scientifique de la Fondation VERUM. Il démontrait qu’une exposition chronique de très faible intensité aux champs électromagnétiques de la téléphonie mobile provoquait des ruptures simples et doubles de brins d’ADN sur les cellules humaines.
Au cours de l’année 2017, la suite des résultats de l’étude du National Toxicology Program suggère les liens entre l’exposition aux champs électromagnétiques de la téléphonie et le cancer. Un complément de l’étude [20] a été présenté lors du 48ème congrès annuel de l’EMGS (Environmental Mutagenesis and Genomics Society) du 9 au 13 septembre 2017. Des lésions significatives de l’ADN sont retrouvées dans le cortex des souris mâles, dans les leucocytes des souris femelles ou encore dans l’hippocampe des rats masculins.
Ces résultats suggèrent que l’exposition aux radiofréquences des téléphones portables provoque des lésions mesurables irréversibles sur l’ADN dans certaines conditions d’exposition. Ces résultats sont encore partiels puisque les conclusions définitives de l’étude sont prévues courant 2018 – (cf plan national santé environnement 2015-2019)
effets sur la fonction reproductrice
Les effets sur le cerveau ne sont pas les seules conséquences possibles de l’exposition aux ondes de téléphonie mobiles. Une étude récente a montré que conserver son téléphone dans sa poche pouvait avoir des effets sur les spermatozoïdes en réduisant leur mobilité et leur viabilité – publication septembre 2014-. Une autre étude a montré que l’usage du téléphone pendant plus d’1h par jour ou pendant la recharge entraînait une concentration anormale des spermatozoïdes – publication septembre 2015–
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le blog de Daniel Hue riverain des antennes relais de Crouy-sur Ourcq
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A.A.V.E.C.
Association d’acteurs valorisant les engagements citoyens
Pollution électromagnétique – information jusqu’au 15 juin 2020
Information 5 G depuis le 15 juin 2020