Par cette décision du 8 juillet (prise par la chambre disciplinaire du Conseil Régional de l’Ordre des Médecins, Languedoc-Roussillon), on veut lui interdire d’exercer son métier de médecin cancérologue.
Pourtant il ne lui est rien reproché sur le plan strictement professionnel.
Le Conseil de l’Ordre des Médecins de l’ Hérault, son département, a décidé de faire appel face à la gravité de la sanction.
Avant tout, le Professeur Henri Joyeux réfute le principe même de toute faute déontologique.
Les accusations portées contre sa personne sont entachées selon lui de nombreuses erreurs. La plus importante est dit-il qu’il n’est pas contre les vaccins, en particulier ceux qui sont obligatoires, mais lanceur d’alerte contre les abus consistant à imposer des vaccins non nécessaires à un nouveau né de 2 mois et même avant sa mise au monde.
Il demande à ce que le carnet de vaccination soit revu de fond en comble, afin que l’allaitement maternel soit proposé en première intention et que les vaccinations dites recommandées restent de la responsabilité exclusive des médecins référents.
En dehors de cas très particuliers, la vaccination à 2 mois contre l’hépatite B et dès 9 à 12 ans contre les papilloma virus responsables de maladies sexuellement transmissibles, est totalement abusive et impose de résister à de fausses bonnes solutions car prises en dépit de certaines réalités et parfois du bon sens.
A la mi-août, la pétition ”Vaccin obligatoire : les Français piégés par la loi et les laboratoires !” <http://petition.ipsn.eu/
Il prépare un argumentaire étayé qu’il enverra à ses collègues nommés par la ministre de la Santé pour le débat sur la vaccination (http://
Etre lanceur d’alerte auprès du grand public quand on n’est pas entendu par les responsables politiques est-il si répréhensible ?