Denez Prigent – melezouriou glav

 

extrait Wikipedia

Denez Prigent (aussi appelé Denez), né le  à Santec dans le Finistère, est un auteur-compositeur-interprète français de chants en langue bretonne. Ses genres de prédilection sont le kan ha diskan, chant et contre-chant à danser et surtout la gwerz, chant dramatique racontant un fait historique ou un conte emprunté à la mythologie bretonne ou celtique.

Depuis ses débuts sur scène à seize ans, il s’est fait connaître en interprétant des chants traditionnels a cappella, puis en renouvelant la musique bretonne par des textes originaux accompagnés d’une musique mêlant instruments acoustiques et échantillons électroniques et, depuis quelques années, en se faisant accompagner par une instrumentation acoustique métissée (duduk arménien, violon à cornet manouche, cajón andalou, derbouka marocaine, tablas indiens, daf iranien, bendir.

Le mal-être que Denez Prigent ressent à vivre en ville est développé dans E trouz ar gêr, qui se termine en annonçant la fin du monde, et dans Melezourioù-glav (« Miroirs de pluie »), où il retrouve un espoir dans le dernier élément naturel qui reste : la pluie. À défaut de trouver la nature autour de lui, l’auteur la garde dans sa mémoire (Kereñvor). Il finit par retourner vivre à la campagne, comme il le raconte dans Sarac’h.

 

 

 

« Larry et moi »- l’histoire du fonds de pension Black Rock et d’Alladin par Denis Robert

 

29 octobre 2020

Un thriller financier

Expliquer la finance est un exercice fastidieux qui demande d’abord de la comprendre. Denis Robert, par son approche très personnelle, en inventant un journalisme littéraire, nous permet d’appréhender la mécanique interne du monstre BlackRock en remontant à sa genèse et en brossant le portrait de son boss : le mystérieux et très puissant Larry Fink.

Si on me demande aujourd’hui qui de Donald Trump, XiJingPing, Vladimir Poutine, Mark Zukerberg ou Larry Fink, est l’homme le plus puissant du monde ? Sans aucune hésitation je pointe Larry. Larry a plus d’influence sur nos vies que nos parents. Savez-vous que BlackRock possède 6,3% de Total, 6,5% de Sanofi, 6,4% de Publicis, 5,9% de Danone… en gros 5% du Cac40 ? Que BlackRock conseille la BCE, Airbus, Exxon, JP Morgan, Apple, la Grèce, l’État allemand ou la Commission Européenne ? Savez-vous que ses représentants votent aux assemblées générales de 17000 sociétés dans le monde ? Qu’elle brasse 31000 milliards de fonds par an, qu’elle a sauvé l’économie américaine après la crise du Covid ? Qu’elle possède une intelligence artificielle appelée Aladdin, née de la paranoïa maladive de Larry Fink sur la gestion du risque ? Mais pour survivre, BlackRock a besoin d’argent et de nouveaux espaces. On a ainsi retrouvé Larry à plusieurs reprises depuis deux ans chez Emmanuel Macron pour pousser – entre autres – au vote de la réforme des retraites par capitalisation.

Larry Fink a accès à la matrice du capitalisme. Il peut lire tous les bilans de pratiquement toutes les sociétés du monde. Il sait ce qui se joue entre concurrents. Il peut ainsi privilégier l’un ou l’autre dans le plus grand secret. Il est le dieu vivant du capitalisme. Rien que ça ? Non, pire encore. Attachez vos ceintures…

Si vous avez aimé Homo Deus vous goûterez à la réussite financière du plus grand fonds de pension américain BlackRock très investi en France notamment auprès du Président de la République et du gouvernement pour la réforme des retraites mais aussi dans le CAC 40.

La puissance de BlackRock réside  dans son système d’intelligence artificielle Aladdin  gestionnaire des risques et qui lui permet de conseiller les plus grandes sociétés de Wall Street comme du Cac 40. BlackRock  est  un avant-goût du monde des algorithmes appliqué à la finance.

BlackRock est une société multinationale américaine spécialisée dans la gestion d’actifs, dont le siège social est situé à New York. Fondée en 1988, elle est devenue le plus important gestionnaire d’actifs au monde, avec près de 6 960 milliards USD fin septembre 2019 – devant le fonds de pension Vanguard 

La société emploie 14 500 personnes et possède 70 bureaux à travers 30 pays pour une clientèle répartie dans plus de 100 pays.

Lors de la crise bancaire et financière de 2008, la société maintient sa santé financière ; alors que la faillite touche plusieurs sociétés d’investissement, BlackRock profite de la crise financière et acquiert son pouvoir actuel. « Avec la chute de Lehman Brothers, Wall Street est en pleine perdition : plus personne ne sait ce que recèlent les milliers de portefeuilles financiers, ce qui se cache derrière les dérivés, ce qui est toxique ou non, dangereux ou non. BlackRock comprend vite tout le parti qu’il peut tirer de cette situation. Depuis sa création, la firme a développé en interne son propre outil de gestion des risques, Aladdin, (I.A. au service de la gestion de risque) “capable d’analyser les risques d’investissement dans n’importe quelle action, de mettre en évidence où il faut vendre des obligations pour en tirer le meilleur prix, de suivre toutes les transactions, de combiner toutes les données pour trouver les informations essentielles pour les investisseurs” », explique le Financial Times.

En 25 ans, BlackRock est devenu le plus gros investisseur au monde. Est-ce un problème de dominance ? s’inquiétait The Economist fin 2013.

Alors que l’image sociale et environnementale de l’entreprise était écornée et qu’émergeait en Chine la pandémie de Covid-19, la valeur des actifs de BlackRock a chuté, passant de 7.430 milliards fin décembre à 6.470 milliards de dollars mi mai 2020, mais l’entreprise compte rebondir, en se verdissant, pour répondre à la volonté d’un grand nombre de ses clients d’oeuvrer à un monde plus résilient pour l’après-pandémie ; une étude publiée mi-mai indique que sur les trois premiers mois de 2020, les « fonds ouverts durables » (fonds et ETF) ont collecté pas moins de 40,5 milliards de dollars (+ 41% par rapport à 2019, pour un cinquième sur le marché américain qui a récolté la somme record de 7,3 milliards de dollars de la part des investisseurs) et une autre étude (Morningstar) concluait aussi que de depuis janvier à mai 2020, 51 de ses 57 indices durables avaient mieux performé que leurs équivalents traditionnels ; idem pour MSCI dont 15 de ses 17 indices durables ont dans le même temps également « surperformé »

BlackRock a des activités très diversifiées. Les caisses de pension et autres institutions représentent 66 % de ses affaires,

Il est, en 2020, l’un des principaux actionnaires du CAC 40, derrière les familles Arnault, Bettencourt et l’État Français.

BlackRock a dépensé en 2018 près d’1 million et demi d’euros en lobbying auprès du Parlement européen et organise des dizaines de rendez-vous avec les responsables de la Commission.

Cette société s’appuie sur une intelligence artificielle qu’elle a créée elle-même, Aladdin. Celle-ci évalue les risques et aide BlackRock à investir ou à s’abstenir de le faire. Par voie de conséquence, Aladdin gère 18 000 milliards de $ chaque jour.

 

Denis Robert à Sud Radio le 26 novembre 2020 avec André Bercoff

 

Qui est Larry Fink ?

PROZAC : le « casse du siècle »de Big Pharma et la mise en garde sur le coup d’après

A partir du cas du Prozac, relaté ci-dessous, ces informations nous donnent un aperçu du fonctionnement de Big Pharma et des manipulations dans le domaine de la santé. Nous avons juste à croiser les doigts pour que le processus ainsi décrit dans le cas du prozac ne se mettent pas en place après la résorption du covid-19 en vue d’utiliser des procédés planétaires de soins à grande échelle…et à grands chiffres d’affaire et profits pour ceux qui les utilisent. Bien sûr on nous dira que les deux situations n’ont rien à voir. Mais remplaçons ci -dessous Big Pharma par Big labo. 

Voici  des extraits d’un article des Echos du 20 mars 2020  titré « A quand un vaccin contre le coronavirus  » : « Le vaccin est une arme. Il permet à notre organisme de lutter contre la maladie et d’en être immunisé… en cas de réussite, les besoins atteindraient des milliards de doses pour protéger toute la planète… »

Lisez cette page covid-19 : le vaccin est-il la solution miracle ?

Attention, veillons à lutter contre les conflits d’intérêt, le manque de transparence et la course au profit.

d’après un article de Santé Corps Esprit publié le 12 avril 2017

Avec le PROZAC ( molécule de chlorhydrate de fluoxétine), les laboratoires Eli LILLY  ont découvert en 1974 puis commercialisé depuis 1986 l’anti-dépresseur qui sera le plus vendu au monde et donnera à Eli Lilly sa renommée et d’énormes profits. Le brevet de ce médicament  a expiré le 2/2/2001.

En parcourant le site de Lilly France on se sent en pleine confiance notamment à cause de la proclamation de leurs valeurs : respect des hommes, excellence, intégrité.

Pourtant, déjà à la lecture de la page fluoxéline sur Wikipédia, on découvre sous le titre controverse qu’une énorme polémique est  apparue vers la fin des années 90 sur les risques suicidaires des personnes sous Prozac. (risque plus ou moins présent chez tous les anti-dépresseurs)

En 2014, le laboratoire Lilly  est condamné par la justice américaine à 3 milliards de dommages et intérêts . Avec un laboratoire japonais, ils ont en effet été reconnus coupables  d’avoir caché des effets secondaires dangereux liés à leur traitement contre le diabète Actos. Même chose en 2009 avec sa condamnation sur le Zyprexa.

A la lecture des révélations  publiées le 12 avril 2017 par Santé, Corps, Esprit concernant le Prozac et le laboratoire Lilly on découvre  à travers le cas du Prozac, les manipulations auxquelles peut se livrer Big Pharma pour commercialiser des médicaments générant beaucoup d’activité, de gros profits, au détriment des risques de santé. Ceci s’avère possible  malgré les organismes de santé qui veillent sur celle-ci dans chaque pays, malgré aussi les  « hautes valeurs »  revendiquées par ce laboratoire.

Comment a donc procédé Lilly avec le Prozac ?

acte 1 :

Le laboratoire Lilly a masqué les effets secondaires dans ses premiers  essais sur les animaux et les humains et pour ces derniers ils ont donné des tranquillisants (vallium) pour masquer ces effets.

acte 2 :

Sans surprise, les autorités de santé allemandes (Bundesgesunhdheitsamt) émettent en 1984 un avis négatif sur le Prozac.

Puis, en 1985, c’est  au tour de l’Autorité de santé américaine, la Food and drug administration (FDA) d’émettre un avis négatif.

acte 3 : Maquiller les suicides en corrigeant les termes employés dans les rapports :

Après correction, les patients n’avaient plus de « pensées suicidaires » : le mot a été remplacé par celui, plus neutre « d’accès de dépression ».

Les termes de « tentatives de suicide », eux, ont été transformés en « surdose de médicament ».

Acte 4 : Acheter les autorités de santé

Dans un livre choc paru le 17/04/2014, Médicaments , effets secondaires, : la mort John Virapen , ancien directeur Suède de Lilly, raconte de l’intérieur  et en détail comment il est parvenu à soudoyer le Professeur « Z » chargé de rendre un rapport sur le Prozac.  Bien entendu, le rapport rendu passe sous silence les cas de suicides pourtant observés.

Bizzarement, aux Etats-Unis, la FDA malgré son premier avis négatif donne en 1987 une autorisation de mise sur le marché.

L’Allemagne a, elle aussi, finit par autoriser la mise sur le marché du Prozac.

Acte 5 : manipuler les médecins et le grand public :

Dès 1989, un grand journal comme le New York Magazine titrait « Au revoir, le blues – un nouveau médicament miracle contre la dépression ».

En 1990, le journal Newsweek consacra sa couverture au nouveau médicament, avec ce titre : « Prozac : un médicament révolutionnaire contre la dépression ». A l’intérieur, on pouvait lire que d’innombrables patients se sentaient « mieux que bien » grâce au Prozac.

Des associations de malades ont été créées et financées par les labos pour faire pression sur les autorités de santé. De grandes campagnes officielles d’information ont été lancées, financées par l’industrie pharmaceutique.

En 1992, les ventes du Prozac atteignirent le milliard de dollars. Une très bonne nouvelle pour les labos… mais beaucoup moins pour les patients.

Acte 6 : stigmatiser les adversaires

Malgré les révélations sur les effets du  Prozac qui commençaient à surgir dans la presse, savez-vous comment Eli Lilly a réussi à retourner la situation médiatique ?

D’abord, comme d’habitude, en trouvant suffisamment de médecins pour dire tout le bien qu’ils pensaient du Prozac : « efficace » et « sans danger », répétaient ils sur tous les tons, sur tous les plateaux de télé.

Mais de façon beaucoup plus habile, ils réussirent à présenter les adversaires du Prozac comme de dangereux extrémistes !

Ils expliquèrent que les patients qui se plaignaient étaient manipulés par… la Scientologie !

dernier acte : préserver les profits

Après que la molécule soit tombée dans le domaine public ils ont décidé de recycler la même molécule… sous un autre nom… et pour une autre maladie !

Et c’est ainsi que Lilly a développé le Sarafem, un nouveau médicament censé lutter contre une maladie inventée pour l’occasion, le « trouble dysphorique prémenstruel ».

Contrairement au Prozac, c’était une pilule couleur lavande, et non pas jaune… mais à l’intérieur, c’était exactement la même molécule !

Simplement, elle était vendue deux fois plus cher que le Prozac, et quatre fois plus cher que le générique. Avec comme cible des dizaines de millions de femmes, qui devraient prendre le médicament 8 jours par mois pendant des années.

conclusion sur le magazine Santé, corps, esprit:

« Attention : je suis convaincu que l’industrie pharmaceutique a un rôle essentiel à jouer pour la santé publique, en tant qu’acteur majeur de la recherche scientifique.

Mais pas dans les conditions actuelles ! Dans notre situation de conflits d’intérêt, de manque de transparence et de course au profit, c’est la catastrophe.

Il faudra beaucoup de temps et d’efforts pour changer les choses.

On ne progressera que si l’on s’y met tous ensemble. Et cela commence aujourd’hui. »

L’histoire est sordide. Hélas, le nombre de suicides ou de meurtres violents potentiellement liés au Prozac® ou aux médicaments de la même classe est considérable.

Un site Internet www.ssrisstories.org recense près de 5000 histoires violentes de suicides ou de meurtres en Amérique du Nord. Il s’agit, pour l’essentiel, de faits ayant été relatés dans les médias.

L’expert David Healy, qui a mené une vaste enquête sur le sujet dans les années 80-90 estimait en 2004 que sur les 40 millions de personnes ayant pris du Prozac®, 40 000 s’étaient suicidées à cause du médicament !

Show Stories by Drug

Qui nous parle dans certains de nos rêves ? – Alexander Grothendieck

Alexander Grothendieck, est né à Berlin en 1928 et décédé en 2014 à St Lizier commune située au sud-ouest de Toulouse.

Alexander a eu trois vies très différentes qu’il a traversées successivement avec la même passion et le même absolu, consacrant la première aux mathématiques, la seconde à l’écologie radicale antimilitariste et la troisième à sa rencontre avec Dieu à travers notamment les messages reçus par lui dans son sommeil.

La clé des songes, livre jamais publié mais conservé dans ses archives, relate sa vie et ses expériences oniriques et dit qui lui a parlé dans certains de ses rêves. Avant d’en faire la présentation, voici en quelques mots les deux premières parties de sa vie.

Ses origines familiales 

Alexander Grothendieck est né d’un père juif et russe, anarchiste militant et emprisonné à quatorze ans pour son action politique, libéré après la révolution de 1917. En 1924, à l’occasion d’un voyage en Allemagne son père rencontre celle qui deviendra sa mère et dont il prendra le nom, née d’une famille de la bourgeoisie protestante et comme son père, investie dans la cause anarchiste révolutionnaire.

Après l’arrivée d’Hitler, ils émigrent en France où ils sont internés en camp d’étrangers. Son père sera déporté du fait de ses origines et mourra à Auschwitz et le jeune Alexander poursuivra sa scolarité et sa vie en France.

Un génie des mathématiques 

Alexander Grothendieck fera une carrière de chercheur en mathématiques et recevra en 1967 la médaille Fields, consécration suprême. Madame Claire Voisin mathématicienne, membre de l’académie des sciences et qui n’aimait pas, dit-elle, la personne du mathématicien, dira pourtant de lui qu’il est le génie pur des mathématiques, du même niveau qu’Einstein en physique. A titre d’exemple elle dit qu’il découvrit en moins d’un an quatorze questions restées jusque-là sans solution.

Un livre vient d’être édité en 2023 sur sa vie de mathématicien :

mars 2023

Son engagement dans l’écologie radicale antimilitariste et anti-technologique 

La deuxième partie de sa vie, menée de pair avec son travail de professeur de mathématiques à l’Université de Montpellier, correspondra à son engagement dans l’écologie radicale antimilitariste. Il refuse alors la société vers laquelle nous entraînent les sciences et techniques nouvelles et notamment dans le domaine militaire.  » Survivre et vivre  » sera une revue qu’il créa avec d’autres et qui sera publiée de façon irrégulière d’août 1970 à juin 1975.  Après cette période, il abandonne alors son militantisme politique pour créer successivement deux communautés dans lesquelles il vivra quelque temps et dont il s’éloignera. Celles-ci disparaîtront d’ailleurs assez rapidement.

 

Son retour à une vie intériorisée et son attention très soutenue à certains de ses rêves où Dieu lui parle 

Sans doute déjà, s’étaient manifestés les premiers indices de sa troisième vie où il rencontrera Dieu dans ses songes puis le message de Jésus-Christ. Avant cette période, il a vécu quelques épisodes qui l’avaient déjà fait évoluer en ce sens.  Comme ses parents, Alexander était pourtant anarchiste et totalement athée, ne voyant en Dieu qu’un concept dépassé, auquel, seuls les esprits les moins éveillés pouvaient encore se référer. Un homme de science, comme lui, ne pouvait adhérer à de telles sottises !

Le livre présente de façon disparate et à vrai dire confuse, une chronologie des grands événements qui l’ont fait changer. Le premier de ceux-ci remonte à 1944. Il a alors 16 ans et participe avec sa classe à une causerie de son professeur de sciences naturelles profondément croyant et qui leur montre l’évolution de la vie en sciences naturelles. Il est totalement émerveillé devant la beauté des cellules et la complexité quasi infinie de la diversité de la vie. Contrairement à l’hypothèse du hasard qui sous-tend la théorie de l’évolution et prétend l’expliquer, il est alors immédiatement convaincu du contraire : un dessein caché organise l’évolution. Il dit que c’est depuis ce jour qu’il est passé de la vision athéiste à déiste sans d’ailleurs, note-t-il, que ce passage n’ait eu, alors, une quelconque influence sur lui. Sa vie continuera donc comme avant.

Le deuxième moment de rupture avec sa vision strictement matérialiste de la vie se situe en  1957. Année exceptionnelle pour lui, durant laquelle il fera, dit-il, ses découvertes fondamentales en géométrie algébrique, accompagnera sa mère durant ses derniers moments et puis rencontrera celle qui deviendra sa compagne. L’accompagnement de sa mère durant ses derniers mois sera l’occasion pour lui de découvrir qu’à côté de la réalité intellectuelle basée sur la raison, existe aussi une réalité spirituelle.  Mais là encore, et comme en 1944, il dit que cette découverte restera sur le moment sans effet sur sa vie.

Le troisième moment décisif correspond à la période 1975 – 1978, dates où il abandonne à la fois son implication dans la recherche en mathématiques et son engagement en politique – mais il, continuera d’enseigner à l’Université jusqu’en 1988 date de son départ en retraite.

Il se consacrera alors beaucoup plus à lui-même et en particulier à l’observation de ses rêves. Depuis 1976, et durant dix ans, il va consigner, dit-il, environ mille rêves dont il s’est souvenu et parmi ceux-ci trois à quatre cents dont il dit avoir compris les messages.

Parmi ces quatre cents rêves, il affirme qu’aucun ne tire sa source de son  psychisme et il leur reconnaît toujours la même « patte », le même souffle.

Certains de ceux-ci sont en langage clair et sans code secret. Ils constituent une Parole vivante dont chaque mot porte et s’accomplit en lui. Il reconnaît en 1988, une dizaine d’années après, que c’est cette voix qui lui a fait changer la façon dont il percevait le monde.

Cet état lui est venu dit-il comme une grâce, en revanche, l’acte de foi qui l’a accompagné ne peut venir dit-il que de nous, que de l’âme.  Cette foi se confond chez lui avec la foi en la vie, en l’existence.

Persuadé, à force d’observation, que ces rêves ne viennent pas du psychisme mais d’un Rêveur extérieur, il finit par être convaincu que ce Rêveur est Dieu qui nous parle. Il décrit même, à ce propos, ce rêve survenu en août 1982 où Dieu lui apparaît sous les traits d’un vieux monsieur bienveillant qui lui indique son chemin.

Il mesure alors la chance inouïe qui est la sienne et la confiance absolue et jamais démentie qu’il accordera alors aux messages divins qu’il reçoit.

Dans son livre, Alexander Grothendieck veut d’abord brosser à grands traits la vision du rêve en général et dans un second temps faire passer son expérience du rêve et de Dieu.

Début 1988, ses rêves deviennent des révélations prophétiques

Il estime enfin que les rêves obtenus de janvier à mars 1988 présentent le caractère de véritables révélations. Parmi ceux-ci, il y a les rêves prophétiques annonçant la fin brutale d’une ère à son déclin, d’une culture en pleine décomposition et l’avènement d’une nouvelle ère.

Viendra, dit-il alors, le choc de la tempête et les oreilles de ceux qui vivront entendront et les yeux verront.

Pour lire un résumé du livre 

Pour lire le livre 

 

 

Le SARS-cov2 est bien une arme biologique – par David E.Martin

 

 source Thiery Didiers blog Médiapart « origine du virus et de la folie liberticide »

Nous avons affaire au final à une arme biologique (un poison binaire) – sélectionnant le vivant – où le virus synthétique n’est rien comparativement à la délivrance du « vaccin » », a déclaré récemment David E.Martin au Covid Summit III au Parlement Européen « Il n’y a pas eu de fuite de laboratoire à Wuhan mais une bio-militarisation intentionnelle d’un virus »

 

Au sujet de l’ICS ( International Covid Summit)

La 3e édition de l’International Covid Summit (ICS 2023) s’est déroulée au Parlement européen à Bruxelles, du 2 au 4 mai dernier. L’ICS est un espace créé pour que les médecins et professionnels du monde entier puissent échanger sur la gestion (ou l’origine en l’occurrence) de la crise sanitaire, dans un temps et un espace politique. Ici européen. Mais l’ICS n’est ni organisé ni financé par l’assemblée européenne. Il est à l’initiative de certains députés européens.

Qui est D E. Martin ?

Martin y a été invité en tant que fondateur et président-directeur général de M.CAM, une société internationale qui a pour activité le “capital immatériel”. Soit tout ce qui englobe les éléments non monétaire et non physique qui développe de la valeur : par exemple, les brevets intellectuels. David Martin s’est spécialisé dans les dépôts de brevet de l’industrie pharmaceutique. Il a été engagé, par exemple, par le gouvernement US pour rechercher l’origine des souches d’anthrax des attaques du début de années 2000.

REINER FUELLMISH : PANDEMIC FRAUD version intégrale jusqu’à environ 1H sur 1H 20

Découverte du coronavirus en 1965 en tant que modèle d’agent pathogène

Le coronavirus en tant que modèle d’agent pathogène, nous dit-il, a été isolé en 1965. Il était associé au simple rhume. Il a été immédiatement identifié comme un agent pathogène pouvant être utilisé et modifié pour toute une série d’objectifs.

Pfizer dépose un brevet de premier vaccin à protéine de pointe en 1970

En 1967, il a été procédé aux premiers essais humains sur l’inoculation de personnes. Ensuite, 1975, 1976 et 1977, on a commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens.  C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin à base de protéines de pointe en 1990.

Dix ans plus tard, le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones déposent, toujours pour Pfizer, le brevet d’un vaccin à protéine de pointe contre le coronavirus canin. Il est publié sous le nom de brevet américain 6372224. Ce vaccin comprenait spécifiquement la protéine de pointe « S »

En 2003, c’est le CDC (Central of Desease Control and Prévention) qui dépose un brevet pour “isoler” le SARS-CoV-1 et protéger la totalité de la séquence génomique ainsi que les méthodes de détection du Sars Cov. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence chevauchant le SARS-CoV-2.

A Chapel Hill- Université de Caroline du Nord- en 2002 est déposé un brevet de modèle de vaccin ARN

En avril 2002 est déposé le brevet 7279327 par l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill sous la dénomination : « The mRNA Vaccine « model » is patented as « an infectious, replication defective clone » aux noms de  Krisopher M. Curtis et Boyd Yount. La source du financement qui a permis la recherche : le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) dirigé par Anthony Fauci ((ce brevet 7279327 a été transféré de l’UNC Chapel Hill aux NIH en 2018).

Ce modèle de vaccin : une arme biologique

Le « modèle » du vaccin à ARNm est breveté comme « un clone infectieux à réplication défectueuse », Martin nous dit que l’UNC a réussi à fabriquer un virus capable de cibler un individu – en l’occurrence l’épithélium pulmonaire humain – mais sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus, et qu’il s’agit donc d’une arme biologique. D’après Martin, ce pathogène particulier a été spécifiquement étiqueté comme une technologie de plate-forme de bioterrorisme et d’armes biologiques en 2005.

En 2015-2016, sur la base d’échantillons de l’institut de virologie Wuhan de 2011 deux articles indiquent que la chimère ainsi produite est prête pour l’émergence humaine.

L’étude -in vivo – sur la protéine de pointe du virus, s’est poursuivi ensuite à l’Université de Caroline du Nord à partir de coronavirus échantillonnés par l’Institut de virologie de Wuhan  entre 2011 et 2013 – malgré le moratoire sur le gain de fonction décidé en 2014 – et a abouti à deux articles – : un, en 2015 et un, en 2016, indiquant tous deux que la chimère conçue par le laboratoire ciblait le tissu endothélial, le tissu pulmonaire, le tissu rénal, « et qu’elle était «  prête pour l’émergence humaine ».

En 2015 Moderna achète la technologie des nanoparticules lipidiques

En 2015, Moderna – le concurrent principal de Pfizer dans la course au vaccin anti- Covid – fait un pas décisif pour le développement d’un vaccin à ARNm. Elle achète à AlCana ​​Therapeutics, la licence pour la technologie des nanoparticules lipidiques. Et en avril 2019, Moderna est amenée à modifier 4 demandes de brevet rejetées pour inclure le terme libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire comme justification de la fabrication d’un vaccin.

En novembre 2019 Moderna commence le séquençage d’un vaccin anti-covid 19

Huit mois plus tard, en novembre 2019 – bien avant que soit déclarée la pandémie – après avoir conclu un accord de coopération avec l’UNC Chapel Hill et le NIAID – Moderna commence le séquençage d’un vaccin à base de protéine de pointe contre le Covid-19.

David Martin dit qu’il n’y a pas eu de fuite de laboratoire à Wuhan mais une bio-militarisation intentionnelle d’un virus.

 Nous avons affaire au final à une arme biologique (un poison binaire) – sélectionnant le vivant – où le virus synthétique n’est rien comparativement à la délivrance du « vaccin » », a déclaré récemment David E.Martin au Covid Summit III au Parlement Européen « Il n’y a pas eu de fuite de laboratoire à Wuhan mais une bio-militarisation intentionnelle d’un virus »

Deux grandes approches spirituelles : l’une du mental et de la vigilance et l’autre de l’affectif et du service

 

 

Il existe différents plans spirituels et états d’Eveil.

Par la Tête l’Illumination peut se vivre.

Mais par le Cœur l’Eveil sublime se Réalise.

Le Cœur est la clé de la nouvelle conscience.

Notre Cœur est la porte

..

C’est un grand appel qui se fait maintenant.

Mais pour pouvoir y répondre,

nous devons nous préparer.

« L’union de l’être humain avec le Cœur d’une Personne Divine

entraîne l’union de l’être humain avec Dieu. »

Au plus profond du cœur,

dans le grand silence,

une nuit,

une Présence,

douce et puissante

plus intense que tout

*

et

une voix, sans parole,

qui transmet, comme une impulsion …

à écrire.

« Rappelle-toi que l’unique visée de mon Cœur est de révéler l’Amour, et de faire de ta petitesse et de ta fragilité, un canal de miséricorde pour beaucoup d’âmes ” (Coeur divin)

sur Maison de paix 

Création ex-nihilo ou Univers cycliques

Création ex-nihilo
ou
Univers cycliques

Et donc,
un Créateur de tout l’Univers, voire des Univers…
Ou,
Univers holographique(s) – Univers ekpyrotique(s) – Théorie des branes Théorie des super-cordes – pour les plus abordables !…

Dès lors que l’on ne peut apporter de réponses, concrètes, cohérentes et irréfutables en tous points, sur ce qui concerne la « Création » de notre univers – ce qui est, jusqu’à preuve du contraire, toujours d’actualité – on pourrait être tenté parfois de passer à une autre étape, souvent imprégnée de l’influence des dogmes, qui ont façonné nos méthodes de penser, et régulièrement structuré de manière inconsciente, nos réflexions, nos raisonnements depuis tant de siècles.

Et ainsi l’on cherchera à identifier l’Origine de cette Création, si tant est que cela soit à notre portée. On entrevoit alors, à travers le biais de la croyance, une approche, un narratif qui se voudra « descriptif» d’un Créateur – le plus souvent établi dans le ciel*** sa demeure préférée. C’est ce que l’homme a toujours fait depuis des millénaires. Que le tonnerre gronde ou que les éclairs jaillissent, c’était à coup sûr une manifestation de la colère de Jupiter, pour les romains, ou de Zeus, pour les grecs, 2500 ans avant JC. Il y avait pléthore de dieux en ces temps là, mais aussi des « Uniques » et des « Suprêmes », dont Ometeolt « le Suprême…Créateur de toutes choses », également, Tabal-dak, Indra « le Seigneur des Cieux », mais aussi et encore, un Dieu guerrier, ce qui rappelle étrangement, dans son historicité, la figure de Yahweh-l’Eternel [Milchamah] => Homme de guerre, Lui aussi !… Et c’était, il n’y a que quelques dizaines ou centaines de siècles seulement, ou plus, allez savoir ? L’humanité a évolué, ces phénomènes ont été identifiés, les dieux ont été remisés pour partie, au chapitre des traditions ou du folklore. Mais cette notion d’Entités supérieures, de Gardiens ou de Guides suprêmes, demeurera cependant sous forme d’engrammes dans l’inconscient collectif de l’humanité, et perdurera au fil des siècles, avec des variantes et des modifications adaptées aux consciences de l’époque où se déroulèrent l’écrit des récits fondateurs. Dans les Religions bien évidemment, dans les traditions ésotériques, voire occultes, et dans certaines formes de spiritualité plus ou moins formatée. Ometeolt était peut-être encore l’un de ces « Principes Créateur », avec quelques autres, Zeus, Indra …, que les auteurs de ces narratifs religieux, auraient bien voulu ancrer dans une certaine forme de transcendance; mais celle-ci demeurait encore bien trop imprégnée de dualité, pour être conforme au sens profond de la-dite Transcendance. De plus, ce même travers demeure dans chaque récit : les hommes ont voulu parachever l’image de ces dieux – qu’ils ont donc eux-mêmes créés en réifiant une Énergie perçue en une Entité, souvent d’aspect humanisé – en leur attribuant une descendance, là aussi, bien trop conforme aux normes humaines, comme de coutume. Toujours ce besoin de projeter cet archétype traditionnel, celui de la famille en l’occurrence: Père – mère – enfant ; avec souvent un, ou des fils du reste. Les filles ont moins de chance d’y figurer ! Car ce sont des hommes qui, en plus d’inventer les dieux, écrivirent et peaufinèrent les textes religieux, ne l’oublions pas ! Les femmes, à de rares exceptions près, Isis, Myriam, Maria et quelques autres, sont presque toujours, soit absentes, soit perçues dans des « rôles secondaires », dans les textes qui structurent l’élaboration des fondements des religions. Et l’on retrouve régulièrement cet ancrage archétypal dans le symbolisme de la trinité : Brama – Shiva – Vishnou ; Osiris – Isis – Horus ; Père-Fils-Esprit . Trinité et triade également dans le bouddhisme avec les 3 Joyaux : Bouddha-Dharma-Sangha bien que cela décrive plutôt, ici, un état-d’être, un parcours spirituel avec ses mille nuances, et non une entité divinisée. Et l’on n’oublie pas la trinité la plus à notre portée : Esprit-âme-corps. 
Cette approche sera donc teintée majoritairement, d’une certaine forme d’anthropomorphisme; pas forcément sur l’aspect extérieur supposé, quoique…, mais sur les « intentions » avancées, sur les « caractéristiques » décrites, et sur le « comportement » rapporté par les auteurs des Textes dédiés. A les en croire, ceux-ci furent sans doute des contemporains du-dit Créateur, et L’ont vraisemblablement bien connu ! Alors la plupart des gens concernés se fient à ces récits; car ne sommes-nous pas tous, très limités pour envisager d’aller plus loin par nos propres moyens ?
Dieu/Dieux – est donc la Solution ultime – dixit, toutes théologies confondues, soit majoritairement monothéistes de nos jours – mais aussi certaines polythéistes, parfois moins dogmatiques – conduites par leurs fervents promoteurs et défenseurs, entraînant ainsi dans leur sillage, depuis tant de siècles, l’approbation d’une vox populi majoritaire. Et ne dit-on pas:« vox populi, vox Dei » ?!

Petit interlude – On ne peut citer la « Vox Dei » sans évoquer son pendant mélodique, le « Dixit Dominus » – Voix de Dieu et Paroles du Seigneur – mais bien sûr ici, c’est une toute autre histoire, celle de l’art musical en l’occurrence, quelquefois plus proche de l’essentiel dans son évocation, que le simple égrenage des textes « historiques ». Et surtout, certaines de ces compositions, inspirées parfois, ne sont plus un joug, même  léger !. Elles laissent libre cours à l’inspiration, sans dogme à l’affût, à l’intuition, à une envolée possiblement non formatée, et peuvent de ce fait apporter cette libre ouverture, cette élévation vers un « Ailleurs » non défini, non schématisé, et qui nous concerne cependant, c’est-à dire qui nous est intime, en relation direct avec notre propre cheminement intérieur.
Alors oui, j’apporte ici sans doute un zeste de contradiction sur ce qui sera évoqué par la suite, mais c’est un peu le mélomane qui s’exprime ici. Un simple exemple – les « ouvertures », pour faire court, des « Dixit Dominus » de Händel, Vivaldi ou Monteverdi – les « voix » ! du Seigneur étant impénétrables – entre autres Perles du Baroque, et si possible dirigées par un John Eliot Gardiner, ou un Roberto Zarpellon entre autres chefs inspirés, ça vous transporte vraiment…surtout dans le Silence qui suit…

La récréation est terminée, on revient au sujet.
Alors, quelle fut la voie utilisée ?
Tout d’abord,
Concrétisation : Réifier  – « Donner corps à une abstraction » .
Et dans le cas abordé, en réduisant cette Abstraction à une identité, fut-elle sublime, et donc le plus souvent à un Être suprême. De fait en voulant « concrétiser » en quelque sorte, un « Sujet non déterminé » pour en faire un « Objet de culte », destiné à combler l’attente de la majorité des humains.

Donc par extension : Vouloir « Personnifier » un Absolu Indicible, peut-être par une forme d’outrecuidance bien humaine, en un « Être » évanescent, supposé être un Dieu, mais ça reste alors un Être ou un Démiurge*, ou des anges, ou alors toutes autres figures immatérielles, insaisissables, voire illusoires, mais toujours dans le cadre de l’altérité et donc de la dualité. De fait, une forme de réification, qui façonne « l’objet d’un culte ». Souvent utilisé, dans des interprétations avec une tendance anagogique**marquée .


Alors, par une Réification,
On façonne la Déification.

Et puis, de quelle Création parle-t-on ?
La matière qui façonne cet univers visible, pourrait bien être déjà de nature holographique, comme le postulent David Bohm, Karl Pribam, ainsi que d’autres physiciens. On sait par ailleurs, déjà très concrètement cette fois, si l’on peut dire, que ce que l’on appelle la matière, ne représente seulement que 5 % de la masse de l’Univers – de l’atome, à l’ensemble de tous les corps célestes du Cosmos confondus. Et celle-ci, cette matière donc, est composée comme l’on sait, à 99,9999… % de vide. Pour du concret, on pourrait faire mieux ! Donc pour résumer, par la réification, on veut affirmer dans un discours religieux bien assuré et souvent dogmatique – ouvrage de la plupart des théologiens, et autres philologues – l’existence d’un Créateur singulier, qui aurait été ainsi « personnifié », «caractérisé», avec un descriptif bien trop humain pour être crédible. On ne peut plus en douter lorsque l’on relit, sans à priori, ni influences provenant de notre passé culturel, les Textes officiels par ex., mais pas que !.
Comme si déjà l’on pouvait « réifier », ce qui est du domaine d’un Absolu Indéterminé, et donc Insondable, ou bien avoir cette  forme de rhétorique , que de vouloir à tout prix, désigner, dénommer, ce qui par Essence même, est Indicible .

Le terme Deus a été effectivement élaboré à partir du latin deus, lui-même issu d’une racine indo-européenne deiwos, « divinité », de la base, dei-, « lueur, briller » => Lumière.
La Lumière est une fréquence vibratoire très particulière, qui peut différer selon les types de lumière, et les longueurs d’ondes propres à chacun d’eux. Et puis, il y a lumière… et Lumière ! Il ne viendrait à l’idée de personne, sauf dans un lointain passé – (le « deus » latin par ex. étant issu du polythéisme gréco-romain, ce panthéisme bien connu : Zeus, Jupiter etc.) – que de vouloir «personnifier», donc « réduire » cet état vibratoire dû à la magie des photons, ou d’une Vibration Autre et nettement supérieure, qu’Elle en serait Infinie.

Alors on peut tenter un rapprochement, facilité par la proximité sémantique des mots  Deus=Lumière – par : «État Divin» – qui a le mérite de ne point personnifier un État Indicible, et donc peut sembler ainsi, selon que l’on soit fortement, moyennement, ou pas du tout, en connivence avec les textes officiels – être mieux approprié pour tenter de définir – bien que l’on sache pertinemment que cela est totalement impossible, mais pour une facilité de langage – cet État Absolu – Indéterminé – Illimité – Indicible – Infini …
Et de fait, sans commencement, ni fin.

Mais ce n’est bien sûr, qu’une simple tentative d‘approche d’un profane, simple pèlerin en vadrouille ; un début de commencement, comme dirait l’autre, d’une possible amorce de compréhension !!… Et assurément, le résultat n’est pas garanti ! Mais continuons quand même, car « c’est en marchant que l’on fait son Chemin ! »

Ce Créateur est donc toujours décrit selon des textes transcrits, interprétés, réécrits, maintes fois modifiés… par les doctes transcripteurs des textes « originaux », textes qui ont été à « l’origine », eux aussi, également élaborés par de simples humains. Humains dont on présume donc, qu’ils étaient les auteurs attitrés de ces affirmations, assez souvent péremptoires, mais en aucun cas, sans la certitude formelle qu’ils en aient été véritablement les auteurs authentiques. Et puis, dans les toutes premières avancées de ces Aventures, l’information ne se transmettait que par l’oralité. Aux Indes, en Égypte, en Orient, aucun écrit des prémices de ces Aventures. Donc c’était un peu comme – « l’homme qui a vu l’homme, qui a vu l’homme qui à vu Dieu » – Et l’on retrouve aisément de grandes et très nombreuses similitudes, avec ces récits provenant d’autres Textes, beaucoup plus anciens cette fois, que l’hébreu massorétique, d’où émanent ces transcriptions. Par ex. les écritures cunéiformes des tablettes sumériennes, ou des écrits assyro-babyloniens. Certains passages seraient-ils en quelque sorte, des « copier-coller », tant les récits sont semblables , voire identiques parfois? Par la suite, avec le renfort de l’herméneutique, l’interprétation sera encore plus affinée, très souvent avec des inflexions et des orientations fidèles aux souhaits des théologiens.

Ainsi, « IL » aurait donc été le Créateur du…Vide. Puisque l’Univers « tangible » c’est bien du vide, à un pourcentage de 99,999 etc. « Alors, si l’on croit à un Créateur, on doit croire à cette illusion-Maya, qu’est la matière !» dixit Matthieu Ricard. Logique qui semble imparable. Mais il est vrai que les fluctuations de ce Vide, générant, ce que les scientifiques appellent : l’Énergie de Point zéro, serait peut-être cette «Origine » de la phase dans laquelle nous sommes, et qui remonte entre 13,8 et 15 milliards d’années, selon les astrophysiciens. Cette Énergie de l’origine qui était, est, et sera toujours à l’œuvre dans ce que l’on appelle – la « Création ». Celle-ci serait donc continuellement en action, en perpétuelle activité. Dieu ne chôme pas !

Pour en revenir quelques instant sur le « tangible » de la matière, de l’univers et de la vie que nous percevons, il serait peut être intéressant de se rappeler ces expériences d’un jeune chimiste américain Stanley MILLER qui, alors qu’il travaille en 1953 dans le laboratoire d’Harold UREY – (Nobel de Chimie), expérimente à 23 ans, la « création » des premières briques du vivant. Les acides aminés essentiels à partir des gaz qui prédominaient dans ce qu’on appelle la « Soupe primordiale » : Ammoniac, hydrogène, méthane, plus un soupçon de CO2 et de l’eau. Bon appétit ! La recette : Vous chauffez le tout à une certaine température, avec quelques petites décharges électriques en passant, tout en touillant un peu, et au bout de 7 jours vous obtenez au fond de la cornue, un dépôt rougeâtre – Bigre, mais qu’est-ce donc ? Ce sont les premiers acides aminés !! Les premières briques du vivant !

Stanley Miller démontrait ainsi la continuité entre la chimie organique du carbone, et les briques du vivant, inaugurant de fait la chimie prébiotique en tubes à essais. Les briques du vivant étaient fondées, qui donnèrent « vie » aux protéines et plus tard aux organismes biologiques. Miller n’est pas pour autant un créateur ! Il a seulement confirmé ce que la nature peut réaliser à partir de « l’inanimé » – gaz et autres ingrédients, pour parvenir … à ce qui peupla la terre par la suite.

La publication des travaux de Stanley Miller, le 15 mai 1953, dans la revue américaine Science, retentit à l’époque comme un coup de tonnerre. En « bricolant » dans son laboratoire, il avait en effet réussi pour la première fois à créer les briques du vivant, à partir de gaz inertes.
J’avoue que cette info m’avait très intéressé en rapport avec le « début » énigmatique du  vivant, à ce niveau de la matière . (Le Vivant de niveau spirituel, rayonnant Lui, vraisemblablement, sur un tout autre registre ou fréquence!). Stanley Miller n’est donc pas un « créateur » du vivant pour autant ! Il a simplement mis en lumière l’interdépendance de tous les phénomènes – gaz, particules, rayonnements, etc…
Sachant, comme déjà dit, que ce n’est que du « vide » après tout. l’Information préexistant à toute matière !

Mais cependant, ce bureau sur lequel je tape ce papier, cet ordinateur, ce fauteuil sont bien tangibles! – Et pourtant, « Rien ne touche rien »  comme disent certains physiciens quantiques ; et ce n’est pas une sorte de métaphore humoristique ! Tout ceci nous semble si réel – le bureau, l’ordinateur et le fauteuil sur lequel je suis assis, et vous qui lisez sur votre écran ! sauf erreur, nous ne passons pas encore au travers du fauteuil ?! – notre bureau supporte bien notre ordinateur, et celui-ci remplit bien son rôle comme si de rien n’était. Alors que ce ne sont que des champs vibratoires, des champs magnétiques ou électromagnétiques qui s’opposent, se modifient ou se repoussent, puisque n’étant pas de même fréquence, et qui procurent ainsi à nos neurones, cette confortable et rassurante impression d’un « réel » bien tangible, alors qu’au niveau quantique, il n’en est rien. Oui – « Rien ne touche rien » – ! Maya est à l’œuvre !
(Attention aux maux de tête !) Ce vide quantique, « source » de ce qui nous apparaît comme étant le réel, avait déjà été commenté par un célèbre physicien.
« L’espace vide n’est pas vide, il est le siège de la physique la plus violente »
John Archibald WHEELER (1911 – 2008) Physicien théoricien

Mais encore …
John Wheeler résume ainsi son parcours intellectuel en physique :
« Je crois que ma vie en physique se divise en trois périodes :
1 – Tout d’abord j’ai cru que tout était fait de particules. (les atomes de la matière, neutrons, protons, électrons …)
2 – Ensuite, dans ma seconde période, que tout était fait de champs. (champs gravitationnels, champs électromagnétiques etc…)
3 – Et depuis, dans cette troisième phase de ma réflexion, mon impression est que tout est fait d’Information ».

 « Au commencement était le Verbe » (dixit Ev.de Jean) => Donc : l’Information !
Comme en écho, un autre physicien, non moins prestigieux, répondait :
« L’espace vide n’est pas vide, il est plein. L’Univers n’est pas séparé de cette Mer d’Énergie Cosmique »
David BOHM
qui poursuit :
« Le vide absolu n’existe pas – Ce vide n’est donc pas vide, ni inerte, il est en permanence en pleine ébullition. Ce vide, dit quantique, est le théâtre de créations et de destructions de particules. Il se remplit et se vide de lui-même générant ainsi une énergie appelée énergie de point zéro ou énergie du vide. »
David BOHM (1917 -1992)
Physicien théoricien et quantique.

Alors du lointain passé, résonne encore par delà les temps, et au travers des Ethers :
« NEQUAQUAM VACUUM ! »
« Nulle part n’est le vide »
année 1484 … avec 500 ans d’avance sur la physique du XXI siècle!
Cet univers n’est donc pas figé, il change ainsi perpétuellement, et n’est de ce fait, pas éternel. Lucrèce, ce philosophe romain du 1er siècle avant J.C. affirmait déjà que l’univers était encore inachevé dans sa jeunesse. Et pourquoi avait-il cette conviction, à cette époque? Suivant un raisonnement audacieux, il disait : « Depuis mon enfance j’ai constaté que les techniques se sont perfectionnées autour de moi. On a amélioré les voilures des bateaux, on a inventé des armes de plus en plus efficaces, on a fabriqué des instruments de musique de plus en plus raffinés… Et donc, si l’univers était éternel, tous ces progrès auraient largement eu le temps de se réaliser, cent fois, mille fois, un million de fois! Je devrais donc vivre dans un monde achevé, qui ne change plus ? Or, puisque au cours des quelques années de mon existence, je n’ai cessé de voir autant d’améliorations, c’est donc bien que le monde n’existe pas depuis toujours… »
Pas mal ce raisonnement d’il y a 2200 ans !
Et…
« En ce moment même, l’espace dans son intégralité, regorge de particules virtuelles, à l’existence aussi « fantomatique » qu’ éphémère.
De même qu’une particule, l’univers peut aussi théoriquement surgir spontanément du vide, sans cause première – mais par la grâce d’une fluctuation quantique. La notion même de « cause à effet » perd son sens habituel, quand il s’agit de l’univers. Cette notion présuppose l’existence du temps : Car la cause précède l’effet. Or le temps et l’espace sont apparus en même temps que l’univers. Que veut donc dire :«  Et Dieu créa l’univers », si le temps n’existait pas ? Parce l’acte de création de l’univers n’a de sens que dans le temps. Alors Dieu est-il dans le temps, ou en dehors du temps ? Le temps n’étant pas absolu, comme l’a dit Einstein. Il est élastique. Un Dieu dans le temps ne serait, pas tout-puissant, car il serait soumis aux variations du temps causées par des mouvements d’accélérations ou par des champs de gravité intenses comme ceux qui existent aux abords des Black Holes. »… Thrinh Xuan Tuan astrophysicien.

La « Création » ne pouvant être figée dans son évolution, sauf à postuler que cette création se serait, en quelque sorte, comme « cristallisée », dans des schémas préétablis? Ou bien alors, serait-elle en mouvement perpétuel, où les phénomènes surviennent et se développent par le truchement d’une interdépendance inhérente ? – Et donc ici, point de « Création » ex-nihilo, à proprement parlé – L’énergie du vide, qui n’est toujours pas vide, générant elle-même, par ses fluctuations, et ce fameux «Principe de conservation de l’énergie », principe totalement immuable, les fondements de la matière… pour….. ? Retourner au Vide après un cycle… des milliards de cycles…? c’est ce qu’on appellerait l’Éternité ? Rien ne se perd … rien ne se crée, tout se transforme!
Sans compter sur d’hypothétiques, (mais de moins en moins ?), Univers parallèles, Univers branes, ou Univers cycliques, ou bien alors cet Univers gémellaire postulé par Andreï Sakharov par ex. Mais également sur des théories toujours en développement, théories des super-cordes, théories des branes ou également Univers ekpyrotique, qui interpellent de nombreux astrophysiciens dans cette recherche de l’origine – si origine il y a ? Puisque, qui dit origine, dit fin – Alors que le cycle, a certes une fin, mais qui rebondirait sur une « nouvelle aventure du cosmos, ou d’autres cosmos » ? 

Petite digression sur les théories : Les théories ne s’avèrent pas toujours certaines – c’est le propre d’une théorie – mais lorsqu’elles sont partagées par de nombreux chercheurs de différents pays, on peut estimer qu’il y ait de fortes probabilités de confirmation. Je me souviens d’un bouquin passionnant de l’astronome Pierre Kohler « les Gouffres du Cosmos » (1978) , où déjà, il évoquait et développait la théorie des « trous noirs ». Théorie assez controversée à l’époque, mais qui s’est avérée par la suite totalement exacte, et a pu confirmer l’existence de ces black holes par millions et +, dans notre cosmos. Des méga trous noirs parfois, jusqu’à 40 milliards de fois la masse du soleil ! ou d’autres, blottis au cœur de galaxies, comme la nôtre par ex., ou ailleurs, souvent à des formats plus modestes, de quelques centimètres , voire moins ?!

En se rappelant que le Vide n’est surtout pas le néant.
Loin s’en faut !
Le « néant » n’étant bien souvent, qu’une formule « creuse », échafaudée par ceux qui précisément veulent à tout prix désigner ce qu’ils ne comprennent pas.

Mais revenons au Principe Créateur, que personne ne peut avoir la prétention d’expliquer, surtout pas en voulant « personnifier », comme le font la plupart des théologies d’où émanent les dogmes religieux. N’y aurait-il pas là comme une forme de pensée réductrice, à vouloir à tout prix, nommer, désigner, enfermer, toujours dans ce carcan des mots, et donc réifier en quelque sorte, ce qui serait par essence innommable, puisque au-delà de nos petits raisonnements d’egos insatisfaits de ne pouvoir saisir l’Insaisissable, de nos souhaits à vouloir structurer, imaginer, nommer, ce qui serait par Essence-même, totalement Indicible ?

Allons plus loin…Et si alors on adoptait très provisoirement (!) la terminologie de certains religieux, n’y aurait-il pas là, à contrario, comme une espèce de « blasphème », à vouloir précisément enfermer cet Absolu Infini dans cette structure limitée par nature, des mots ? Vouloir à tout prix déterminer et dénommer cet État Indicible, n’est-ce pas là une espèce de démarche totalement autocentrée, à hauteur d’homme, et qui veut à tout prix exister face à cet Absolu  – car sans doute veut-il comprendre ce dont il s’agit ? Il est à niveau, pense-t-il, comme beaucoup de ces théologiens après tout, qui en seraient aussi persuadés !
A-t-on si peur du Silence …en lieu et place des mots, des désignations, et des représentations, ou de toute autre métaphore en provenance de notre imagerie mentale?

Effectivement le terme Dieu, provient bien de la racine Dia = Lumière = Jour. Mais la Lumière est un État non personnifié. Et l’homme a voulu enfermer cet « État Divin», sans doute par une réaction bien humaine, par peur de tous ces maux qui affligent l’existence, dont l’ultime, la mort… croit-il. Il s’est mis en quête d’une Protection céleste – cette recherche d’un véritable Père – qu’il a nommé, désigné, et donc réduit et enfermé dans ce carcan limité, étouffant et poussiéreux des mots, comme une espèce de sauvegarde sécurisante. C’est encore l’ego qui était, et est toujours aux manettes !
Alors ne point « personnifier » le Divin, serait probablement un peu mieux approprié, et sans doute aussi, peut-être un peu plus sage ?

Car de quel Dieu parlons-nous en général ? De celui qui est décrit dans la Bible ?
Colérique – Jaloux – Vindicatif – n’hésitant pas à éliminer des masses de pauvres gens – avec entre autres ce fameux : « Dévouer par interdit » ! qui ressemble à un doux euphémisme mis à toutes les sauces, mais souvent pour parler de massacres et d’exterminations en en tous genres, et que l’on retrouve à de maintes reprises dans la Bible sous ce vocable: « Dévouer par interdit – Charam » – etc… avec parfois des précisions effarantes qui peuvent être très choquantes. (Deutéronome 2:33-35) (Deutéronome 20:16)
(1 Samuel 15:3) (2 Samuel 12:31) etc…etc…
Il se définit Lui-même comme jaloux et colérique du reste. Il faut craindre « l’Ire de Dieu » ! Il est bien de relire cet Ancien Testament, que l’on a survolé sans doute, lorsque l’on était au catéchisme, bien entouré par un brave curé qui ne faisait que répéter avec sincérité et très consciencieusement, le dogme bien appris. Alors on nous dit que le nouveau testament… lui, est différent, il est mieux, plus spirituel. Peut-être. Mais alors, est-ce bien le même Dieu ? un Dieu à deux faces? Une forme de Janus ?

Un grand philosophe indien du II siècle, Nagarjuna, disait déjà :
« Les phénomènes (matière – univers etc…) tirent leur nature d’une mutuelle dépendance (l’interdépendance) et ne sont rien en eux-mêmes . Leur évolution n’est ni arbitraire, ni déterminée par une instance divine, mais suit les lois de causalité (cause à effet) au sein d’une interdépendance globale, d’une causalité réciproque »

« Le problème de l’origine repose donc sur la croyance en la réalité des phénomènes et en l’existence réelle du temps et de l’espace, alors que du point de vue de la vérité absolue, il n’y a ni création, ni durée, ni cessation.
Ce paradoxe montre bien le caractère illusoire du monde des phénomènes. » Matthieu Ricard.
Et il n’est pas le seul à avancer cette constatation – des physiciens, et des philosophes modernes ou anciens, occidentaux ou orientaux, vont vers ce même constat.

Et l’on pourrait conclure ce papier par cette réflexion d’un spécialiste mondialement reconnu de la Bible hébraïque, Thomas Römer. Auteur d’une production comprenant plus d’une dizaine de monographies, traduites dans de nombreuses langues, et de près de trois cents articles scientifiques. Il est depuis 2008 professeur, titulaire de la chaire Milieux bibliques, au Collège de France, dont il est par ailleurs administrateur depuis 2019. Ses travaux se caractérisent par une approche fondée sur une analyse philologique rigoureuse, mais en la réinscrivant dans une démarche qui relève à la fois d’une forme de socio-histoire et d’une histoire comparée des religions antiques. Ses recherches circonscrivent un champ structuré par trois axes majeurs, étroitement complémentaires : les traditions mémorielles de l’Israël ancien ; l’émergence du monothéisme biblique ; l’inscription des traditions bibliques dans leur contexte antique.
Et cet éminent spécialiste va exactement dans le sens d’une bible ou de fait, il n’y a aucun auteur confirmé ; et que cette bible est composée de dizaines de textes qui ont été modifiés et interprétés à plusieurs reprises au fil des siècles, pour finir en un texte conforme à une doxa théologique pré-définie, vers le Moyen-Age.
« La Bible n’est pas tombée du ciel » comme le dit Thomas RÖMER . Elle est le fruit d’une rencontre entre plusieurs civilisations depuis environ 1000 avant J.-C. : Assyriens – Égyptiens – Perses – Grecs – Romains. Notamment le fameux Déluge, qui a été recopié sur les textes assyriens, d’auteurs anonymes, comme tous les textes dits bibliques. Le père dominicain Jean-Vincent Scheil, entre autres chercheurs, Samuel Noah Kramer etc… spécialistes des textes anciens, vont dans le même sens de l’histoire, et la bible n’est donc absolument pas un livre d’origine juive – l’identité juive n’existait même pas à l’origine de la bible.
Toujours selon Thomas RÖMER, tous les textes ont été à leur début, transmis uniquement et totalement oralement. L’écrit n’interviendra que vers le 8ème siècle !
Alors, réifier – réifier – il en restera toujours quelque chose!? L’Essentiel est-il à l’extérieur ? ou dans un «intérieur aménagé», bien calfeutré par nos soins – et souvent, par des Influenceurs extérieurs, au fil des siècles et des vies?! Cet « Essentiel » à qui l’on prête même parole, et qui nous jugerait et nous sanctionnerait ? Peut-être par ses fameux : « Dévouer par interdit » …
Ou bien faut-il avoir un autre regard, que celui des yeux de la conscience ordinaire, pour tenter cette Épopée infinie de la Conscience?
Au-delà des frontières de l’impermanence –
Au-delà de la forme et des apparences –
Au-delà de l’espace et du temps –
Par-delà les au-delà –
Par-delà les mondes et les dimensions….
Épopée sans but défini, sans directive imposée, sans chemin tout tracé, ni règles édictées à respecter scrupuleusement, hormis celles de sa propre Conscience. Mais ici, ce ne sont plus des règles, c’est notre Soi, notre Âme ou notre Esprit qui, parfois, pourrait nous guider dans cette Épopée du Silence ?…
A chacun sa réponse…. !
Patje Seko


(Emmanuel Kant / 1724-1804)
« Pour palier à sa crainte de l’absolu, l’homme a inventé des dieux, des entités supérieures, creusets de leur crainte, substitut à un infini impréhensible. »

De nombreux ouvrages et titres de sites abordent ce thème de « Dieu et la science » – La preuve de l’existence de Dieu, disent certains, comme Mrs Bolloré et Bonnassies, en confondant allègrement, l’hypothèse, imprégnée de croyance, et la preuve. Ce peut être tout à fait louable de rechercher des preuves, mais l’utilisation de leur foi personnelle, ne peut être retenue comme une preuve scientifique de ce qu’ils avancent, tel que le fait remarquer Denis Faïck, philosophe. (Dieu la science et les preuves : une tromperie)
Par ailleurs sur le même thème Dieu et la science : André Conte Sponville, Guillaume Lecointre, François Euvé, etc..
Sébastien Bohler – Ingénieur, Ecole Polytechnique – Dr en Neurosciences.
Thomas Römer – Professeur à l’UNIL – « L’invention de Dieu » –
Il occupe la chaire « Milieux bibliques » au Collège de France ; il est également professeur à la Faculté de théologie et de sciences des religions de l’Université de Lausanne.

(***) « Quand on meurt, on va au ciel. C’est ce que pensent la plupart des croyants. Rien de plus normal à cela, car Dieu est le Très-Haut et règne dans les cieux. Mais d’où vient cette idée que le bien suprême doit avoir la tête dans les nuages ? » 
Ce à quoi Sébastien Bohler semble répondre, non sans un peu d’humour, avec cette autre réflexion : Pourquoi a-t-on eu le besoin d’inventer Dieu ?
Sébastien Bohler – Ingénieur – Ancien élève de polytechnique – Conférencier.
« Chez les primates (dont nous partageons une partie du système nerveux) l’individu dominant est généralement plus élevé physiquement que les autres. Il est souvent plus grand, il occupe un poste d’observation surélevé, se tient droit, alors que ceux qui se soumettent doivent avancer courbés, ployer l’échine et regarder le sol. De sorte que le respect et la crainte pour ce qui est « au-dessus » seraient ancrés dans notre répertoire comportemental et cognitif depuis des centaines de millénaires. Une réalité que l’on retrouve dans le terme latin désignant le Seigneur – Dominus – ( le dominant !) et dans le fait que le premier attribut du Dieu unique est la puissance qui peut inspirer la peur (ou du moins, la crainte). Le plus puissant doit nécessairement être aussi le plus haut. Habiter au ciel, en la matière, était un peu le nec plus ultra. Logiquement, les tentatives humaines de s’y hisser étaient sévèrement punies, comme lors de l’épisode de la tour de Babel. Mais cela ne pouvait plus durer : l’homme a inventé des avions qui ont survolé les nuages et Dieu n’a plus eu nulle part où se mettre ! »  SB

(*) (Le démiurge, ou le créateur, est la déité responsable de la création de l’univers physique dans diverses cosmogonies. Il peut désigner par extension tout créateur d’une œuvre)
(**) (en théologie l’interprétation d’un texte qui cherche à passer du sens littéral à un sens spirituel ou mystique. On parle aussi pour ce procédé d’anagogisme).



Le mercredi des cendres et le carême

Hier mercredi 22 février  c’était le mercredi des cendres

Le mercredi des cendres ouvre la période du carême dans le christianisme notamment chez les catholiques et les orthodoxes. Cette fête mobile a lieu 46 jours avant Pâques. Elle est précédée du mardi gras, dernier jour « gras » avant Carême.

La ritualisation des cendres est liée à la pénitence dès l’Ancien Testament, notamment dans le Livre de Daniel et le Livre de Jonas : « Et je tournai ma face vers le Seigneur Dieu, me disposant à la prière et à la supplication par le jeûne, et avec le sac et la cendre» et « Le bruit étant parvenu jusqu’au roi de Ninive, il se leva de son trône, jeta bas son manteau, se couvrit d’un cilice et s’assit sur la cendre. »

Dans le christianisme, le premier concile de Nicée, en 325, préconise un jeûne de quarante jours pour préparer Pâques.

L’imposition de cendres au front du pénitent est une évocation symbolique de la mort, un appel à la conversion, un symbole de renaissance, une image de la pauvreté de l’être humain et le signe de la miséricorde de Dieu.

cf qu’est ce que le mercredi des cendres sur Eglise catholique)

(cf code de droit canonique : les jours de pénitence)

(cf abbé A. Guillaume : Jeûne et charité dans la liturgie du Carême)

Le Carême est un temps liturgique de dévotion à Dieu associé à une alternance de jours de jeûne complets et de jours d’abstinence (jours maigres) d’une durée de quarante jours que le christianisme a institué au IVe siècle en référence aux quarante jours de jeûne de Jésus-Christ dans le désert. Cet épisode est relaté par les trois évangiles synoptiques : Mc 1,12-13Mt 4,1-11 et Lc 4,1-13. Le Carême précède Pâques, la plus importante des fêtes chrétiennes.

Mc 1,12-13 : Aussitôt, l’Esprit poussa Jésus dans le désert  où il passa 40 jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages et les anges le servaient.

Mt 4,1-11

Alors Jésus fut emmené par l’Esprit dans le désert, pour être tenté par le diable.

Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim.

Le tentateur, s’étant approché, lui dit: Si tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains.

Jésus répondit: Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.

Le diable le transporta dans la ville sainte, le plaça sur le haut du temple,

et lui dit: Si tu es Fils de Dieu, jette-toi en bas; car il est écrit: Il donnera des ordres à ses anges à ton sujet; Et ils te porteront sur les mains, De peur que ton pied ne heurte contre une pierre.

Jésus lui dit: Il est aussi écrit: Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Dieu.

Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire,

et lui dit: Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m’adores.

10 Jésus lui dit: Retire-toi, Satan ! Car il est écrit: Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul.

11 Alors le diable le laissa. Et voici, des anges vinrent auprès de Jésus, et le servaient.

Lc 4,1-13

01 Jésus, rempli d’Esprit Saint, quitta les bords du Jourdain ; dans l’Esprit, il fut conduit à travers le désert

02 où, pendant quarante jours, il fut tenté par le diable. Il ne mangea rien durant ces jours-là, et, quand ce temps fut écoulé, il eut faim.

Les disciples de Jésus ne jeûnaient pas, alors que les pharisiens et les disciples de Jean le Baptiste pratiquaient le jeûne (Matthieu, IX, 14) : « Alors les disciples de Jean vinrent auprès de Jésus, et dirent : Pourquoi nous et les pharisiens jeûnons-nous, tandis que tes disciples ne jeûnent point ?. »

Les jours qui ont précédé la Pâque, ni Jésus ni ses disciples n’ont jeûné. Les récits des Évangiles indiquent qu’à Béthanie, seulement quelques jours avant sa mort, ses disciples et lui ont pris des repas. Jésus a en outre mangé le repas de la Pâque la nuit précédant sa passion. (Matthieu 26:6, 7 ; Luc 22:15 ; Jean 12:2). C’est durant le concile de Laodicée (348? – 381?) que fut prescrite la xérophagie, c’est-à-dire l’usage exclusif du pain et des fruits secs pendant le temps qui correspondait au Carême.

La pratique du Carême remonte ainsi au IVe siècle.

 

 

KAREN KINGSTON, une ancienne employée de PFIZER lance une bombe et le Dr Jean Steven mène une enquête sur l’origine non naturelle du Covid 19

 

dernière  mise à jour : 19 novembre 2022

Dans l’article qui suit, il y a beaucoup d’informations diverses et sourcées à propos des vaccins ARN messager et de l’origine artificielle du Sars COV 2.

Si vous êtes pressés, écoutez d’abord cette vidéo d’une ancienne employée de Pfizer devenue consultante pour les laboratoires pharmaceutiques avant de consacrer son temps à la lutte pour faire avancer la vérité cachée derrière l’immense mensonge planétaire relatif ici à l’ obligation vaccinale du Covid 19 ( n’oubliez jamais : plus c’est gros .. et plus ça passe. Pensez  aux fausses preuves d’ armes de destruction massive en Irak présentées par Colin Powell d’abord chef d’état major des armées puis secrétaire d’état du gouvernement Bush)

lisez aussi ceci : Au cours des réunions annuelles du Forum de Davos, Yuval Harari répétait à l’envi combien il est simple de faire croire aux mensonges : « Si vous répétez un mensonge assez souvent, les gens penseront que c’est la vérité et plus le mensonge est gros, mieux c’est », martelait-il lors d’une interview de l’émission TED, en février 2017. ( France Soir 19 avril 22)

 

Puis, vous allez à la fin de l’article, lire l’interview du Dr Jean Stevens, cardiologue qui a mené l’enquête sur le covid 19 et l’obligation vaccinale à propos de la sortie de son livre le 1/6/22 : « la pandémie du mensonge et de la peur ».

 

Avec plus de temps et d’attention,  vous pourrez parcourir aussi les liens vers d’autres articles sur le sujet et parus sur ce blog. Vous découvrirez alors ce faisceau de révélations vers ce qui est le plus grand mensonge et la plus grande duperie de tous les temps. Sortis de ce sujet, mais forts de ce constat, vous comprendrez alors que tous les moyens technologiques, scientifiques et d’information sont déjà en place pour diriger le troupeau et l’application anti-covid a préparé le terrain.

Je vous conseille particulièrement ces deux liens relatifs à des révélations  sur le sujet  du graphène dans les vaccins ( plus précisément de l’hydroxyde de graphène ) et faites par  deux chimistes européens :

celles du docteur en chimie espagnol Pablo Campa

celles du docteur en chimie autrichien spécialiste du graphène Andreas Noack

 

Les plus opposés à cet article, soit par intérêt parce qu’ils participent à guider le troupeau à leur profit , soit, les plus nombreux,  par refus de reconnaître l’immense bévue qui les a conduit à tout gober, sans broncher et souvent aussi par peur .. puis à s’opposer de façon virulente à la minorité qui a  battu le pavé,  vont crier encore et encore au complotisme.

La minorité combative était regroupée autour de celle  issue du monde médical qui a dit « non » et qui est devenue aujourd’hui le groupe des  «  supendus », suspendus entre un avenir à reconstruire et … rien, le néant, le « sans statut », l’inexistant.

Après cet épisode violent juridiquement et socialement, le grand nombre est retourné à ses occupations, son travail, ses vacances, son petit confort… Mais la vérité devra surgir. Déjà, certains sachants de plateaux, certains communicants ou journalistes ont atténué leurs propos main stream  voire changer d’avis. C’est un espoir !

 

On prêtait déjà au  général de Gaulle cette phrase : « les Français sont des veaux » . Les choses ne se sont pas arrangées depuis et on pourrait juste remplacer « Français » par « humains« . … Le consommateur a remplacé le citoyen dans notre monde occidental et partout sur la planète, l’Homme est devenu un veau que l’on élève, nourrit, exploite de plus en plus comme un animal domestique  dont on va tirer la substantifique moelle. Hors du monde occidental, les choses ne sont pas mieux …quand elles ne sont pas souvent bien pire !

Yuval Harari, le bras droit de Klaus Schwab, énonçait avec vigueur : « Nous voyons maintenant des systèmes de surveillance de masse, même dans les pays démocratiques qui, jusque-là, les avaient rejetés […]. Avant la surveillance était hors de notre corps, maintenant elle rentre dans notre corps. » 

Yuval Harari  allait jusqu’à déclarer que « Les humains sont désormais des animaux que l’on peut pirater. » Il explique que pour pirater un être humain, deux choses suffisent : « Beaucoup de puissance de calcul et beaucoup de données, plus particulièrement, des données biométriques. »  (article France Soir)

 

Il n’y a que la révolte des consciences qui peut opposer un combat frontal à cette dérive planétaire de l’anéantissement de la dignité humaine. Cette révolte, formée autour de petits groupes épars, doit s’appuyer sur quelque chose de beaucoup plus profond et solide qu’un simple point de vue, fut-il porté à l’incandescence par et pour une idéologie.

En plaçant l’Homme comme point omega, la vision de l’humanisme libérateur de l’obscurantisme est parvenue paradoxalement aujourd’hui à en faire un esclave… qui se croit libre ! Nous sommes en train de passer de l’humanisme au transhumanisme avec l’aide et sous le contrôle de l’intelligence artificielle. L’épisode Covid 19 constitue une période charnière de basculement où les populations ont largement accepté par crainte et aussi par obligation cette nouvelle soumission technocratique et anti-démocratique menée au nom de l’intérêt collectif.

J’en appelle à la révolte des consciences, à retrouver en nous le divin ou quel que soit notre chemin, la transcendance,  pour lutter contre l’anéantissement de l’homme par l’homme qui se met en place. J’en appelle à la révolte du peuple contre les élites qui veulent l’utiliser aujourd’hui en tant que  mine d’extraction de richesses comme leurs prédécesseurs l’ont utilisé hier comme robot humain dans les usines.

D’abord Karen KINGSTON

 

Karen KINGSTON  est présentée comme une ancienne employée de PFISER

Elle déclare être actuellement analyste pour l’industrie pharmaceutique et le matériel médical. Elle dit être aussi analyste de la propriété intellectuelle, rédactrice scientifique et aussi analyste clinique.

Sur sa page Linkedin.com

Karen KINGSTON déclare travailler à plein temps depuis mai 2021 pour miFight ( dont le site est en cours de développement)après avoir été fondatrice et présidente durant 15 ans de Varitage où on peut lire que la structure est caratérisée  de la façon suivante :

Des services vont de la planification commerciale stratégique et des communications cliniques à l'élaboration de plans de marketing numérique de grande envergure et de plateformes de commerce électronique. Les clients comprennent des leaders de l'industrie, tels que Pfizer et Medtronic, des start-ups et des sociétés de capital-risque de premier plan, telles que Johnson & Johnson Development
miFight est une plate-forme en ligne fournissant de la documentation et une analyse des problèmes de santé, des politiques et des « vaccins » liés au COVID-19. Les « vaccins » COVID-19 actuellement disponibles pour la population américaine sont tous classés dans la catégorie des contre-mesures médicales autorisées pour une utilisation d'urgence (EUA).
Depuis mai 2021, miFight travaille volontairement avec des avocats nationaux et mondiaux, des responsables gouvernementaux et des influenceurs clés en fournissant des données et une documentation irréfutables sur les conséquences néfastes connues des injections de COVID-19 par rapport au virus SARS-CoV-2. miFight présente des explications cliniques raisonnables et documentées des effets nocifs et parfois mortels des injections de COVID-19, où la FDA, le CDC et le système de santé n'ont pas fourni de réponses. La documentation présentée provient directement des fabricants de vaccins, ainsi que des documents de la FDA, des NIH, des CDC, du HHS, du DHS, du DOJ, du DOD et d'autres organisations gouvernementales.

 

Puis des liens vers d’autres articles du blog sur le même sujet…

entretien sur France Soir – 25/9/22 Jean-Marc Sabatier, directeur de recherches au CNRS à Marseille et Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, nous a accordé un entretien au sujet du Covid-19, de la vaccination, du pass vaccinal et de la politique sanitaire instaurée par les autorités. Depuis deux ans, il travaille particulièrement sur le SARS-CoV-2 et la Covid-19, en collaboration avec les deux responsables du laboratoire d’état de virologie de Wuhan en Chine.

Une infection au virus SARS-CoV-2 conduit à des anomalies de la coagulation du sang chez environ 15% des personnes infectées. Ces problèmes de coagulation sanguine peuvent également se retrouver chez des personnes non-infectées (au SARS-CoV-2), après une ou plusieurs injections vaccinales. Environ 70 à 80% des personnes atteintes de formes graves de la Covid-19 présentent des troubles de la coagulation.

Il apparaît alors possible que la protéine Spike produite ou contenue dans les vaccins anti-Covid-19 interagisse avec les globules rouges modifiant leurs propriétés et comportement.

Personnellement, je pense que dans le cas des effets observés après injections des vaccins anti-Covid-19, la protéine Spike vaccinale produite (vaccins à ARNm et à vecteurs viraux) ou existante (vaccins à virus inactivés et à protéine Spike recombinante) entrainerait la formation de « rouleaux » de globules rouges en s’adsorbant à la surface de ces cellules — via les glycophorines (glycophorine-A) — modifiant ainsi la charge électrique de surface et le potentiel Zêta membranaire (ce potentiel Zêta — correspondant à la différence entre les charges électriques situées à la surface des globules rouges et celles du nuage externe — permet normalement de repousser ces cellules les empêchant de s’agréger)

Le graphène est-il utilisé expérimentalement comme une plate-forme vaccinale dans les vaccins anti-Covid-19 à ARNm ? Nous devrions le savoir prochainement, notamment parce que la justice a été saisie dans plusieurs pays pour une étude approfondie de la composition de ces vaccins. Pour ma part, je n’ai à ce jour aucune certitude quant à la présence ou non de graphène ou d’oxyde de graphène (ou autre(s) dérivé(s) apparenté(s)) dans les vaccins à ARNm, mais je ne suis pas la personne la mieux informée dans le domaine… et il y a rarement de fumée sans feu.

Selon moi, le vrai problème lié aux multiples injections de ces pseudo-vaccins va être le potentiel fonctionnel altéré du sang de l’hôte. En effet, ces injections vaccinales répétées vont inévitablement conduire à une déficience du système immunitaire inné (immunité immédiate non spécifique) et, par voie de conséquence, à une déficience du système immunitaire adaptatif/acquis (immunité plus tardive d’environ 4 jours et spécifique de l’agent infectieux, ou autre), c’est-à-dire à une déficience généralisée du système immunitaire.

Evénements indésirables graves non signalés dans les essais cliniques de Pfizer – révélation de Brook Jackson qui a participé aux essais en tant que directrice médicale de Ventavia Research Group et de Christine Cotton, biostatisticienne, qui a, quant à elle, écrit une expertise méthodologique sur cet essai. ( témoignage 29 /9/22)

 

des nanoparticules dans les vaccins ( publié le 4 mai 2022)

 

Dans un article publié par Laurent Aventin, docteur en santé publique, l’auteur présente les recherches d’un scientifique espagnol Pablo Campra docteur en chimie et diplômé de biologie. Celui-ci a découvert sur des vaccins ARNm, pris au hasard, des objets contenus dans ceux-ci et qui sont soit des cristaux soit des ensembles de nanotechnologie. Ces objets ne figurent pas dans les brevets déposés. Il appelle la communauté scientifique à approfondir le sujet pour comprendre le but de cette présence à priori insolite.

Vaccins anti-Covid: une étude allemande rapporte des effets inquiétants sur le sang                                        

« Les programmes de vaccination Covid-19 doivent cesser sur-le-champ ». C’est ainsi que s’achève un rapport allemand sur les effets néfastes des vaccins anti-Covid, rendu public le 6 juillet dernier sans qu’aucun média mainstream n’en fasse état.

Le résumé se compose de 70 pages (une dizaine de pages destinées au public général et 60 pages de documentation technique avec clichés, graphiques etc.) et constitue la version préliminaire d’une présentation « en évolution continue » où figurent les recherches et conclusions concernant les vaccins, leur impact sur le corps humain, et surtout, sur le sang. Le rapport est publié sous la responsabilité du physicien et astronome Dr Klaus Retzlaff, à Hecklingen, qui a accès à des laboratoires dotés d’équipements de pointe. Le Dr Retzlaff collabore avec les auteurs du rapport, groupe interdisciplinaire d’environ 60 spécialistes, réunis autour de l’association de type 1901 Aerzte fuer Aufklaerung (ÄfA, Médecins pour l’élucidation).

À la surprise des scientifiques, la présence des éléments métalliques suivants (dimension des particules : de 1 µm à 100 µm) a été détectée dans les doses d’AstraZeneca, de BioNTech/Pfizer et de Moderna :

– métaux alkalins : caesium (Cs), potassium (K),
– métaux alcalino-terreux : calcium (Ca), barium (Ba),
– métaux de transition : cobalt (Co), iron (Fe), chromium (Cr), titanium (Ti),
– métaux de terres rares : cerium (Ce), gadolinium (Gd),
– Groupe boron : aluminium (Al),
– Groupe carbone : silicon (Si) (en partie matériel du support /transparent),
– Groupe oxygène : sulphur (S)

En trois points, les chercheurs présentent leurs conclusions :

1. Dans tous les échantillons des doses de vaccins, sans exception, il a été trouvé des composants qui :

« – sont toxiques selon les recommandations médicales, dans les quantités présentes,
« – n’avaient pas été déclarées par les fabricants,
« – sont en leur majorité métalliques,
« – sont visibles en microscopie à fond noir comme étant des structures complexes et distinctives […]
« – ne sont qu’en partie explicables comme issus de la cristallisation ou de la décomposition,
« – ne peuvent être expliquées comme une contamination issue du processus de fabrication. »

 

voir aussi cet article : l’internet des objets bio-nano (extrait article publié en 2015)

L’Internet des objets (IoT) est devenu un sujet de recherche important au cours de la dernière décennie, où les choses se réfèrent à des machines et des objets interconnectés avec des capacités informatiques intégrées utilisées pour étendre Internet à de nombreux domaines d’application. Alors que la recherche et le développement se poursuivent pour les appareils IoT généraux, il existe de nombreux domaines d’application où de très petites choses dissimulables et non intrusives sont nécessaires.

Localisation des bio-capteurs dans le corps pour la détection d’anomalies via le positionnement inertiel et la communication par rétrodiffusion THz ( publié avril 2022)

Cet article présente un concept de localisation et de suivi pour les bionanocapteurs flottant dans la circulation sanguine humaine afin de détecter des anomalies dans le corps. Outre les capteurs à l’échelle nanométrique, le système proposé comprend également des nœuds d’ancrage à l’échelle macroscopique attachés à la peau de la personne surveillée.

 

modélisation de nano-capteurs pour les nano-réseaux intra-corporels ( publié juin 2021)

Dans ce travail, l’auteur a évalué la propagation des ondes électromagnétiques à l’intérieur des tissus humains tels que le sang, la peau et la graisse pour les couches à trajet unique et à trajets multiples selon les calculs de puissance de transmission des nano-capteurs.

sans oublier….

à propos des vaccins COVID 19

sur l’Usine Nouvelle -27/11/2020 – les explications d’Axel Kahn, généticien et spécialiste de l’éthique Axel Kahn, par ailleurs président de la Ligue contre le cancer.

Le scientifique rappelle notamment les différentes phases d’essais cliniques  qui doivent être poursuivies avant de pouvoir être autorisées à commercialiser un vaccin.

 

le nouveau coronavirus 2019-nCoV contiendrait des traces d’outils génétiques ( 25 mars 2020)

le chercheur  en génomique James Lyons-Weiler dans un article  publié le 30 janvier 2020 :  le code génétique de l’outil pShuttle se trouve dans le coronavirus qui circule dans la nature.

Un mémo révèle que le département d’État savait déjà début 2020 qu’une fuite de laboratoire était l’origine la plus probable du Covid

 

SARS COV 2 – aux origines du mal – le livre de Brice Perrier  épisode 4(publié 5 mai 2021)

Brice Perrier est journaliste à Marianne où il est  responsable de la rubrique scientifique. Il publie le 5 mai 2021 un livre qui fait le point sur la question fondamentale pour la science : comment le Covid-19 a-t-il  contaminé les premiers humains ?

 

Le point sur les vaccins ARN -Dr Fouché    (27/11/2020)

La vaccination à base d’acides nucléiques repose sur un processus complexe, où deux éléments doivent être pris en compte pour optimiser à la fois la production de l’immunogène et la stimulation de l’immunité innée créant un environnement propice à l’activation d’une réponse immune spécifique de l’immunogène. Les molécules d’ADN plasmidique et d’ARNm doivent respectivement transiter directement par le cytoplasme et par les endosomes des cellules cibles. Compte tenu de ces contraintes spatiales et des propriétés physico-chimiques différentes de l’ADN et des ARNm, deux systèmes synthétiques de délivrance différents ont été inventés, reposant respectivement sur des polymères amphiphiles en forme d’étoile et sur des lipides dérivés de sucres naturels.

 

le coup de force sanitaire  : la technostructure jette le masque (20 juillet 2021) sur Pièce et Main d’oeuvre

Depuis un an et demi, les barrières tombent. État d’urgence sanitaire ; gouvernement par décrets sur décisions à huis-clos du « conseil de défense sanitaire » ; atteintes à la législation nationale (autorisation de pose d’antennes-relais hors cadre règlementaire) et européenne (dérogation à certaines règles sur les essais cliniques et sur l’usage d’OGM pour les vaccins) ; atteinte au secret médical, création de fichiers de malades (SI-Dep), de cas contact (Contact Covid), de vaccinés (SI Vaccin Covid), intégrant des données personnelles de santé sans l’autorisation des personnes ; traque numérique via TousAntiCovid ; site « anti fake news » du gouvernement recommandant les médias officiels, sans oublier le déferlement des techniques manipulatoires du nudge, telle cette « autorisation de déplacement dérogatoire » assortie d’amendes.

 

 

 

Nous, médecins et scientifiques du monde entier, déclarons qu’il existe une crise médicale internationale due aux maladies et aux décès co-liés à l’administration de produits connus sous le nom de « vaccins COVID-19 ».

Nous assistons actuellement à une surmortalité dans les pays où la majorité de la population a reçu les soi-disant « vaccins COVID-19 ». A ce jour, cette surmortalité n’a été ni suffisamment investiguée ni étudiée par les institutions sanitaires nationales et internationales.

Le grand nombre de morts subites chez des jeunes auparavant en bonne santé qui ont reçu ces « vaccins » est particulièrement préoccupant, tout comme l’incidence élevée de fausses couches et de décès périnataux qui n’ont pas fait l’objet d’enquêtes.

Un grand nombre d’effets secondaires indésirables, notamment des hospitalisations, des incapacités permanentes et des décès liés aux vaccins dits « COVID-19 », ont été officiellement signalés.
Le nombre enregistré n’a pas de précédent dans l’histoire mondiale de la vaccination.

En examinant les rapports sur le VAERS du CDC, le système de carte jaune du Royaume-Uni, le système australien de surveillance des événements indésirables, le système européen EudraVigilance et la base de données VigiAccess de l’OMS, à ce jour, il y a eu plus de 11 millions de rapports d’effets indésirables et plus de 70 000 décès co-liés à l’inoculation des produits dits « vaccins covid ».

Pour terminer, le livre et l’interview du docteur Jean Stevens 

1 juin 2022

Interview sur le site de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle 

Covid-19 : le virus avait-il une origine naturelle ? L’avis du Dr Jean Stevens

Le Dr Jean Stevens est médecin clinicien retraité. Il a une formation d’interniste [1] à l’Université de Louvain en Belgique. Il a aussi pratiqué la médecine générale pendant 7 ans. Lorsqu’il s’est établi en France, il n’a plus exercé que la cardiologie en privé.

Jean Stevens a écrit un livre intitulé La pandémie du mensonge et de la peur qui constitue une enquête sur la situation sanitaire que nous vivons depuis deux ans.

Pour lui, il y a eu une volonté manifeste de la part d’une partie des institutions sanitaires, du monde scientifique, des médias et des responsables politiques de cacher la vérité sur le SARS coV 2 et les risques réels liés à l’épidémie.

Je l’ai interviewé pour mieux comprendre comment ce médecin si sérieux en était arrivé à des conclusions aussi inquiétantes. Il nous explique son cheminement et sa vision de la crise sanitaire.

Alertes Santé : Cher Jean Stevens, au moment où le coronavirus apparaît dans nos vies, comment perçois-tu l’arrivée de cette nouvelle épidémie ? Où en es-tu toi-même de ta vie professionnelle à ce moment-là ?

Jean Stevens : En 2020, j’étais retraité depuis deux ans. Et j’avais tourné la page. Je n’étais plus en accord avec ce système. Pour moi, la médecine vit une dérive technologique et la Science une forme d’impérialisme. La médecine est de moins en moins tournée vers l’humain et la clinique.

Quand j’ai appris ce qui se passait avec ce virus de Chine, et que j’ai vu la peur et tout le reste, je me suis dit : “ils nous refont le coup de H1N1. Ils exagèrent. Ce sont des alarmistes. C’est peut-être une grosse grippe mais ce n’est pas aussi grave que ce qu’ils disent. Et ils (Big Pharma) espèrent  en profiter.”

J’étais déjà sensibilisé par l’histoire de la grippe H1N1 parce que cela avait été une manifeste « fausse pandémie ». À l’époque, ils avaient déclaré une pandémie mondiale. Ils avaient affolé tout le monde. On avait commandé 60 millions de vaccins en France. Au moment où on a voulu les administrer, on s’est rendu compte qu’il n’y avait plus d’épidémie. C’était terminé.

Si on va voir les travaux de la commission sénatoriale qui s’est mise en place après H1N1, (commission n°685) pour éclairer cette « fake pandemic », on voit que les sénateurs ont analysé tout ce qui s’était passé puis ont terminé par des recommandations.

Quand on lit les recommandations sénatoriales, on s’aperçoit que le gouvernement Macron a fait, dans l’épidémie du covid 19, tout le contraire.

  • La première chose sur laquelle les sénateurs insistent est qu’il faut se méfier de Big Pharma parce qu’il crée chez les experts des conflits d’intérêts importants.
  • Ensuite, ils disent qu’il faut inclure les médecins généralistes. On a fait exactement le contraire.
  • Il faut bannir les campagnes anxiogènes. C’est ce qu’ils ont fait tout le temps.
  • Il faut se méfier de l’OMS parce que l’OMS est percluse de conflits d’intérêts.
  • Il faut se méfier des experts alarmistes. On a vu que des « experts » sur les plateaux TV.
  • Il faut se méfier des modélisations mathématiques. Et c’est une évidence ! Ces modèles ont fait prendre des décisions stratégiques importantes alors qu’ils étaient complètement faux !

Et puis il faut éviter, à la fois les tests de masse qu’ ici on a multipliés par mille, et éviter les vaccinations de masse. On a fait exactement le contraire.

AS : Te souviens-tu exactement de ce que tu as ressenti au moment de l’annonce du premier confinement ?  

Jean Stevens : En mars 2020, il y a eu deux allocutions du Président Macron

La première faisait suite à la déclaration par l’OMS d’une pandémie mondiale. Et donc il a fait un discours qui était encore assez solidaire : on va s’en sortir, ce n’est pas un gros problème et trois fois il a répété « quoi qu’il en coûte », etc. Cette phrase sympa est une folie sur le plan économique car la santé a un prix mais ça c’est un autre problème.

Puis, il a donné le 16 mars une nouvelle allocution où il a fait un virage à 180°. Ce qui s’est passé c’est qu’entre les deux, il a rencontré un épidémiologiste de l’Institut Pasteur ami de Neil Ferguson. Ce dernier est également épidémiologiste mais à Londres, à l’Impérial College.

Neil Ferguson est passé dans toutes les capitales européennes pour que tous les gouvernements imposent le confinement.

Ce Neil Ferguson a été la clef de toutes nos misères en quelque sorte. Mais il faut suivre dans le détail son parcours. On pourrait dire ses « faits d’armes ».

  • En 2001, il y a eu une fièvre aphteuse bovine au Royaume-Uni. Il a fait abattre 11 millions de bovins.
  • En 2002, éclate la crise de la vache folle, Neil Ferguson prévoit qu’il y aura 150 000 morts d’ici 2080. A ce jour, on compte 177 morts au Royaume-Uni et 223 dans le monde.
  • En 2005, arrive la grippe aviaire H5N1, il prévoit cette fois 150 millions de morts dans le monde. En fait, il y en a eu 282.
  • En 2009, pour l’épidémie H1N1, il prévoyait, au Royaume-Uni, 65 000 décès. Il y en a eu 457.

Donc, je dirais que l’on a choisi un charlatan alarmiste pour faire le tour des capitales de l’Europe et mettre le feu aux poudres.

Quand Emmanuel Macron a fini son allocution, je me suis levé de ma chaise et j’ai crié : “mais il est complètement fou !”

Que venait-il de dire ? Il a commencé par dire « On est en guerre ». Jamais un chef de gouvernement n’a déclaré une guerre à un microbe ou une maladie. C’est stupide du point de vue médical mais cela a permis aux responsables politiques de prendre le pouvoir à la place des médecins.

Ensuite il a lancé le confinement de toute la nation. Ce confinement est une première dans l’histoire de l’épidémiologie. Aucun article scientifique ne démontre l’utilité de cette mesure-là.

Après, il a dit aux médecins généralistes : “rentrez chez vous !”. On a exclu les médecins généralistes ! C’est une guerre où l’on dit à tous les fantassins, « N’y allez pas ! Rentrez chez vous ! Et surtout ne tirez pas une balle sur le vilain virus ».

Il a annoncé le “plan blanc” pour les hôpitaux. On supprimait toutes les opérations qui n’étaient pas urgentes. Il y a eu plein de chirurgiens qui se sont tournés les pouces durant plusieurs mois ! Cela a retardé des opérations urgentes, cela a retardé des suivis de cancers donc cela a fait des dégâts.

Dernier point : les masques. Là il a dit que c’était absolument inutile, que les masques on les gardait pour les soignants. Mais plus tard, quand ils ont trouvé un stock de masques, tout d’un coup, le masque est devenu obligatoire pour tout le monde ! Quelle mascarade !

En effet, il n’y a pas d’études qui démontrent l’utilité des masques, bien au contraire ! Il y a des études qui ont été faites et qui montrent que cela ne sert à rien pour les gens en bonne santé et non-soignants.

Donc il déclare la guerre à un virus que l’on ne connaît pas et il met en place une stratégie que personne n’avait jamais imaginée. Je m’attendais, après ce qu’il avait dit, à ce qu’il y ait une révolte des médecins généralistes et de l’Ordre des médecins.

En effet, le Président Macron marchait sur tous les principes de l’éthique de la médecine ! J’ai attendu une semaine puis deux, mais rien n’est venu. Il n’y a pas eu de révolte. En fait, il y a bien eu une révolte mais elle a été tuée dans l’œuf. Certains médecins se sont levés mais on les a fait taire très vite.

AS : Et la presse n’a rien dit ?

Jean Stevens : Non, rien. Non, ça n’a pas été raconté mais j’ai été au courant de réactions individuelles. Il y a des groupements qui ont été créés mais tout cela a été étouffé dans la presse. J’étais tellement révolté contre cette folie acceptée par mes confrères que j’ai décidé de ne plus m’intéresser à la pandémie.

AS : Quel a été l’élément déclencheur ? Quand as-tu décidé de te mettre sur un bureau pour rassembler tes idées et les mettre par écrit ?

Jean Stevens : C’est à cause du pass sanitaire. Je devais me rendre en Belgique.

Je n’étais pas chaud pour le vaccin parce que, pharmacologiquement parlant, c’était tout à fait nouveau. En plus, c’était une thérapie génique. Depuis 40 ans, ils n’avaient rien sorti de « vendable » et là soudainement dans l’urgence ils sortaient quelque chose soi-disant d’utile, sûr et efficace.

Avant de me faire vacciner, je me suis renseigné sur ce qui avait été publié. Je me souviens, par exemple, d’une étude du New England Journal of Medecine qui publiait un essai du vaccin Pfizer [3] :

  • Efficacité : 95% ;
  • Sécurité : « pas plus d’effet secondaire qu’avec les autres vaccins viraux ». D’après ce papier ce n’était donc pas pire que le vaccin contre la grippe.

Je me suis dit que j’avais été trop méfiant et comme je devais absolument me rendre en Belgique, je me suis fait vacciner.

La première vaccination est passée sans problème. Mais la deuxième ! J’ai vieilli de dix ans en dix jours ! Je me trouvais comme une chiffe molle. Je n’avais plus la force de remonter du fond du jardin à ma maison. Cela a duré trois mois et je ne suis toujours pas remis.

J’étais en contact avec ma famille. J’ai une sœur qui est infirmière. Son fils, 40 ans, a eu, 15 jours après sa vaccination, une rupture spontanée de l’artère pancréatique. Je n’ai jamais entendu un tel diagnostic de toute ma carrière. Sa fille ne faisait plus d’asthme depuis 10 ans, elle refait de l’asthme. Deux de mes ex-belles-sœurs ont fait un petit AVC dans les 15 jours qui suivent la vaccination. Une des amies de ma sœur a un fils de 15 ans qui fait une myocardite ; la fille d’autres amis fait au milieu de la nuit un ralentissement cardiaque. Elle faisait un bloc auriculo-ventriculaire. On a dû lui mettre un pacemaker. Une amie de ma sœur a fait une phlébite, une autre de ses connaissances a fait une embolie pulmonaire. Je me suis dit alors : « Ce n’est pas possible ! C’est une hécatombe ! » Rien de tout cela ne ressemble aux effets secondaires du vaccin de la grippe !

A ce moment-là, j’ai eu la très sale impression que « on nous mentait » mais je ne savais pas du tout qui était le “on”.

Et puis, dans ce “on” il me semblait que beaucoup de beau monde était impliqué, comme le monde scientifique parce que le New England Journal of Medicine m’avait menti.

Donc, avant de formuler une critique publique, je me suis dit: “il faut que j’affûte mes armes”. J’ai donc mené une enquête pendant les six mois qui ont suivi et j’ai réuni mes découvertes dans mon livre.

AS : L’une de tes hypothèses est que le virus a été créé en laboratoire. Peux-tu nous dire pourquoi ?

Jean Stevens : Au début de mon enquête, j’ai découvert une vidéo de Richard Flemming qui est un cardiologue interniste comme moi mais, lui, très connu. J’étais habitué à le voir s’adresser à 6000 cardiologues dans d’immenses congrès tenus dans des salles prestigieuses. Là, il parlait dans une espèce de salle paroissiale.

J’ai compris en le voyant qu’il était censuré et ostracisé. Il n’était pas le seul. Il y avait, dans la presse, une manœuvre de décrédibilisation des personnes les plus compétentes. Le point qu’il soutenait a d’emblée attiré mon attention. Pour lui ce virus sortait d’un laboratoire et était destiné à être une arme biologique. Il se serait échappé par erreur.

J’ai donc creusé cette piste et lu les articles de la controverse sur l’origine naturelle ou artificielle du virus.

J’ai vu que des virologues (français entre autres) étaient vent debout contre cette histoire d’origine naturelle. Je me suis rendu compte de la mauvaise foi complète de certains de ces scientifiques, notamment des Américains autour de Peter Daszak, qui ont sorti des articles dans les revues les plus prestigieuses en disant que l’hypothèse du « lab leak » (fuite du laboratoire) était le fait de « complotistes » et qu’il était « évident » que le virus était d’origine naturelle.[4]

Mais il n’y avait aucun argument valable qui venait étayer cette thèse.

AS : En quoi l’hypothèse du virus naturel ne tient pas la route ?

Jean Stevens : Il y a trois grands arguments contre l’hypothèse naturelle :

  • Le premier est génétique. Il y a, à l’extrémité de la protéine spike, un petit insert très étonnant de quatre acides aminés codé par 12 (4×3) nucléotides dans la séquence génétique du SARS-CoV-2. Quand on la compare aux séquences génétiques des virus de ses plus proches cousins, des virus de chauve-souris du sud de la Chine, on s’aperçoit qu’il y a comme un « trou ». Il y a douze nucléotides qui sont présents dans le SARS-Cov-2 et qui ne sont présents chez aucun de ses cousins naturels. C’est un enfant sans parents.

En plus, deux des acides aminés sont codés avec des nucléotides très rares. Cela fait des raretés de rareté. Comment de tels nucléotides auraient-ils pu arriver là, exactement au même endroit par mutation aléatoire ?

C’est d’une probabilité statistique très très faible.

  • Le deuxième argument est géographique. L’épidémie a commencé à Wuhan en Chine où se trouve le fleuron de la technologie chinoise : un laboratoire de virologie P4 (de haute sécurité) dans lequel la patronne, Shi Zengli, est l’une des plus grandes spécialistes du monde des virus de chauve-souris. Les scientifiques du milieu l’appellent “Batwoman”. Elle a travaillé avec Ralph Baric, un épidémiologiste de l’Université de Caroline du Nord, à la pointe de la recherche sur les gains de fonction et, lui aussi spécialiste de ces mêmes virus.
  • Le troisième argument est psychologique et politique. Peter Daszak, grand argentier de la virologie aux USA, dont on a depuis appris qu’il travaillait également avec le laboratoire P4 de Wuhan, a réagi très vite après l’apparition du virus. Il a réuni dans une tribune 29 collègues virologues qui ont décrété que l’hypothèse d’un virus de laboratoire était une hypothèse « complotiste ». Son article était de mauvaise foi et ne reposait sur aucun argument scientifique.

Pour moi, son objectif était de cacher au monde un scandale qui aurait jeté le discrédit sur les virologues dont les programmes de recherche sont subventionnés par les fonds publics. Ni lui, ni ses collègues, ni les responsables politiques américains et chinois qui l’ont soutenu n’avaient envie que l’on sache qu’il existait à Wuhan un programme de recherche bactériologique à vocation militaire.

Et de fait, en 2018, Peter Daszak et Shi Zheng Li avaient fait une demande de subvention à la DARPA, une agence militaire américaine, pour financer un projet de recherche sur la protéine spike dans les virus de chauve-souris et les moyens de la modifier. Cette demande avait été refusée pour des raisons éthiques. En quittant les USA, Shi Zheng Li a très probablement repris le projet à Wuhan.

AS : Dans ton livre, tu prends le temps d’analyser ce mensonge originel et tout ce qui a suivi : les mensonges du gouvernement, la mise à l’écart des médecins généralistes, le rôle qu’ont joué l’OMS et la Fondation Bill et Melinda Gates. C’est une enquête que les lecteurs peuvent découvrir ici.

Merci Jean Stevens !

Le 10 octobre 2022, deuxième audition au parlement européen des représentants de l’industrie pharmaceutique ayant travaillé sur les vaccins anti-covid-19

L’Union européenne a acheté pour 75 milliards d’euros au géant Pfizer.

La commission spéciale du Parlement européen sur le Covid a souhaité entendre les responsables des laboratoires ayant mis en place les vaccins et d’abord Albert Bourla PDG de Pfizer. En effet la a Cour des Comptes européenne n’a pas hésité à dénoncer les conditions anormales de négociation des contrats dans ses conclusions de son rapport publié sur ce sujet le 12 septembre 2022.

M. Bourla ne s’est pas déplacé et c’est Janine Small, présidente régionale de Pfizer, responsable du développement des marchés internationaux.

Sur la question de la composition des vaccins, Janine Small n’a apporté aucune information susceptible de satisfaire les eurodéputés. Également présent à l’audition, Franz Werner Haas, Président directeur général de CureVac qui a développé le vaccin avec Pfizer s’est contenté de répéter qu’en matière de sécurité, CureVac était très exigeant.

Virigine Joron (groupe Identité et démocratie)  Française, Rassemblement national) a mis sur la table le coût des effets secondaires : dernier rapport de l’Agence de sécurité du médicament « qui a répertorié en France plus de 30 000 cas graves comme AVC, embolies pulmonaires et décès (…) tandis qu’au niveau européen, c’est plus de 900 000 effets secondaires dont 8 209 issues fatales »

L’eurodéputée Michelle Rivasi (Verts / Alliance libre européenne), n’a pas caché son mécontentement, n’hésitant pas à dénoncer « un simulacre de commission d’investigation ».

22-10-2022 -Karen Kingston : le covid-19 n’est pas un virus c’est un parasite à intelligence artificielle

nota : ce document de synthèse sur la face cachée des »vaccins »  ARNm contre le Covid 19  a été adressé à de nombreux membres d’opposition de la commission des affaires sociales de l’Assemblé nationale, au Président et aux Vice-présidents de la commission des affaires sociales du Sénat avec l’espoir que des membres de ces commissions s’emparent du sujet pour  aboutir à la création d’une commission d’enquête parlementaire sur le sujet de l’origine, du contenu exact des « vaccins » et de tous le problèmes qui gravitent autour. Un groupe parlementaire au parlement européen a également été saisi de ce problème  sachant qu’ils ont déjà obtenu une commission d’enquêtes qui étudie les conditions de passation des marchés entre la commission européenne et les fournisseurs de ces « vaccins ».

Enfin cet article a été envoyé à de nombreux organes de presse essentiellement  régionaux  mais aussi quelques journaux ou magazines nationaux. 

Je demande à chaque lecteur de cet article convaincu du besoin d’enquêter sur l’origine et le contenu exact des « vaccins » de partager cet article pour lui donner du poids à l’égard de nos décideurs politiques.

 

Suspendus …Des soignants entre deux mondes

 

 

« Quels ont été leurs doutes, leurs peurs et les réactions de leur institution et de leurs collègues ?”

Il ya quelques jours seulement je présentais le livre du collectif39 « les Oubliés paroles de suspendus « 

Cette présentation s’inscrivait dans une suite d’articles consacrés au SRAS COV 2 et à certaines manifestations locales contre le pass sanitaire qu’on peut retrouver là  à la rubrique santé.

 Fabien Moine  a présenté son film sur son site  :

Le 12 juillet 2021, sans concertation, les soignants du pays ont été confrontés à un choix : conserver leur emploi en ayant recours à une série d’injections médicales ou être suspendus de leurs fonctions au 15 septembre. A cette date des dizaines de milliers d’entre eux se sont retrouvés sans travail, sans revenu et sans aide. Dans l’indifférence populaire mais aussi celle de leur institution et des médias.

Ils demeurent suspendus, entre deux mondes… Celui d’un passé technocratique en plein effondrement, sans considération ni moyen, basé sur le rendement et la technologie. Et un autre où tout est à construire, libérés du chantage et de la pression des autorités de tutelle, avec une vision résolument humaine et intégrative de la santé.

Plus que des témoignages c’est un regard profond sur notre système, nos institutions, la passion de l’autre et l’engagement vers un monde meilleur, collectif.

Caroline Blondel, Gregory Pamart, Carole Fouché, Louis Fouché, Judith Rémy, Éric Loridan et Aurélie Colin nous racontent leur vécu de cette crise et leurs espoirs. Le tout porté avec poésie sur une musique originale de Cécile Petit et des chorégraphies d’Aurore Borgo. Car danser avec la crise et sourire à demain est un des nombreux messages portés par ce film.

Le film est en accès libre sur Viméo et une participation volontaire sur Tipeee est laissée à l’appréciation de chacun.

Pour visionner le film Suspendus … des soignants entre deux mondes 

 

 

A Dieu Colette – dernier hommage

 

Ce jour, 18 juin , sa famille, ses amis de la paroisse  Saint Jean Baptiste  ou d’ailleurs, ses voisins  de la rue Viancin  ont participé à la cérémonie   de départ de Colette en l’église Saint Louis de Montrapon.

C’est pour moi l’occasion d’évoquer en quelques lignes cette proche voisine à la fois si discrète et si présente que nous avons côtoyée durant plus de trente ans. Son engagement dans divers services d’église, particulièrement au sein de sa paroisse, a été évoqué au cours de cet hommage

J’extrais du petit livret qui nous fut distribué à l’entrée de l’église les trois photos qui suivent.

 

 

Cette deuxième photo rappelle le passage chanté magnifiquement par sa nièce,  accompagnée à l’orgue et par une partie de l’assistance.

Je reprends ci dessous le refrain  :

Peuple qui marchez dans la longue nuit,

Le jour va bientôt se lever,

Peuple qui cherchez le chemin de vie

Dieu lui-même vient vous sauver.

 

Je retiens aussi ce refrain d’un autre chant :

N’aie pas peur,

Laisse-toi regarder par le Christ

Laisse-toi regarder car il t’aime.

 

Pour terminer  et à l’adresse des lecteurs lointains, je  vous présente d’abord l’orgue  de l »église de Montrapon  initialement construit par François  Callinet ( 1807)  pour l’église St François Xavier de Besançon.

La partie instrumentale de l’orgue a été classée aux Monuments historiques en 1977.

Après la désaffection  de St François Xavier en 1975, l’orgue fut installé à St Louis. En 1991, le facteur Michel GIROUD de Bernin (Isère) a entièrement restauré l’instrument dans sa disposition d’origine.

 

Pour terminer, un regard sur l’église St Louis de Montrapon dont la construction s’acheva en 1968

 

 

L’Ecologie ou l’ivresse de la table rase – Bérénice Levet

Edition L’observatoire 12 janvier 2022

 

Bérénice Levet est une philosophe, universitaire et essayiste française née en 1971. Elle soutient en 2006 une thèse de doctorat en philosophie intitulée « Hannah Arendt et la littérature » à  la faculté de Caen Basse Normandie.

 

La philosophe Bérénice Levet dénonce avec force le « totalitarisme vert » des nouveaux écologistes et plaide pour une écologie des sens et de la gratitude. L’écologie a gagné la bataille des esprits, la chose est incontestable. Cependant, telle qu’elle s’incarne aujourd’hui chez Les Verts et certains socialistes, ou dans les mouvements associatifs et militants (animaliste, antispéciste, végan, zaddiste), elle est engagée dans une vaste, furieuse et funeste entreprise de déconstruction de nos sociétés. Plus occupée à changer les comportements et les mentalités, à convertir les âmes et à remodeler nos imaginaires et nos rêves qu’à préserver ce qui peut et doit l’être.

Désoccidentaliser nos civilisations, telle serait, pour nos belles âmes vertes, la voie du salut. D’où la porosité et les alliances avec le féminisme intersectionnel – cf intersectionnalité-, le décolonialisme- cf études décoloniales-, l’islam politique – cf islam politique, le « wokisme » – cf wokeou la « cancel culture » -cf cancel culture ou culture de l’effacement… Nous voilà, une fois encore, entraînés dans l’ivresse de la table rase et de la régénération de l’humanité ! Bérénice Levet analyse et dénonce ce grand règlement de compte civilisationnel et, dans une approche autant politique que philosophique et littéraire, nourrie de Giono, Camus, Colette, Calvino, Hannah Arendt, Simone Weil ou Vaclav Havel, propose une autre écologie, une écologie des sens qui s’appuie sur les hommes, leurs expériences, leurs attachements, leurs fidélités, leur besoin de continuité et de stabilité – autant de dispositions conspuées par les écologistes officiels. Ce livre s’offre ainsi comme une profonde et précieuse réflexion sur l’humaine condition, mais aussi comme un hymne à l’Occident et, singulièrement, à la civilisation française.

 

Prologue :  L’écologie politique et militante , une victoire à la Pyrrhus

«  Misère ! Maintenant il dit : je sais les choses, Et va, les yeux fermés et les paupières closes. » Et comme en écho aux vers de Rimbaud, Simone Weil, dans l’Enracinement, peignait l’homme moderne en être instruit, savant, certes, mais d’un savoir abstrait, désincarné :  » On croit couramment, observait-elle, qu’un petit paysan d’aujourd’hui, élève de l’école primaire, en sait plus que Pythagore par ce qu’il répète que la terre tourne autour du soleil. Mais en fait il ne regarde plus les étoiles. Et le soleil dont on lui parle en classe n’a plus aucun rapport avec celui qu’il voit dans le ciel. »

On aurait pu penser que ces maux de la modernité, diagnostiqués par le poète et la philosophe , le déracinement et l’abstraction qui lui sont afférents, l’avénement de l’écologie viendrait les panser, en offrirait un remède, une issue. Que l’importance prises par les questions liées au devenir de la Terre, au traitement réservé aux animaux, à la disparition des espèces nous serait l’occasion d’être rapatriés sur Terre, dans le monde sensible, chatoyant, compliqué et ambivalent des êtres et des choses. L’occasion de retrouver un lieu. De rouvrir les yeux et les oreilles.

Après des décennies d’abstraction technocratique, de déliaison et désaffiliation progressistes, nous pouvions escompter que le tourment écologique nous porterait à renouer avec la chair du réel et à substituer à l’esprit de géométrie de la rationalité calculante , l’esprit de finesse, ou ce qu’Hannah Arendt appelait avec l’Ancien Testament « un coeur intelligent » ; en finir avec les vues surplombantes et les généralités, avec les idées, les sensations, les jugements tout faits.

L’écologie est, avec le féminisme et l’antiracisme décolonial ou indigéniste, de ces grandes machines à fabriquer des dogmes, des slogans, des hashtags; ces hallalis numériques  du XXI ième siècle, des imprécations propres à terroriser, une langue exsangue, sans couleur, sans saveur, sans parfum, un récit accusatoire, et une jeunesse flagornée sans son simplisme, ânonnant catéchisme vert et sentences comminatoires. Une jeunesse hygiéniste, appréhendant toute réalité au travers des dogmes écologistes, rendue incapable d’émerveillement devant les trésors de la civilisation.

Une jeunesse toute prête à siéger au tribunal de l’inquisition qu’institue l‘écologie politique et militante, et devant lequel comparaissent, pêle-mêle, le christianisme, Descartes, le capitalisme, le libéralisme, la révolution industrielle, et puis finalement l’homme, au sens générique d’humanité, mais très vite, nouvel et dernier inscrit sur la liste noire des coupables, l’homme au sens sexué du terme, le mâle, et singulièrement le mâle blanc.

Primum non Nocere – En premier ne pas nuire – le film Hold On

 

 

« Primum non necere » fut proposé par Hippocrate dans son traité des épidémies. Ce « D’abord  ne pas nuire » peut sembler une évidence, mais comme tout remède comporte des effets secondaires, aucun soin n’est inoffensif. La question qui est posée dans tout traitement médical est d’apporter plus d’avantages que d’inconvénients. Une évidence qu’il n’est aujourd’hui toujours pas si aisée à cerner, tant la multiplicité des facteurs intriqués est grande. (sur maieusthesie.com)

 

réalisateur Pierre Barnérias

France Soir 28/12 :  Hold On », le documentaire qui prend la suite de « Hold Up », sorti l’année dernière, a été diffusé en libre accès hier sur toutes les plateformes ne le censurant pas.

Hold Up avait connu un grand succès médiatique car il était le premier documentaire, en novembre 2020, à revenir sur six mois de controverse autour de la crise liée au Covid-19.

L’équipe de « Hold On », Citizen Light, qui a produit et réalisé ce deuxième volet a annoncé le partager gratuitement, pour s’opposer à « la vaccination des enfants de 5 ans qui a déjà commencé ». Ce collectif de journalistes ayant travaillé dans les « grands médias », entend lutter contre cette politique, grâce à l’information : « le but de cette décision est d’alerter le plus grand nombre sur les dangers de ces injections expérimentales », nous confie Pierre Barnérias, membre de l’équipe, joint par téléphone.

Ce film avait déjà été financé par le public. Dans leur lettre disponible sur leur site Citizen-light.fr, ils remercient dans le même temps leurs contributeurs et ouvre déjà la porte à un prochain numéro, « Hold Out » – ils avaient annoncé une trilogie.

La sortie de Hold On a été difficile à cause de nombreux problèmes techniques et de l’inexorable censure qui règne sur les grandes plateformes de diffusion.

 

« Tant qu’il y a du droit » : L’obligation vaccinale en sursis

L’obligation vaccinale en sursis – maître Krikorian – communiqué sur France Soir 

le site de maître Krikorian, avocat au barreau de Marseille

Maître Krikorian explique qu’au regard de la Constitution, l’extension du passe sanitaire a effectivement été validée par le Conseil constitutionnel qui a approuvé pour l’esssentiel la loi n°2021-1040 du 5 août 2021, relative à la gestion de la crise sanitaire.

Cela ne signifie pas pour autant qu’elle l’a été du point de vue des normes supranationales. Certaines des mesures d’application de cette loi pourraient ne pas être favorables au dispositif que le Parlement vient d’adopter.

Il est en effet arrivé que l’appréciation du Conseil constitutionnel et celle de la Cour européenne des droits de l’homme divergent.

Il sera dès lors possible à toute personne soumise au dispositif de « vaccination obligatoire », de présenter devant la juridiction saisie de certaines mesures, générales ou individuelles d’application de la loi, une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), c’est-à-dire de soutenir qu’une disposition législative porte atteinte aux droits et libertés que la Constitution garantit.

La loi schématiquement va se prononcer sur deux types de mesures à prendre :

D’une part, ce qu’on appelle maintenant le passe sanitaire, c’est-à-dire l’alternative à trois branches : vaccination ou injection, certificat de rétablissement ou tests PCR, auto-test, test antigénique…

Et d’autre part, ce qui concerne tout particulièrement certains de nos concitoyens qui sont en même temps des professionnels de santé.

Pour le premier point, c’est-à-dire le passe sanitaire, le Conseil constitutionnel l’a validé, c’est-à-dire qu’il a considéré que ce dispositif législatif était conforme à la Constitution.

Contrairement aux messages véhiculés que le gouvernement laisse se propager à tort au sein de notre nation, le Conseil Constitutionnel n’a pas du tout validé le second dispositif, c’est-à-dire la vaccination obligatoire…. Quand vous lisez à la fin le dispositif de la décision les articles qui concernent la vaccination obligatoire, c’est-à-dire les articles 12, 13 et une partie de l’article 14, ces dispositions législatives ne sont pas déclarées conformes, c’est-à-dire que le Conseil Constitutionnel ne les a ni validées, ni invalidées.

Tandis que le Premier ministre a déféré lui-même la loi au conseil Constitutionnel, il n’a cependant développé aucun grief à l’encontre des dispositions de la loi. Et donc, le Conseil constitutionnel l’observe et ne répond pas au Premier ministre qui avait inclus notamment dans sa saisine du 26 juillet l’article 12 de la loi. Ce qui fait que, en ce qui concerne ce dispositif législatif relatif à l’obligation de vaccination, le principe est intact. Ce qui a simplement été validé, c’est la progressivité du dispositif.

Demain, comme je le crois, en tout cas comme je le souhaite, le Conseil constitutionnel était à nouveau saisi, mais cette fois-ci sur le plan de la QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à partir de l’article 61.1 de la Constitution, il y aurait toutes les chances, ce serait hautement probable, que le Conseil constitutionnel invalide ce dispositif.

En ce qui concerne les dispositions qui étaient beaucoup plus invasives, puisqu’il s’agit du corps humain et du choix de la personne en ce qui concerne la vaccination, le Conseil constitutionnel n’a pris aucune responsabilité. Il laisse finalement ce choix aux justiciables, c’est-à-dire aux personnes qui seraient concernées, notamment les personnels de santé.

C’est là où va intervenir la QPC. La QPC est donc un moyen qui a été voulu juridique, juridictionnel. il appartiendra à la juridiction du premier degré de se prononcer sur la transmission de la QPC au Conseil d’Etat ou la Cour de cassation, selon l’ordre juridictionnel suivi….L’application de l’obligation vaccinale qui va devenir effective à peu près au 14 septembre, puisqu’il y a un moratoire qui a été organisé par la loi. Mais il faudra que d’ici le 14 septembre, les procédures soient prêtes pour qu’elles puissent être efficaces au profit de ces personnes.

Imaginons qu’au 15 septembre, une juridiction soit saisie d’une QPC, elle statue disons dans le mois qui suit, et qu’elle transmette la QPC à la Cour de cassation et au Conseil d’État. L’un ou l’autre aura trois mois pour statuer et le Conseil constitutionnel, s’il était saisi par un renvoi à la QPC, aura lui-même trois mois. En gros, à partir du moment où la Cour de cassation ou le Conseil d’État est saisi, vous avez un délai de six mois, auquel on rajoute le temps nécessaire pour que le premier juge du premier degré statue sur QPC. Donc cela peut prendre sept à huit mois.

Entre temps, ce que devront faire les requérants, c’est demander par la voie d’un référé adapté à la matière qui sera la leur, une suspension de toutes les mesures de contrainte, notamment de la décision qui les priverait de toute rémunération qui les empêcherait d’exercer.

Donc il faudra faire en sorte que devant la juridiction compétente – conseil des prudhommes pour les salariés du privé, éventuellement la juridiction administrative pour les agents publics – qu’à l’occasion de l’examen de la QPC, si le juge du premier degré estime que la décision administrative est entachée d’illégalité et qu’il y a urgence, le pouvoir légal pourra prononcer la suspension d’exécution de cette décision administrative.

Concrètement, il y a donc de bonnes chances pour que tous ces professionnels de santé arrivent à faire suspendre jusqu’au résultat de la QPC toutes les décisions de suspension de salaire.

Les manifestations peuvent dériver, et je pense qu’il est beaucoup plus souhaitable que nos concitoyens reviennent dans les prétoires de telle sorte qu’il n’y ait pas de mise en danger de la vie d’autrui et pas de violence et qu’on agisse par le droit parce que maintenant, il est prouvé qu’on peut le faire.

communiqué de presse intégral de Maître Krikorian -16 août 2021

promulagation

LOI n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire promulguée le 6 août 2021

décision du Conseil constitutionnel du 5 août 2021

Croissance verte : l’émergence d’un nouveau système capitaliste

 

Hélène Tordjman, économiste, maîtresse de conférences à l’Université Paris-XIII Villetaneuse-Bobigny-Saint-Denis. / Crédit DR.

Pour lire des pages du livre sur Calameo

extraits  de l’interview d’Hélène Tordjmann à science critique (30 mars 2019):

Les « instruments de marché » sont vus comme des outils aptes à préserver la nature. Or, l’extension du domaine de la finance à la nature n’est pas neutre. Elle a et aura des effets directs et concrets, ainsi que d’autres plus indirects mais tout aussi nuisibles. Tout d’abord, plus il y aura de dispositifs de valorisation de la nature, plus le mouvement d’accaparement des terres s’accélèrera. Ensuite, seuls seront protégés les fonctions, écosystèmes et espèces qui sont directement utiles à Homo Sapiens. Enfin, une telle approche approfondit encore la réification de la nature et l’anthropocentrisme qui lui est consubstantiel. En bref, la financiarisation des « services écosystémiques » est une impasse.

Pour les besoins de ce grand inventaire, la nature a été mise en pièces, en petits bouts discrets, comparables et fongibles, tous les mêmes quelques soient les régions, les types d’écosystèmes et les cultures des êtres humains qui y habitent.

Notez aussi l’anthropocentrisme de l’exercice : la nature est envisagée sous l’angle des « services » qu’elle rend à l’espèce humaine, qui trône au-dessus.

La nature mise en pièces

Après la première étape de normalisation de la vie sur Terre vient la seconde, celle de l’évaluation monétaire, ou monétisation. Combien vaut un récif corallien ? Une forêt tropicale ? L’éléphant d’Afrique ? La pollinisation ?

Une étude américaine de 1996 aboutit aux valeurs suivantes : pour l’Américain moyen, un grizzli « vaut » 46 dollars par an, une chouette tachetée 70 dollars, le saumon du Pacifique 63 dollars par an, tandis que le saumon Atlantique n’en « vaut » que 8.[8] Il y a sans doute plus de pêcheurs dans l’Ouest américain.

On peut aussi évaluer un « service écosystémique » par ce qu’il en coûterait de l’effectuer techniquement, artificiellement, s’il avait disparu. S’il n’y a plus d’insectes pollinisateurs et qu’il faut polliniser toutes les cultures à la main, cela coûterait environ 150 milliards de dollars par an : la pollinisation « vaut » donc 150 milliards…

Les « valeurs » des écosystèmes risquent, de changer rapidement. C’est par exemple le cas pour la pleine mer. Les biotechnologues se sont récemment rendu compte qu’elle était très riche en micro-organismes pleins de promesses pour l’industrie, et les missions de bio-prospection se multiplient.

La vie sur Terre
transformée en marchandises

Normalisation, évaluation et valorisation sont ainsi les trois processus qui transforment progressivement les manifestations de la vie sur Terre en marchandises, dans l’espoir de ralentir l’érosion de la diversité biologique…

Les « instruments de marché » sont vus comme des outils aptes à servir des fins variées, en l’occurrence la préservation de la nature. Cette vision relève de l’idéologie technicienne, qui voit la technique comme neutre, « tout dépend de l’usage qu’on en fait »…

Or, le marché n’est pas un instrument, mais une institution. Et, comme toute institution, il codifie et contraint les relations des êtres humains entre eux et celles qu’ils entretiennent avec la nature. L’anthropologue Louis Dumont écrivait que le marché remplace les relations entre les hommes par des relations entre des choses…

De plus, les processus biologiques et écologiques qui sont découpés en petits bouts indépendants ne le sont absolument pas. Ils sont, au contraire, caractérisés par une infinité d’interdépendances. Dans ces conditions, la théorie économique[17] a montré qu’aucun système de prix ne peut être efficace, car il y a trop d’externalités. Les signaux de prix ne permettront pas d’allouer les capitaux là où il y en a le plus besoin.

Enfin, une telle approche approfondit encore la réification de la nature et l’anthropocentrisme qui lui est consubstantiel. La vision de René Descartes d’un homme « maître et possesseur de la nature » est plus que jamais d’actualité. Ce dualisme nature/culture est pourtant une des sources du problème.[18] Mais nous poursuivons néanmoins dans la philosophie qui nous a mené là où nous sommes, c’est-à-dire dans une impasse.

 

A propos des vaccins « OGM » en particulier et des vaccins covid-19 en général

sur l’Usine Nouvelle -27/11/2020 – les explications d’Axel Kahn, généticien et spécialiste de l’éthique Axel Kahn, par ailleurs président de la Ligue contre le cancer.

Quelle est la spécificité des vaccins adénovirus recombinants ?

Ils utilisent de l’adénovirus humain, d’autres de l’adénovirus de singe, le vaccin russe Spoutnik fait les deux. Ils font appel à des virus vivants que j’ai moi-même beaucoup utilisés dans ma carrière de chercheur pour de la thérapie génique. J’avais notamment publié un article dans Nature montrant en quoi il était possible d’envisager la thérapie génique contre la myopathie de Duchenne. Dans mon équipe, le gène codant la protéine manquante avait été introduit dans un adénovirus recombinant.

Un vaccin OGM serait une première dans l’histoire des vaccins ?

Il n’en existe strictement aucun pour les humains [Actualisation du 3 décembre par la rédaction: Les vaccins d’AstraZeneca, J&J et Spoutnik ont été développés sur la base de la plate-forme utilisée par J&J pour son vaccin contre Ebola. Commercialisé depuis mai, ce vaccin – tout comme son concurrent du laboratoire MSD six mois plus tôt – a été génétiquement modifié pour contenir une protéine du virus Ebola. Tous deux disposent d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, réservée à des circonstances exceptionnelles, et doivent encore fournir des preuves supplémentaires]. Mais des virus recombinants ont été utilisés par le passé pour vacciner des animaux : cela avait permis de stopper en France la propagation de la rage transmise par les renards en dispersant par voie aérienne des appâts imbibés de « vaccine recombinante », grâce à une innovation du laboratoire français Transgene.

Cette technologie peut-elle avoir un impact sur le patrimoine génétique, l’ADN du patient ?

Normalement l’adénovirus ne s’intègre pas dans le génome, contrairement à d’autres vecteurs. Et il y a très rapidement une immunisation, le vecteur est rapidement rejeté. D’après les essais cliniques des vaccins à adénovirus recombinants, on voit que cela provoque parfois une réaction importante, mais pas de signes inquiétants. Un cas de symptômes plus sérieux a néanmoins été noté avec le vaccin AstraZeneca, une “myélite”, atteinte de la moelle épinière avec signe neurologiques réversibles. Elle a entrainé un arrêt provisoire des essais de phase 3.

Pourquoi suscitent-ils plus de méfiance alors que la thérapie génique, promue par le Téléthon et qui fait aussi appel à des technologies OGM, est pour sa part déjà utilisée en médecine?

On l’accepte pour soigner des maladies graves, alors que la mortalité du Covid-19 est de 0,05 %. Cela reste une thérapie utilisée presque dans un protocole compassionnel. Le premier médicament de thérapie génique autorisé, malheureusement devenu hors de prix [le Zolgensma de Novartis, ndlr] offre des améliorations cliniques très nettes pour les enfants atteints d’atrophie musculaire spinale, même si cela n’entraîne pas une guérison. Mais entre cela et un vaccin proposé à des centaines de millions de personnes, on n’est pas dans le même ordre de grandeur.

N’aurait-il néanmoins pas fallu des essais cliniques plus longs et robustes ?

Je peux comprendre la hâte avec laquelle on met en œuvre ces vaccins, car la présence du Covid-19 est mortifère pour les pays. On ne vit pas avec, on n’arrive pas à s’en sortir, les Etats-Unis n’ont jamais quitté une circulation active, ils déplorent 260 000 morts annoncés, sans doute 100 000 de plus. La société et l’économie sont bouleversées. Pour disposer d’une immunité collective, il faut prendre le petit risque d’un vaccin rapidement développé. Tout en restant très attaché au concept de la médecine basée sur des preuves et à la pharmacovigilance.

Les différentes étapes de l’essai vaccinal en procédure classique :

Les essai précliniques

Les vaccins sont d’abord étudiés en laboratoire et testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme.

Les essais cliniques

La phase I (innocuité) dure de un à deux ans. Elle a pour objectif de déterminer

  • L’innocuité du candidat-vaccin chez l’homme : provoque-t-il des effets indésirables sérieux ?
  • Sa tolérance : comment le corps réagit-il au produit ?
  • Son immunogénicité : le candidat-vaccin génère-t-il une réponse immunitaire ?

La phase IIA (immunogénicité et dosage) dure de un à deux ans. Les essais sont réalisés sur un très petit nombre de volontaires.

  • On continue à vérifier la tolérance et l’innocuité du candidat-vaccin.
  • On continue à surveiller son immunogénicité.
  • On cherche à établir la dose optimale de vaccin à utiliser.

La phase IIB, encore appelée « preuve de concept » ou « validation de principe », dure de deux à cinq ans. Les essais sont réalisés sur un nombre plus élevé de volontaires et ont pour objectif de déterminer si :

  • Le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection
  • La stratégie vaccinale (A quel moment, quelle dose, quelle fréquence adopter ?) est susceptible de fonctionner pour réduire le risque de transmission du pathogène
  • Un essai de phase III est envisageable

La phase III (efficacité et bénéfices/risques) dure de trois à cinq ans. Des essais testent sur des centaines, voire des milliers, de personnes le rapport bénéfices/risques du vaccin. Ces études pivots permettent de définir les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et, à terme, de poser des demandes d’AMM auprès des agences du médicament.

Deux étapes de recherche peuvent être associées (essai de phase I/II par exemple), ce qui permet d’accélérer un peu le processus.

Les Agences du médicament examinent l’ensemble des éléments disponibles, autorisent ou non la commercialisation, définissent le cadre et les conditions d’utilisation du vaccin.

Le CTV élabore la stratégie vaccinale (quelles populations vacciner) en fonction des données épidémiologiques, des études bénéfice-risque individuel et collectif et d’études médico-économiques. Il propose aussi des adaptations pour la mise à jour du calendrier vaccinal.

Phase IV : Quand un vaccin est commercialisé, il entre en phase de pharmacovigilance, parfois appelée phase IV. Patients et médecins sont incités à déclarer des effets secondaires non signalés aux instances de surveillance (en France, l’ANSM). Cette phase dure tant que le vaccin reste commercialisé.

Les vaccins OGM, retour sur une décision en catimini au Parlement européen

interview de Michèle Rivasi le 7/9/20 sur France Soir

Michèle Rivasi, est députée européenne depuis 2009, et membre d’Europe Écologie Les Verts (EÉLV).  Elle est spécialiste des questions de santé environnementale et de santé publique au Parlement européen où elle mène un combat sans relâche pour la transparence et l’accès aux données et à l’information, contre les lobbys qui nous empoisonnent : agro-alimentaire, chimique, pharmaceutique.  Elle est professeure agrégée de sciences naturelles et titulaire d’un DEA en didactique des sciences.   

Ce 10 juillet a été voté en catimini au parlement européen sans vrai débat démocratique, en urgence, une loi sur les vaccins OGM qui pourrait nous impacter tous.  Michèle Rivasi nous explique.

Cette loi vise à alléger les exigences préalables aux démarrages d’essais cliniques avec des médicaments consistant ou contenant des OGM. Le texte a été adopté à une large majorité de 505 voix pour, contre 67 et 109 abstentions. Nous sommes près de 10 % des membres du Parlement européen à avoir voté contre, dont la quasi-totalité des eurodéputés français EELV.

Ce texte dangereux, dispense notamment les fabricants de ces traitements et vaccins basés sur des OGM à fournir l’étude d’évaluation des risques environnementaux et de biosécurité préalable à tout demande d’essai clinique et de mise sur le marché de tels médicaments que demandait jusqu’ici la législation OGM.

Tout part de la publication le 17 juin par la Commission Européenne de sa stratégie vaccins contre la Covid-19 de l’UE.

Suit alors, fin juin, l’information qu’une proposition de modification de règlement – proposée par la Commission Européenne, car c’est elle qui a le « pouvoir d’initiative » législatif – va être soumis au vote du Parlement via une procédure d’urgence.

Cette procédure d’urgence permet d’éviter de passer l’étape de la discussion et du vote en Commission Environnement du Parlement Européen et d’aller directement en plénière.

On court-circuite ainsi un premier niveau de débat politique. Ensuite, en plénière, le vote de cette résolution d’urgence s’est lui également déroulé sans débat public.

De son côté, le Conseil des Etats-Membres a voté le texte de la Commission le 3 juillet. Ensuite, lors de notre séance plénière de juillet, la seule de l’été, donc l’unique chance de faire adopter le texte avant septembre, le texte soumis par la commission européenne a donc été adopté le vendredi 10 juillet tel quel par le Parlement, sans modification, afin de ne pas retarder son application, effective depuis le 15 juillet.

Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL  -adoption par la commisssion le 17 juin publiée le 17 juiillet 2020 et relatif à la conduite d’essais cliniques réalisés avec des médicaments à usage humain contenant des organismes génétiquement modifiés ou consistant en de tels organismes et destinés à traiter ou prévenir la maladie à coronavirus, ainsi qu’à la fourniture de ces médicaments.

document législatif consolidé 10 juillet 2020 première lecture

(Étant donné l’accord intervenu entre le Parlement et le Conseil, la position du Parlement correspond à l’acte législatif final, le règlement (UE) 2020/1043.)

 

 

 

HOLD-UP – origines du Sars-Cov2-épisode 3- Dr. Henrion-Caude

dernière mise à jour : 2/12/20 à 9h

Le 25 mars 2020 je publiais un premier article sur les origines du Sars-Cov2 virus à l’origine de la Covid-19. Cet article s’appuyait sur les révélations d’un généticien américain James Lyon Weiler qui affirmait et apportait la preuve selon lui qu’il y avait des traces de l’outil p-Shuttle dans le génome du virus.

Le 5 novembre 2020 j’ai publié un deuxième article qui  ajoutait deux autres sources d’interrogation sur l’origine artifcielle de ce virus. D’abord la publication le 26/10 d’un article de Yaroslav Pigenet dans le journal du CNRS -virologie où le chercheur indiquait que la piste du laboratoire restait sérieuse en l’état actuel des connaissances scientifiques.

Ce deuxième article présentait une interview de la généticienne Henrion-Caude qui affirmait qu’elle avait trouvé qu’une partie de la membrane du virus ne pouvait pas être naturelle.

Avec HOLD-UP et cet épisode 3 sur les origines du virus nous allons suivre les révélations du Dr Henrion Caude dans une vidéo du 27 /11/2020 sur Sud Radio. Elle nous révèle l’existence des affirmations d’une chercheuse virologue chinoise Li Meng Yan  dans deux rapports consécutifs publiés sur Zenodo.org le premier le 14/9/2019 puis toujours sur Zenodo le second le 8 octobre 2020. Elle révèle que le SARS-Cov 2 est une arme biologique résultant d’une fraude scientifique à grand échelle : « SARS-CoV-2 Is an Unrestricted Bioweapon : A Truth Revealed through Uncovering a Large-Scale, Organized Scientific Fraud »

première question : qui est ZenodoZenodo est un répertoire de travaux de recherche, de logiciel et de données. Ce dépôt a été créé par le CERN grâce au programme-cadre européen pour la recherche et le développement Horizon 2020 (FP8), sous le nom « OpenAIRE Orphan Record Repository », pour fournir aux chercheurs un lieu pour déposer des ensembles de données. Zenodo se base sur Invenio (logiciel libre pour des dépôts numériques à grande échelle).

qui est Li Meng Yan ?

Li Meng Yan      a été enseignante au  Southern Medical University (2014)  (La Southern Medical University, anciennement connue sous le nom de First Military Medical University, affiliée à l’Armée populaire de libération de Chine, est une institution d’enseignement supérieur à Guangzhou (Canton), la capitale de la province du Guangdong, en Chine)   , Zhongnan University Xiangya Medical College (2009)

selon RTL .Lu le 14/9

La virologue Li-Meng Yan a récemment affirmé que la Covid-19 avait été créée dans un laboratoire de la ville de Wuhan.

Les médias britanniques ont récemment partagé le témoignage de Li-Meng Yan, une virologue chinoise qui exerçait encore à l’école de Santé publique de Hong Kong il y a quelques mois. Elle a depuis fui son pays et se serait réfugiée à New York avant de s’adresser aux médias du monde entier.

La virologue est récemment apparue dans l’émission de télévision britannique « Loose Women » et y a affirmé que le Covid-19 venait d’un laboratoire de Wuhan. Un laboratoire qui serait dirigé par le gouvernement chinois qui aurait dissimulé ce qui s’y passait.

Li-Meng Yan affirme avoir des preuves qui confirmeraient que le virus n’a pas été transmis par des animaux aux humains et qu’il aurait été créé de toutes pièces dans ce laboratoire. Elle travaille actuellement avec une équipe de scientifiques américains dans l’espoir de publier une recherche qui viendrait confirmer ses accusations.

Un témoignage qui pourrait être à l’origine d’une crise diplomatique mondiale si les dires de Li-Meng Yan venaient à être confirmés. En attendant, vous pouvez vous faire votre propre opinion en visionnant son interview ci-dessous.

Voici son interview du 11/09/2020 sur Loose Women :l’émission Loose Women est diffusée sur la deuxième chaîne britannique, ITV, le 11 septembre, reprise par plusieurs médias comme Valeurs actuelles, I24 ou encore 20 Minutes Suisse.

 

Le premier rapport sur Zenodo.org le premier le 14/9/2019

Remarques finales
De nombreuses questions restent sans réponse sur l'origine du SRAS-CoV-2. D'éminents virologues ont prétendu que l'évasion de laboratoire, sans être totalement exclue, était peu probable et qu'aucun signe de manipulation génétique n'est présent dans le génome du SRAS-CoV-24. Cependant, ici nous montrons que des preuves génétiques dans le gène de pointe du génome du SRAS-CoV-2  existent et celles-ci suggèrent que le génome du SRAS-CoV-2 serait le produit d'une manipulation génétique. De plus, les concepts éprouvés de techniques bien établies, des connaissances et une expertise sont toutes en place pour la création pratique de ce nouveau coronavirus dans un court laps de temps.


 

page 15 du rapport : schéma d’un parcours synthétique possible de la création du SARS-Cov-2 en laboratoire

 

 

Dans le rapport publié le 8/10/2020 

« 4.4 La pandémie actuelle est une attaque contre l’humanité. Les preuves scientifiques et les archives indiquent que la pandémie actuelle n’est pas le résultat d’une libération accidentelle d’un produit à gain de fonction, mais d’une attaque planifiée utilisant une arme biologique. La pandémie actuelle devrait donc être considérée comme le résultat de la guerre sans restriction. Dans de telles circonstances, la population infectée est utilisée, inconsciemment, comme le vecteur de la maladie pour faciliter la propagation de l’infection. Les premières victimes de l’attaque ont été les Chinois, en particulier ceux de la ville de Wuhan. Au stade initial, la propagation cachée à Wuhan aurait également pu servir un autre objectif : la vérification finale de la fonctionnalité de l’arme biologique, dont un aspect important est l’efficacité de la transmission interhumaine. L’agent pathogène pourrait avoir été activé.« 

Compte tenu de la présence mondiale du SRAS-CoV-2 et de la probabilité de sa persistance à long terme, il convient de dire que cette attaque visait l'humanité  et a mis son destin en péril.

traduction automatique Google traduction)

sur Libération 12/9/20 :

Une virologue chinoise dit détenir les preuves que le nouveau coronavirus a été créé dans un laboratoire chinois. Exilée aux Etats-Unis, la scientifique est particulièrement proche de l’administration Trump.

sur 20 mn .ch : Elle dit avoir la preuve que le virus n’est pas d’origine naturelle et n’a de fait pas été transmis d’un animal à l’être humain sur un marché de Wuhan. Elle déclare avoir reçu ces informations des médecins locaux et du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CCDC).

La Dre Li-Meng Yan avait elle-même fait des recherches sur la Covid-19 à la fin de l’année dernière. Lorsqu’elle a réalisé que le virus se propageait de manière exponentielle, on l’a prévenue qu’elle devait «rester silencieuse et ne pas franchir la ligne rouge». Ses travaux sont alors suspendus. «On va avoir des ennuis, on va disparaître», a pressenti son chef.

La Dre Li-Meng Yan a donc décidé de quitter l’Empire du Milieu à la fin du mois d’avril et de s’enfuir aux Etats-Unis. Depuis lors, elle séjourne dans un endroit tenu secret. Elle travaille maintenant, avec des scientifiques américains, afin de publier une recherche permettant d’attester ses dires. «Je veux faire la lumière sur la Covid-19», explique-t-elle. Si elle en avait parlé en Chine, elle aurait «disparu» dès qu’elle aurait commencé à s’exprimer. Elle a donc décidé de fuir, car elle sait comment son pays traite les dénonciateurs.

sur Epoch Times.com du 18/09/20      Twitter a suspendu le compte d’une virologiste chinoise qui prétend avoir des preuves montrant que le virus du PCC* avait été fabriqué dans un laboratoire.

La Dr Yan Limeng a déclaré que la communauté scientifique avait « gardé le silence et travaillé avec le Parti communiste chinois (PCC) » pour censurer les études qui arrivaient à des conclusions similaires. « Ils ne veulent pas que les gens connaissent la vérité », a-t-elle déclaré dans une interview à la Fox mardi. « C’est pourquoi j’ai été suspendue, réprimée, et je suis la cible que le Parti communiste chinois veut voir disparaître. »

sur Epoch Times.com du 6/10/20

Yan Limeng a confirmé l’arrestation de sa mère au journal Epoch Times le 5 octobre, mais a refusé de donner plus de détails.

Mme Yan, qui a fui Hong Kong et demandé l’asile aux États-Unis en avril, a récemment publié un article dont elle est co-auteur, qui affirme que les « caractéristiques biologiques » du virus suggèrent qu’il ne provient pas de la nature. L’étude n’a pas fait l’objet d’un examen par des pairs.

La communauté scientifique a repoussé ses affirmations après qu’elle a lié les origines du virus à un laboratoire de Wuhan dans son dernier article, certains la qualifiant de spéculative. Twitter a rapidement banni son compte après qu’elle a publié son article dans un tweet.

sur la Croix 18/11 :

Zhang Zhan, « citoyenne-journaliste » chinoise en prison pour avoir informé sur le Covid-19

Portrait 

Arrêtée en mai dernier pour avoir informé sur la situation de l’épidémie de coronavirus à Wuhan, cette ancienne avocate de 37 ans devenue « citoyenne-journaliste » a été inculpée lundi 16 novembre à Shanghaï pour « diffusion de fausses informations ». Elle risque au moins cinq ans de prison.

sur la Croix 26/11 :

La Chine réécrit encore l’histoire du coronavirus de Wuhan

Près d’un an après le début de l’épidémie de coronavirus, la Chine persiste à semer le doute sur l’origine du virus à Wuhan. Elle pointe maintenant du doigt les importations de produits surgelés sur lesquels des traces du virus auraient été trouvées. De son côté, l’OMS a les plus grandes peines du monde à aller enquêter sur place sur les origines du virus.

vidéo du 27 novembre 2020 -Radio Sud – Dr Henrion-Caude

Et voici que les premiers vaccins sont annoncés par Pfizer puis par Moderna…suivis par d’autres

 

Le jackpot potentiel pour Pfizer cf l’Usine nouvelle 10 novembre 

Il s’agit dans un premier temps surtout d’une bonne nouvelle pour les Etats-Unis. Car si Pfizer réussit son pari de mettre le premier sur le marché un vaccin contre le Covid-19, cela relèvera du jackpot pour le géant pharmaceutique. « Pfizer a annoncé un objectif de production de 1,3 milliard de doses en 2021. (…) Même avec la concurrence des autres développeurs de vaccins, nous prévoyons que la majorité de cette production sera vendue, relève ainsi Michael Levesque, vice-président senior à l’agence Moody’s et analyste en chef sur Pfizer. Nous prévoyons des opportunités de revenus au-delà de 2021, bien que nettement moins quantifiables en raison des variables qui affecteront la demande et les prix. »

(Selon le prix de vente de ces vaccins estimé entre 15 et 20$ la dose, le chiffre d’affaires potentiel pour Pfizer, généré par les ventes de ce vaccin peut être estimé à 20 à 25 milliards de dollars soit entre 35% et 50% de son CA 2018 qui était de 53 milliards.)

 

Selon le journal Les Echos du 12 novembre,  l’épidémie qui a mis à mal les économies du monde occidental provoque une euphorie sur les titres des premiers laboratoires qui ont annoncé la réalisation d’un vaccin. Le 9 novembre, jour de l’annonce de la sortie de son vaccin, Pfizer a vu sa cotation en bourse grimper de 15%. Ce jour là, son PdG Albert Bourla a vendu 60% des titres qu’il détenait dans sa société pour un montant de 5,6 millions de dollars. Le journal précise par ailleurs qu’il dispose depuis avril d’un salaire mensuel de 1,65 million de dollars.

Par ailleurs, les cinq principaux dirigeants de la société de biotechnologie Moderna, qui développe également un vaccin contre le Covid-19, ont encaissé plus de 80 millions de dollars en actions cette année, d’après le site spécialisé « Stat News ».

On comprend bien que devant une telle manne attendue de la vente des vaccins, le monde des laboratoires, des dirigeants aux scientifiques qui y travaillent , ne soit pas pressé de voir apparaître des informations selon lesquelles le SARS -Cov 2 à l’origine de ce catalysme économique et social serait sorti d’un laboratoire, fut-il chinois. Cette sortie, qu’elle fut accidentelle ou provoquée , constitue un choc considérable pour l’économie occidentale dans son ensemble mais en même temps une opportunitée formidable pour le monde des laboratoires qui va en tirer profit. Bien avant la sortie des vaccins à ARN messager, on sait qu’il ne faut pas scier la branche sur laquelle on est assis. Quant au secteur public, il est aussi lié par des contrats public-privé ou en liens divers avec ce secteur – coopérations public-privé      ou conflits d’intérêts – cf là par exemple -ou sur Cairn « comment les conflits d’intérêt peuvent influencer la recherche »

On est peu surpris, en conséquence, de voir que le monde des grands médias y compris ceux spécialisés, ait peu d’informations crédibles à fournir pour étayer cette thèse qui bien entendu est considérée le plus souvent comme complotiste. Ce qualificatif est la première réponse opposée pour dénigrer toute hypothèse contraire jugée défavorable et ainsi éviter le débat au niveau des arguments scientifiques.

Rappelons pour finir que l’Europe pour faire face à  la crise économique qui en a résulté s’est mise d’accord sur un plan de relance  de 750 milliards d’euros dont 390 milliards de subventions et 360 milliards de prêts. cf les Echos du 21 juillet. (Rappelons aussi que le budget européen 2019 était de 148 milliards et donc que ces subventions et prêts représentent 5 années de son budget total et environ 5% de son PIB)

Le 5 mai 2020, les Etats Unis lançait de leur côté un gigantesque plan d’émission d’obligations pour 3 000 milliards de dollars afin d’éviter que leur économie ne s’effondre. cf le Courrier international du 5/5/2020.

selon le journal le Monde 7/10/20 :

La pandémie de Covid-19 va faire basculer jusqu’à 150 millions de personnes dans l’extrême pauvreté :  Selon une étude de la Banque mondiale, publiée mercredi, « de nombreux pays connaissent une chute des revenus du travail d’une magnitude jusqu’ici rarement observée ».

Pour la première fois depuis près d’un quart de siècle, l’extrême pauvreté va augmenter dans le monde. Selon un rapport de la Banque mondiale publié mercredi 7 octobre, la crise liée au Covid-19 va faire basculer, d’ici à la fin de 2021, jusqu’à 150 millions de personnes sous le seuil d’extrême pauvreté, fixé à 1,90 dollar (1,61 euro) par jour. Celle-ci devrait toucher entre 9,1 % et 9,4 % de la population mondiale en 2020.

 

 

 

 

Le point sur les vaccins ARN – On joue aux apprentis sorciers dit le docteur Fouché

dernière mise à jour 04/12/20 à 08 h

Les vaccins dits à ARN messager ne sont pas des vaccins mais de la thérapie géniqueProfesseur Christian Perronne –sur Radio Sud 2 décembre

 

 

 

rtbf.be -24 novembre 2020

vaccins à ARN sur Wikipedia

coupe d’une cellule

 

 

 

selon les décodeurs Le Monde mise à jour 27 /11/20

Selon le décompte de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 48 vaccins visant à protéger la population du Covid-19 sont actuellement en phase d’essais cliniques.

Onze vaccins aux caractéristiques différentes sont les plus avancés :

Parmi les 11 vaccins, 4 vaccins sont de type vaccins ARN  messager(Pfizer-BionTech , Moderna, CureVAC,Sanofi) (Une séquence génétique du virus (ADN ou ARNm) est injectée et entre à l’intérieur de la cellule humaine. Celle-ci va l’utiliser pour produire la protéine virale associée qui va faire réagir le système immunitaire.), 2 vaccins ADN (INOVIO, J&J) 3 de type vecteur viral,(Astrazeneca,CanSINO, MSD) (  Un virus atténué spécialisé (= vecteur) est utilisé pour véhiculer les éléments nécessaires à la future protection (la ou les protéine(s) d’intérêt et/ou sa ou leurs séquence(s) génétique(s)     et 2 à base de protéine recombinée (GSK, SANOFI)(Le coronavirus possède à sa surface des pointes « spicules » qui lui permettent d’entrer en contact avec les cellules à infecter. Ces pointes sont des protéines virales qui ont pu être isolées en laboratoire. Elles peuvent être fabriquées et injectées pour faire réagir le système immunitaire à ces molécules étrangères)

sur journal des femmes.fr

Le médecin en chef de Moderna précise que son vaccin protégera la personne vaccinée mais n’empêchera pas celle-ci de transmettre le virus.

Il faut au minimum 3 mois d’observations en phase 3 pour voir la durée d’efficacité et pour Pfizer nous en sommes à 28 jours – première communication le 9/11

Sur le déploiement du vaccin : il faut qu’il soit autorisé par l’Agence Européenne du médicament en fonction des normes d’inocuité et efficacité.

Cette autorisation permettra une répartition des commandes par état en fonction de leur population.

 

sur Médecine/Sciences -18/10/20

La vaccination utilisant des acides nucléiques s’est développée au cours des dernières décennies. Elle représente une méthode prometteuse et particulièrement attractive pour prévenir ou guérir des maladies infectieuses ou cancéreuses. Cette approche a suscité un regain d’intérêt mondial au cours de ces dernières années, suite aux progrès réalisés dans la compréhension du système immunitaire humain. Les vaccins à base d’acides nucléiques reposent essentiellement sur deux types de molécules, ADN et ARN messager (ARNm), qui, lorsqu’elles sont injectées chez un individu, permettent la synthèse de la protéine immunogénique. La principale différence entre les vaccins à ADN et à ARNm réside dans le compartiment cellulaire où ces molécules doivent parvenir pour être actives : le noyau pour l’ADN, et le cytoplasme pour l’ARNm. Les difficultés communes rencontrées afin de rendre ces vaccins efficaces sont le franchissement de la barrière cellulaire par les acides nucléiques pour pénétrer à l’intérieur de la cellule, et la nécessité d’augmenter leur immunogénicité.

conclusion : La vaccination à base d’acides nucléiques repose sur un processus complexe, où deux éléments doivent être pris en compte pour optimiser à la fois la production de l’immunogène et la stimulation de l’immunité innée créant un environnement propice à l’activation d’une réponse immune spécifique de l’immunogène. Les molécules d’ADN plasmidique et d’ARNm doivent respectivement transiter directement par le cytoplasme et par les endosomes des cellules cibles. Compte tenu de ces contraintes spatiales et des propriétés physico-chimiques différentes de l’ADN et des ARNm, deux systèmes synthétiques de délivrance différents ont été inventés, reposant respectivement sur des polymères amphiphiles en forme d’étoile et sur des lipides dérivés de sucres naturels

sur mesvaccins.net :  L’ARN est-il l’avenir des vaccins ?-22 novembre 2020

…L’ARN entrant dans la composition de tous les être vivants, il n’est pas normalement lui-même un antigène reconnu par le système immunitaire. S’il peut être utilisé dans un vaccin, c’est parce que, lorsqu’il se retrouve à l’intérieur des cellules, il peut diriger la synthèse des protéines ou fragments de protéines contre lesquels on veut obtenir une réponse immunitaire. Les conditions à remplir sont d’identifier la protéine qui fera le meilleur vaccin (elle doit être non seulement une cible pour des anticorps capables d’empêcher l’infection mais aussi un bon « stimulant » de l’immunité), de synthétiser l’ARNm avec la séquence correspondante, et de trouver un moyen de faire pénétrer cet ARN dans les cellules qui produiront ainsi elles-mêmes l’antigène vaccinant. On dispose pour cela de plusieurs procédés, l’un des plus efficaces étant d’encapsuler ou d’enrober l’ARN dans des vésicules lipidiques microscopiques, des liposomes ou des nanoparticules, qui peuvent fusionner avec la membrane des cellules, elle aussi lipidique, pour libérer leur contenu à l’intérieur. Cette méthode est bien adaptée pour l’ARN car la couche lipidique le protège des enzymes qui pourraient le détruire. Elle autorise en principe de nombreuses variations, car il est possible d’insérer en surface des particules des molécules qui vont les guider vers des cellules ou des compartiments cellulaires précis.

sur Fututra sciences :

…Comme elle est récente, cette technologie présente des inconvénients qui sont surtout liés à un manque de recul scientifique sur son utilisation. Comme expliqué plus haut, la vaccination à ARN messager active aussi bien la réponse immunitaire adaptative qu’innée. Mais la forte production des interférons, conséquence de l’activation des TLR7, augmenterait aussi l’activité des ribonucléases, des enzymes qui découpent les ARN. Les ARN messagers vaccinaux qui perdent leur bulle lipidique ou ne sont pas encapsulés au moment de l’injection auraient donc plus de chance d’être détruits avant même d’entrer dans les cellules.

Certaines études cliniques ont rapporté des évènements indésirables de grade 3, c’est-à-dire qui invalident totalement ou menacent la vie du patient, pour deux vaccins à ARNm destinés à lutter contre la rage et les virus H10N8 et H7N9 alors qu’ils étaient en phase 1.

sur actualité.com : Faut-il avoir peur des vaccins à ARN ?   4/11/20

De nombreuses personnes craignent que les vaccins utilisant l’acide ribonucléique puissent donner des maladies auto-immunes, voire qu’ils modifient notre patrimoine génétique. Fausse nouvelle ou vraie préoccupation ?

Avec un vaccin constitué d’une partie de l’ARN du virus, on peut donc lancer directement dans notre corps la production de la protéine qui va stimuler l’immunité. Ce type de vaccin est considéré comme très prometteur, parce qu’il est beaucoup plus facile, rapide et sécuritaire à produire que ceux faits de protéines ou de virus atténués. Des dizaines de vaccins à ARN sont en phase d’essais cliniques, mais aucun n’a encore été approuvé.

Il est strictement impossible que l’ARN d’un vaccin change nos gènes : d’une part, l’ARN ne pénètre pas dans les noyaux des cellules où se trouve l’ADN ; d’autre part, il est très vite dégradé par les cellules. C’est d’ailleurs pourquoi il a fallu bien du temps pour mettre au point des vaccins à ARN, cette molécule ayant la fâcheuse habitude de se décomposer avant de commander la production de protéines.

On craint par contre que l’ARN puisse dans certains cas induire une surproduction des interférons de type 1, qui régulent le système immunitaire. Ces médiateurs chimiques peuvent accroître l’inflammation et sont aussi en cause dans certaines maladies auto-immunes.

Jusqu’à présent, les essais cliniques, qui ont porté sur des milliers de personnes, sont très rassurants : on a trouvé que les vaccins à ARN n’entraînent pas de réactions indésirables sérieuses. Mais tant que les études ne seront pas terminées, et que les personnes vaccinées n’auront pas été suivies pendant plusieurs semaines après avoir été immunisées, on n’aura pas la certitude qu’ils sont complètement sans risque.

 

sur rtbf .be Coronavirus : le vaccin pour le Covid-19 est-il dangereux ? Quels sont les arguments des anti-vaccins ? –publié le 22 novembre 2020

 

Le vaccin contre le nouveau coronavirus pourrait être distribué après à peine un peu plus d’une année de l’apparition du Covid-19. Alors que l’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur une période 10 à 15 ans, ces nouveaux vaccins arriveraient à peu près plus d’un an seulement après l’identification du SARS-CoV-2 (nom scientifique du Covid-19). Le vaccin développé le plus rapidement jusqu’à ce jour est le vaccin contre Ebola, qui a exigé cinq ans d’efforts.

Ce n’est pas un secret, l’enjeu financier de la mise sur le marché d’un vaccin contre le Covid-19 est majeur pour les entreprises pharmaceutiques engagées dans la course. Le coronavirus ayant des répercussions majeures sur la société et l’économie mondiale, les candidats au développement d’un tel vaccin sont nombreux, 47 projets sont d’ailleurs actuellement recensés par l’OMS.

Certaines étapes qui concernent la validation par les autorités sanitaires ont également été accélérées pour permettre une mise sur le marché européen plus rapide qu’en temps normal. « A partir du moment où le processus est fourni à l’agence européenne du médicament, elle s’engage à examiner ces données en priorité« , explique Yves Van Laethem, le porte-parole interfédéral de la lutte contre le Covid-19.

Reuters a interviewé Mark Lynas, un chercheur invité du groupe « Alliance for Science de l’université Cornell« . Celui-ci a déclaré qu’aucun vaccin ne peut modifier génétiquement l’ADN humain. « Ce n’est qu’un mythe, souvent répandu intentionnellement par les militants anti-vaccination pour générer délibérément confusion et méfiance« , a déclaré Lynas à Reuters. « La modification génétique impliquerait l’insertion délibérée d’ADN étranger dans le noyau d’une cellule humaine, et les vaccins ne le font tout simplement pas« .

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plusieurs vaccins candidats différents sont en cours d’essais cliniques dans le monde, mais aucun d’entre eux ne modifie l’ADN humain et ils ne contiennent pas de technologie permettant de relier les personnes à une interface d’intelligence artificielle.

Et puis, hors du contexte du Covid-19, il y a les arguments plus classiques portés par les groupes anti-vaccins. Parmi les éléments avancés par ces derniers, il y a régulièrement cette question des adjuvants et de l’aluminium présent dans certains vaccins qui serait dangereux pour la santé.

Pour certains types de vaccins, selon la technique, un adjuvant est parfois indispensable pour conférer aux particules vaccinales un pouvoir immunisant suffisamment puissant et assez étalé dans le temps. L’un des adjuvants peut être l’aluminium, c’est le plus décrié par les antivax. Ces anti-vaccins accusent notamment l’aluminium de causer des lésions musculaires, ce qui n’est pas scientifiquement prouvé.

13 études ont démontré que les adjuvants, composants de certains vaccins, n’avaient pas de conséquences sur la santé. De plus, comme le souligne le pédiatre David Tuerlinckx, « les quantités d’aluminium présentes dans les vaccins sont inférieures aux quantités d’aluminium qu’on ingère dans notre vie quotidienne ».

position défavorable au vaccin ARN -vidéo du 26 novembre 2020

Le docteur Louis Fouché , anesthésiste-réanimateur à l’hôpital de la Conception à Marseille s’entretient le 26 novembre avec Fabien Moine naturopathe sur l’obligation ou non de vaccination et les conséquences de celle-ci notamment en ce qui concerne les vaccins ARN.

D’abord des éléments de réflexion sur la communication autour de l’arrivée des vaccins.

Bien sûr , cette arrivée des vaccins est conduite par des communicants.  Pour y parvenir on pose des truismes pour que le cerveau acquièce et soit déjà dans le « oui ». Et puis on arrive à « une seule solution c’est le vaccin ». Compte-tenu de la puissance d’impact de l’épidémie cette solution est validée.

Puis on balance une punch line : « le vaccin est efficace à plus de 90% ».Mais personne  ne sait ce qui est derrière cette efficacité.

Alors arrive la question de savoir si on le rend obligatoire. A ce stade c’est déjà un choix illusoire.

Mais la vaccination est un dogme fortement établi. Si on discute dans les médias,  où on dispose de quelques minutes,  de l’opportunité d’un vaccin comparée à d’autres solutions on est immédiatement taxé d' »anti-vax« . Il n’y a pas de nuance possible : être pour un vaccin dans certaines circonstances ou maladies et contre dans d’autres cas.

Pourtant  contrairement aux éléments recueillis ci-dessus il apparaît que ces vaccins ARN messager constituent un réel danger.

Voici quelques idées issues de cet échange :

Le virus SARS-COV 2 de type ARN est un virus qui mute beaucoup. Nous en sommes à la troisième épidémie en 7 mois.

cf là : https://www.ucl.ac.uk/news/2020/sep/analysis-coronavirus-mutations-what-weve-learned-so-far

Une mutation signifie simplement une différence; un changement de lettre dans le génome. Alors que la population de Sars-CoV-2 était génétiquement essentiellement invariante lorsqu'elle est entrée dans son premier hôte humain à la fin de 2019, plus de 13000 de ces changements se trouvent maintenant dans les 100000 Sars-CoV-2 séquencés à ce jour. Pourtant, deux virus de deux patients quelconques dans le monde ne diffèrent en moyenne que de dix lettres. Il s’agit d’une infime fraction des 30 000 caractères du code génétique du virus et signifie que tous les Sars-CoV-2 en circulation peuvent être considérés comme faisant partie d’une seule lignée clonale.

Lorsqu’on dit que le vaccin est fiable à 90% cela veut dire que l’on a trouvé des anti-corps du vaccin dans 90% des personnes vaccinées. Mais on ne sait pas si ces anti-corps sont protecteurs ou non et combien de temps ils durent.

D’ailleurs souligne Fabien Moine, Le Dr Fauci , directeur de l’Institut des maladies infectieuses aux USA a dit que même avec des vaccinations répétées le vaccin n’empêcherait pas de porter le masque.

En période d’épidémie la vaccination est dangereuse. Ce fut le cas à Bergamela cohorte de Bergame -où l’on a vu se superposer la vaccination contre le virus de la grippe  et la vaccination contre la méningite avec l’arrivée  du coronavirus. Et ça a été explosif.

Le vaccin qui entraîne la production d’anti-corps n’est pas forcément la bonne solution car la réponse immunitaire ne passe pas forcément par les anti-corps mais est cellulaire.

D’autre part un vaccin qui immunise contre une première vague peut provoquer lors d’une seconde vague où le virus est modifié une sur-réaction qui peut être délétère. Par exemple Sanofi Pasteur en février 2016 clamait qu’il s’agissait d’un moment historique quand son vaccin, le Dengvaxia, a été lancé aux Philippines. Un lancement en fanfare pour ce vaccin, le premier au monde contre la dengue. Au total, 837 000 écoliers ont reçu une ou plusieurs doses du vaccin. Mais fin 2017, la campagne a été interrompue face à la crainte que le vaccin, plutôt que de protéger, n’aggrave les infections chez des sujets n’ayant jamais été touchés par la dengue jusque-là.

L’explication réside peut-être dans le fait que le virus de la dengue regroupe quatre sérotypes différents, qui peuvent toucher une même personne au cours de sa vie. « Imaginons le cas d’un individu qui va contracter le sérotype 1. Il sera alors immunisé contre cette souche. Mais un ou deux ans plus tard, il peut s’infecter avec le sérotype 2. Et il peut alors se produire ce qu’on appelle un mécanisme immunitaire de facilitation : plutôt que de combattre l’infection, l’organisme va favoriser son avancée et la personne a alors un risque de faire une forme plus grave que la première fois », explique Éric Leroy, directeur de recherches à l’Institution française publique de recherche (IRD). La Croix mars 2019.  

  Le 1/3/2019 on apprenait que le gouvernement philippin avait porté plainte contre 6 responsables de Sanofi  suite à une enquête qui a révélé le décès d’une vingtaine d’enfants ayant reçu le vaccin contre la dengue.

En fait, on ne sait rien de la réponse immunitaire et si celle-ci passe beaucoup ou peu par les anti-corps.

Par ailleurs les adjuvants, souvent des métaux lourds sont là pour agresser le corps et stimuler sa réaction mais ils constituent aussi un danger pour celui-ci . L’aluminium vaccinal qui n’a rien à voir avec l’aluminium commun rentre dans le cerveau et laisse des traces.

-cf là la vidéo sur les dangers de l’aluminium des vaccins –

Le vaccin ARN trouvé en 8 mois ce n’est pas possible qu’il soit fiable. Certes, il présente une belle inventivité qu’il faut saluer sur ce point. En outre, il  peut être produit rapidement et de façon peu onéreuse. Mais ce  vaccin,  produit en si peu de temps, c’est un travail d’apprentis sorciers car on ne peut pas en si peu de temps en mesurer toutes les conséquences.

D’ailleurs il y a une incertitude sur la prise en charge des risques consécutifs à la vaccination par les laboratoires. Il serait possible que ces risques ne soient pas pris en charge par les laboratoires mais par l’état ou l’Europe. cf France TV info 2/10/2020

L’article 1245 et suivants du Code civil sur la responsabilité du fait des produits défectueux affirme que « le producteur est responsable du dommage causé par un défaut de son produit, qu’il soit ou non lié par un contrat avec la victime » (art. 1245), à moins, comme l’a rappelé la ministre, qu’il prouve que « l’état des connaissances scientifiques et techniques, au moment où il a mis le produit en circulation, n’a pas permis de déceler l’existence du défaut«  (art. 1245-10). ( cf sur RTL.fr)

On ne sait pas maîtriser la production des anti-corps par les cellules. Si elles en produisent trop on devient malade et si elles n’en produisent pas assez, on n’est pas vacciné.

De surcroît, cet ARN messager peut rentrer dans l’ADN et nous avons 8% de notre ADN qui vient de modifications due à l’ARN ce qui permet à l’organisme de s’adapter ainsi à un nouvel environnement. Donc cet ARN peut venir modifier  artificiellement  notre ADN et il est même possible qu’il atteigne le génome germinal. cf lignée germinale.

S’agissant de  l’obligation vaccinale il y a déjà des journalistes comme Christophe Barbier, des politiques comme Jadot,   qui sont favorables à l’obligation vaccinale ou à minima refuser certains droits d’accès aux personnes non vaccinées. Ceci est très dangereux et nous fait penser au crédit social chinois.

Il y a aussi des informations inquiétantes concernant l’ajout de nano-particules et des tests faits au Malawi  et au Kenya sur un carnet vaccinal qui est une forme de traçage.  La puce informatique de traçage est ici remplacée par un enzyme réactif bioluminescent alors détectable. Ces tests ont été fait par des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology – MIT- Le vaccin avec nano particules peut être détecté par un smartphone. Ces expériences sont financées par la Fondation Gatescf là l’article du Monde du 19/12/2019

Par ailleurs, le rapport de la commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe H1 N1 met en lumière les corruptions systémiques.

par exemple page 12 du rapport  : « M. François Autain, président ( parti de Gauche et médecin)- Merci.
On peut ne pas être d’accord avec la première partie de votre exposé mais cela
nécessiterait de créer une nouvelle commission d’enquête.
Vous avez évoqué la probité. Je suis d’accord avec vous. Je pense que ce serait
encore plus facile à appliquer si les experts qui conseillent les laboratoires n’étaient pas
les mêmes que ceux qui conseillent les instances publiques et les autorités sanitaires ! 

...page 11 : M. François Autain, président – Vous n’avez pas tout à fait tort et j’aurais
tendance à suivre les avis de la commission de la transparence puisque selon eux, 95 %
des médicaments qui sont mis sur le marché aujourd’hui ne sont pas plus efficaces que
ceux qui existent déjà ! Ce que je comprends moins, c’est que ces médicaments qui ne
sont pas mieux que les autres sont vendus beaucoup plus cher ! 

Il y a beaucoup d’autres chemins possibles en dehors du vaccin et il est dommage que les sommes investies ne le soient pas au minimum pour renforcer notre système de santé.

sur le refus de vaccination :

La loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 dite loi Kouchner :

 Art. L. 1111-4. – Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
« Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en oeuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables.
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.

 

 

lire là la mise en garde du professeur Perronne spécialiste des maladies infectieuses.

Il expose que habituellement dans nos cellules les messages vont de l’ADN vers l’ARN. Mais il dit que l’inverse est aussi possible grâce à l’enzyme de transcriptase inverse. L’ARN injecté par le vaccin à ARN messager peut donc sous certaines conditions s’intégrer à nos chromosomes et transformer définitivement nos gènes.

 

COVID-19 – retour et mise à jour sur les origines du SARS-Cov- 2

Selon les chiffres officiels  nous sommes  à plus de 4000 hospitalisés en réanimation ce qui nous placerait à plus de 80% du taux d’occupation des lits actuellement disponibles en France . Le sommet de cette deuxième vague est annoncé autour du 15 novembre avec un nombre d’hospitalisés qui pourrait dépasser celui de la première vague et aussi largement nos capacités actuelles d’y faire face.

On entend par ailleurs de la part de spécialistes que ce virus ne disparaîtra pas et qu’aussi beaucoup d’imprécisions voire messages contradictoires circulent sur la durée d’immunité en cas de contamination… ce qui laisse dubitatif sur la durée des effets du vaccin attendu par tous.

C’est au coeur de cette deuxième vague que je m’interroge à nouveau sur l’origine de ce virus. Ce n’est certes pas une question urgente que certains trouveront même actuellement déplacée mais il faudrait ne pas oublier de se la poser et… si possible de la résoudre car elle peut être source de pas mal de remises en cause sur la façon dont on nous « vend » le progrès scientifique sans limites. Bref, le confinement n’interdit pas encore de penser alors profitons de cet espace  pour nous livrer à cette liberté fondamentale.

Le 25 mars dernier je relayais dans un article des informations publiées par james lyon weiler    chercheur américain en génomique  qui affirmait et publiait les preuves, selon lui, de ce qu’il avançait : des traces de passage de l’outil pShuttle-SN se retrouvaient dans le génome du virus. Il attendait les réactions de scientifiques spécialistes du génome pour échanger sur le sujet. Voici quelques extraits de son propos :

« » Nous avons trouvé une similitude de séquence significative de INS1378 avec un vecteur pShuttle-SN qui était utilisé dans les années 1980 en Chine, pour créer un coronavirus plus immunogène.
Il existe des preuves claires, que cette séquence génomique provient d’un événement de recombinaison induit en laboratoire..
Une autre séquence de gènes montre également une correspondance de 92 % avec la protéine Spike du coronavirus du SRAS.
Le processus pour y parvenir a été breveté en 2004 par des chercheurs chinois, comme le montre ce lien de brevet. [4]    

Cette révélation fut reprise par certains scientifiques  et dans d’autres études,  des scientifiques grecs et chinois s’interrogeaient aussi de manière différente sur les origines  de ce virus où les pangolins ont été rapidement  désignés du doigt… ce qui a eu au moins le mérite de nous faire découvrir leur existence.

J’ai suivi quelque temps cette publication et les réactions qu’elle a suscitées,  juste assez pour voir apparaître des tirs de barrage contre le chercheur américain qui, parce qu’il  aurait une position anti-vaccins serait  selon certains, disqualifié pour  les observations qu’il fournit au monde scientifique dans ce domaine. D’autres, notamment un des  décodeurs du journal le Monde,  quoique de formation scientifique,  n’avait pas qualité pour discuter directement les arguments au niveau où  Weiler les plaçait du fait de sa spécialité dans d’autres disciplines. Pour palier ce manque, il allait donc s’enquérir auprès de scientifiques oeuvrant dans un grand laboratoire national spécialisé sur la fabrication des  vaccins et lui-même à la base de l’installation du laboratoire P4 à Wuhran. Bien entendu, les renseignements obtenus le rassuraient et Weiler ne pouvait diffuser que des fake news… Inutile  donc, de répondre aux interrogations de Weiler au plan scientifique où il se plaçait. Il suffisait de le disqualifier auprès du grand public en diffusant  par exemple qu’il avait démenti ses premières affirmations…  alors qu’il ne s’agissait que d’une mise au point. Voilà donc les procédés utilisés par les courants dominants pour éteindre toute pensée qui s’exprime en dehors de leur courant .

Je reviens sur le sujet aujourd’hui avec  un article du 26 octobre publié dans le journal du CNRS – catégorie virologie – Yaroslav Pigenet y reprend les éléments d’une  conférence d’Etienne Decroly directeur de recherche CNRS à Marseilles et membre de la société française de virologie  dont on peut tirer les extraits  suivants :

  • SARS-CoV-2, qui a rapidement été identifié comme le virus à l’origine de la Covid-19 est, après le SARS-CoV en 2002 et le MERS-CoV en 2012, le troisième coronavirus humain responsable d’un syndrome respiratoire sévère à avoir émergé au cours des vingt dernières années…Il est donc crucial de comprendre comment ce virus a passé la barrière d’espèce et est devenu hautement transmissible d’homme à homme.

... En comparant les séquences génomiques d’échantillons viraux de différents malades infectés par SARS-CoV-2, on a observé un taux d’identité de 99,98 %, ce qui montrait que cette souche virale avait émergé très récemment chez l’humain.

En outre, en analysant les séquences des autres coronavirus humains connus, on ne relève que 79 % d’identité génétique entre SARS-CoV-1 et SARS-CoV-2, et seulement 50 % en ce qui concerne MERS-CoV. Pour faire bref, le SARS-CoV-2 est génétiquement plus proche de souches virales qui ne se transmettaient jusqu’alors qu’entre chauves-souris. Il ne descend pas de souches humaines connues et n’a acquis que récemment la capacité de sortir de son réservoir animal naturel qui est probablement la chauve-souris.

…La découverte dans le génome de coronavirus infectant des pangolins d’une courte séquence génétique codant pour le domaine de reconnaissance du récepteur ACE-2, apparenté à celle qui permet à SARS-CoV-2 de pénétrer les cellules humaines, a un temps fait penser qu’on tenait un possible hôte intermédiaire, mais le restant de son génome est trop distant du SARS-CoV-2 pour être un ancêtre direct.

pour les raisons déjà évoquées, une majorité de chercheurs estiment désormais que le pangolin n’a probablement pas joué de rôle dans l’émergence de SARS-CoV2.

Vous pensez que le SARS-CoV-2 est sorti d’un laboratoire ?
É. D. On ne peut éliminer cette hypothèse, dans la mesure où le SARS-CoV qui a émergé en 2003 est sorti au moins quatre fois de laboratoires lors d’expérimentations. Par ailleurs, il faut savoir que les coronavirus étaient largement étudiés dans les laboratoires proches de la zone d’émergence du SARS-CoV-2 qui désiraient entre autres comprendre les mécanismes de franchissement de la barrière d’espèce. Toutefois, pour l’instant, les analyses fondées sur la phylogénie des génomes complets de virus ne permettent pas de conclure définitivement quant à l’origine évolutive du SARS-CoV-2.

…Le chercheur identifie trois pistes possibles pour l’origine du virus. Il dit pourquoi il élimine la première mais ne rejette pas les deux autres. La deuxième serait une évolution  brutale de Sars antérieurs -Sars cov ou MERS -COV mais pour l’instant aucune étude ne permet de valider cette hypothèse. Enfin reste la troisième hypothèse :  » Enfin, il reste la possibilité que SARS-CoV-2 descende d’un virus de chauves-souris isolé par les scientifiques lors des collectes de virus et qui se serait adapté à d’autres espèces au cours d’études sur des modèles animaux en laboratoire ; laboratoire dont il se serait ensuite échappé accidentellement. »

Et le directeur de recherche de conclure : « Étudier l’origine de SARS-CoV-2 est une démarche scientifique qui ne peut être assimilée à une thèse complotiste. De plus, j’insiste sur le fait que, tant qu’on n’aura pas trouvé l’hôte intermédiaire, cette hypothèse d’un échappement accidentel ne peut être écartée par la communauté scientifique.« 

Dans un commentaire à cet article  Brigitte Fau  – ingénieur télécomm semble-t-il- s’interroge et  revient à Béchamp  – cf là la controverse Pasteur -Béchamp-L’origine en effet, quelle peut-elle être ? Alors que ce virus n’est pas « un » mais autant (au minimum) que d’individus sur lesquels on l’a trouvé. Des scientifiques s’interrogent et posent des défis à la science : cette publication récente (26 mars 2020) lance « 5 défis pour comprendre le rôle du virome dans la santé et la maladie » : . La réponse n’est donc pas encore connue ! Allons-nous enfin vers un changement de paradigme ? «

Dans une vidéo publiée  le 4 novembre la généticienne Alexandra Henrion-Caude a exposé et démontré selon elle que le SRAS COV 2 à l’origine de la Covid -19 est un virus modifié artificiellement.

Alexandra Henrion Caude expose qu’elle a découvert qu’un message « S » avait été placé entre les protéines S1 et S2 au niveau des protéines membranaires  créant de ce fait un gain de fonction (insertion de sites de clivage de furine dans les protéines membranaires)–  permettant aux cellules de les reconnaître un peu comme si, dit-elle,  une clé qui ouvre une serrure d’une porte avait été accrochée à côté de cette porte.

Elle affirme que ce processus n’est pas naturel et qu’elle en apporte la preuve car elle a retrouvé le brevet déposé et rendu possible du fait de l’ingénierie qu’il apporte par rapport à un processus naturel. Et elle présente ce brevet :

Ce brevet peut être consulté là. Il a été déposé Par Brown Dennis T  en 2003  et la compagnie parente est la Research Development Foundation

 

Pour terminer  et à propos d’Alexandra Henrion Caude,  un long article du 5 octobre 2020 consacré au positions de cette chercheuse sur le site Ici.fr  et sous le titre « virus manipulé , danger des masques » expose notamment que l’INSERM se désolidarise de son  ancienne directrice de recherche qui a quitté l’institution début 2018.  L’article fait apparaître le virage pris par la chercheuse, sa foi chrétienne et cet ensemble d’observations conduit  deux de ses collègues dont un de renom, à s’éloigner de ses positions. Mais vont-ils accepter de répondre sur le plan scientifique à ses arguments sourcés : oui ou non les preuves avancées par la chercheuse peuvent-elles être combattues scientifiquement ?  Et nous serions alors dans le domaine de la science qui n’avance que par suggestions, vérifications ou contradictions dans l’idée d’atteindre la vérité scientifique. 

Mais si les affirmations de l’ancienne généticienne s’avéraient exactes,  les conséquences de cette découverte seraient désastreuses. Elles le seraient pour les laboratoires de Wuhan et donc la Chine mais  elles le seraient surtout pour les laboratoires qui travaillent sur les vaccins dans le monde entier.  Pire, cet aveu viendrait fragiliser l’orientation du monde médical vers la politique vaccinale et Bill et Mélina Gates et l’OMS en seraient gênés . 

Et si  Brigitte Fau posait la bonne question : ne faudrait-il pas revenir à la vision de Béchamp à propos du microbe : « le microbe -ici le virus- n’est rien le terrain est tout » ? Ce serait  effectivement une révolution totale dans le monde de la médecine mais qui se heurterait aux gigantesques laboratoires et la multitude de chercheurs orientés sur le combat contre microbes et virus. 

Pour en revenir à cet article  rédigé sous le titre « complotisme », le mot est lâché, il est intéressant de remarquer que les « Eglises » de la science -ici l’INSERM- lancent des tirs de barrage par médias et chercheurs interviewés.  Il semblerait au cas d’espèce que l’orientation religieuse deviendrait pour cette directrice de recherche un handicap pour faire de la vraie science. Mais  au-delà de cette affirmation, ils se gardent de répondre point pour point aux affirmations de cette chercheuse. Il est vrai que celle-ci s’exprime en dehors des canaux traditionnels des chercheurs  où le débat s’installe normalement mais il semblerait, selon ses dires,  que c’est justement parce que ces canaux ne lui sont pas très accessibles du fait des positions qu’elle défend qu’elle s’est tournée vers d’autres moyens d’expression.

Ceci nous rappelle étrangements d’autres temps où la vérité du moment établie alors par l’Eglise était remise en cause par la Science. On pense par exemple à Copernic, ou à Galilée aux XVI ième et XVII ième siècles.  Les Lumières combattaient alors à juste titre et sur ces sujets  l’obscurantisme religieux.

Aujourd’hui, les scientifiques sont  devenus tout puissants mais ils  se sentent acculés de toute part. Ils se battent pour cacher les méfaits des monstres techno-scientifiques qu’ils ont mis en place et qui les nourrissent.  L’obscurantisme a changé de camp…

Il serait pourtant sain que la science, la vraie, celle qui cherche encore  la vérité et  si cette science  existe encore,  présente des arguments scientifiques à Weiler aux USA ou à Alexandra Henrion Caude en France en exposant pourquoi  ce qu’ils affirment serait inexact. Il s’agirait alors d’un débat scientifique entre scientifiques… et non pas de vils coups bas au motif que l’un serait anti-vaccins et l’autre chrétienne. Il y a diverses manières de couper les têtes en notre beau pays si fier de ses Lumières. Dans l’hypothèse où ces affirmations sont scientifiquement confirmées il faudra s’interroger au-delà de la désignation de tel ou tel laboratoire dont provient l’origine du virus sur le fait que, comme par le passé déjà, cette pandémie aurait son origine dans les manipulations de laboratoires chargés justement de combattre ces maux. Il ne s’agit pas là d’une position anti-vaccin mais d’une interrogation plus profonde sur les enjeux du progrès dont il est vrai que le mot a presque disparu de notre langage… remplacé par celui d’innovation.

Ca ne peut être qu’à ce niveau scientifique qu’un éclairage peut être apporté. La publication dans le journal du CNRS faite de retenue, d’interrogations et les affirmations de Weiler et Andrea Henrion  laissent à penser que dans cette affaire le monde scientifique directement intéressé -celui des grands laboratoires producteurs de vaccins -cherche à mettre la poussière sous le tapis tout en nous demandant  de  regarder ailleurs… Le pangolin a fait l’affaire durant un temps.  Les médias, relayeurs de la pensé  mainstream ont déjà trouvé le mot obus : « conspirationnisme« .  Ca suffit jusqu’ici pour mettre au ban de la société scientifique voire de la société en général et empêcher de faire naître un vrai débat sur des questions de fond. Alexandra Henrion Caude dit que dans le monde scientifique il est difficile de poser certaines questions…

Bien sûr, direz-vous, ça ne change pas les problèmes que nous rencontrons avec la deuxième vague mais ça change tout à mes yeux sur le long terme car une fois encore, comme pour le climat,   l’activité humaine ici dans les sciences de la vie    serait   à l’origine, sans doute bien involontaire, de cette pandémie et c’est  justement et paradoxalement vers cette recherche que nous pensons nous tourner pour résoudre le problème… dont elle serait la source en ayant permis  la naissance du SARS-Cov 2 qui s’accroche si facilement aux cellules humaines grâce à l’ingénierie humaine…

Partout, les humains sont de plus en plus confrontés aux conséquences de leurs  excès techno-scientifiques sans limite et ils  feraient là comme ailleurs figure d’arroseurs arrosés  !

Peut-être s’apercevra-t-on un jour que la théologie de la raison pure et de son idéologie du progrès technique illimité vers des lendemains qui ne peuvent que chanter… est une grande illusion … mais qui crée de la richesse ! J’écris « peut-être » …

mise à jour 27/11/20 à  19h

Sur Wikipedia à propos des vaccins ARN ont lit ceci qui interpelle ici  à propos de l’origine du SARS -Cov 2 : 

En septembre 2020, l’association anti-OGM CRIIGEN fait état, dans un rapport signé par le président de son conseil scientifique Christian Vélot, de risques plus élevés d’immunotoxicité, de génotoxicité par mutagénèse et d’apparition de nouveaux virus par recombinaison génétique causés par certains de ces vaccins, si l’ARN y est délivré par le biais d’un vecteur génétiquement modifié du type du virus du sida et si celui-ci n’a pas été correctement débarrassé de sa transcriptase inverse et du gène la codant

dernière mise à jour : ( cf Franchement ça sent le pangolin !! cette histoire sur Direct Santé

Aujourd’hui, on change de ton sur FranceInfo : cf : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vrai-ou-fake-dou-vient-le-covid-19_4176021.html

« Le virus est peut-être sorti d’un laboratoire, où un laborantin se serait infecté avant de contaminer la population »

Le Point écrit :cf : https://www.lepoint.fr/origine-du-coronavirus-laboratoire-de-wuhan

« Origine du coronavirus : l’infection d’un employé de laboratoire est plus probable ».

Aux Etats-Unis, « le Washington Post – cf  

 nous rappelle que deux ans avant la pandémie de coronavirus, des responsables de l’ambassade américaine ont visité des installations de l’Institut de virologie de Wuhan, et ont envoyé deux avertissements officiels à Washington sur les conditions inappropriées de sécurité dans le laboratoire, qui conduisait des études risquées à propos des coronavirus provenant de chauve-souris ».

Bref, et pour beaucoup de gens, le fait que le virus soit sorti d’un laboratoire ne fait plus aucun doute.

il y a quelques mois, cette hypothèse était censurée par Facebook, et les lanceurs d’alerte qui l’envisageaient, comme le Professeur Luc Montagné, étaient qualifiés de délirants « complotistes »…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Propositions pour un « Retour sur Terre « 

Date de parution: 17/06/2020
La Croix , Elodie Maurot 23 juin 2020
Un collectif d’ intellectuels trace les axes d’une réorientation fondamentale de la politique et de nos modes de vie pour éviter la catastrophe :

« Il est bien tard pour passer à l’action. Mais supposons qu’il nous reste dix années pour enfin affronter le monde tel qu’il est devenu, à savoir de moins en moins favorable à nos existences, et à celles des autres êtres vivants.

Dix ans pour un virage politique très serré. Dix ans pour nous débarrasser de nos lubies productivistes et consuméristes.

Dix ans pour apprendre à régénérer une nature en voie de destruction accélérée.

Dix ans pour resserrer nos inégalités, tout en redonnant sens à nos existences.

Dix ans, enfin, pour commencer à bâtir une civilisation nouvelle. Si c’était possible, voici ce que nous aurions à proposer. »

Sept chercheurs proposent de refonder notre société autour d’une série de mesures économiques et institutionnelles fondées sur des travaux au long cours et une vision étayée de l’avenir. Ils posent dans cet ouvrage les bases d’un programme politique ambitieux pour une nouvelle ère.

Dominique Bourg , philosophe franco-suisse, professeur honoraire à l’Université de Lausanne

Gauthier Chapelle, Ingénieur agronome et docteur en biologie, Gauthier Chapelle a inspiré et co-fondé en 2006 l’asbl Biomimicry-Europa en vue de promouvoir le biomimétisme en Europ (biomimétisme : Innover en s’inspirant du vivant, pour concevoir des biens, des services et des organisations humaines compatibles avec la biosphère)

Johann Chapoutot, historien spécialiste d’histoire contemporaine, du nazisme et de l’Allemagne.

Philippe Desbrosses, docteur en science de l’environnement, agriculteur et écrivain français

Xavier Ricard Lanata, ethnologue, philosophe et écrivain

Pablo Servigne, ingénieur agronome et docteur en sciences Université libre de Bruxelles

Sophie Swaton, maître de conférence et de recherche, Institut de géographie et durabilité Université de lausanne 

Alors que des citoyens toujours plus nombreux se demandent « que faire ? », le manifeste Retour sur Terre propose de « changer ni plus ni moins de civilisation ». Le programme se donne l’objectif d’un développement économique compatible avec les ressources du système terre et de « parvenir à terme à une empreinte écologique inférieure à 1 planète (objectif partiel de 1,5 d’ici à 10 ans) » pour assurer la régénérescence des écosystèmes.

Concrètement, sur le plan économique, cela signifie « produire moins de biens (sobriété), et mieux (efficacité) ». Sur le plan politique, ce programme implique de « resserrer les écarts de revenus », de « refonder la représentation, enrichir les procédures démocratiques, protéger les biens publics et les biens communs ». « Aujourd’hui, il s’agit de nous entendre sur la nécessaire décrue de la production et sur son partage, c’est‑à‑dire sur le nécessaire resserrement des écarts de richesses », plaide le collectif.

Des propositions concrètes mises sur la table

L’intérêt de ce livre réside dans la synthèse qu’il offre à la discussion et dans le caractère concret des propositions mises sur la table. Sur le plan économique, il propose la « relocalisation maximale de l’activité par un protectionnisme coordonné et coopératif au niveau international » (mesure 2). Il souhaite la mise en place de quotas individuels de consommation d’énergie/matière, par référendum (mesure 4). Il propose de se doter de toute une gamme d’incitation aux bonnes pratiques écologiques : modulation du taux d’imposition en fonction du bilan énergie/matière des consommations (mesure 11), fiscalité foncière permettant de favoriser le rapprochement des zones de résidence et des espaces agricoles (mesure 15)…

Sur le plan du développement économique, les signataires suggèrent de créer un « revenu de transition écologique », destiné aux personnes souhaitant se lancer dans des activités à fort impact écologique et social (par exemple en agroécologie, permaculture, artisanat, low‑techs…) « dont la rémunération par le marché est souvent bien inférieure à leur valeur réelle ».

Dans le domaine de l’agriculture, ils proposent d’aller vers une « agroécologie décarbonée », sans énergies fossiles, impliquant « d’abandonner presque entièrement la motorisation à énergie fossile », ce qui implique un important transfert de main-d’œuvre vers le secteur agricole.

Un État garant du respect des limites planétaires

Le manifeste repose sur une philosophie politique, où l’émancipation sociale et la lutte contre les inégalités sont centrales. Le projet est d’évoluer d’un « État providence » à un « État résilience » dont la mission serait d’assurer la sécurité à long terme des citoyens. « Il s’agit de faire de la « sécurité » un horizon de civilisation, dans un monde instable et menacé par le réchauffement climatique et des bouleversements écologiques sans précédents »

Pour cela, le manifeste propose une réforme constitutionnelle introduisant dans le premier article de la Constitution que « L’État est garant du respect de l’empreinte écologique et des limites planétaires » (mesure 19). Il suggère aussi d’acter « uprincipe de non‑régression en matière de droit de l’environnement », d’étendre le statut de sujet de droits (sous une forme non plénière) aux écosystèmes ou à des éléments de ceux‑ci (fleuves, glaciers…) et la création d’une Chambre du futur « permettant de représenter le temps long » (mesure 20).

Si l’ouvrage présente une vision d’ensemble cohérente, certaines lacunes ne manqueront pas d’être relevées par ses adversaires. La politique industrielle et de services est à peine esquissée. L’échelon européen paraît sous investi. L’hostilité du contexte économique international semble peu prise en compte au regard des contraintes qu’il fait peser sur la politique française.
« L’idéal que nous proposons se veut un horizon, un point de mire disponible à la mise en mouvement de la société », concluent-ils. Avec la conviction que la pandémie a déjà fait bouger les esprits.

Pour demander à l’état d’agir contre les pollutions

Le docteur Imad Boulaïch lance un cri d’alarme et adresse cette pétition au gouvernement pour attirer son attention sur les dégâts sur la santé causés par les différentes pollutions.

Notre mode de vie est en grande partie, voire totalement, responsable de la contamination de l’homme par un virus du monde animal sauvage.

 

En France, la pollution et ledit mode de vie sont responsables de plusieurs dizaines de milliers de décès annuels. Le silence des gouvernements des dernières décennies et leur inaction représentent UN CRIME.

 

Voici ci-dessous des CHIFFRES OFFICIELS des dégâts de la pollution et de notre actuel mode de vie :

18 à 20 millions de français (INSERM) présentent aujourd’hui une maladie allergique. Dans 3 à 4 générations, LA TOTALITE DE LA POPULATION FRANCAISE sera atteinte (l’incidence a augmenté de 5% les 15 dernières années)

40 à 50 000 DECES ANNUELS-chiffres volontairement sous-estimés- (Maladies cancéreuses, maladies cardio-vasculaires et respiratoires) directement causés par la pollution et notre mode vie.

-Les interruptions médicales de grossesse pour Malformations A AUGMENTE de 15% les 20 dernières années (rapport médical et scientifique de l’agence Biomédecine)

Les troubles autistiques sont passés d’une naissance/5000 les années 70 à UNE NAISSANCE/70 aujourd’hui  (Système national des données de santé (SNDS)) 

-La fertilité masculine A DIMINUE D’1/4 en 40 ans (Agence Nationale de Santé Publique).

 

Sans oublier L’IMPACT PSYCHOLOGIQUE sur les citoyens malades et leurs proches !

 

TOUS CES CHIFFRES EVOLUENT VERS LA HAUSSE !

 

La grande partie de cette situation est EVITABLE. Nous pourrions, en tant que citoyens responsables et bienveillants, les prévenir en assainissant notre environnement :

D’abord individuellement : un milliard d’animaux consommés par an en France, la réduction de ¾ de notre consommation de viande libérerait 20% des terres agricoles utilisées pour nourrir ces bêtes (ce qui ferait du bien aussi à nos artères et nos portefeuilles). Il faudrait également prioriser les transports en commun, la marche et le vélo et prendre moins la voiture quand on le peut.

Il est urgent que le GOUVERNEMENT LEGIFERE pour l’interdiction de l’obsolescence programmée et du plastique, pour une limitation drastique des pesticides, perturbateurs endocriniens, fongicides et de nombreux conservateurs nocifs… De légiférer pour un étiquetage avec labellisation précise concernant la teneur en calories, sucres et sel de tous les produits agro-alimentaires que nous ingérons…D’encourager les énergies renouvelables ainsi que la recherche dans ce sens et de trouver la relève du satané pétrole !

Il est plus que nécessaire de renforcer les moyens humains et techniques du service public de façon générale, et plus spécifiquement l’hôpital public !

Ces actions sont les SEULS GARANTS DE L’ASSAINISSEMENT DE NOTRE ENVIRONNEMENT

L’objectif de cette pétition est d’inciter notre Gouvernement à une VRAIE TRANSITION ECOLOGIQUE.

Parmi les solutions, je vous invite à consulter le site : pacte-transition.org fruit de travail d’une soixantaine d’associations françaises (des dizaines d’experts environnementaux citoyens). D’autres solutions et travaux innovants existent et ne demandent qu’à être appliqués.

L’ECOLOGIE N’EST NI DE DROITE NI DE GAUCHE, ELLE EST L’AFFAIRE DE TOUS

 

NOTRE SANTE ET CELLE DE CEUX QUE NOUS AIMONS N’A PAS DE PRIX

 

 

MERCI pour votre SIGNATURE, un monde meilleur ne peut se faire qu’ENSEMBLE

    Signez la pétition    

En lien avec l’esprit de cette pétition, j’indique que j’ai entrepris un travail de recensement des problèmes de santé, des informations liés à l’accroissement des ondes dans nos modes de vie. Cet accroissement va encore être démultiplié avec le développement de la 5G dont les premières antennes commencent à être installées.

Ce travail peut être consulté ici : Ondes-5G et 6G

Il donnera lieu ultérieurement à la production de plusieurs articles.

 

 

 

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