Deux approches fondamentalement différentes de la santé : l’une, la médecine officielle, combat le microbe comme élément dont l’origine est toujours extérieure au corps( Wikipédia : Les micro-organismes sont représentés par diverses formes de vie parmi lesquelles les bactéries, certains champignons microscopiques, les archéobactéries, les protistes ; des algues vertes microscopiques, des animaux du plancton, les planaires, les amibes… Certains microbiologistes y ajoutent les virus alors que d’autres ne les considèrent pas comme des êtres vivants à part entière. Quoi qu’il en soit, le monde vivant est essentiellement microbien),. L’autre approche, holistique, prétend que les déséquilibres d’origines physiques, émotionnelles, spirituelles de la personne peuvent entraîner les particules à la base de la vie, –appelées microzyma chez Béchamp, somatides chez Naessens ou protites chez Enderlein – à muter dans le corps ,devenir bactéries, virus, levures ou champignons. Dans cette approche, le travail médical devrait donc privilégier l’équilibre du terrain dans toutes ses dimensions physiques, émotionnelles, spirituelles plutôt que la lutte contre ces micro-organismes qui vont disparaître si le terrain est rééquilibré. Deux approches de la médecines s’affrontent, celle du monomorphisme ( les bactéries et virus n’existent que sous une même forme et même nature)et du pléomorphisme ( ces organismes peuvent varier dans leur forme et leur nature)
Voici l’histoire de ce combat qui commence au XIX ième siècle entre Pasteur et Béchamp et qui se prolonge encore aujourd’hui.
Marie Nonclerc – janvier 1982
Combien nombreux sont ceux qui se demandent : qui est Antoine Béchamp ?
La partie de l’« Histoire des sciences », qui traite de la découverte des maladies microbiennes conserve des zones d’ombre, où sont cachés des noms tels que ceux d’Ignace Semmelweiss, Jean Hameau, Casimir Davaine, Henri Toussaint, Pierre-Victor Galtier… et, dans le coin le plus sombre, celui d’Antoine Béchamp ; alors que ses conceptions, jugées « révolutionnaires » à son époque, se voient « découvertes » et mises en pratique de nos jours par les chercheurs les plus avancés de la biologie moléculaire, de l’immunologie, de la microbiologie, de la virologie. Pour les tenants de ces disciplines, il ne devrait plus faire de doute que, si leurs notions nouvelles ne recouvrent pas exactement celles du « microzyma », elles les ont, pour s’établir, largement utilisées.
Telle est l’opinion de Marie Nonclercq, docteur en pharmacie, étayée par des documents solides, souvent inédits, puisés dans les archives officielles et familiales, ainsi que dans divers manuscrits exhumés des bibliothèques.
Ce livre, d’après le Docteur Georges Schaff, (cf thèses dirigées) Professeur de physiologie à la Faculté de médecine de Strasbourg, est un écrit original et captivant, qui retrace les péripéties surprenantes d’une belle page ignorée de l’« Histoire des sciences et de la médecine au XIXe siècle ».
Il fait sourdre l’eau vive, où nombre de savants – et notamment Pasteur – se sont abreuvés fructueusement et clandestinement.
C’est le récit d’une histoire douloureusement vécue, aussi passionnant qu’un roman.
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les travaux et conférences de Antoine Béchamp sur data.bnf.fr
1848 : Recherches sur l’isomérie dans les matières albuminoïdes, par M. A. Béchamp
1851 : Concours pour l’agrégation. (Section de Chimie, physique et toxicologie). De l’Air atmosphérique considéré sous le point de vue de la physique, de la chimie et de la toxicologie. Thèse soutenue… Par P. J. A. Béchamp,… le mardi 7 janvier 1851, à six heures de relevée (1851)
1853 : Analyse qualitative et quantitative de l’eau minérale alcaline gazeuse de Soultzmatt… par M. A. Béchamp,… (1853)
1853 : Recherches sur la pyroxyline. Thèse de chimie présentée à la Faculté des sciences de Strasbourg et soutenue publiquement, le vendredi 9 août 1853… pour obtenir le grade de docteur ès-sciences, par P.-J.-A. Béchamp… (1853)
1856 : Notice sur les travaux scientifiques de M. P. J. A. Béchamp, Docteur en médecine,… à l’appui de sa candidature à la chaire de chimie médicale et de pharmacie, vacante à la faculté de médecine de Montpellier. Octobre 1856 (1856)
1856 : Essai sur les substances albuminoïdes et sur leur transformation en urée. (Cand. A. Béchamp) (1856
1857 : Faculté de médecine de Montpellier. Cours de chimie médicale et de pharmacie. Essai sur les progrès de la chimie organique depuis Lavoisier. Leçon d’ouverture. (Par A. Béchamp.) (1857)
1858 : Sur deux cas intéressants d’examen de taches de sang, par MM. E. René, G. Chancel et A. Béchamp, rapporteur (1858)
1859 : Sur les métaux qui peuvent exister dans le sang ou les viscères, et spécialement sur le cuivre dit physiologique, par M. Béchamp… (1859)
1861 : Étude chimique des matières glaireuses déposées dans les eaux de Molitg (Pyrénées-Orientales), par A. Béchamp et C. Saintpierre (1861)
1861 : De l’Intervention de la chimie dans l’explication des effets thérapeutiques des médicaments, par M. A. Béchamp (1861)
1861 : Nouvelle analyse chimique de l’eau thermale de Balaruc-les-Bains (1861)
1863 : Leçons sur la fermentation vineuse et sur la fabrication du vin, par M. Béchamp,… (1863)
1866 : Sur la maladie actuelle des vers à soie, sa cause et les moyens proposés pour la combattre, par M. A. Béchamp (1866)
1866 : Eloge historique de J. A. Chaptal, prononcé à la séance de rentrée des Facultés et de l’Ecole supérieure de pharmacie, le 15 novembre 1866 (1866)
1867 : Conseils aux sériciculteurs sur l’emploi de la créosote pour l’éducation des vers à soie (1867)
1867 : Analyse des eaux de Vergèze (sources des Bouillens, Dulimbert et Granier) (1867)
1867 : Du Rôle des organismes microscopiques de la bouche (ou de Leuwenhoech) dans la digestion en général, et particulièrement dans la formation de la diastase salivaire, par MM. Béchamp, Estor et Saintpierre (présenté à l’Académie des sciences, le 2 avril 1867) (1867)
1867 : De la Circulation du carbone dans la nature et des intermédiaires de cette circulation, exposé d’une théorie chimique de la vie de la cellule organisée, conférence faite à Montpellier par A. Béchamp,… (1867)
1867 : De la Circulation du carbone dans la nature et des intermédiaires de cette circulation, exposé d’une théorie chimique de la vie de la cellule organisée, conférence faite à Montpellier par A. Béchamp,… (1867)
1868 : Sur l’existence de plusieurs acides gras odorants et homologues dans le fruit du « gingko biloba », par M. A. Béchamp (1868)
1868 : Analyse des eaux sulfureuses des Fumades, par A. Béchamp,… (1868)
1868 : Nouvelle Analyse de l’eau minérale acidule-alcalineferrugineuse du Boulou, par A. Béchamp,… (1868)
1868 : Analyse des eaux sulfureuses des Fumades, par A. Béchamp,… (1868)
1868 : Conseils aux sériciculteurs sur l’emploi de la créosote pour l’éducation des vers à soie (1868)
1869 : Analyse des eaux minérales acidules-alcalinesferrugineuses du Boulou, par A. Béchamp,… (1869)
1871 : Euzet-les-Bains. Eaux minérales : 1°bitumo-sulfureuses purgatives ; 2°magnésiennes, ferrugineuses, cuivreuses. (Analysées par le Prof. Béchamp.) (1871)
1872 : Euzet-les-Bains. Eaux minérales : 1°bitumo-sulfureuses purgatives ; 2°magnésiennes, ferrugineuses, cuivreuses. (Analysées par le Prof. Béchamp.) (1871)
1872 : Recherches sur la composition du charbon de peuplier dit de Belloc (1872)
1873 : Recherches sur la composition du charbon de peuplier dit de Belloc (1872)
1873 : Analyse de l’eau minérale d’une nouvelle source à Balaruc-les-Bains (1873)
1875 : Sur les microzymas et les bactéries (1875)
1876 : Questions scientifiques. L’origine et l’essence de la matière, leçon à la Faculté de médecine de Montpellier, sur l’origine et l’essence de la matière dans l’état présent de la science, par M. A. Béchamps (1876)
1876 : Le Système évolutionniste au regard de la science expérimentale, par A. Béchamp,… (1876)
1876 : Lettres historiques sur la chimie, adressées à M. le professeur Courty (1876)
1877 : Sur l’état présent des rapports de la science et de la religion au sujet de l’origine des êtres organisés, discours prononcé à l’assemblée générale des Comités catholiques du Nord et du Pas-de-Calais, tenue à Lille, les 16, 17, 18 et 19 novembre 1876, par M. A. Béchamp,… (1877)
1878 : Les microzymas (1878)
1879 : Zymas et microzymas. A propos de l’article « Zymase » du « Dictionnaire de chimie pure et appliquée » par Ad. Wurtz,… note de M. A. Béchamp (1879)
1883 : Les microzymas dans leurs rapports avec l’hétérogénie, l’histogénie, la physiologie et la pathologie (1883)
1884 : Mémoire sur les matières albuminoïdes, par M. A. Béchamp (1884)
1884 : Recherches sur les modifications moléculaires ou Etats isallotropiques de la matière amylacée (1884)
1886 : Académie de médecine. Théorie générale de la nutrition et origine des ferments, à propos de la discussion sur les ptomaïnes et leur rôle pathologique, par A. Béchamp,… (1886)
1887 : « Nouvelles Recherches sur les albumines normales et pathologiques » (1887) de Joseph Béchamp avec Antoine Béchamp (1816-1908) comme Préfacier
1889 : Le Lait, sa constitution histologique et sa composition chimique, conférence faite le 21 février 1889, par M. A. Béchamp,… (1889)
1890 : Sur la constitution histologique et la composition chimique comparées des laits de vache, de chèvre, d’ânesse et de femme et les conséquences qui en découlent pour la physiologie et l’hygiène, par M. A. Béchamp (1890)
1892 : Sur la constitution histologique et la composition chimique comparées des laits de vache, de chèvre, d’ânesse et de femme, par M. A. Béchamp (1892)
1893 : Microzymas et microbes (1893)
1896 : Analyse des eaux minérales acidules-alcalinesferrugineuses du Boulou, par A. Béchamp,… (1896)
1890 : Les microzymas dans leurs rapports avec l’hétérogénie, l’histogénie, la physiologie et la pathologie (1990)
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Le temps est-il enfin venu de donner raison au Professeur Paul PAGES, –Professeur Paul Pagès, titulaire à partir de 1937 de la chaire de pathologie et de thérapeutique générales à la faculté de Médecine de Montpellier– quand, en 1938, il disait dans sa leçon inaugurale à Montpellier, en s’appuyant sur les propres termes de CUENOT – Lucien Cuenot était biologiste et généticien , théoricien de l’évolution-et Jean ROSTAND – Jean Rostand était biologiste et historien des sciences :
« L’ère pasteurienne est franchie, nous entrons dans l’ère de BÉCHAMP . »
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Marie Nonclercq a soutenu sa thèse de docteur en pharmacie à la faculté de Strasbourg sur la vie et l’oeuvre d’Antoine Béchamp et intitulée « Antoine Béchamp 1816-1908 l’homme et le savant -originalité et fécondité de son oeuvre– cf là ( de 1789 à nos jours)– et que l’on peut se procurer ici sur Ammareal.fr, le livre solidaire.
Un aperçu de la vie de Béchamp et de son oeuvre a été présenté par Marie Nonclercq dans la revue d’histoire de la pharmacie (année 1978) et consultable ici.
Voici une partie du compte-rendu de cette thèse faite par Pierre Buchoffer dans la revu d’histoire de la pharmacie -année 1983 cf p.164 à 166 et publiée sur Persée.fr
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Les recherches dans l’orientation scientifique avancée par Béchamp vont être poursuivies par Gaston Naessens.– Il a étudié la chimie, la physique et la biologie à l’université de Lille. Par la suite, il entreprend des recherches pour mettre au point un médicament anticancer et un microscope pour étudier le sang, qu’il nomme somatoscope. Poursuivi pour exercice illégal de la médecine il s’expatrie au Canada au milieu des années 60 ou il crée un laboratoire et poursuit ses recherches. Il est de nouveau arrêté en 1989 et jugé mais il gagne son procès et peut poursuivre la commercialisation au Canada du 714X.
Gaston Naessens avec l’invention du somatoscope permet de voir évoluer ces micro-organismes qu’il appelle « somatides » .
Il expose sa théorie dans cette vidéo :
L’histoire de cette découverte de Gaston Naessens débute à la fin des années 1940, avec l’invention d’un microscope très particulier, le somatoscope. Les microscopes optiques conventionnels permettent un grossissement maximal de 1 800 fois. Les microscopes électroniques sont capables de grossissements de millions de fois, mais les objets observés doivent être séchés et fixés de sorte que seuls leurs « squelettes » sont observables. Le somatoscope permet d’atteindre des grossissements de 30 000 fois de la matière vivante – comme le sang -, et de voir évoluer « en direct » les micro-organismes qui s’y trouvent. C’est grâce à cet instrument optique très puissant que M. Naessens a découvert que le sang contenait des micro-organismes différents des virus et des bactéries, qu’il a appelés somatides. Selon ses observations, les somatides se transforment en fonction de l’état du système immunitaire d’une personne, ce qui permettrait, à l’aide d’un simple test sanguin, de dépister des maladies dégénératives, comme le cancer par exemple, et d’établir le stade d’évolution de la maladie. Les somatides seraient la plus petite entité vivante connue et « l’élément organisationnel fondamental » des organismes vivants.
Même si ces recherches suscitent de plus en plus en plus d’intérêt, elles n’ont, pour le moment, été sanctionnées par aucune autorité officielle.
cf sur Passeport santé.net la longue présentation de la méthode Naessens.
Naessens – Livres, etc.
Bird Christopher. Le Galilée du microscope, Édition Voici La Clef, Canada, 1990.
Un récit sur la vie et les tribulations de Gaston Naessens.
sur le site CERBE :
les données scientifiques sur le 714x
Media
Documentaire sur bande vidéo des événements qui entourent le 714X.
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Une médecine pour la Vie entretien avec le Dr Alain Scohy
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des diaporamas sur le site de Alain Scohy dr en médecine et Brigitte Scohy énergéticienne
les microzymas ou nanobes
la psychosomatique
Ste Hildegarde de Bingen
acidose métabioloque et bioélectronique
les livres d’Alain et Brigitte Scohy
Les Microzymas ridiculisent le microbisme par le Dr Alain Scohy
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Pour poursuivre la présentation de la différence d’approche entre le monomorphisme et le pléomorphisme , voici les découvertes de Béchamp sur le site atelier santé.ch
- Un peu d’histoire
- Doctrine du monomorphisme – Pasteur, Koch…
- Conséquences du monomorphisme
- Le pléomorphisme – Béchamp, Tissot…
- La conception d’Enderlein ( cf Enderlein sur Wikipédia)
- le cycle d’Enderlein présenté sur le site atelier santé.ch
- explications…
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Le pléomorphisme
ou la « nouvelle » biologie
Par le Dr Dennis Myers et le Dr Robert Miller
les preuves du polymorphisme bactérien et du rôle des microzymas ! l endobionte d Enderlein
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Voici aussi une très complète présentation intitulée : Microbes, virus et bactéries…sur le site géobiophysique.e-monsite.com
Présentation du rôle des microzymas sur le site géobiophysique :
Quelle est donc la réalité derrière tout cela ?
Les microzymas !
Les microzymas sont les unités élémentaires de base qui sous-tendent sans aucune exception toute vie organisée ! Leur réalité s’articule de manière parfaite et évidente avec le paradigme psychosomatique mis en lumière par Groddeck, Laborit, Balint, Hamer, Moirot, Frechet et tant d’autres savants authentiques.
Les microzymas – étudiés tout particulièrement par Béchamp – sont redécouverts de nos jours et baptisés « nanobes » ou « nanobactéries » par les géologues, « mycoplasmes » par Montagnier, « somatides » par Naessens, « endobiontes » par Enderlein…
Que savons-nous d’eux aujourd’hui ? En couplant les travaux de Béchamp avec ceux des géologues et de biologistes « ouverts » comme le Pr Philipa Uwins de Californie, nous pouvons affirmer que :
- Un microzyma mesure entre 40 et 60 nanomètres de diamètre.
- Il est constitué de matière organique à l’intérieur d’une membrane.
- Au cœur de ce matériel semble se trouver un cristal, probablement à base de silicium, ce qui expliquerait la transmission des informations héréditaires en particulier.
- Les microzymas contiennent probablement des acides nucléiques qui ne sont probablement que les chaînes de montage de nos métabolites propres et non les vecteurs de l’hérédité.
- Ce sont les microzymas qui synthétisent les enzymes permettant les réactions chimiques et les combustions au cœur du vivant.
- Ces granulations minuscules, bien visibles au microscope sur fond noir ou au microscope électronique, sont sans cesse agitées du mouvement brownien.
- Elles se reproduisent très rapidement, peut-être de manière sexuée ?
- Elles sont quasiment immortelles puisque des microzymas de plus de 12.000.000 d’années présents dans des roches calcaires fossiles peuvent se réactiver pour construire de nouveaux êtres vivants parfaitement viables (coquillages dans les aquariums en particulier).
À l’époque de Pasteur et de Béchamp, tout le monde connaissait ces granulations et il avait déjà été démontré que les cellules ne se multiplient pas mais sont construites par l’assemblage de très nombreux microzymas. Béchamp avait pu démontrer de même que les bactéries ne sont pas des entités en soi mais des assemblages de microzymas plus ou moins labiles, capables de redevenir microzymas dès lors que les constantes du milieu dans lequel elles se trouvaient se modifiaient.
Nous avons depuis obtenu la preuve matérielle que les pires bactéries peuvent redevenir des microzymas capables de construire des tissus en fonction de leurs préprogrammations et missions respectives. Chacun peut s’en convaincre en visualisant les films présents sur Youtube, Facebook ou sur mon site où l’on voit en particulier des staphylocoques dorés bien vivaces présents dans un crachat trachéo-laryngé disparaître en quelques heures au profit de magnifiques arborescences évoquant l’arbre bronchique !
schéma de microzymas libres en milieux alcalins avec formation de germes et en milieux acides : construction de la membrane des cellules
schéma sur monsite.com
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Une vision globale systémique par Jacques Boislève sur le site santé vivante.fr
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Et enfin , cette publication sur le journal du CNRS « le vivant a sa matière noire »: Une nouvelle technique révèle une biodiversité insoupçonnée qui bouscule nos connaissances biologiques. Une matière noire « bio » dans laquelle pourraient se dissimuler les indices d’un quatrième domaine du vivant.
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Cette conclusion est empruntée à Jacques Boislève sur santé-vivante.fr
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compléments d’informations :
hommage à mon ami André Passebecq au sujet de la phobie des microbes par le Dr André Fougerousse
savants maudits chercheurs exclus -le livre-Pierre Lance
des réflexions sur la vaccination des chevaux de Dutch Henry
bibliographie (Patrick Dumont -forum Bio.médecine)
ANCELET Dr Eric
Pour en Finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique,
éditions Marco Pietteur, 1998.
(Un must)
BECHAMP Antoine
Les Microzymas (épuisé) disponible chez le Dr Marie Nonclercq,
12, avenue du Maréchal-Maunoury, 78800 Houilles.
BELJANSKI Mirko et Monique
La Santé confisquée, éditions Compagnie 12, 1989.
BENSAÏD Dr Norbert
La Lumière médicale, Le Seuil, 1981.
BERTHOUD Dr Françoise
la santé des enfants non vaccinés (2010)
BIRD Christopher
La Vie et les tribulations de Gaston Naessens, le Galilée du microscope,
éditions Presses de l’université de la personne, Québec, 1990.
BOTT Dr Victor
Médecine anthroposophique, éditions Triades, 1976.
BOUGUERRA Dr Mohamed Larbi,
Les Poisons du tiers-monde, éditions La découverte, 1985.
La Recherche contre le tiers-monde, PUF, 1993.
BOUSQUET Jacqueline
Science dans la lumière, éditions Saint-Michel, 1992.
Au coeur du vivant, éditions Saint-Michel, 1992 (en vente chez Espace-
Anima, 21, allée Georges-Brassens, 33000 Pessac).
BROUWER Dr Louis de
Vaccinations : erreur médicale du siècle, éditions Louise Courteau, 1997.
CHAVANON Dr Paul
La Diphtérie, 1932.
On peut tuer ton enfant, éditions Médicis, 1938.
COUZIGOU Dr Yves
Phobie des microbes et manie vaccinale, éditions Vie et action, 1992.
DARMON Pierre
La Longue Traque de la variole, éditions Perrin, 1986.
DAUDET Léon
Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux
de 1880 à 1905, éditions de la Nouvelle librairie nationale, 1915.
DECOURT Philippe
Les Vérités indésirables – Le Cas Pasteur (Archives internationales
Claude Bernard), éditions La Vieille Taupe, 1989.
DELARUE Fernand
L’intoxication vaccinale, Le Seuil, 1977.
DELARUE Simone
La Rançon des vaccinations, éditions LNPLV, 6è édition, 1988.
DEVEAUD Bertrand et LEMINICIER Bertrand
L’OMS, bateau ivre de la santé publique, éditions l’Harmattan, 1997.
DELONG Pr. R.
Live Viral Vaccine, biological Pollution,
Carlton Press Corp, New York, 1996.
DEXTREIT Raymond
L’argile qui guérit, éditions Vivre en harmonie, 1993.
DONATINI Dr Bruno
L’lntox, quelques vérités sur vos médicaments, éditions MIF, 1997.
Les vaccinations : les risques, vos besoins, vos droits, éditions MIF 1998.
ELMINGER Dr Jean
La Médecine retrouvée, éditions Maloine, 1989.
FERRU Dr Marcel
La Faillite du BCG, éditions Princeps, 1977.
HERVIEUX Dr Laurent
La Pratique de l’immunothérapie à doses infinitésimales,
éditions Roger Jollois, 1996.
ILLICH Ivan
La Némésis médicale, Le Seuil, 1975.
JOËT Françoise
Tétanos : le mirage de la vaccination, éditions Alis, 1998.
JOET Françoise et BERNARD Claude
Hépatites : les vaccins catastrophe, éditions Alis, 1996.
KALMAR Dr Jacques
Carnet immunologique, éditions Les Bardes, 1972.
LAMBRICHS Louise
La vérité médicale, éditions Robert Laffont, 1993.
LANGLET Roger et TOPUZ Bernard
Des lobbies contre la santé, éditions Syros, 1998.
LEVY Dr Joseph
La Révolution silencieuse de la médecine, Le Rocher, 1988.
LOIR Adrien
A l’ombre de Pasteur, souvenirs personnels,
éditions Le Mouvement sanitaire, 1938.
MENDELSOHN Dr Robert
Des enfants sains, même sans médecin, éditions Soleil, 1987.
MOULIN Anne-Marie (Sous la direction d’)
L’Aventure de la vaccination, Fayard, 1996.
NONCLERCQ Marie
Antoine Béchamp, l’homme et le savant, originalité et fécondité de
son oeuvre, éditions Maloine, 1982.
PERUCCA Fabien et POURADIER Gérard
Des poubelles dans nos assiettes, éditions Michel Lafon, 1996.
PILETTE Dr Jean
La Poliomyélite : quel vaccin ? quel risque ?, éditions de L’Aronde, 1997.
QUENTIN Marie-Thérèse
Les Vaccinations, prévention ou agression, éditions Vivez Soleil, 1995
RASPAIL Xavier
Raspail et Pasteur, trente ans de critiques médicales et scientifiques
(1884-1914), éditions Vigot frères, 1916.
ROITT Pr.
Immunologie fondamentale et appliquée,
éditions Medsi, 2e édition, 1989.
ROBARD Me Isabelle
La Santé assassinée, éditions de L’Ancre, 1992.
La Santé hors la loi, éditions de L’Ancre, 1994.
SCHAFER Joachim
Le procès de la mafia médicale, éditons Voici le Clef (Canada), 1997.
SCHEIBNER Viera
Vaccination, éditions Scheibner, 1993.
SIMON Sylvie
La Dictature médico-scientifique, éditions Filipacchi, 1997.
Vaccination : l’overdose, éditions Déjà, 1999.
(à lire absolument)
TISSOT Pr. J.
Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les
atteignent, 3 volumes, éditions du Laboratoire de physiologie générale,
Paris, 1926, 1936, 1946.
La catastrophe des vaccinations obligatoires, Editions de l’Ouest, 1950
Louis de Brouwer, médecin -1999
Le principe de la vaccination ne repose sur aucune base scientifique sérieuse. L’immunologie moderne démontre que l’acte vaccinal constitue une atteinte grave à l’intégrité du système immunitaire, faisant, des personnes vaccinées, de véritables réservoirs à virus. De plus, l’auteur dénonce les innombrables accidents provoqués par les vaccins et passés sous silence.
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Alain Perrier, médecin,26 février 2011
L’observation de très fréquentes complications infectieuses post-vaccinales chez les enfants, parfois mortelles, furent l’origine des interrogations de l’auteur sur l’efficacité et l’innocuité vaccinales. C’est la pratique de l’homéopathie uniciste qui lui a fait prendre conscience de la primauté du terrain individuel sur le microbe, ce dernier étant déclaré pathogène par pur dogmatisme et non par démarche scientifique. Ce livre met un terme au dogme qu’implique l’obligation vaccinale : le syndrome d’immunodéficience congénitale généralisée et imposée à tous. L’évolution graphique du symbole du caducée montre clairement l’évolution de l’éthique médicale au cours des siècles. Le passage de la verticalité à l’horizontalité et la suppression des attributs transcendantaux de l’homme nous permettent de mieux comprendre que la Médecine moderne ne soigne plus des Êtres Humains mais de simples Créatures réduites à l’état d’Objet. Alain Perrier né en 1940 à Lyon, exerça la médecine libérale, d’abord allopathique, puis très vite homéopathique, par choix personnel. L’homéopathie lui fut enseignée à l’Ecole Homéopathique Hahnemannienne Dauphiné-Savoie. Le changement d’orientation thérapeutique fut un choix d’Ethique : «d’abord ne pas nuire» (Hippocrate, Hahnemann).
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Marc Menant -7 avril 2022
L’observation de très fréquentes complications infectieuses post-vaccinales chez les enfants, parfois mortelles, furent l’origine des interrogations de l’auteur sur l’efficacité et l’innocuité vaccinales. C’est la pratique de l’homéopathie uniciste qui lui a fait prendre conscience de la primauté du terrain individuel sur le microbe, ce dernier étant déclaré pathogène par pur dogmatisme et non par démarche scientifique. Ce livre met un terme au dogme qu’implique l’obligation vaccinale : le syndrome d’immunodéficience congénitale généralisée et imposée à tous. L’évolution graphique du symbole du caducée montre clairement l’évolution de l’éthique médicale au cours des siècles. Le passage de la verticalité à l’horizontalité et la suppression des attributs transcendantaux de l’homme nous permettent de mieux comprendre que la Médecine moderne ne soigne plus des Êtres Humains mais de simples Créatures réduites à l’état d’Objet. Alain Perrier né en 1940 à Lyon, exerça la médecine libérale, d’abord allopathique, puis très vite homéopathique, par choix personnel. L’homéopathie lui fut enseignée à l’Ecole Homéopathique Hahnemannienne Dauphiné-Savoie. Le changement d’orientation thérapeutique fut un choix d’Ethique : «d’abord ne pas nuire» (Hippocrate, Hahnemann).
Historique du site « Pasteur infamie »