Le Linceul de Turin : histoire, conservation et débats scientifiques

 

Découvrez le mystère du Saint Suaire de Turin : son histoire (Edesse, Lirey, Saint-Hippolyte), sa conservation, les restaurations de 2002, le rôle de ses gardiens, et les controverses scientifiques autour de la datation. (Références : sindone.org, Shroud.com, etc.)

Le Linceul de Turin : regard, histoire et enjeux

Introduction

Le Linceul de Turin, également appelé Saint Suaire, est sans doute la relique la plus connue associée au Christ. Conservé dans la cathédrale de Turin (dans la dernière chapelle de la nef gauche, sous la Tribune Royale), il suscite fascination, foi, questions scientifiques et controverses.

1. Situation actuelle et statut

  • Le Suaire est conservé dans son étui, lui-même enfermé dans une grande boîte métallique, ce qui le rend invisible lorsque non exposé.

  • Il n’est retiré que lors des expositions publiques organisées périodiquement.

  • Après le décès du roi Umberto de Savoie (le 18 mars 1983), le Suaire est passé, par testament, à la propriété du Saint-Siège. L’acte de donation a été finalisé le 18 octobre 1983.

  • Depuis, l’archevêque de Turin est nommé gardien pontifical du Suaire. Actuellement, Mgr Roberto Repole assume ce rôle, succédant à Mgr Cesare Nosiglia.

  • Le site officiel du Saint Suaire est sindone.org, service en ligne de la Commission diocésaine du Saint Suaire (réservations, informations d’exposition, liens vers organisations).


2. Les reliques du Suaire et les autres linceuls

Le Linceul de Turin est souvent mis en perspective parmi d’autres reliques liées au Christ et à sa Passion :

  • On compte de nombreux suaire(s) ou fragments revendiqués : plus d’une centaine de sanctuaires ont, à un moment ou un autre, affirmé posséder un ou plusieurs fragments ou suaires entiers.

  • Parmi les plus connus : le suaire d’Oviedo, le suaire de Cadouin, le mandylion (image d’Édesse), le voile de Véronique, la sainte coiffe de Cahors, la sainte couronne (exposée à Notre-Dame), le Saint Calice, les staurothèques (reliquaires de la vraie croix), le sang du Christ, les saints clous, la sainte tunique, le périzonium (ou “saint pagne”), la lance, l’éponge, la colonne de la flagellation, etc…


3. Histoire et provenance supposée

3.1 De l’Orient à Lirey

  • Le Suaire aurait d’abord été conservé à Édesse (ville de la Mésopotamie, aujourd’hui Urfa, en Turquie), sous le nom de “mandylion”

  • En 944, l’empereur byzantin le transporta à Constantinople, dans la chapelle de Pharos, où il fut exposé régulièrement.

  • En 1204, lors du sac de Constantinople (quatrième croisade), le Suaire disparaît des récits historiques. On ignore ce qu’il devient pendant cette période de silence.

  • Il réapparaît en 1356 à Lirey, en Champagne (France), dans la collégiale fondée par Geoffroy I de Charny, où il est exposé de 1357 à 1418.

3.2 De Lirey à Saint-Hippolyte

  • Craignant des incursions dans la région, les chanoines de Lirey confièrent le Suaire, avec d’autres reliques, en 1418 à Humbert, comte de la Roche-Montagne (Saint-Hippolyte), mari de Marguerite de Charny (petite-fille de Geoffroy).

  • Après la mort d’Humbert (1438), Marguerite refusa de restituer la relique aux chanoines de Lirey, ce qui déclencha un procès devant le Parlement de Dole (alors chef-lieu du comté de Bourgogne) et l’officialité de Besançon.

  • Le Suaire demeura à Saint-Hippolyte jusqu’en 1452, exposé chaque année au Clos Pascal, dans la chapelle des Suessard (actuelle chapelle Notre-Dame de Pitié) où une plaque commémore sa présence.

  • Selon un blog (“Écoute”), la chapelle de l’église de Saint-Hippolyte porte une plaque indiquant :

    « Le Saint Suaire de Notre Seigneur Jésus-Christ, envoyé en France à la IVᵉ croisade et confié au Comte Humbert de la Roche Saint-Hippolyte par les Chanoines de Lirey en Champagne (acte du 6 juillet 1418) a été vénéré dans cette chapelle pendant trente-quatre ans avant d’être cédé au Duc Louis de Savoie et à son épouse Anne de Chypre par Marguerite de Charny … »

  • En 1452, le Suaire fut transféré à la maison de Savoie, puis itinéra dans divers lieux jusqu’à son installation définitive à Turin.


4. Conservation, restaurations et controverses

4.1 La restauration de 2002

  • En 2002 (juin-juillet), le Suaire a fait l’objet d’une restauration documentée, sous la direction notamment du chercheur Giulio Fanti.

  • Des discussions sur la restauration sont disponibles dans un article intitulé Commentaires sur la restauration du Suaire de Turin (site CielTerreFC).

  • Certains chercheurs saluent le soin et la documentation des matériaux retirés ; d’autres dénoncent des pertes ou contaminations, notamment au regard de l’ADN, de la modification du contraste de l’image ou des proportions du corps.

  • L’un des points de débat les plus fréquents : l’absence de consultation d’une communauté scientifique internationale avant le début des travaux.

  • Giulio Fanti suggère qu’une commission pluridisciplinaire internationale devrait être constituée avant toute action future sur le Suaire, afin de concilier préservation, datation et science.

  • Il propose que le vieillissement du tissu de lin soit étudié pour ralentir sa dégradation, en préservant un contraste suffisant entre l’image corporelle et l’arrière-plan. Il mentionne aussi l’Atlas du Suaire (document PDF disponible sur shroud.it) .

4.2 Débat sur la datation par le radiocarbone

  • Un article dédié est mentionné : Le Saint-Suaire et le radiocarbone (site CielTerreFC).

  • Les controverses portent sur la représentativité des échantillons prélevés, les contaminations possibles et la méthode de datation.

  • Certains souhaitent une nouvelle datation sur un échantillon plus représentatif du tissu total, mais cela reste conditionné aux progrès scientifiques et aux décisions des autorités ecclésiastiques.


5. Acteurs, ressources et références

  • Le site sindone.org est le site officiel du Saint Suaire (Commission diocésaine) .

  • Le site Shroud.com (créé par Barrie Schwortz, photographe officiel du projet STURP de 1978) est une ressource majeure sur le Suaire, avec des documents, archives et images (plus de 15 millions de visiteurs).

  • En 2009, Barrie Schwortz a fondé la Shroud of Turin Education and Research Association (STERA, Inc.), à but non lucratif, pour préserver et diffuser les documents sur le Suaire. Schwortz est décédé le 21 juin 2024.

  • Parmi les sources et références complémentaires mentionnées :

    • Sur Wikipedia (articles Suaire de Turin, Reliques attribuées à Jésus, Image acheiropoïète, etc…

    • Archive Wikiwix sur les reliques chrétiennes

    • Le blog “Écoute” (le-gardien.blogspot.com) pour des détails historiques sur l’exposition en France Patrick Mathiearchives Othon de la Roche et Saint-Suaire (CielTerreFC)

    • Slate.fr – « Le véritable linceul de Turin vient peut-être d’être identifié »

    • CRC-Résurrection.orgLe Saint-Suaire au cours de vingt siècles d’histoire

    • Québec ScienceSuaire de Turin : l’histoire fait parler la science Persée.frLe suaire de Turin aux prises avec l’histoire

    • La NefPetite histoire du linceul de Turin

    • Linceuldeturin.com – Centre international d’études sur le linceul (site spécialisé)

    • LHistoire.fr – articles comme Pourquoi faire l’histoire du Suaire de Turin ? et Les tribulations d’un linceul (Andrea Nicolotti, 2012)

    • MédievalShroud.comLe linceul médiéval (Hugh Farey)

    • ShroudStory.com – discussions sur la réalité du Suaire


6. Enjeux et questions ouvertes

  • Comment l’image corporelle s’est-elle formée sur le tissu de lin ?

  • Peut-on réaliser une nouvelle datation plus fiable et représentative ?

  • Comment assurer la préservation long terme du Suaire tout en facilitant les études futures ?

  • Quel rôle doit jouer une commission scientifique internationale indépendante ?

  • Comment concilier foi, histoire et science dans l’approche du Linceul de Turin ?


Conclusion

Le Linceul de Turin demeure à la croisée de la foi, de l’histoire et de la science. Que l’on l’envisage comme une relique du Christ ou comme un objet d’étude scientifique, son parcours — de l’Orient à Turin, les restaurations, les controverses — offre un champ riche de questionnements. Les nombreuses sources (sindone.org, Shroud.com, Wikipedia, blogs, articles universitaires) montrent l’ampleur de l’intérêt et la complexité du débat.


références utilisées sur cette page

Saint Suaire – site officielBienvenue sur le site officiel du Saint Suaire :  www.sindone.org  est le service en ligne de la Commission diocésaine du Saint Suaire. Lors des expositions publiques, ce site regroupe tous les services liés à l’exposition (réservations, informations pratiques et liens vers toutes les autres organisations impliquées dans l’exposition et le Saint Suaire).

 

Le Saint Suaire est conservé dans la Cathédrale de Turin (Piazza San Giovanni), dans la dernière chapelle de la nef gauche, sous la Tribune Royale.
Le Linceul est conservé dans son étui, lui-même enfermé dans une grande boîte métallique et donc invisible. Il n’est généralement retiré que pour les expositions publiques

LE GARDIEN DU SUAIRE

Avec la mort d’Umberto de Savoie, survenue le 18 mars 1983, le Suaire passa par testament à la propriété du Saint-Siège.

L’acte de donation a été parfait le 18 octobre de la même année.

Mgr Roberto Repole, archevêque de Turin, est le nouveau gardien pontifical du Saint Suaire, succédant à Mgr Cesare Nosiglia.

le linceul funéraire – photos cathédrale Saint Jean-Baptiste à Turin – chapelle Guarini

aperçu sur les reliques chrétiennes     livre de Françoise Biotti Mache -2007

Suaire de Turin sur Wikipedia

Reliques attribuées à Jésus sur Wikipedia

Image acheiropoïète

linceuls et faces 

suaire de Turin

suaire d’Oviedo

suaire de Cadouin

le mandylion- image d’Edesse

le voile de Véronique 

la sainte coiffe de Cahors

la sainte couronne exposée à Notre Dame

le Saint Calice 

les staurothèques -reliquaires de vraie croix

le sang du Christ 

les saints clous

la sainte tunique du Christ

le Golgotha ou calvaire 

la sainte lance 

la sainte éponge 

la colonne de la flagellation

le périzonium -ou saint pagne

les saintes larmes à l‘abbaye  de la Trinité de Vendôme,  de Chenilléd’Allouane    de Selincourt ,    église st Pierre le Puellier saint Maximin la sainte Baume,  Thiers 

les reliques de la passion du Christ     sur Wix

Nicolas sarzeaud : j’ai dénombré 130 sanctuaires du Saint Suaire – Sixtine Chartier 13/6/2024 – La Vie

Les premières reliques mentionnées en Occident sont des fragments, au IXe siècle, puis des suaires entiers apparaissent à partir de la seconde moitié du XIe siècle. Dès lors, ces reliques se multiplient par dizaines tous les 50 ans. Au total, j’ai dénombré environ 130 sanctuaires qui ont affirmé posséder à un moment ou à un autre un ou plusieurs suaires ou fragments de suaire. On compte au minimum une bonne dizaine de suaires entiers. Parmi eux, celui de Turin est le plus connu, mais il y a aussi le suaire d’Oviedo, de Cahors, de Cadouin, de Carcassonne, de Compiègne et de Besançon – ces deux derniers ont disparu à la Révolution. Moins connus en France, les deux suaires de Kornelimünster, près d’Aix-la-Chapelle, ont encore aujourd’hui un certain succès en Allemagne avec des ostensions et un pèlerinage tous les sept ans.

histoire du Suaire par Barrie Schworz -2020

Barrie Schwortz était le photographe officiel de documentation du projet de recherche sur le Suaire de Turin (STURP), l’équipe qui a mené le premier examen scientifique approfondi du Suaire en 1978. Il a joué un rôle influent dans la recherche et l’éducation sur le Suaire en tant qu’éditeur et fondateur du site Web internationalement reconnu du Suaire de Turin (www.shroud.com), la ressource la plus ancienne, la plus grande et la plus complète sur Internet, avec plus de quinze millions de visiteurs de plus de 160 pays.

Shroud.com est souvent appelé la « Bibliothèque du Congrès » du Shroud en raison de sa collection complète de documents.

En 2009, il a fondé la Shroud of Turin Education and Research Association, Inc. (STERA, Inc.), une société à but non lucratif de type 501(c)(3), à laquelle il a fait don de son site web et de sa vaste collection photographique du Suaire, ainsi que de nombreuses autres ressources importantes sur le Suaire, afin de préserver et d’entretenir ces documents et de les rendre accessibles à des fins de recherche et d’étude ultérieures. Barrie a été le président fondateur de STERA, Inc., et Joe Marino lui a succédé. Barrie Schworz est décédé le 21 juin 2024.

conservation, restaurations et ostension du suaire de Turin sur Wikipedia

Le suaire apparaît en Champagne vers 1357 à Lirey, où il fait l’objet d’expositions privées et ostensions publiques qui deviennent de plus en plus fréquentes, voire annuelles lors des dimanches de Pâques à partir de 1418.

Sur le blog « Ecoute »         les précisions suivantes sont apportées :         

Le Saint Suaire  été exposé dans une chapelle de l’église de Saint Hippolyte ( Doubs) ainsi qu’en témoigne la plaque apposée dans celle-ci et qui porte cette inscription : « Le Saint Suaire de Notre Seigneur Jésus-Christ, envoyé en France à la IVème croisade et confié au Comte Humbert de la Roche Saint-Hippolyte par les Chanoines de Lirey en Champagne (acte du 6 juillet 1418) a été vénéré dans cette chapelle pendant trente-quatre ans avant d’être cédé au Duc Louis de Savoie et à son épouse Anne de Chypre par Marguerite de Charny, veuve du Comte Humbert (lettres de Chambéry1452) »

  1. II) Comment le Suaire est-il parvenu à Saint-Hippolyte ?

D’après les documents historiques, le Saint Suaire a d’abord été conservé à Edesse, ville de Mésopotamie, actuellement URFA ville de Turquie où il était connu sous le nom de « mandylion ».

L’empereur chrétien orthodoxe de Constantinople s’en empara en 944 et le transporta à Constantinople où il fut placé dans la chapelle de Pharos et exposé régulièrement.

Le 12 avril 1204, les croisée s’emparent de Contantinople .Le plus somptueux musée d’art du monde, est livré au pillage et vidé de ses trésors. Personne ne sait ce qu’est devenu le Linceul.

Après un long silence sur les itinéraires et les lieux de séjour du Linceul, il réapparaît en 1356 à Lirey en Champagne dans la collégiale fondée par Geoffroy 1er de Charny. Le Saint Suaire fut exposé de 1357 à 1418 dans cette collégiale.

A cette date, les Chanoines de Lirey craignant les bandes qui dévastaient la région, le confièrent avec des vases sacrés et d’autres reliques à Humbert, Comte de la Roche en Montagne (St Hippolyte) qui avait épousé Marguerite de Charny petite fille de Geoffroy 1er de Charny. Humbert avait promis de rendre ce dépôt dès que la paix serait faite.

Après sa mort (1438) Marguerite sa veuve, refusa de restituer la relique aux Chanoines de Lirey, d’où procès devant le parlement de Dole, alors chef-lieu du Comté de Bourgogne et devant l’officialité, juridiction ecclésiastique de Besançon.

C’est pendant cette période (1418-1452) que le Saint Suaire fut déposé en l’église de Saint-Hippolyte.

Chaque année, il était exposé au Clos Pascal. Le coffre dans lequel il se trouvait était placé dans la chapelle des Suessard actuellement Chapelle de Notre Dame de Pitié, ou sa mémoire est rappelés par la plaque nous avons parlé et diverses photographies. L’autel ne comportait pas alors les statues qui y figurent actuellement.

commentaires sur la restauration du suaire de Turin  par Barrie Schwortz

Au cours des derniers mois, j’ai discuté avec de nombreux chercheurs présents à la
Une visite spéciale, sur invitation uniquement, du Suaire récemment restauré à Turin, le
vendredi 20 septembre 2002. Leurs opinions sur la restauration et ses résultats
étaient très diverses. Certains saluent l’effort fourni et estiment que la restauration a
été réalisée avec le plus grand soin, et que les matériaux retirés ont été correctement
documentés et archivés afin de pouvoir être utilisés pour de futurs tests. D’autres
estiment qu’une quantité considérable de matériel a été perdue ou contaminée et
que les futurs tests seraient gravement impactés par l’intervention. Certains pensent
même que certains tests pourraient ne jamais pouvoir être réalisés. Des inquiétudes
ont été exprimées concernant les techniques utilisées lors de la restauration,
notamment une possible contamination de l’ADN et une surexposition aux
ultraviolets. Certains sont très préoccupés par la modification confirmée des
proportions de l’image et par la modification apparente du contraste. Cependant, la
critique la plus fréquente reste l’absence de consultation de la communauté
scientifique internationale avant le début de la restauration. 

Commentaires sur la « Restauration du Linceul » réalisée en juin-juillet 2002
par Giulio Fanti

Je pense que toute la communauté scientifique impliquée dans les études sur le
Suaire doit se tourner vers l’avenir. Deux points semblent désormais importants :
-a) Avant toute action future sur le Suaire, il est nécessaire de constituer une
commission élargie d’études sur le Suaire. Le Suaire implique de nombreuses
disciplines (telles que la chimie, la physique, l’anthropométrie, les mesures
mécaniques, la médecine, la microbiologie, la photographie, etc.) étroitement liées
entre elles. Il conviendrait donc de solliciter la réflexion d’un tel groupe
international d’experts, représentant chaque discipline. Chaque expert pourrait alors
être associé à une future commission qui pourrait être contrôlée par l’Académie
pontificale des sciences de Rome.
-b) Les véritables problèmes à résoudre sont au nombre de deux : la préservation du
Suaire et la science.
-b1) Certains problèmes ont été résolus, mais beaucoup d’autres ne l’ont pas été. Par
exemple, le vieillissement du tissu de lin doit être ralenti afin de maintenir un
contraste suffisant entre l’image du corps et l’arrière-plan. Pour étudier cet effet en
détail, une proposition (Atlas du Suaire : http://www.shroud.it/ATLAS.PDF ) a
été soumise aux autorités en 2000.
-b2) De nombreuses questions concernant le Suaire doivent être résolues. Tout
d’abord, les scientifiques doivent comprendre comment l’image corporelle s’est
formée. Ce n’est qu’après cela qu’une nouvelle datation au radiocarbone d’un
échantillon de lin du Suaire, représentatif de l’ensemble du tissu, peut être réalisée.
Si une commission élargie d’experts parvient à gérer les points précédents, je suis
convaincu que les recherches futures sur le Suaire conduiront à la fois à la bonne
conservation du tissu et à la démonstration de la pleine authenticité du Saint Tissu

discussions suaire de Turin sur Wikipedia

le Saint-Suaire et le radiocarbone

 

le CIELT – Centre international d’études sur le linceul de Turin

 

Louvain Médical : le linceul de Turin

Le Saint-Suaire : que savons-nous aujourd’hui ?

Le véritable linceul de Turin vient peut-être d’être identifié -Slate

Le Saint-Suaire au cours de vingt siècles d’histoire – contre réforme catholique au XXI siècle

Suaire de Turin : l’histoire fait parler la science sur Québec science

le suaire de Turin aux prises avec l’histoire sur Percée.fr

Petite histoire du linceul de Turin – la Nef

le linceul de Turin – Centre international d’études du linceul de Turin

Pourquoi faire l’histoire du Suaire de Turin ?     L’histoire

Les tribulations d’un linceul -Andrea Nicolotti-février 2012

archives Othon de la Roche et Saint-Suaire– Patrick Mathie-26/01/2016

histoire de la quatrième croisade – WIkipedia

le linceul de Turin -site de Sébastien Castaldo

Saint-Suaire de Turin -tissu de mensonges

L’inconnu du linceul de Turin : la médecine légale au secours des historiens

Les certitudes sur le linceul de Turin – encyclopédie mariale

Le linceul du Christ : preuve ou épreuve ? – Cairn Info

étude du linceul au rayon X par Libere de Caro et publiée en avril 2022

Le linceul médieval – exploration du contexte médieval du Suaire de Turin – Hugh Farey

Suaire de Turin : faut-il croire qu’il est réel ?

 

 

 

 

 

 

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