La recherche,
aujourd'hui et demain
par Jacqueline
Bousquet - http://www.onnouscachetout.com/themes/avenir/larecherche.php
La reconnaissance
de l'erreur constitue le premier pas vers la vérité. Pourquoi ne pas appliquer
cette sentence à la médecine dite moderne ? Tous les progrès revendiqués par la
"science médicale" sont dus en réalité à l'amélioration de l'hygiène
et des conditions de vie. La preuve en est que - dans les milieux dits
défavorisés ou carencés - les maladies soi-disant éradiquées reviennent en
force. Telle la tuberculose avec un bacille mutant, alors que l'on propose un
vaccin extrêmement dangereux qui n'a jamais fait ses preuves et que la plupart
des pays ont abandonné pour cette raison. On continue à le rendre obligatoire
en France, faute de quoi de lourdes amendes et une peine de prison sont
proposées pour réduire les récalcitrants, faisant fi de tout respect de notre
corps. Puisque tout le monde sait que le bacille de la tuberculose a muté et
que le terrain des individus a changé, les médicaments qui permettaient de
lutter contre cette maladie ne sont plus efficaces. Et l'on prétend encore nous
préserver avec un vaccin complètement dépassé, extraordinairement pernicieux et
totalement inefficace.
Qui gouverne, en France ? Qui sont ces
pseudo experts scientifiques confondant le téléviseur avec la télévision, qui
ne développent qu'une vision matérialiste, alors qu'il est manifeste
aujourd'hui que la matière - outre qu'elle se résout en énergie - n'est rien
d'autre qu'un support de l'information ? Cette dernière, de nature
immatérielle, est contenue dans des champs morphiques. Les travaux d'Emile
Pinel, d'Etienne Guillé et de Rupert. Sheldrake, pour ne citer que ceux-là, ont abondamment
démontré la primauté et le rôle essentiel joué par ces zones d'influence dans
l'expression du vivant. À comparer : La particule, à la base de la matière,
n'est qu'une densification de champs. À preuve que seuls ces derniers sont à
prendre en compte.
La spécialisation - arme absolue de
nos instituts nationaux - conditionne des pseudo savants tout à fait incapables
d'effectuer les synthèses qui nous permettraient de sortir de l'impasse
actuelle. Les conséquences de cette approche matérialiste sont effrayantes pour
la santé des plantes, des animaux et des hommes. Ainsi, nous constatons
aujourd'hui une recrudescence de maladies (C. REISS)
La nouvelle façon d'aborder la
recherche devrait nous permettre de comprendre ce qu'est le vivant et comment
il fonctionne. Ce dernier est une machine à transférer de l'information. La
lumière le trame et donc - comme elle - il est constitué tantôt par un système
d'ondes, tantôt par des particules. La lumière est, tout à la fois :
* source de clarté et d'obscurité (les
particules disparaissant dans l'incréé) ;
* l'origine d'une sorte de respiration
cosmique que nous retrouvons dans l'alternance des jours et des nuits, des
battements du cœur et de la dualité de tout ce qui existe. La manifestation
nécessite la dualité dynamique.
Puisqu'il est "en avant de tous
les autres", le champ unitaire ultime s'avère source de tout ce qui est.
En conséquence, il doit être constitué de particules neutres, type neutrinos,
tournant en sens inverses. Il constitue ainsi une source potentielle et infinie
de support de l'information, autrement dit de la conscience. C'est ainsi que le
livre Pourquoi les neutrinos sont-ils tous droitiers ? a pu être écrit. Tout
simplement parce que les neutrinos gauchers sont prisonniers des structures
matérielles qu'ils "informent" couplé aux photons (F. POPP). Si le
contenu des électrons est un gaz de photons et de neutrinos, c'est bien parce
qu'ils sont couplés et toujours présents ensemble. (Cf. : l'expérience
américaine d'analyse des photons)
Toutes les
traditions font état de l'unité, pour nous rappeler que lorsque deux énergies
s'annulent - comme dans l'image du caducée - l'information portée par ces ondes
est directement disponible sans passer ni par l'onde, ni par la matière
(homéopathie). Ceci prouve la primauté de l'information. À comparer : Les
choses visibles sont faites de choses invisibles et L'esprit de Dieu planait
au-dessus des eaux. Cette dualité caractérise le métabolisme cosmique, avec ses
deux phases inverses de catabolisme et d'anabolisme. À rapprocher :
L'application des lois du chaos donne
le moyen de comprendre pourquoi ce dernier est porteur d'un ordre sous-jacent.
Seule la présence d'un champ informationnel permet de rendre compte
rationnellement de l'organisation du chaos. À partir de matériaux épars, la
science matérialiste prétend qu'une création s'est faite toute seule !
Pourtant, le bon sens n'ignore pas que si des matériaux s'imposent pour édifier
des maisons différentes les unes des autres, chacune d'elles n'en exige pas
moins un plan spécifique. Ces plans sont immatériels, nés du fonctionnement
mental d'un être humain, (en l'occurrence d'un architecte). Il s'agit de
l'information, qui précède toujours la réalisation ou la mise en forme. De la
même façon, une idée, un plan (mental) portés par une vibration se réaliseront
par une forme dans la vie physique. Cette dernière est donc le résultat de nos
opinions et de nos croyances, de la qualité des pensées que nous entretenons au
jour le jour dans notre mental.
De nombreuses et
séduisantes hypothèses, qui introduisent la pensée dans la matière, prennent
naissance par l'intermédiaire de particules ou de courants neutres. Les travaux
du biologiste Popp prouvent de façon irréfutable :
* que les cellules communiquent entre
elles par des photons corrélés, donc de type laser. Ils portent tous la même
information, contrairement à la lumière incohérente qui en contient des
milliers.
* que lorsqu'une cellule meurt elle
émet de la lumière, preuve qu'elle en était constituée.
Non seulement le Soleil nous envoie de
la lumière (donc des photons), mais aussi des particules énigmatiques : les
neutrinos qui - contrairement aux photons - ne véhiculent pas d'énergie. Ils
sont donc susceptibles de faire de bons candidats au support de la pensée en
tant qu'information. Ainsi nous serions bien, comme le prétend Emile Pinel, le
résultat de nos pensées passées non adaptées au présent. Dans la crise que
l'humanité traverse, ces constatations débouchent sur des conséquences
fantastiques pour elle. Il se pourrait fort que nous ne soyons pas fatalement
des marionnettes subissant des aléas extérieurs qui déterminent le sens de
notre existence. Notre fatum ne serait pas inéluctablement "la faute à pas
de chance". Nous aurions donc la maîtrise de notre destin et, comme le dit
l'Écriture, "Ne sais-tu pas que celui qui a fait l'extérieur de la coupe a
aussi fait l'intérieur ?".
Nos pensées et nos réactions face aux
événements de notre vie sont responsables de la qualité de notre existence. Les
thérapeutes issus des sciences de l'homme ont raison et nous offrent de
merveilleux outils pour sortir de l'impasse. Ils nous apprennent comment
l'autre nous renvoie nos dysfonctionnements mentaux afin de les corriger et
nous retrouver dans l'harmonie. Ils nous expliquent comment des réactions
inadéquates à des chocs affectifs, mémorisés à notre insu (ils peuvent avoir
été occultés pour éviter une trop grande souffrance), sont responsables des
signaux que nous émettons constamment dans notre environnement. Ainsi, la
crainte de la perte nous fait perdre, celle de la souffrance nous fait
souffrir, etc. Ce que
Depuis Einstein, nous savons que la
matière se résout en énergie avec laquelle elle est interchangeable, selon la
célèbre formule E = mc2. Nous savons aussi que l'énergie est double (mâle et
femelle), qu'elle est toujours porteuse d'une information immatérielle qui se
manifeste dans une forme qui lui correspond. Tout changement d'information
donnera une forme nouvelle, compatible ou non avec la vie. Ainsi le prion, dont
on dit qu'il est responsable de l'encéphalite spongiforme bovine, n'est en
réalité que le témoin de l'état énergétique de la cellule le contenant ;
autrement dit, un témoin du terrain de l'animal. Si l'on respectait davantage
la qualité de vie de ce dernier (avec ses besoins fondamentaux : contacts avec les
autres, amour maternel, informations, nourriture adaptée et porteuse de vie
etc.). leur état physiologique serait bien meilleur. Les informations portées
par leur chair seraient compatibles avec la vie, ce qu'elles ne sont plus.
L'insémination
artificielle est l'exemple même de l'irresponsabilité et du manque de morale de
notre société, qui impose à ces animaux des techniques contre nature. Nous
pouvons ainsi apprécier cette science sans conscience et voir où elle nous a
menés. Tout organe ou substance issue d'un organisme donneur voit son taux
vibratoire s'affaiblir au cours du temps et donc perdre une partie de ses
informations, lesquelles peuvent ainsi passer d'informations de vie et de santé
aux informations de mort (exemple le prion). Certains biologistes et
vétérinaires pensent que les nombreuses pathologies (sida bovin, tuberculose,
encéphalite spongiforme) seraient dues à l'insémination artificielle. Pourquoi
laisse-t-on se poursuivre de telles pratiques ? On oublie ce que coûte au
contribuable l'abattage des animaux. Dans le même ordre d'idée, comment peut-on
laisser ces experts décider et faire croire que la société est protégée par
l'abattage systématique d'un troupeau dont un animal est malade ?
Ce qui précède
serait risible, si le sujet n'était aussi grave ! Est-ce pour rassurer à tout
prix (au vrai sens du terme) les consommateurs gogos que nous sommes ? Il
semble que ce soit parfaitement réussi. Comment croire que l'ablation de
certains organes élimine le danger de "contamination" par la consommation
de viande d'animaux malades ? Depuis quand peut-on impunément consommer, sans
risques d'intoxication grave, la chair d'un animal en survie ? C'est pourtant
ce que les "autorités" - sous couvert de décisions prises par ces
experts - nous imposent en autorisant la consommation d'animaux de batteries,
dont nous savons qu'ils sont abattus juste avant qu'ils ne meurent d'eux-mêmes.
En particulier, les porcs n'ont pas le temps de développer l'encéphalite dont
ils sont certainement atteints.
Qui se préoccupe
de l'énorme quantité de facteurs de croissance, naturels ou ajoutés à la
nourriture des animaux, présents dans l'assiette du consommateur ? Pourtant, la
taille de nos concitoyens ne cesse d'augmenter parallèlement à une augmentation
de la fragilité. Conséquences sur la physiologie des adultes : une nourriture
non seulement dépourvue d'informations de vie, mais au contraire porteuse de
maladie, de mort et de chimie, accompagnée d'un abus de médicaments dont on
commence à redouter la iatrogénicité. Les dossiers du
Canard enchaîné titrent, avec l'humour qui le caractérise : Remèdes de cheval
pour les cochons avec, comme sous-titre : Vu les médicaments qu'il avale, le
cochon industriel devrait être remboursé par la sécurité sociale. Tout cela
aboutit dans nos assiettes et dans nos estomacs.
Devant ces
constats, nous devons prendre conscience que notre santé n'est pas en de bonnes
mains. Les responsables ont des aspirations uniquement tournées vers la matière
et le profit, notions qui ne permettent pas l'expression de la compassion, de
la morale et du respect. Il n'y a pas de meilleure arme que le boycott ;
sachons l'utiliser. Si nous décidons de ne plus consommer de viande issue
d'animaux élevés contre nature - cela pour un certain temps - "ils"
capituleront. Leur dieu argent les y obligera. La médecine n'échappe pas à cet
accablant constat (voir plus haut). Malgré cela, elle persiste dans ses
erreurs. Elle se contente de masquer des symptômes, lesquels ne sont que des
signaux envoyés par le cerveau pour dire, dans la lignée génétique, que c'est
l'issue qu'il a trouvée pour survivre.
La solution se
trouve dans la résolution psychologique du conflit (Voir : Nature et cause des
maladies) et non dans la matière. Celle-ci n'est que le collecteur du contenu
de ces champs informationnels auxquels nous pouvons accéder par la pensée,
accompagnée du ressenti. Ce sont nos concepts (ce à quoi nous souscrivons) qui
nous rendent malades, lorsqu'il n'y a plus d'harmonie entre les aspirations de
l'âme et notre existence quotidienne. Toujours à l'œuvre dans le vivant, le
feed-back nous soumet aux lois du transfert d'informations. Nous recevons
celles-ci par la nourriture (le soleil, l'air, l'eau, les repas). Nous savons
que la nature de nos pensées résulte de la qualité de notre sang et que cette
dernière dépend de notre alimentation. Les conséquences de cette nouvelle
approche de nos potentialités sont incalculables. Malheureusement, ces
informations sont déformées ou suffisamment filtrées par l'intelligentsia en
place, les rendant ainsi pratiquement inutilisables par l'individu moyen. Les
autorités officielles, aux mains des lobbies de l'argent, ne peuvent accepter
que les individus se responsabilisent et se mettent à penser par eux-mêmes.
D'où cette chasse aux sectes qui est la honte de notre pays dit "des
droits de l'homme". Ces derniers n'ont jamais été autant bafoués. Voir
plus haut les vaccinations obligatoires. Si elle veut coller au quotidien et
sortir du ghetto dans lequel elle s'est enfermée faute d'avoir respecté la
morale, la recherche doit effectuer une mutation drastique. "Science sans
conscience n'est que ruine de l'âme". De son côté, Steiner a dit avec
raison : "Il faut que les laboratoires redeviennent des autels."
De nombreux praticiens sincères et
honnêtes ont reconnu la nécessité de se détourner d'une médecine qui, non
seulement ne guérit pas, mais de plus rend malade. (104.000 hospitalisations et
20.000 morts par an, dues à la iatrogénicité, 15.000
morts par maladies nosocomiales, 10.000 morts dus à des erreurs médicales ; il
semble que cela fasse beaucoup pour la pratique de l'art médical) !
Ces authentiques praticiens
s'intéressent bien plus aux champs qui contiennent les croyances de l'individu
- lesquelles peuvent être changées à tout instant - et aux réactions du
cerveau, véritable ordinateur de bord dont le rôle a été totalement incompris.
Lors d'un conflit, le cerveau recherche toujours la solution permettant la
survie de l'espèce. Les travaux du docteur Hamer en
sont une brillante démonstration. On sait le sort que la science officielle lui
a réservé !
Nous ne devons plus admettre cela, ni
accepter que ces officiels continuent à maintenir la société dans une
désinformation permanente. Il est manifeste que l'on peut guérir d'un cancer,
d'un sida ou de tout autre chose, qu'il n'y a pas de maladie grave face à un
thérapeute connaissant l'importance du psychisme et les moyens d'y accéder. En
ces domaines, les Dr. Michel Larroche et Claude
Meunier en sont de brillants exemples. Ils savent que l'information qui
constitue ces champs est portée par la lumière (corps de lumière de la grande
Tradition). Ils ont le pouvoir d'y accéder et d'accompagner le malade dans son
processus de guérison. Ils savent aussi qu'ils ne guérissent pas, que seul le
patient a le pouvoir de prendre conscience de ce qui l'a rendu malade. Etienne Guillé a dit qu'une maladie était une œuvre au noir et
qu'on ne pouvait en guérir que par un changement de niveau de conscience. Il
savait que l'humanité se prépare à une métamorphose sans précédent, à la fois
physique et psychique. Depuis de nombreuses années, on nous parle de mutation,
voire de transmutation. Que signifient ces termes et quelle est la réalité de
ces phénomènes ?
Outre les travaux
de Mère et de Sri AUROBINDO, qui ont longuement étudié la transformation à
l'œuvre dans Le mental des cellules, un ouvrage récent de Gregg BRADEN apporte
une dimension scientifique à l'approche de cette transmutation. De quoi
s'agit-il en réalité ? D'une modification de notre perception du réel, d'un changement
du niveau de conscience. Mais ces termes demeurent bien vagues. Avons-nous tous
la même conscience ? Bien évidemment non.
Tout au long de
ses ouvrages, Carlo SUARES nous indique que
De nombreux
auteurs plus ou moins connus vont dans ce sens, tel le docteur Thérèse BROSSE,
qui définit sa vision résumée dans le titre de son livre La conscience énergie,
structure de l'homme et de l'univers. La conscience est totalement indépendante
de ses supports. Mais, lorsqu'elle se manifeste, elle doit utiliser l'énergie.
Duelle par nature, elle se manifeste comme mâle et femelle, selon la définition
que la physique donne d'une particule : une pulsation mâle et une rotation
femelle. En d'autres termes, toute énergie est conscience, donc mémoire. À
propos des formes qui correspondent à une vibration, nous pouvons dire qu'il
s'agit "d'un savoir en être et d'un être en savoir". Ainsi, dans
l'univers, les formes ne sont que des manifestations de la conscience
universelle. Elles conditionnent et sont conditionnées. Toute variation de
forme implique un changement de conscience, donc d'information.
Cette approche
prend toute son importance en biologie. En effet, nous savons que si les
protéines ne se déformaient pas, il n'y aurait pas de biologie possible. En
conséquence, la formule stéréochimique (déploiement dans l'espace) d'une
molécule correspond à une information vitale ou létale. Dans l'encéphalite
spongiforme bovine, le prion en est l'illustration. Il importe aussi de mettre
l'accent sur la notion de qualité, liée à la nature et à l'origine des formes
que nous ingérons. Nous devons également en profiter pour comprendre qu'il nous
appartient de dépasser la matière, ses protides, lipides, glucides et calories.
De la sorte, nous nous attacherons au contenu, autrement dit à la conscience
énergie, donc à la mémoire du vécu de notre nourriture. Cette notion -
extrêmement dérangeante pour les consommateurs irresponsables que nous sommes -
devrait nous inciter à la vigilance et à ne pas déléguer la gestion de notre
alimentation à des multinationales, qui n'ont en vue que le profit. À nouveau,
pour les citoyens, il n'y a pas de meilleure arme que le boycott. Toutes ces notions
confirment le fait que nous devenons ce que nous mangeons. Aimer, c'est faire
sien ; nous parlons bien d'aimer ce que nous mangeons. Dans un avenir proche, à
propos de ceux qui sont dans notre assiette, il faut souhaiter que nous ne
disions plus que nous aimons les animaux.
De nombreux
écrits de par le monde exaltent la notion d'amour. Le Christ lui-même nous
parle sans cesse d'aimer : "Tu aimeras le Seigneur ton dieu… Aimez-vous
les uns les autres… etc." Plus haut, nous avons vu qu'aimer c'est faire sien.
Qu'est-ce à dire ? Que les transferts d'information dans le vivant se font
toujours du plus au moins. Par exemple, les acides aminés sont racémiques. Ils
peuvent se manifester en positifs ou en négatifs (dextrogyres ou lévogyres),
selon le pH du milieu dans lequel ils se trouvent, mais surtout en fonction des
informations qu'ils ont à transférer. Ainsi le plus informé - toujours présent
avec un signe plus (il représente un futur) - s'unit dans une relation d'amour
avec un signe moins (qui représente un passé). Ils échangent leurs
informations. De cette façon, l'univers entier accroît son information dans une
recherche d'unité et de concentration du savoir (néguentropie). Ce qui faisait
dire au Christ : "Je suis le tout, le tout est sorti de moi, le tout est
revenu à moi…" Ce phénomène se manifeste par la dualité existentielle et
correspond à l'équation citée plus haut.
À propos du mâle et de la femelle,
l'Écriture nous rappelle : "Ils seront deux dans une même chair". En
effet, toute membrane, toute limite de forme, est constituée d'une polarité
électrique, manifestation d'une structure dans l'espace. Cette dernière est
déterminée par la piézo-électricité ; exemple, celle du centriole dans les
cellules. Cette propriété électrique est la première à disparaître au moment de
la mort. Le champ magnétique associé correspond au temps, c'est-à-dire à la
mémoire, conscience ou information. Les deux caractères soulignés demeurent
inséparables et constituent notre univers fait d'espace-temps.
Le retour à l'unité - nous le voyons
ici - ne peut se faire que par l'acceptation et la maîtrise des contraires. On
ne répétera jamais assez que le métabolisme est le résultat du catabolisme et
de l'anabolisme. Les formes sont destinées à évoluer, puis à disparaître. Ceci
afin de permettre au savoir qui les constitue d'évoluer, de s'enrichir de
l'expérience de l'autre. À l'inverse, parfois, de perdre des informations par
assimilation de formes inférieures (au cours de l'alimentation). "Bien
heureux est le lion que l'homme a mangé et le lion deviendra homme ; souillé
est l'homme que le lion a mangé et le lion deviendra homme".
Ce que nous absorbons conditionne la
qualité de notre sang, qui est le porteur du moi, de ce à quoi nous nous
identifions. Cette liqueur dépend du système immunitaire. Si nous voulons être
responsables de la qualité de nos pensées, nous devons donc être très attentifs
à la qualité de notre nourriture. "Que tout ce qui est grand, beau et
élevé retienne votre attention" disait saint Paul. Pour cela, il convient
de ne pas être en permanence ramenés à notre animalité par tous les produits
animaux ingérés ou injectés, comme c'est le cas à l'heure actuelle. C'est
seulement par cette connaissance que nous arriverons à nous situer sur
l'échelle de la conscience et que nous pourrons enfin dépasser cette condition
animale, qui nous maintient dans la matérialité. Laquelle nous empêche ainsi de
résoudre la plupart des problèmes que l'humanité doit affronter, depuis la
maladie jusqu'à la déchéance, la misère, le chômage et la mort.
La matière
n'étant qu'énergie (E=mc2), elle s'érige en support de l'information, donc de
la conscience. La hiérarchie nous oblige à lui redonner sa vraie place. Par
ailleurs, nous savons qu'elle est le résultat de nos concepts, de ce à quoi nous
croyons. Les travaux de J. CHARON sur la psychomatière
nous permettent de comprendre pourquoi David BOHM a écrit que "le cerveau
est un hologramme qui analyse l'hologramme de l'univers". Le trou noir
constitué de lumière noire couplée aux neutrinos informe la particule présente
dans notre univers à la limite du trou noir. Celle-ci envoie une onde nommée
psi, onde immatérielle donc délocalisée qui renseigne la particule sur tout son
environnement auquel elle s'adapte instantanément. C'est ainsi que l'on peut
parler d'hologramme.
En modifiant
notre état d'esprit, nous pouvons donc changer notre situation vis-à-vis de
l'échelle infinie des niveaux de conscience. Nous devons aussi nous rendre
compte que chacun reste le maître absolu de ses opinions et de ses croyances.
Notre destin est fonction de ces dernières. Il ne faut rien imposer à personne,
sauf à lui indiquer comment cela fonctionne ; comment - s'il a une confiance
absolue en son médecin, son guérisseur ou tout autre thérapeute - ces derniers
pourront le guérir, quelle que soit leur intervention. En fait, c'est la foi du
malade qui le guérira.
Il est une évidence : du fait que nous
n'avons pas su aborder le vivant - faute d'avoir dépassé le matérialisme - nous
n'avons rien compris à la maladie. L'état de santé dépend de notre capacité à
gérer les différents stresses auxquels nous sommes confrontés. Par le terme
anglais stress, il faut entendre non seulement les chocs psychologiques (qui
créent les "foyers de Hamer"), mais aussi
les pollutions de toutes natures qui sollicitent le système immunitaire. Ce
dernier, garant de notre identité, est actuellement beaucoup trop sollicité par
une médecine qui ne prend en compte que les symptômes. Sa réponse à la
pathologie par des médicaments de synthèse, donc non reconnus par le vivant,
est la preuve de son inadéquation.
Par un acte antiphysiologique,
elle vaccine des enfants à un moment où ils sont immatures et où le bambin est,
sur ce plan, pris en charge par la mère. L'injection de produits d'origine
animale ou reconstitués par "génie génétique" propose au système
immunitaire une information sans signification pour lui. C'est-à-dire que le
corps ne dispose pas d'enzymes pour les dégrader. Les toxiques associés aux
vaccins pour leur conservation (mercure) pour avoir une réaction immunitaire
comme l'aluminium responsable du changement de terrain, feront le reste. Or
nous ne serons jamais au contact de ces antigènes puisque les bactéries virus
et autres prions sont endogènes, donc strictement personnels !
La nourriture
frelatée, qui nous est proposée aujourd'hui, constitue une autre importante
agression. Ici aussi nous avons affaire à des produits trafiqués contenant des
additifs synthétiques et des substances contenant des informations
incompatibles avec la vie donc parfois létales (Le danger des OGM par B.
HERZOG) Nous avons vu plus haut que l'actuelle approche, strictement
matérialiste et incapable de prendre en compte l'information, nous conduit à
consommer des produits ne contenant plus aucun message vital, mais au contraire
porteurs de souffrance et de mort.
Bien entendu, l'adaptation est
toujours l'une des facultés les plus extraordinaires du vivant. Elle est
justement due au système immunitaire. Cependant elle nous transforme
physiquement et surtout psychologiquement. Faire croire que nous sommes
protégés par des anticorps - naturels ou artificiels résultant des vaccinations
- résulte d'une imposture ou d'une ignorance caractérisée. La présence
d'anticorps signe une impossibilité de l'organisme à s'adapter. Elle révèle une
maladie latente (exemple le SIDA : la présence d'anticorps signifie est le
signe de l'entrée dans la maladie. Quand les anticorps protègent-ils) ?
Dire aussi que des substances sont ou
non cancérigènes relève de la même désinformation. Si cela était vrai, tous les
fumeurs développeraient un cancer du poumon. Toutes les personnes qui ont été
soumises à l'amiante seraient atteintes d'abestose
etc. Il est donc impératif de se poser la question suivante : pourquoi cette
personne fume-t-elle, à quel stress essaie-t-elle d'échapper ? De nombreux cas
de cancer du poumon sont répertoriés chez des personnes n'ayant jamais fumé !
(B. HERZOG).
C'est à cause de l'expérimentation
animale que la médecine croit que fumer donne le cancer. Le fait d'obliger des
animaux à fumer, outre que cela est scandaleux, provoque chez ceux-ci un foyer
de Hamer. À cause du code inscrit dans leur cerveau,
les animaux doivent fuir au plus vite pour échapper à la mort dès qu'ils
sentent de la fumée. Comme ils sont prisonniers dans les laboratoires, la peur
de la mort se traduit par un cancer du poumon (Hamer)
divine science ! L'origine du cancer - et des maladies en général - est à
rechercher dans une mauvaise qualité ou dans une rupture de dialogue entre les
champs morphiques, porteurs de l'information (conscience), et les particules,
molécules, organes et organismes. Ces quatre derniers composants constituent de
véritables antennes mises en forme par eux-mêmes pour capter ces champs.
L'intermédiaire obligé est le cerveau,
incontestable centre de commande du corps matériel. Le vecteur d'information
entre les champs et le cerveau est certainement le neutrino. Une expérience
américaine montre que si l'on fait passer des photons sur un analyseur, il sort
d'un côté le photon énergétique et, de l'autre, ce que les physiciens nomment
une onde vide (paradoxale en les termes) susceptible d'effets matériels. Le
cerveau serait sensible à ces ondes d'espace, précisent-ils. Le neutrino fait
un bon candidat pour être l'élément vecteur. Sa faculté de transformer le
chlore en argon radioactif en fait un critère de détection. L'interface entre
la pensée et le cerveau se révèle grâce à l'expérience d'une localisation (par
une caméra à positon) de l'accomplissement d'un acte. Par exemple si l'on demande
à la personne cobaye de lever un doigt, une zone cérébrale s'active. Il est à
noter que cette même zone réagit si la personne pense simplement à lever le
doigt.
Nous baignons dans une mer
d'informations portées par des ondes ou vibrations électromagnétiques
mesurables, ou non décelables quand il s'agit de courants neutres. Lorsque nous
utilisons de l'énergie, elle se présente obligatoirement sous forme
déstructurée (énergies fossiles, nucléaire etc.). Il s'agit toujours de
l'énergie de la forme que l'on casse et l'électricité n'est pas autre chose.
Ainsi, nous libérons dans l'atmosphère une énorme quantité d'informations
stockées dans une matière probablement peu adaptée à notre époque. Dans le cas
du pétrole, la mémoire est celle du vécu de nombreuses forêts disparues. Quant
à celle de l'atome, qui peut savoir ce qu'elle libère et combien elle doit être
peu adaptée à notre temps !
Tout cela a des
conséquences : diminution drastique du champ magnétique et - de ce fait -
augmentation des vibrations de la planète. Comme nous sommes calés sur la
fréquence de
Le rationalisme réducteur maintient
une partie des humains dans une conscience animale. Ce qui empêche toute
évolution de l'espèce vers une spiritualité, qui n'est autre que la
reconnaissance de l'immatériel. Lui seul pourra redonner à l'homme sa dignité,
sa liberté et surtout la maîtrise totale de son destin.
Source
J.
BOUSQUET
Docteur
ès Science, Biologie, Biophysique
Chercheur
honoraire au C.N.R.S.
Chargée
d'enseignement à
Conférencière,
Ecrivain
*******************
Annexe
"Les études statistiques de santé
publique en France entre 1970 et 1990 montrent que l'ensemble de la morbidité a
quasi doublé, avec des progressions spectaculaires des maladies endocriniennes
(+960%), des maladies mentales (+210%) et des tumeurs (+350%), (extraits des
enquêtes annuelles CREDES/CNAM).
Pour le cancer précisément, le rapport
93158 de l'IGAS nous apprend qu'entre 1970 et 1990, le nombre annuel de décès
par cancer est passé de 46 000 à près de 54 000 chez les femmes (cancer du sein
de 7 000 à 10 000, des ovaires de 1 600 à 3 100), de 59 000 à 84 000 chez les
hommes (cancer des poumons de 9 000 à 19 000). Durant cette période, le cancer
est devenu la première cause de mortalité (35%) des Français dans la force de
l'âge (35-65 ans), loin devant les maladies cardio-vasculaires (21%).
Ces tendances lourdes, concernant des
pathologies chroniques sévères, traduisent des défaillances croissantes des
dispositifs censés assurer la sécurité sanitaire publique. Puisque l'évaluation
la plus complète et la plus contrôlée des risques sanitaires est celle des
médicaments, nous avons consulté les données de pharmacovigilance centralisées
au Ministère de
Conformément à sa vocation, notre
Comité Scientifique a examiné, sur des bases purement objectives, rationnelles
et logiques, la pertinence de l'expérimentation sur le modèle animal en vue de
l'évaluation de la sécurité sanitaire humaine. Les considérations qui ont mené
aux conclusions ci-dessous sont développées dans notre Lettre Ouverte aux
membres de l'Académie des Sciences.
1) La réaction biologique d'un modèle
animal donné ne peut laisser présager, même approximativement, les réactions
biologiques humaines.
2) L'évaluation d'effets pathologiques
se manifestant au long terme, qui sont les plus sévères, est strictement
impossible sur le modèle animal.
3) Par an et en France, des centaines
de milliers de personnes décèdent prématurément, du fait d'évaluations erronnées effectuées sur le modèle animal.
4) continuer à recourir au modèle
animal freine le développement de méthodes d'évaluations de risques sanitaires
fiables et pertinentes pour l'homme, alors que d'autres pays y travaillent
activement, gaspille annuellement des milliards de francs, contribue au recul
de notre rang dans la compétition scientifique et économique mondiale et ternit
l'image de
Il est donc établi que le recours au
modèle animal à des fins de sécurité sanitaire viole le principe de précaution.
Il est urgent d'y substituer des méthodes scientifiques pertinentes et fiables,
dont le développement est une priorité absolue".
Claude REISS
Président
PRO ANIMA -16 rue Vézelay - 75008 –
PARIS
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Bibliographie
Nature
et cause des maladies, J. BOUSQUET & J. DUPRE, AESCULAPE n° 22 Janvier-Février
2000
Formes, vibrations et essais non des-tructifs,
JP. BOURGUIGNON, Le Courrier du CNRS. n°64, Janvier 1986, p. 43 à 47
La
conscience énergie, structure de l'homme et de l'univers, Dr Thérèse BROSSE,
Éditions Présence
L'esprit,
cet inconnu, Jean CHARON, Éditions Albin Michel - 1977
Transmutations
biologiques et physique moderne, C. Louis KERVRAN, Éditions Maloine
-1982
Biologie
de
Vie
et mort, Émile PINEL, Éditions Maloine - 1978
Relation
d'aide et amour de soi, Colette PORTELANCE, Éditions du Cram
Celui
qui reçoit l'organe d'un animal devient génétiquement semblable au donneur, P.
GIANPAOLO, Revue ORIZZONTI n° 76 - Septembre 1998
Planète
transgénique, Jean-Claude PEREZ, Éditions L'espace Bleu - Paris -1997
Bioélectronique
Vincent, Évolutions de 1952 à 1975. Publications Essentielles. Sté Stec. Éditeur - Riom -1979. Actuellement : 63200 - Mozac. Tél. : 04.73.63.14.26
Traité
théorique et pratique de Biologie électronique, J. A. GIRALT-GONZALEZ, Éditions
Roger Jollois B.P. 1067 - 87051 Limoges Cedex - 1993
Des
poubelles dans nos assiettes, Fabien PERUCCA et Gérard POURADIER, Éditions
Michel Lafon - Paris - 1996
Des
inconnus dans nos assiettes, Dorothée BENOIT BROWAEYS, Éditions Raymond Castels
- Paris - 1998
L'éveil
au point zéro, Gregg BRADEN, Éditions Ariane - 1998
L'Alchimie
de
Une
Nouvelle Science de
Le
Corps Quantique, Deepack CHOPRA, InterÉditions
- 1998
Fondement
D'une Médecine Nouvelle, Ryke Geerd
HAMER, Tome 1 et 2 - Éditions L'ASAC - 1987 - 1988
On
ne peut rien faire Madame le Ministre, Corinne LEPAGE, Éditions Albin Michel -
Paris -1998
Les
Microzymas, Antoine BÉCHAMP, Librairie J.B. Baillière
- Paris - 1883. Réédition 1990 : c/o Dr. Marie Nonclercq
- 78800 - Houilles. Fax : 01.39.68.18.82
Constitution
des organismes animaux et végétaux. Causes des maladies qui les atteignent.
Tomes I à III. J. TISSOT. Laboratoire de physiologie générale du Muséum
d'histoire naturelle. Paris - 1926-42. Tome III encore disponible à Naturazur - 06620 - Gréolières.
Fax : 04.93.59.99.06
Le
Transgénique, Pr Bernard HERZOG, Éditions Le CRAM
Mes
cellules se souviennent, Dr Michel Larroche, Éditions
Guy Tredaniel
Science
dans la lumière (épuisé) et Au cœur du vivant, Jacqueline BOUSQUET, Éditions St
Michel - 1992