Le 12 novembre 2012 sur FR5, le Professeur Gherardi directeur de l’unité de recherche INSERM à l’université de Paris Est et chef du service embryologie à l’hôpital Mendor de Créteil présente l’état de ses recherches sur les conséquences des sels d’aluminium contenus dans les vaccins – les études complémentaires sur des animaux concernent le vaccin contre l’hépatite B.
Les premières constatations sont des observations incidentes à d’autres recherches au cours desquelles il a été relevé des troubles de fatigue chronique, des douleurs musculaires, des troubles de mémoire chez certains patients vaccinés.
Ces observations ont conduit le professeur Gherardi et son équipe à orienter des recherches sur le parcours dans le corps des particules d’aluminium issues des vaccins. Ces recherches ont été diligentées à la demande et en accord avec l’ANSM – agence nationale du médicament alors appelée AFSSAPS –
Ces recherches se sont orientées vers la connaissance du parcours des particules d’aluminium dans le corps injectées à l’occasion d’un vaccin contre l’hépatite B sur des animaux.
Contrairement aux affirmations médicales jusque là transmises selon lesquelles ces particules sont éliminées rapidement par le corps – au plus quelques semaines- les résultats de la recherche ont montré que les macrophages contenant des particules d’aluminium et situés d’abord autour du point de vaccination migraient pour certains dans les muscles puis dans le système lymphatique et se retrouvaient ensuite dans le cerveau. Ces observations ont été faites jusqu’à un an après la vaccination.
Etrangement, le Professeur Gherardi n’a pu, depuis ces résultats, obtenir de nouvelles subventions pour élargir ses recherches en ce domaine.