ANTIVAX TOI-MÊME !

 

 

manifestation à Besançon  le 11 septembre 2021

paru le 24 novembre 2022

Avec les vaccins anti-Covid, on nous avait promis  » le retour à la vie normale « . Mais la vaccination de masse n’a pas arrêté l’épidémie. Des effets indésirables sont apparus, parfois graves. Ceux qui avaient émis des doutes ont été ignorés ou traités d’antivax. Et, pourtant, le questionnement comme la critique sont permis, voire nécessaires…

La vaccination est redevenue un sujet d’actualité qui divise la société, mais aussi les familles. Cet ouvrage a pour objectif de permettre à chacun de se faire sa propre opinion sur les vaccins.

Xavier Bazin y analyse le cas des vaccins anti-Covid, mais aussi des autres vaccins (grippe, rougeole, variole…) et démêle sans tabou toutes les influences qui faussent le débat. Il démontre comment l’allégeance au  » dieu Vaccin  » est devenue une caractéristique majeure du monde médical, du monde de la recherche scientifique, du monde médiatique et politique.

Dans cette nouvelle enquête, éminemment riche de références et d’études scientifiques, Xavier Bazin nourrit les éléments d’un débat qui doit rester ouvert.

Qui est Xavier Bazin, l’auteur de ce livre  ? 

Sur son site Xavier Bazin se présente ainsi :

« Doté d’une solide formation initiale en sciences sociales acquise à Paris, il a travaillé dans des domaines divers, jusqu’à ce qu’il soit touché par des problèmes de santé.

Au pic de ses difficultés, Xavier Bazin a été contraint de se mettre à mi-temps dans son travail. Il s’est alors plongé corps et âme dans la compréhension du corps humain. A la recherche de solutions, il a passé des années à lire méthodiquement une somme monumentale d’écrits et d’études scientifiques sur la santé.

C’est ainsi qu’il a découvert les angles morts de notre système de santé et les bienfaits de la médecine intégrative. Depuis, il s’efforce de partager ce savoir avec le grand public, notamment à travers ses articles répertoriés sur ce site, accessibles à tous. »

Hervé Bazin  coordonne aussi   la revue Santé, Corps, Esprit

 

 

 

Partie 1 – Vaccins anti-covid la grande désillusion

ch 1-De la « baguette magique  » à la déconfiture

En janvier 2021 on nous a dit que les vaccins étaient la seule solution.

En avril 2021 : une première inflexion : il faudrait 90% de vaccinés et non 60% pour espérer retrouver une vie normale.

Douche froide à l’été 2021 : Andrew Pollard directeur de l’Oxford Vaccine Group reconnaît qu’avec ce variant delta, l’immunité collective n’est pas possible à atteindre car ce variant infecte les individus vaccinés.

Printemps 2022 : l’épreuve de vérité – les vaccinés ont plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés pour les 60-79 ansobservation à partir du mois de mars 2022. ( sur covidtracker)

L’éradication totale a toujours été un conte de fées : impossible d’éradiquer une maladie qui a autant de réservoirs animaux. Par ailleurs, un vaccin injecté dans le muscle a peu de chances d’empêcher la transmission d’un virus respiratoire. Pour bloquer la transmission il faudrait un vaccin…nasal : pour une réponse locale il faut une immunité locale, expose Nathalie Mielcarek, directrice de recherche à l’Inserm.

L’incompréhensible tromperie sur l’immunité naturelle : la professeure émérite d’immunologie Brigitte Autron a déclaré en janvier 2021 : Nous pensons que l’immunité induite par les vaccins sera plus solide et durable que celle qu’entraîne l’infection.

De façon générale il n’y a aucun cas dans l’histoire de la vaccination que le vaccin est plus immunisant que la maladie.

Enfin comme le précise le chercheur Eric Billy dans la presse en janvier 2021, : l’idéal c’est de faire une campagne de vaccination massive quand le virus circule très faiblement. Quant le virus circule beaucoup, il, existe un risque d’immunité incomplète qui pet générer une pression de sélection sur le virus.

Plus personne (ou presque) ne veut se faire injecter un rappel de vaccins – 24 octobre 2022

ch 2 – La vaccination anti-covid a t-ell aussi échoué à empêcher les formes graves ?

A l’été 2021 les médias martelaient que «  8 décès sur 10 sont des personnes non vaccinées » ou « 4 patients hospitalisés sur 5 n’étaient pas vaccinés« , enfin « 94% des patients en réanimation ne sont pas vaccinés« .

pas de preuve scientifique formelle :

il ya de gros risques que ceux qui se font vacciner soient très différents de  ceux qui ne le sont pas. Cette comparaison entre vaccinés et non vaccinés ne correspond pas aux fameux « essais randomisés contre placebo ». Ce ne sont pas des preuves scientifiques.

Les populations les plus à risque sont « non vaccinées » :

Une étude britannique parue dans Nature conclut que les patients avec des maladies mentales sévères ont de plus grands risques de mourir du covid.

des vaccinés comptabilisés comme des non-vaccinés :

L’AP-HP a fini par reconnaître que : « la définition des vaccinés c’est au moins deux doses » ce qui veut dire que des vaccinés avec une dose ont été comptés dans les statistiques comme non vaccinés.

Pourquoi faut-il regarder les chiffres « globaux » :

Si la vaccination était efficace on aurait dû  constater une diminution  des chiffres globaux de décès due à la vaccination. Mais ce n’est pas le cas, la courbe de décès continue d’augmenter au même rythme en 2020 et 2021 et même, aux Etats-Unis, il y a plus de morts covid en 2021 qu’en 2020. La seule rupture est avec Omicron en 2022.

Au Portugal, un des pays les plus vaccinés de la planète, au début juin 2022 le pays subit une vague meurtrière qui le place au sommet mondial des morts covid par habitants.

Le docteur Antony Fauci, spécialiste américain des maladies infectieuses, dit en avril 2020  qu’il y a de nombreux vaccins ou celui-ci au contact du virus provoque une aggravation de la maladie.

On commence à comprendre que les vaccins peuvent créer une « empreinte immunitaire » durable mais qui vous fait moins bien lutter contre un variant.

l’Agence européenne des médicaments – EMA- s’inquiète … puis se tait

En janvier 2022 le chef de la stratégie vaccinale de l‘EMA a reconnu que « si nous donnons des rappels tous les quatre mois nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire. Nous devons donc veiller à ne pas surcharger le système immunitaire par des vaccinations répétées. (Midi libre 12 janvier 2022)

Ch 3 – Des vaccins sans danger, vraiment ?

Avalanche d’effets indésirables signalés aux autorités

Auditionnée par le Sénat, la directrice de la surveillance de l’ANSM a reconnu l’énormité de ce qui se passait :  A la mi-novembre ( 2021), nous atteignons 110 000 déclarations d’effets indésirables rien que sur le vaccin Covid contre 45 000 tous médicaments confondus pour une année normale cf senat.fr

Graves crises cardiovasculaires

La dangerosité des vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson a été confirmée par une étude française de l’ANSM sur les 18-74 ans pour les deux semaines qui suivent l’injection ( epi-phare.fr)

Pour les vaccins ARN Pfizer et Moderna une toxicité cardiaque a également été reconnue : il a été admis que ces vaccins augmentaient le risque de myocardite en particulier chez les hommes jeunes et la France a déconseillé le vaccin Moderna chez les moins de 30 ans et Taïwan a suspendu le vaccin Pfizer chez les adolescents.

« On fait une erreur avec ces vaccins »

Dès le mois de juin  2021 le professeur canadien Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, déclare que ses nouvelles recherches et travaux l’ont mené à faire des découvertes importantes sur le virus et en particulier la protéine Spike. Il estime que l’on fait une erreur avec ces vaccins car la protéine spike produite par le vaccin est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme.  (France Soir )

Les chercheurs ont rapidement observé que la protéine spike du virus pouvait s’attacher aux récepteurs ACE2 de nos plaquettes et causer de l’hypercoagulation et donc causer des caillots sanguins et thromboses qui peuvent provoquer embolies pulmonaires et AVC.

conclusions : Nos découvertes ont mis en valeur une nouvelle fonction du SRAS-CoV-2 sur l’activation des plaquettes via la liaison de Spike à ACE2. L’activation plaquettaire induite par le SRAS-CoV-2 peut participer à la formation de thrombus et aux réponses inflammatoires chez les patients COVID-19(jhoonline)

On nous dit, pour nous rassurer, que le vaccin restait au point d’injection donc dans le muscle mais ce n’est pas vrai. On a rapidement observé qu’une partie du vaccin se retrouvait tout de même dans d’autres organes (cf academic.oup.com -article 20 mai 2021)

ARN messager : une toxicité connue

En 2016, on pouvait lire dans le journal médical Stat News à propos de Moderna : Il est extrêmement difficile  de faire entrer l’ARN dans les cellules sans déclencher de graves effets indésirables. Si Moderna y parvenait cela pourrait permettre de traiter des cancers rares.

Au milieu des années 2010 Moderna a décidé de travailler sur les vaccins :  seules les molécules ARN ont du mal à atteindre leur cible. Elles fonctionnent mieux enveloppées de nanoparticules de lipides. Mais ces dernières peuvent engendrer de dangereux effets secondaires surtout su le patient doit prendre des doses répétées au fil des mois ou des années.

Moderna et BioNTech se sont alors tournés vers les vaccins qui ne sont pas censés être trop répété et donc déclencer  trop d’effets indésirables.

En 2020 et en quelques mois, les vaccins ont été mis sur le marché.

 

 

Partie 2 – Les trois grands mythes vaccinaux

« l’édifice vaccinal est construit sur du sable  » -article du 31 octobre 2022″

Mythe n° 1 – L’éradication des maladies infectieuses par les vaccins

Il est exact que la variole a disparu de la surface du globe depuis 1979. Mais ce n’est pas vraiment la vaccination qui a permis cette avancée et c’est l’OMS qui le dit dans dans un rapport qui détaille les raisons de ce  succès ( cf rapport OMS page 33)

« les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays, mais échouèrent dans la plupart... la stratégie …privilégiait également la surveillance. »

les antivax de Leicester ont-ils eu raison ?

En 1885, à Leicester, le peuple se rebelle contre l’establishment médical. Après de grande manifestations, les citoyens ont aboli la vaccination obligatoire contre la variole. Ils étaient persuadés que des mesures simples d’hygiène, d’isolement des malades, de désinfection de l’habitat, devaient suffire.

Leicester s’est retrouvé stigmatisé devant cet affront au progrès … comme la Suède en 2020 qui a refusé le confinement strict contre le covid.

Dans les 50 ans qui ont suivi, Leicester a connu plutôt moins de cas et moins de morts de la variole que les autres grandes villes industrielles vaccinées. ( cf les chiffres chapitre 6 du chef-d’oeuvre de Suzanne Humphries et Roman BystrianykVaccination, la grande désillusion ! Maladies infectieuses, épidémies et vaccins : la réalité des chiffres officiels – 15 juillet 2021

ces maladies qui ont disparu…sans vaccin

Pensez à la peste, à la gale ou encore à la lèpre, à la scarlatine. Ces maladies ont-elles disparu grâce à la vaccination ?

Il n’y a pas eu de vaccination contre ces maladies, même chose pour la fièvre typhoïde.

D’autres maladies infectieuses, comme la rougeole ou la coqueluche, n’ont pas disparu au XX ième siècle mais sont devenues presque inoffensives sans vaccin. cf BMJ journal

Mythe n° 2 – Les vaccins sont fondés sur la science

Pas d’essais randomisés pour des vaccins obligatoires

Il n’y a jamais eu d’essai clinique fiable sur les principaux vaccins infantiles  injectés depuis 30 ans : DTP (diphtérie, tétanos, polio), BCG ( turbeculose), ROR ( rougeole, oreillons, rubéole) ( cf le livre sur les vaccins du dr de Lorgeril). Faute d’essai clinique, on se contente d’études observationnelles purement statistiques.

On ne sait pas comment fonctionnent les vaccins . Jean-François Saluzzo est virologue et expert auprès de l’OMS et il a été pendant 10 ans directeur de la production des vaccins chez Sanofi.

Lors d’un cours en 2011 à l’hôpital du Val-de-Grâce, il dit : Pour finir comment faire un vaccin ? On ne sait pas le faire. Chaque fois qu’il y a un virus nouveau c’est un problème.

Le meilleur exemple est le VIH. En 1984, Robert Gallo et son équipe américaine disent : on a le virus et dans 2 ans on a le vaccin. Trente ans après, il n’y a toujours pas de vaccin.

Une des raisons essentielles est qu’on ne sait pas comment marche un vaccin et il conclut que si on veut faire des progrès en la matière il faut étudier la réponse immunitaire.

le système immunitaire, ce continent mal connu de la médecine

Le système immunitaire est d’une complexité inouïe comprenant au moins 15 types de cellules différentes en interaction qui crachent des dizaines de molécules différentes dans le sang et nous ne savons pas ce que font ou devrait faire la majorité d’entre elles. (cf archive Stanford)

L’immunité collective : encore un mythe ?

Plusieurs études ont démontré que 2 à 10% des personnes injectées avec 2 doses du vaccin contre la rougeole n’arrivent pas à développer des niveaux protecteurs d’anticorps.( cf PMC Pub Med central)

En 1989 par exemple, 1400 cas de rougeole se sont déclarés à Québec dans une population vaccinée à 99%.

Quand les microbes s’adaptent, rien ne va plus

Souvent la vaccination laisse le champ libre à d‘autres souches. Exemple avec le Prevenar 7 qui visait au départ  7 sous-catégories de pneumocoques mais sous l’influence de celle-ci, d’autres stéréotypes sont apparus et aujourd’hui le Prevenar 13 combat 13 sous-catégories.

Mythe n° 3 – Les vaccins sont « sûrs et sans danger »

*Ce sont les travaux du professeur Romain Gherardi qui m’ont ouvert les yeux. Il raconte dans son livre Toxic story comment il a découvert par hasard la dangerosité de l’aluminium vaccinal… et comment ses travaux ont été étouffés. Puis grâce au dr de Lorgeril et son livre analyse scientifique de la toxicité des vaccins paru en 2019 j’ai découvert une série d’études choquantes sur le vaccin DTp utilisé en Afrique et Asie. ( le « DTp » contient le vaccin contre la coqueluche à la place du vaccin contre la polio dans le DTP). Avec les études sur ce vaccin réalisées en Guinée-Bissau, le dr Peter Aabi a montré que les enfants vaccinés mouraient 2 fois plus que les enfants non vaccinés.

Des dizaines de milliers de morts

En chiffres absolus, ces résultats indiquent que l’utilisation du DTp en Afrique subsaharienne pourrait coûter la vie à des dizaines de milliers de vie de petites filles chaque année.

Le professeur Montagnier avait publiquement exprimé son inquiétude :

La somme des vaccins, utilisés trop tôt chez les nouveau-nés, peut déclencher une réponse inflammatoire puissante, pouvant entraîner la mort subite du nourrisson.

Les autorités sont juges et parties

Le problème est structurel. L’avocat Philippe Courtois déclare : citez moi un seul scandale sanitaire révélé par l’Agence du médicament – ANSM– ! Il n’y en a aucun.

Pour le sang contaminé ce sont les victimes qui ont saisi la justice. Tout comme pour l’hormone de croissance, les prothèses PIP, la Dépakine, le Gardasil, les pilules contraceptives… Le Mediator est un cas à part puisque c’est le médecin Irène Frachon qui a lancé l’alerte. C’est le seul cas. – cf article Usine Nouvelle

 

 

Partie 3 -Experts et autorités : aveuglement « provax »

ch 4 – l’aveuglement volontaire

l’aveuglement volontaire

En 2022, tous les scientifiques sérieux acceptent l’idée que Sars-Cov-2 a été créé en laboratoire.

Sur France 5 le journaliste Patrick Cohen a même présenté un long édito défendant la piste du virus fabriqué artificiellement. ( cf la vidéo de la présentation de Patrick Cohen)

Pourtant, 27 spécialistes avait écrit en février 2020 dans the Lancet  qu’ils condamnaient fermement la piste du laboratoire. On apprendra plus tard que sur les 27 scientifiques, 26 avaient des liens plus ou moins directs avec le laboratoire de Wuhan et l’initiateur de l’article Peter Daszak n’était autre que le président d’une organisation qui finançait directement le laboratoire de Wuhan.

Le professeur Montagnier, en avril 2020, a décelé des séquences du VIH dans le coronavirus et de fait en a conclu à la preuve manifeste de la manipulation en laboratoire. Immédiatement les virologues du monde entier lui sont tombés dessus car ses conclusions  rejailliraient négativement sur toute la profession.

 

ch 5-Les autorité de santé ont un problème avec la vérité

Mercure vaccinal et autisme : les autorités ont camouflé le lien

L’affaire se passe en 1999 aux Etats-Unis. Depuis une dizaine d’années, les cas d’autisme et de troubles neurologiques sont en explosion.

Il se trouve que le calendrier vaccinal des nouveau-nés a été fortement alourdi notamment avec le vaccin contre l’hépatite B.   Or ce vaccin contenait un conservateur appelé thiomersal qui n’est rien d’autre que du mercure.

Un épidémiologiste qui travaille au CDC -principale autorité sur les maladies infectieuses- Thomas Verstraeten, constatent que les enfants de moins d’un mois qui avaient reçu les plus importantes doses de mercure avaient 7 fois plus de risque d’autisme et seulement 2 fois plus lorsque le vaccin était injecté à 3 mois.

Après études du CDC, on se rendit compte que les « spécialistes » avaient négligé l’effet cumulatif  du mercure au cours des doses successives !  Ils décidèrent d’étouffer l’affaire :  le CDC supprima le rapport Verstraten et ce dernier … fut embauché par le géant des vaccins, GSK.

les autorités sont juges et parties

L’avocat Philippe Courtois dit que l’ANSM est « une alarme qui ne sonne jamais. » Aucun scandale sanitaire n’a été révélé par elle : sang contaminé, hormone de croissance, prothèse PIP, Dépakine, Gardasil, pilules contraceptives sont des scandales révélés par les victimes. Seul le Médiator a été révélé par un médecin, Irène Frachon.

ch 6 – L’OMS sous influence : le rôle de Bill Gates

A l’automne 2021 le professeur Raoult a mis les pieds dans le plat :

L’OMS est beaucoup achetée par Bill Gates. Beaucoup. La politique vaccinale du monde est dirigée par Bill Gates depuis une quinzaine d’années, d’abord par le GAVI ( Alliance du vaccin) et ensuite par l’OMS. ( cf interview sur BFMTV novembre 2021)

L’objectif officiel de Global Health Investment Fund, le fonds de Bill Gates, est double : identifier les projets de santé qui peuvent sauver un maximum de vies… mais aussi avoir un retour sur investissement maximal.

Leur stratégie est de fabriquer des vaccins à moindre coût… et ensuite faire un maximum de volume.

Comment Bill Gates a acheté l’OMS

Le professeur Christian Perronne qui a été vice-président du comité de l’OMS  sur la politique vaccinale européenne  témoigne de cette dérive :

« J’ai travaillé à l’OMS pendant des années et j’ai vu comment Bill Gates et le GAVI ont infiltré l’OMS… et petit à petit a acheté l’OMS » ( sur GTTR/streaming / ppbjdd5f87)

Le problème est bien expliqué par Lawrence Gostin directeur de faculté à l’Institut O’Neill de l’Université de Georgetown aux Etats-Unis :

« L’OMS n’est plus en position de fixer ses priorités de santé globale en étant pareillement redevable à un acteur privé… et la fondation de Bill Gates n’endosse aucune responsabilité. »  ( sur Swissinfo.ch 11 mai 2021) 

Pour 2018-2019, La fondation Bill & Melinda Gates Foundation  a contribué à 9,8 % au budget de l’OMS et le GAVI -où siège cette fondation au conseil d’administration -et qui a contribué à sa création en 2000-  représente  8,4% de ses recettes soit au total pour la fondation et le GAVI  18,2% des recettes de l’OMS  contre  seulement 14,7% pour les USA premier contributeur des états  !

Vers un carnet de vaccination injecté sous la peau ?

En 2018 le GAVI s’est enorgueilli d’être partenaire du  » centre pour la quatrième révolution industrielle du Forum économique mondial  » ( cf GAVI.org)

Pour le GAVI : « Nous voulons acheminer les vaccins vers chaque personne ( dans les pays en développement) Un problème est qu’un quart des enfants ne sont pas recensés. Nous voulons lier le certificat de vaccination à l’identité numérique et être capable d’utiliser l’identité numérique pour suivre les naissances. »

Un projet d’identité numérique mondiale, contenant le statut vaccinal

Gavi est aussi l’un des fondateurs et partenaires de ID 2020, une ONG qui veut « offrir » l’identité numérique à tous les citoyens du monde.

Dès 2019, le Gavi a lancé  au Bangladesh  un programme ambitieux dont l’objectif explicite est de lier l’identité numérique au statut vaccinal afin de permettre aux personnes vaccinées de prouver qu’elles ont bien reçu le vaccin.

Un influence tentaculaire sur la santé mondiale

Le nombre de leviers dont dispose Bill Gate sur la santé mondiale est considérable :

Bill Gates est le principal financeur du fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.

C’est la fondation Bill et Melinda Gates qui pilote le COVAX, organisation internationale censée promouvoir l’accès des pays pauvres aux vaccins anti-covid.

La Fondation Gates finance massivement les recherches scientifiques et même des institutions scientifiques comme la Cornell Alliance for Science.

La Fondation Gates est un grand client du cabinet McKinsey – cf Mc Kinsey France lequel a infiltré en quelques années la santé publique mondiale. ( cf covidhub.ch)

ch 7- Les états face à la menace des  armes biologiques

De 1945 à 1972, premier âge d’or des armes biologiques

C’est la seconde guerre mondiale qui a lancé l’avènement des armes biologiques. Par exemple en 1944, l‘unité 731 au Japon – unité secrète de recherche scientifique- a préparé le plan cerisiers en fleurs dans la nuit visant à asperger la côte ouest des Etats-Unis d’insectes porteurs de la peste.

De même, les alliés avaient installé au Canada un laboratoire ultra-secret pour fabriquer une arme biologique de destruction massive, à savoir des bombes à anthrax dont 5000 seront envoyées en Angleterre.

Il y avait aussi un volet défensif à ces armes et l’armée américaine avait fabriqué un million de doses d’un vaccin contre la toxine botulique craignant l’usage de cette bactérie comme arme biologique par les allemands.

Les russes aussi ont cherché à se protéger contre la toxine botulique.  Pior Burgasov qui a travaillé avec Beria sur ces programmes a déclaré : nous avons décidé de vacciner la population soviétique et nous avons inclus ce nouveau vaccin dans le vaccin usuel contre la polio de telle manière que personne n’en sache rien.

Depuis 1972, les grandes armées n’ont pas renoncé aux armes biologiques

En 2001, le New York Times révélait l’existence d’un programme secret au Pentagone pour produire par génie génétique un microbe capable de répandre l’anthrax.

Les armes biologiques, sous couvert d’une maladie endémique ou naturelle, offrent à l’agresseur la possibilité d’un déni plausible. Le traité de non-prolifération de 1972  n’exclut pas les recherches « défensives » dès lors que l’objectif est de créer un vaccin.

Le SARS-COV-2 serait-il issu de recherches sur des armes biologiques ?

C’est la thèse initiale d’une lanceuse d’alerte chinoise, virologue à Hong Kong en 2020 et réfugiée aux Etats-Unis depuis.

Il est clair que nous sommes dans un monde où les armes biologiques sont une menace militaire sérieuse. La preuve la plus évidente est la vaccination de l’armée américaine contre la variole et l’anthrax au tournant des années 2000.

Un spécialiste français du renseignement a déclaré à l’auteur que les centres de recherche sur les maladies infectieuses étaient des nids d’espions.

La technologie des vaccins à ARN, un enjeu militaire ?

C’est un enjeu militaire majeur de pouvoir disposer de vaccins dont la conception et la fabrication massive sont extrêmement rapides pour faire une attaque imprévue. Si l’on approche d’une ère de vaccins synthétiques nous ne serons plus dépendants de vaccins qui doivent être cultivés sur autre chose ( des oeufs ou des cellules) – réponse du directeur du BARDA autorité sanitaire américaine chargée  des mesures médicales contre le bioterrorisme.

 

Partie 4 -Big Pharma et la science des vaccins

Ch 8- Pourquoi le marché des vaccins est stratégique pour Big Pharma

En 2011, Mc Kinsey a sonné l’alarme : Les beaux jours de l’industrie pharmaceutique sont terminés pour toujours … les contraintes augmentent alors que l’industrie montre peu de signes d’être capable de livrer assez d’innovations pour les compenser.

La réalité est que les innovations réellement bénéfiques pour les patients sont rares depuis 50 ans.

Le professeur Raoult lors d’une rencontre en 2020 disait :  » honnêtement 90 ou 99 % des médicaments qui sont mis sur le marché depuis 20 ans ne servent strictement à rien.  »  ( interview avec l’auteur le 19 mai 22 à l’IHU de Marseille pour la revue Santé libre)

la fraude est presque toujours rentable

Le professeur Raoult a montré que sur les 19 entreprises les plus condamnées en justice aux USA, il y a 6 compagnies pharmaceutiques et parmi les 6 il y a 4 des 5 grands fabricants de vaccins : Pfizer, Merck, GSK et Johnson & Johnson.

Mais les manoeuvres frauduleuses payent.  Ainsi Johnson & Johnson a été condamné par la FDA à payer une amende de 2,2 milliards de dollars pour un médicament promu auprès de personnes vulnérables et handicapées et dont les ventes totales lui avaient rapporté environ 30 milliards.

L’immense avantage des vaccins pour Big Pharma

D’abord, les vaccins peuvent être potentiellement vendus à 8 milliards d’individus donc beaucoup plus que les médicaments réservés aux seuls malades…( note :  ou susceptibles de l’être).

Ensuite, la plupart des vaccins ne sont pas « généricables ». Ainsi le vaccin ROR ( rubéole, oreillons,rougeole) a généré 1,6 milliards de dollars pour Merk en 2017  40 ans après sa création.

Par ailleurs, les vaccins obligatoires ne nécessitent aucun frais de marketing. C’est le cas des vaccins anti-covid.

Pour toutes ces raisons, les vaccins sont largement plus rentables que les médicaments.

 

ch 9 – Comment Big Pharma manipule les essais cliniques vaccinaux

Les méthodologistes trichent comme des malades dit encore le professeur Raoult. ( les méthodologistes sont les spécialistes des essais cliniques)

On a vu au début de ce livre que les essais cliniques randomisés contre placebo sont le moyen le plus fiable d’évaluer l’efficacité d’un médicament. Le problème, c’est que l’industrie pharmaceutique s’est adaptée.

 

Ceci avait déjà été dénoncé dès 2009 par la docteure Marcia Angell, directrice du plus prestigeux journal médical au monde : The New England Journal of Medicine  – NEJM- :

Il n’est simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique qui est publiée. C’est la conclusion à laquelle je suis parvenue lentement et à contrecoeur après deux décennies passées à la rédaction du NEJM.

le professeur Philippe EVEN prend encore moins de gants :

Les essais cliniques chez les malades, tous financés sous contrôle des firmes, ne peuvent à 300 millions d’euros pièce, être négatifs. Aussi sont-ils TOUS et TOUJOURS falsifiés. A toutes les étapes, dopés, élagués, brossés, astiqués, vernissés ou parfois enterrés lorsqu’ils ne sont sauvables de façon à donner l’image la plus idyllique possible du nouveau médicament.

La pratique choquante des faux placebos

L’expression « contre placebo », pour les vaccins, devrait signifier injection d’eau salée.  La plupart du temps, il s’agit d’injection contenant de l’aluminium. C’est une manière de créer des effets indésirables qui vont ainsi, par comparaison avec le vrai vaccin, montrer que celui-ci est globalement sûr et efficace.

L’essai clinique Pfizer : un protocole objectivement scandaleux

Rappelons qu’un seul essai clinique a suffi à valider le vaccin de Pfizer BIO N Tech.

Il s’agissait en plus, d’un virus totalement nouveau et d’une technologie nouvelle ( ARN m)

Le vaccin a été fabriqué en quelques mois et il a été injecté à des centaines de millions de personnes.

L’essai clinique n‘a pas évalué l’impact du vaccin sur le risque de transmission du virus.

Et le risque de mourir ou de faire une forme grave  n’a pas été mesuré.

Ces deux critères sont pourtant les plus pertinents pour juger de l’intérêt d’un vaccin.

Pour ne rien arranger, Pfizer a choisi de tester  les patients qui avaient le moins de risques de forme grave de la covid 19. ( son essai ne contenait que 4% de personnes de plus de 75 ans). L’essai n’a testé non plus, aucun patient en Ehpad.

De toute façon, le nombre limité de participants – deux groupes de 20 000- ne permettait pas de détecter un effet indésirable sur 10 000 injections.

Cette faille était encore plus manifeste pour l’essai clinique sur les enfants de 12 à 15 ans.  Il ne comportait que 2260 patients et donc il ne pouvait déceler un effet indésirable grave pour 1000 injections.

En plus, l’essai clinique n’a strictement rien fait pour évaluer les effets indésirables retardés. Il était pourtant possibles de mesurer certains biomarqueurs qui peuvent indiquer une dégradation lente de la santé ou des risques à venir comme le D-dimètre ( risque de coagulation), la CRP ( inflammation) les troponines ( risque cardiaque) ou d’autres encore.

Pfizer : en plus d’un protocole biaisé, des soupçons de fraude

Brokk Jackson est lanceuse d’alerte. Elle travaillait pour Ventavia qui conduisait avec d’autres sociétés, l’essai clinique de Pfizer.  Elle a témoigné de ce qu’elle a vu sur le terrain : ( cf article midi libre)

 » falsification des données »  » retard dans le signalement d’effets indésirables », patients désaveuglés ( leur statut vacciné ou placebo était connu)

Mais savez-vous quelle fut la réaction de la FDA au signalement  de la lanceuse d’alerte ?  Au lieu de dépêcher une inspection, la FDA transmit le dossier à Ventavia… qui  licencia la lanceuse d’alerte le lendemain de son action auprès de la FDA !

 

ch 10 – Des experts sous influence

Ce qui s’est passé à Washington le 28 juillet 2017 est une bonne illustration de la mainmise de l’industrie des vaccins sur les autorités de santé et leurs experts.

Ce jour là, la FDA  a réuni pour la troisième fois en 5 ans , un groupe de 15 experts pour rendre un avis officiel sur un nouveau vaccin adulte controversé, le Dynavax  contre l’hépatite B.

Il faut savoir que l’autre vaccin contre l’hépatite B, celui de GSK, l‘Engerix-B est aussi très controversé.

Dynavax était-il moins controversé que Engerix ?  Pas du tout !

Le nouveau vaccin a causé plus d’effets indésirables « immédiats » et plus d’effets graves que Engerix-B.

Sur 8000 patients au total, 9 ont développé des maladies immunitaires sérieuses – paralysie faciale dans 5 cas- contre un seul pour l’Engerix.

Plus inquiétant encore, il y a eu 7 infarctus, soit 1 infarctus sur 500 vaccinés avec le nouveau vaccin contre un seul pour l’ancien.

Pourtant, qu’ont conclu les experts ce jour là ? Ils ont conclu, à la quasi unanimité, que ce vaccin était « sûr » : 11 experts ont voté « oui », 1 seul a voté « non » et 3 se sont abstenus. Le vaccin a reçu sont autorisation de mise sur le marché américain… puis européen. Etonnant, non ?

Qui étaient les 15 experts qui l’ont approuvé ?  Un cas d’école !

Pas moins de 7 experts avaient des liens d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique et les géants du vaccin lui-même.

Pour les autres, c’est à peu près la même histoire et, par exemple, la présidente de séance qui a pris cette décision a des contrats de consulting avec Merck et a été membre des « conseils de suivi de sécurité des vaccins » de Sanofi, Moderna et Pfizer, entre autres.

Certes, sur les 15 membres au total, il y avait aussi 8 membres qui n’avaient pas de conflit d’intérêts manifestes. Mais ils avaient tous un point commun : ils étaient fonctionnaires de la FDA, du CDC ou NIH ( les autorités de santé américaine) et on verra, section suivante, qu’ils ne sont pas exempts de l’influence corruptrice de Big Pharma.

Les fonctionnaires aussi sont des proies faciles pour Big Pharma

Il y a un moyen simple pour les multinationales de s’attirer les faveurs des fonctionnaires, c’est de leur promettre des postes très rémunérateurs.

Prenez le scandale de Purdue Pharma   condamnée à des milliards de dollars d’amende pour avoir causé des milliers de morts  avec son médicament opioïde addictif Oxycontin.

Ce scandale est né d’une décision très imprudente de la FDA.  Comme par hasard, le directeur de la FDA qui a supervisé l’approbation de ce médicament a été embauché 1 an plus tard chez… Purdue Pharma  avec un salaire annuel de $ 400 000.

Autre pantouflage retentissant : Scott Gottlieb, directeur  ( « commissioner » ) de la FDA  a rejoint en 2019 le board des directeurs du géant Pfizer.

Ce n’est pas pour rien qu’on parle du fléau des « portes tournantes » ( » revolving doors« ) entre les autorités sanitaires et l’industrie pharmaceutique.

C’est ainsi que la plupart des « leaders d’opinion » en matière médicale – médecins, universitaires ou fonctionnaires – sont influencés par Big Pharma.

La corruption des experts est systématique

Tout était dit dans un rapport officiel de la Chambre des communes britannique en 2005 :

 » Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques « ( rapport de l’influence de l’industrie pharmaceutique -chambre des communes du Royaume Uni )

Une saisissante synthèse des effets de la « corruption légale » a été publiée en 2022 dans le journal médical BMJ Open :

Les essais cliniques et les méta-analyses financées par l’industrie pharmaceutique ont une probabilité plus grande de conclure que leur produit est efficace, par rapport à des études indépendantes.

Il a été montré que les transferts de valeur ( NDA : les cadeaux) aux médecins sont associés à des prescriptions plus chères, plus fréquentes et de moins bonne qualité.

Les recommandations cliniques, à la fois de diagnostic et de traitement, peuvent aussi être influencées, puisque leurs auteurs ont souvent des liens avec l’industrie.

 

Partie 5-Revues médicales, médias et politiques : ni débat ni contre-pouvoir

ch 11 – Les revues médicales écartent les travaux qui dérangent

En juin 2021, un journal médical de bon niveau, Vaccines, a publié une étude explosive sur les vaccins anti-Covid.

«  Pour 3 morts évitées grâce à la vaccination , nous devons accepter 2 morts causés par le vaccin... »

Quelques jours seulement après sa parution cette étude était rétractée. 

Des études défavorables aux vaccins, rétractées sans raison

Même histoire trois mois plus tard en septembre 2021 :

Le professeur Mc Cullough, cardiologue et épidémiologiste de renommée mondiale, ayant publié plus de 650 études scientifiques dont une quinzaine sur la Covid, publie une nouvelle étude qui montre que les myocardites ( inflammations du coeur) causées par les vaccins sont beaucoup plus fréquentes qu’on ne le pensait : le vaccin multiplierait par 19 le risque de myocardite pour les enfants de 12 à 15 ans.

L’éditeur de la revue, Elsevier , a brutalement retiré l’étude.

Un mois après ce retrait, l’autorité de santé américaine a approuvé les vaccins anti-covid pour les 5-11 ans.  Le professeur Mc Cullough s’est élevé sans succès contre cette censure.

Avant la covid-19 une grave censure sur l’aluminium vaccinal

Le problème a commencé en Espagne en 2009 à propos d’une étrange maladie sur les moutons.  Le professeur Lluis Lujan, médecin vétérinaire universitaire, conclut que l’origine est sans doute à chercher dans la campagne de vaccination des moutons contre le virus de la « langue bleue » des moutons.

Après de nombreux travaux le professeur Lluis Lujan finit par publier la preuve ultime fin 2018 : ce sont les moutons qui ont reçu de l’aluminium qui réagissent en hyper-excitation, agressivité ou au contraire prostration.

L’aluminium dans les vaccins pourrait donc avoir aussi des effets sur les humains.

Là encore, Pharmacoligical Research du groupe Elsevier a retiré cette étude.

choc : comment les revues scientifiques sont liées à Big Pharma

Pour comprendre il suffit de suivre les flux d’argent en commençant par la publicité.

Par exemple Santé Corps Esprit ou Santé libre ne contiennent pas de publicité.

Or les grands journaux médicaux pratiquent sans retenue le système très lucratif dit du « retirage« .

Voici la pratique : le fabricant qui bénéficie d’une publication favorable, achète des milliers d’exemplaires de la revue, entraînant ainsi un retirage de celle-ci. Or, un retirage massif peut générer jusqu’à 2 millions de chiffre d’affaires pour la revue. Ce n’est pas rien quand on sait le chiffre d’affaires de The Lancet qui est de 40 millions de dollars et celui de NEJM  de 100 millions. Il faut ajouter que les retirages ont un taux de marge  d’au moins 80%,  du fait notamment des frais d’impression très faibles.

Notons que les dirigeants de ces revues sont très bien payés, par exemple l’éditeur en chef de NEJM ( cf article Forbes de 2019) a gagné $703 324 par an soit 60 000 € par mois.

les mêmes actionnaires que Pfizer

The lancet par exemple appartient à Elsevier, elle-même filiale de la multinationale RELX Group dont les actionnaires sont essentiellement des grands groupes de gestion d’actif comme Black Rock. Ces fonds exigent un maximum de rentabilité de Pfizer. Black Rock est aussi l’actionnaire n° 1 de RELX group et l’un du top 10 de Pfizer.

Pire que ça, Vanguard Group est l’actionnaire n° 1 de Pfizer et aussi l’actionnaire principal de Black Rock.

La science vaccinale est irrémédiablement corrompue

On comprend bien qu’il y a un énorme problème avec tout ce que publient ces revues.

Vous vous souvenez sans doute de l’article frauduleux publié par the Lancet qui avait conclu que l’hydroxychloroquine  tuait 10% des patients de la Covid-19.

Cette étude, entièrement bidonnée, n’était pas un accident de parcours mais le résultat d’une corruption  systémique et voici ce qu’en a expliqué le professeur Raoult lors de son audition par les députés en août 2020 :

« La même semaine The Lancet reçoit 3 articles :

notre article sur 3700 patients où aucun mort n’est imputable à l’hydroxychloroquine,

l’étude fantasque des Pieds nickelés américains et dont tout le monde voit qu’elle n’était pas vraie

et une troisième étude de l’association internationale des rhumatologues.

Les gens de The Lancet ont rejeté les 2 études démontrant qu’il n’y avait pas eu d’accident avec l’hydroxychloroquine et ils ont retenu celles des Pieds Nickelés. »

(nota : l’étude publiée le 22 mai 2020 a finalement été retirée le 4 juin 2020 – cf journal le Monde))

 

ch 12 – La partialité de nombreux médias sur la vaccination

Ce matin là, en février 2022, le professeur de médecine Michaël Peyromaure « se lâche ». La scène se passe en direct sur Cnews :

 » Un peu plus de 130 000 effets indésirables ont été recensés dont 24% ont été considérés comme graves, soit 1 sur 4000, sans parler des effets secondaires à moyen et long terme.  C’est pour ça que le rapport « bénéfice-risque » paraît défavorable chez les jeunes, chez les personnes qui ont 30, 40, 50 ans et qui n’ont pas de comorbidité.

Ce vaccin contre le covid ne protège pas véritablement de la maladie, ou en tout cas  très peu de temps. Il protège uniquement des formes graves, mais pas à 100%. Et il ne protège pas ou très peu de la transmission.

... C’est quand même un drôle de vaccin ! « 

Sonia Mabrouk s’interroge :

 » Pourquoi ce n’est pas davantage médiatisé et mis au centre du débat ? »

Même au début de 2022, les discours comme celui du professeur Peyromaure étaient encore rarissime.

Le 6 mai 2022, lorsque Bill Gates  a été invité au 20 heures de France 2, des millions de français ont été victimes de sa désinformation :

Celui-ci a déclaré :

« Les vaccins ont sauvé des millions de vie »

Et puis, à la question de Thomas Sotto qui lui demandait ce qu’il faut répondre à ceux qui se posent des questions, Bill Gates a répondu : « si vous regardez ceux qui meurent de la Covid-19 ce sont les non-vaccinés. »

Bille Gates ne répond pas et profère une énorme contre-vérité car quelques jours plus tard les chiffres officiels de la DREES montrent exactement le contraire pour la France. Au cours des premières semaines d’avril 2022, 75% des morts avaient reçu au moins une dose de vaccin et sur 905 morts, 539 avaient même reçu trois doses de vaccin.

Pourtant, le journaliste n’a pas répondu et aucun « fact-checker » des grands médias n’a rectifié cette énormité sur une chaîne publique.

Comment une critique raisonnable devient un « délire antivax »

Autre exemple frappant : en janvier 2021, tout au début de la séance vaccinale, 700 médecins et professionnels de santé  suisses ont demandé un moratoire sur les vaccins.

Avez-vous entendu parler de cette demande de moratoire ? Non, ou alors de façon péjorative, comme dans le journal le Temps : « En Suisse, les soignants anti-vaccins montent au créneau » et avec un intertitre : « tentative de désinformation »

Les grands médias ne se contentent pas d’étouffer les voix critiques vis à vis des vaccins. Et quelques mois plus tard en juin 2021, le docteur Philippe Saegesser, initiateur de la tribune, a été traîné dans la boue par les médias comme avec ce titre : «  Les délires antivax d’un ponte de la médecine vaudoise.« 

BFMTV :  » Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs dont les noms font polémique »

Au printemps 2021 non seulement je n’ai été invité nulle part pour parler de mon livre «  Big Pharma démasqué ! De la chloroquine  aux vaccins, la face noire de notre système de santé » mais BFMTV est allé jusqu’à s’insurger que la Fnac l’ait mis en avant sur un de ses présentoirs !  C’est la principale mention si l’on excepte celles de France Soir et Sud Radio.

Non seulement les médias ne se contentent pas de refléter le consensus d’experts mais il contribuent à le façonner en choisissant qui a droit de s’exprimer.

Diabolisation des antivax

Dès le mois de juillet 2017 le Parisien a publié un grand article :

« Les figures de proue du mouvement antivaccins en France » avec cet intertitre ravageur ;  » Dans le monde médical : leur gourou, le professeur Henri Joyeux. « 

Or, le professeur Henri Joyeux n’est ni un gourou, ni un anti-vaccins. C’est un grand professeur, indépendant de l’industrie pharmaceutique et qui a publié des dizaines de livres en faveur d’une médecine moins centrée sur le médicament.

Quant au professeur Montagnier, pourtant prix Nobel de médecine, il a eu droit à des articles de presse assassins dès qu’il a osé abordé le sujet tabou de la mort subite du nourrisson. Exemple le Figaro du 17 novembre 2017 : « le lent naufrage scientifique du professeur Luc Montagnier. « 

Qui possède les médias ?

Avec le déclin du modèle publicitaire, les grands médias sont devenus de plus en plus dépendants de ceux qui ont l’argent : l’état et les milliardaires.

En pleine crise covid, l’état a débloqué pas moins de 2 milliards pour les médias.  ( cf journal les Echos)

Le journal Libération a ainsi calculé qu’en France : » Huit milliardaires et deux millionnaires possèdent une vingtaine de titres, pèsent 81% de la diffusion des quotidiens nationaux et 95% de celle des hebdos nationaux généralistes. »

De même, dans l’audiovisuel, sur 13 chaînes d’information généralistes, 8 sont détenues par des milliardaires et les 5 autres sont des chaines publiques financées par l’état.

Cela devrait faire réfléchir.

Les médias sous influence des RP – relations publiques-

Pour comprendre, revenons sur l’Event 201 qui a eu lieu le 18 octobre 2019 à New-York.  Il s’agissait d’un événement organisé par la Fondation Bill Gates.

L’objectif était de simuler une pandémie mondiale pour mieux s’y préparer. A peine 3 mois avant l’épidémie du covid, le scénario était étrangement clairvoyant : il s’agissait d’une épidémie provenant d’un coronavirus de chauve-souris.

L’importance de Event 201 démontre  l’importance donnée au contrôle de l’opinion publique.

Autour de la table, il y avait Matthew Harrington directeur exécutif d’Edelmann la plus grande entreprise de « relations publiques » mais aussi un ancien cadre de la CIA.

Les deux ont conclu séparément  : il faut « inonder la zone ». C’est précisément le rôle des entreprises de relations publiques.

Tout est expliqué le 21 juin 2022 dans cet article sur le site de Fakirpresse : c’est la confession d’un journaliste qui a écrit pendant des années des articles en free-lance pour le compte d’une agence de Relations publiques Public Relation Agency  : Moi, journaliste fantôme au service des lobbies

 » En six années de collaboration avec l’Agence, je leur ai pondu 595 articles, sur toutes les thématiques dont pour certaines je ne savais rien.  Tous mes articles ont échoué sur des sites d’information spécialisés, alternatifs, ou sur les blogs de médias reconnus : Médiapart, Huffington Post, Les Echos…

A la même période on me commande de plus en plus d’articles sur le glyphosate dans le but de décrédibiliser le centre international de recherche sur le cancer – CIRC- 

Dans mes titres j’annonce la couleur avec par exemple   : « le périlleux numéro d’équilibriste du CIRC « 

 » je suis un bon producteur de désinformation, le parfait bras armé des lobbyistes et chaque jour je les retrouve en tête des résultats su Google Actualité ».

Tout cela donne une idée du monde des « relations publiques » ; ces firmes n’ont aucun scrupule à diffuser massivement les messages de leurs clients puissants fussent-ils trompeurs ou illégaux.

L’AFP : agence fake presse ?

Pour le chercheur Laurent Toubiana :  l‘AFP se drape dans sa dignité d’intouchable de l’information juste, vraie et bonne, cette agence est en réalité un pourvoyeur officiel de fake News.

Par exemple, en avril 2020 lorsque le professeur Montagnier a découvert les inserts du VIH dans le coronavirus, preuve d’une manipulation en laboratoire, l’AFP dégaine une réponse assassine :

 » La théorie selon laquelle ce virus est issu de manipulations génétiques circule depuis longtemps et a été démentie d’après les analyses du génome du virus communiqué par les chinois. »

En réalité cette thèse n’a jamais été démentie par les faits.

L’indépendance de l’AFP est un mythe !  Elle est financée à au moins à 50% par l’état.  C’est la voix de la France.

L’AFP a annoncé en septembre 2019 être partenaire de Trusted News Initiative – TNT-lancée par la BBC et à laquelle participe : The Washington Post, The Wall Street Journal mais aussi les grands réseaux sociaux : Youtube, Facebook, Twitter ainsi que Microsoft. L’objectif de TNT est de lutter contre la désinformation.

les fact-checkeurs nouveaux prêtres et gardiens du dogme.

 

Une alliance policière entre la presse et les grands réseaux sociaux.

En avril 2020 l’AFP lance un partenariat inédit avec Facebook en France et une campagne de vidéo contre les fausses informations.

Même chose en 2021 avec Google  pour lutter contre les fausses informations et échanger sur les faux contenus.

(note du rédacteur du site  : la lutte contre les fausses informations : en fait un méga-moyen de contrôler l’information, le fact-checking … au coeur de la désinformation)

Une interview de Xavier Bazin  sur Ligne droite à propos de la sortie de son livre ATIVAX TOI-MÊME !

Pour terminer, l’interview  du professeur Perronne

Christian Perronne déballe tout pour le Nouvel An !

La mise en cause du professeur Perronne  devant  le Conseil de l’Ordre -sur Wikipedia

Début  le Conseil national de l’Ordre des médecins dépose une plainte juridique contre six médecins, dont Christian Perronne, en raison de propos jugés controversés sur l’épidémie de Covid-19. De plus, l’infectiologue chef de clinique de l’hôpital Bichat-Claude-Bernard Nathan Peiffer-Smadja, porte plainte pour « dénigrement » devant le conseil de l’Ordre, envers le professeur Perronne qui a plusieurs fois cité son nom dans les médias et critiqué une étude produite par cet interne.

Le , il comparait devant la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins d’Île-de-France pour manquements au code de la santé : il est accusé d’avoir « fait courir un risque injustifié » aux patients par sa défense de l’hydroxychloroquin, et d’avoir tenu des « propos outranciers » et « anti-vaccin » durant la pandémie dans « la presse nationale, sur différents réseaux sociaux ainsi que dans son livre ». Notamment, Chrisitan Perrone a affirmé que les malades du Covid seraient une aubaine financière pour les médecins et il a proféré diverses accusations contre le Dr Peiffer-Smadja, notamment d’avoir publié une étude sans déclarer un conflit d’intérêt.

Le , cette plainte est rejetée en première instance, la chambre disciplinaire considérant qu’en tant qu’expert international, il avait légitimité à s’exprimer, et n’avait pas appelé à la violence ou tenu un discours antivax. Le Dr Peiffer-Smadja est « sanctionné d’un avertissement par la chambre pour avoir publié des tweets insultants et injurieux envers le Professeur Perronne », la chambre disciplinaire considérant qu’aucun propos discourtois n’avait été dit envers le Dr Peiffer-Smadja, et que celui-ci avait « juste été cité comme auteur d’une étude.

Le Conseil national de l’Ordre des médecins annonce faire appel de cette décision.

 

 

 

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