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les Lumières
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émergent dans la seconde moitié du xviie siècle, influencé par des philosophes comme Descartes, Spinoza, Locke, Bayle et Newton, avant de se développer dans toute l’Europe, notamment en France, au xviiie siècle.
Combattant l’irrationnel, l’arbitraire, l’obscurantisme et la « superstition » des siècles passés, ils ont procédé au renouvellement du savoir, de l’éthique et de l’esthétique de leur temps. L’influence de leurs écrits a été déterminante dans les grands événements de la fin du xviiie siècle que sont la Déclaration d’indépendance des États-Unis et la Révolution française.
Le mouvement des Lumières prend en partie son origine dans la défense de l’héliocentrisme par Nicolas Copernic au xvie siècle, peu diffusées de son vivant, puis surtout dans les théories physiques de Galileo Galilei (1564-1642).
En réaction au rationalisme des cartésiens, les philosophes britanniques comme Thomas Hobbes, John Locke, puis David Hume, défendirent l’empirisme : les connaissances proviennent des sens et l’expérience plutôt que de la raison pure.
Les Lumières se basent donc sur l’explication du monde par la raison, exigeant de l’homme l’établissement d’une connaissance rationnelle et organisée.
Les Lumières se basent donc sur l’explication du monde par la raison, exigeant de l’homme l’établissement d’une connaissance rationnelle et organisée.
Représentants des Lumières
France : Pierre Bayle, Émilie du Châtelet, Étienne Bonnot de Condillac, Nicolas de Condorcet, Denis Diderot, D’Alembert, Olympe de Gouges, Vincent de Gournay, D’Holbach, Fontenelle, Claude-Adrien Helvétius, Marquis de La Fayette, Antoine Laurent de Lavoisier, La Mettrie, Louis de Jaucourt, Choderlos de Laclos, Marquis de Sade, Marivaux, Jean-François Marmontel, Pierre Louis Moreau de Maupertuis, Montesquieu, François Quesnay, Restif de la Bretonne, Antoine Destutt de Tracy, Anne Robert Jacques Turgot, Voltaire, Buffon.
les post-modernes
Les post-modernes se situent dans la perspective de surmonter le désenchantement du monde, après la désagrégation des repères culturels ou religieux, le relativisme des sciences, la crise de l’idée de progrès, l’humanité confrontée aux faillites écologiques, économiques et sociales, et l’échec patent des utopies révolutionnaires.
Dans La condition postmoderne, Jean-François Lyotard s’efforce de définir la spécificité de l’esthétique et de l’heuristique des philosophies postmodernes. Ces dernières s’inscrivent dans le prolongement du structuralisme et du déconstructivisme, tout en critiquant l’héritage du freudisme et du marxisme.
Plusieurs auteurs, comme Alain Finkielkraut dans La Défaite de la pensée, critiquent cette approche du social.
Fredric Jameson effectue une critique de la postmodernité.
Bruno Latour propose la notion de non-modernité.
Le Progrès
Le mot progrès désigne le processus évolutif orienté vers un achèvement : l’idéal. Le concept de progrès, popularisé au xixe siècle, s’appuie sur l’idée sous-jacente d’un sens à l’histoire. Cette notion s’observe dès l’Antiquité et sa définition a évolué au fil des différents paradigmes intellectuels
Selon le Dictionnaire d’économie et de Sciences sociales (1993), le terme est à la source d’ambiguïtés voire de confusions3 :
- « Concept central de la pensée des Lumières et des courants évolutionnistes, le progrès incarne la croyance dans le perfectionnement global et linéaire de l’humanité ; la société, tout en se développant, évolue vers le « mieux » : augmentation des richesses, progrès scientifique et technique… mais aussi amélioration des mœurs et des institutions, voire progrès de l’esprit humain. (…) En réalité, rien n’assure que le progrès économique entraîne mécaniquement le mieux-être ».
De fait, depuis son émergence au xviiie siècle, le terme a été très diversement interprété, évoluant de l’éloge à la critique acerbe.
Le philosophe des sciences Thomas Samuel Kuhn a montré par des études historiques que le progrès scientifique n’est pas un processus cumulatif, mais procède au contraire en changements de paradigmes, qu’il appelle des révolutions scientifiques. Lorsqu’un nouveau paradigme s’est installé dans la communauté scientifique, il y a également une phase de progrès dans le cadre de ce que Thomas Kuhn appelle la « science normale », jusqu’à ce que des phénomènes inexpliqués ou anomalies se présentent, remettant en cause le paradigme.
De manière générale, nombre de scientifiques annoncent la fin imminente du progrès de la science, ou de l’une de ses branches3. Ainsi, James Clerk Maxwell, William Thomson, ou plus récemment Stephen Hawking, tous spéculèrent sur la fin prochaine de la physique.
L’illustration la plus couramment présentée est une citation faussement attribuée à Lord Kelvin, lequel aurait affirmé devant la Royal Institution de Londres que la physique était quasiment comprise : In the clear blue sky of physics there remained on the horizon just two small clouds of incomprehension that obscured the beauty and clearness (La connaissance en physique est semblable à un grand ciel bleu, à l’horizon duquel subsistent seulement deux petits nuages d’incompréhension). Ces deux problèmes non résolus étaient l’expérience de Michelson-Morley (incompatible avec la théorie de l’éther) et celui du rayonnement du corps noir. Ces deux « nuages » allaient cependant rapidement mener à la création de deux branches supplémentaires de la physique : la mécanique quantique et la relativité.
La question d’une possible fin de la science occupe les philosophes des sciences. Charles Renouvier envisage ainsi la possibilité d’une synthèse unique des connaissances scientifiques éparses qui constituerait alors la fin de la science
En économie, le progrès technique représente l’amélioration des connaissances scientifiques et de l’organisation de la production qui permettent une amélioration de la productivité, c’est-à-dire une augmentation de la production pour une quantité fixe de facteurs de production utilisés (le travail, mais aussi le capital, comme les machines). Un autre avantage du progrès technique consiste à réaliser la même production en réduisant les coûts de production (le résultat en est donc l’augmentation des profits)2. Il contribue pour une large part à la « productivité globale des facteurs » (PGF).
Le progrès technique est un facteur parmi d’autres qui a permis une amélioration des conditions de vie : hausse de l’espérance de vie, passée dans les pays en développement de 30 ans en 1900 à 65 ans en 1998
Les prémices de la critique du progrès technique apparaissent au xviiie siècle sous la forme d’une exaltation du sentiment de la nature, au fur et à mesure que se met en place la révolution industrielle et en réaction par rapport à elle. En France, Jean-Jacques Rousseau est l’initiateur de cette tendance. En 1755, face à l’industrialisation de la société, son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes présente l’état de nature de façon idéaliste, les hommes pouvant y vivre à la fois libres, égaux et heureux (dans l’abondance).
Critique religieuse
Dans l’encyclique Laudato si’, le pape François porte un regard ambivalent sur le progrès en général et sur la technique en particulier. D’un côté, il reconnaît que « nous ne pouvons pas ne pas valoriser ni apprécier le progrès technique, surtout dans la médecine, l’ingénierie et les communications »23, de l’autre il voit dans la « globalisation du paradigme technocratique » la cause principale de la crise écologique. Il dénonce dans la conception philosophique du sujet le fait que celui-ci « se déploie dans l’élaboration de la méthode scientifique avec son expérimentation, qui est déjà explicitement une technique de possession, de domination et de transformation ». Dans le même ordre d’idées, il dénonce le fait que « la technique a un penchant pour chercher à tout englober dans sa logique de fer », de sorte que l’homme qui possède la technique « sait que, en dernière analyse, ce qui est en jeu dans la technique, ce n’est ni l’utilité, ni le bien-être, mais la domination : une domination au sens le plus extrême de ce terme ».
C’est pourquoi le pape appelle à une redéfinition de la notion même de progrès : « Pour que surgissent de nouveaux modèles de progrès nous devons « convertir le modèle de développement global », ce qui implique de réfléchir de manière responsable « sur le sens de l’économie et de ses objectifs, pour en corriger les dysfonctionnements et les déséquilibres ». Il ne suffit pas de concilier, en un juste milieu, la protection de la nature et le profit financier, ou la préservation de l’environnement et le progrès. Sur ces questions, les justes milieux retardent seulement un peu l’effondrement. Il s’agit simplement de redéfinir le progrès. Un développement technologique et économique qui ne laisse pas un monde meilleur et une qualité de vie intégralement supérieure ne peut pas être considéré comme un progrès ».
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L’essentiel de la littérature mettant en avant le caractère autonome de la technique (donc le caractère incontrôlable du progrès) est publié au lendemain immédiat de la Seconde Guerre. Trois textes font référence : La question de la technique de Martin Heidegger, en 1953 ; La Technique ou l’Enjeu du siècle, d’Ellul en 1954 (déjà cité) ; L’obsolescence de l’homme de Günther Anders, en 1956. Viendront un peu plus tard les ouvrages d’Ivan Illich révélant, à partir d’exemples variés (les transports, la santé, l’école…), les aspects contre-productifs de ce système censé s’appuyer sur l’efficacité.
La raison
on peut distinguer, au point de vue des normes rationnelles :
- la raison comme un ensemble de principes directeurs de la connaissance ou de l’action ;
- la raison comme un principe de création et de mise en ordre de ces principes.
L’homme doté de raison, de rationalité, de l’époque classique est donc celui qui possède l’art de la mesure ou plus encore l’art de faire une comparaison mesurée avec précision. Cette comparaison s’opère au moyen de l’intellect, mais davantage encore, au moyen d’instruments de mesure. Le système métrique (du grec « mesurer ») est la production la plus significative de la rationalité.
Principe d’identité
le principe d’identité qui énonce que ce qui est, est soi même. Une chose est ce qu’elle est (A=A)
Principe de non-contradiction
« une même chose ne peut pas, en même temps et sous le même rapport, être et ne pas être dans un même sujet. »
A est différent de non A
Principe du tiers exclu
On ne peut attribuer que deux « états » à une affirmation, un état et son contraire (ou l’absence d’état). Il n’existe pas de troisième état « intermédiaire ».
Exemple : Soit il neige, soit il ne neige pas. Et s’il neige un peu, alors il neige.
Principe de causalité
Tout effet a une cause et dans les mêmes conditions, la même cause produit les mêmes effets.
Rationalité
En philosophie, en psychologie et en sociologie, la rationalité est un concept servant à définir et mesurer la capacité de raisonnement, telle qu’elle se manifeste dans un (ou des) comportement(s) humain(s)1. Plus précisément, le mot désigne la qualité de ce qui, dans l’ordre de la connaissance, est rationnel (c’est-à-dire relevant de l’usage de la raison, ou intellect) et de ce qui, plus rarement, dans l’ordre de la pratique, relève du raisonnable.
Le concept de rationalité a été fortement valorisé au xviie siècle par le philosophe René Descartes et le rationalisme puis, au xviiie siècle, par la philosophie des Lumières, qui l’a opposé aux croyances (qualifiant celles-ci d’obscurantistes) et, de manière plus ou moins affichée, à la religion.
L’importance de la raison a toujours été mise en avant en Occident, au moins depuis la naissance de la philosophie grecque durant l’Antiquité. C’est Platon le premier qui affirma l’hétérogénéité radicale entre l’intellect et les sens, et la supériorité du premier sur les seconds.
À partir du xviie siècle, la théorie épistémologique dite « rationaliste » se répand, notamment par les travaux de Descartes.
la spiritualité
La notion de spiritualité (du latin ecclésiastique spiritualitas1) comporte aujourd’hui des acceptions différentes selon le contexte de son usage. Elle se rattache conventionnellement, en Occident, à la religion dans la perspective de l’être humain en relation avec des êtres supérieurs (dieux, démons) et le salut de l’âme.
Elle se rapporte, d’un point de vue philosophique, à l’opposition de la matière et de l’esprit (voir problème corps-esprit) ou encore de l’intériorité et de l’extériorité4. Elle qualifie l’activité de l’esprit en tant qu’elle se rapporte à lui-même, séparément de ce qu’il n’est pas ou plus. Par conséquent, est compris comme spirituel tout ce qui se rattache à la nature de l’esprit. Elle annonce le spiritualisme.
Elle désigne également la quête de sens, d’espoir ou de libération et les démarches qui s’y rattachent (initiations, rituels, développement personnel, Nouvel Âge). Elle peut également, et plus récemment, se comprendre comme dissociée de la religion ou de la foi en un Dieu, jusqu’à évoquer une « spiritualité sans religion » ou une « spiritualité sans dieu »
Si toute religion est fondée dans une spiritualité, toute spiritualité n’est donc pas une religion. Selon certains auteurs, la distinction se ferait ainsi : il y aurait dans la religion une perspective collective et dans la spiritualité une démarche plus individuelle.
spiritualité moderne – Saroglou -Un regard de psychologie de la religion ( Revue théologique de Louvain)
Le terme transcendance (du latin transcendens ; de transcendere, franchir, surpasser) indique l’idée de dépassement ou de franchissement.
À l’inverse, les philosophies de l’immanence, comme le stoïcisme ou l’eudémonisme de Spinoza, maintiennent que Dieu est présent dans le monde et dans les choses qui le composent.
Le terme est particulièrement, mais pas toujours, utilisé pour discuter la relation de Dieu au monde. La conception d’un Dieu par définition transcendant ne signifie pas, pour les croyants, qu’il serait totalement en dehors et au-delà du monde, ces notions d’en dehors et d’au-delà étant, elles, de ce monde – mais bien que sa nature n’est pas limitée à l’en dedans ou l’en deçà et qu’elle les inclut et les dépasse, que Dieu se manifeste ou non. Elle naît de la conception aristotélicienne de Dieu.
La métaphysique est la branche de la philosophie qui étudie la nature fondamentale de la réalité. Elle s’intéresse à des concepts tels que l’être et l’identité, l’espace et le temps, la causalité, la nécessité et la possibilité. Elle comprend notamment des questions sur la nature de la conscience, l’âme et la relation entre l’esprit et la matière, ou entre la substance et l’attribut. La métaphysique est considérée comme l’une des quatre principales branches de la philosophie, avec l’épistémologie (ou théorie de la connaissance, ou encore gnoséologie en un sens plus large), la logique et l’éthique.
On distingue généralement la métaphysique générale de la métaphysique spéciale.
La métaphysique générale ou ontologie étudie l’être en tant qu’être. Elle vise à répondre à la question la plus générale : « Qu’est-ce que l’être ? », ce qui la conduit à étudier des notions telles que la substance, l’essence, la forme et la matière, l’individu, les faits, les événements, les propriétés, les tropes, les relations, etc.
La métaphysique spéciale regroupe l’étude de domaines particuliers d’êtres. Elle est généralement divisée comme suit :
- La cosmologie rationnelle, étude du monde extérieur.
- La psychologie rationnelle, étude de l’âme.
- La théologie rationnelle, étude de Dieu.
Le terme de « rationnelle » appliqué à la cosmologie et à la psychologie vise à les distinguer de la cosmologie et de la psychologie expérimentales. Appliqué à la théologie, il la distingue des théologies révélées que l’on rencontre dans les différentes religions historiques10.
En tant qu’elle vise la connaissance de la nature même des choses, la métaphysique est selon ses développements associée à une conception réaliste de la connaissance (réalisme épistémologique), qui peut être aussi bien idéaliste, spiritualiste que matérialiste. Elle qualifie alors la portée ontologique des théories (philosophiques ou scientifiques)11, c’est-à-dire ce qui en elles décrit la réalité.
théologie négative (apophatique)
La théologie apophatique (du substantif grec ἀπόφασις, apophasis, issu du verbe ἀπόφημι – apophēmi, « nier ») est une approche fondée sur la négation. En dérive la théologie négative, approche qui insiste plus sur ce que Dieu n’est pas que sur ce que Dieu est. Elle se situe à l’opposé de la théologie cataphatique, ou positive.
La théologie négative peut être appréhendée de deux façons : par négation (démarche apophatique) ou par abstraction (méthode aphairétique, du grec aphairesis, « abstraction »)
Ce mode de pensée trouve son origine dans la philosophie antique. Elle se retrouve dans les traditions juive, grecque, chrétiennes, musulmanes (chiite essentiellement), et également, d’une autre façon, dans les traditions de l’Extrême-Orient.
Dans la tradition chrétienne
Marqué par l’influence de Platon et de Philon, Clément d’Alexandrie, l’un des Pères de l’Eglise, développe un courant apophatique dans le cadre de la théologie chrétienne. Les thèmes apophatiques affleurent aussi largement dans l’œuvre de Grégoire de Nysse.
On retrouve les mêmes éléments chez le Pseudo-Denys l’Aréopagite, un auteur chrétien du vie siècle, qui fait des emprunts à Damascios. « Là, dans la théologie affirmative, écrit le Pseudo-Denis, notre discours descendait du supérieur à l’inférieur, puis il allait s’élargissant au fur et à mesure de sa descente ; mais maintenant que nous remontons de l’inférieur jusqu’au Transcendant, notre discours se réduit à proportion de notre montée. Arrivés au terme nous serons totalement muets et entièrement unis à l’Indicible. »
Jean Scot Erigène, un philosophe chrétien du ixe siècle, se situe dans la même tradition : « Deus itaque nescit se quid est, quia non est quid – Dieu ignore quelle chose il est, car il n’est pas quelque chose5. » Jean-Claude Foussard (cité par Emmanuel Falque6) commente : « poser la question « qu’est-ce que…? » (quid) […] c’est demander une définition de l’objet. Mais définir, c’est déterminer un être, c’est-à-dire le poser d’emblée dans une multiplicité qui l’englobe, en faire un être parmi les autres êtres, avec lesquels il fait nombre […]. Ce n’est donc pas par défaillance que Dieu ignore ce qu’il est, c’est tout simplement parce qu’il n’est rien de défini. »
Thomas d’Aquin, Maître Eckhart, ainsi que les mystiques espagnols du xvie siècle, Louis de Grenade, Jean d’Avila, Luis de León, Jean de la Croix, se situent dans la même lignée.
traité de la théologie mystique -Saint Denys l’aéropagite ( cf Denys l’aéropagite)
la noétique
La définition la plus célèbre de la noétique provient du philosophe Edmund Husserl, qui l’a définie comme la phénoménologie de la raison. Selon cette conception, la noétique implique une exploration intuitive de la conscience rationnelle[réf. souhaitée]. Ainsi, la noétique est un terme polyvalent qui a évolué au fil du temps pour englober divers aspects de la pensée, de la compréhension et de la logique dans la philosophie moderne. Husserl oppose la noétique, science de la noèse, de l’acte, de la conscience, à la noématique, science du noème, de l’objet de la pensée.
L’Institute of Noetic Sciences (fondé en 1973) décrit les sciences noétiques comme « la manière dont les croyances, les pensées et les intentions affectent le monde physique ». Depuis les années 1970 et la fondation de l’Institut des Sciences Noétiques par l’astronaute de la NASA Edgar Mitchell et d’autres, le terme « noétique » a été adopté par plusieurs auteurs tels que Christian de Quincey dans Deep Spirit: Cracking the Noetic Code (2008) et Dan Brown dans The Lost Symbol (2009), qui écrivent sur la conscience et la spiritualité.
cf Noetic.Org