Transrationalité – Critiques de la modernité et de l’idéologie du progrès

 » Ce n’est pas la technique qui nous asservit mais le sacré transféré à la technique » (Jacques ELLUL : Les nouveaux possédés, 1973).

Qu’est-ce que le progrès ?

Technologos :

penser la technique aujourd’hui et résister à sa puissance

la modernité sur Wikipédia 

le progrès sur Wikipédia

le postmodernisme sur Wikipédia

Sortir de l’économie – repenser une théorie critique du capitalisme

Et vous n’avez encore rien vu …

le pas de côté : des livres contre la machine

la pensée de la décroissance

Antimodernité, américanophobie et critique de la « civilisation unique » par Stéphane François -(à propos notamment de la critique de la modernité )

Regards des penseurs et écrivains autour de l’idéologie du progrès

Livres avant 2000

Livres de 2000 à 2010

Livres de 2011 à 2015

Livres de 2016 à 2020

des colloques  et des documents d’archives

des réflexions sur Pièces et Main d’oeuvre

 

 

 

Il faut prendre le mal à la racine -Jacques Testart

La recherche scientifique peut-elle continuer plus longtemps à se soustraire à la démocratie ? Alors que « l’avenir se fabrique dans les laboratoires », comme le rappelle Jacques Testart, la toute-puissance croissante de la science n’est contrecarrée par aucun contre-pouvoir citoyen. Pourtant, des procédures démocratiques existent − comme les « conventions de citoyens » − pour orienter les développements technoscientifiques dans le sens de l’intérêt général. Rencontre avec un biologiste, « critique de science », défenseur de l’« humanitude ».

Il y a de multiples points de vue idéologiques sur le développement – Jean-Pierre Olivier de Sardan, est anthropologue africaniste, spécialiste du développement.

Le développement est communément perçu comme un moyen de domination de l’Occident ou comme un obstacle à l’évolution durable de l’Humanité. L’anthropologue africaniste Jean-Pierre Olivier de Sardan, spécialiste du développement, privilégie l’empirisme aux idéologies. Selon lui, c’est l’étude concrète et rigoureuse des phénomènes sociaux qui permet de comprendre et de porter un regard critique et nuancé sur les enjeux actuels.

Se débarrasser du capitalisme est une question de survie – par Paul Jorion

 

Il est urgent de repenser nos imaginaires – Sébastian Vincent Grevsmühl

Dans son essai La Terre vue d’en haut. L’invention de l’environnement global, l’historien des sciences Sebastian Vincent Grevsmühl montre comment s’est forgé le regard englobant de l’homme sur la Terre. Ambivalente, cette vision donne à voir un monde clos et fini, potentiellement maîtrisable, mais aussi un espace fragile, aux ressources limitées. A l’heure du réchauffement climatique, l’auteur questionne, à travers notre représentation du monde, les valeurs que nous attachons à notre environnement.

Le XXI ième siècle doit devenir le siècle de l’hygiène chimique

Depuis le début du XXème siècle, et l’essor de l’industrie chimique, plusieurs centaines de millions de tonnes de produits toxiques se sont déversées sur la planète. Ce véritable « pot de chambre chimique » n’est pas sans conséquence sur l’environnement et les hommes. Pourtant, la médecine environnementale reste aujourd’hui le parent pauvre de la recherche scientifique. Pourquoi ? Éléments de réponse avec Joël Spiroux de Vendômois, docteur en médecine, spécialiste en médecine générale et en médecine environnementale.

Oser les indisciplines de l’intuition – Mohammed Taleb

Philosophe algérien et enseignant en écopsychologie, Mohammed Taleb travaille sur les interactions entre écologie, critique sociale, spiritualité et science. Son dernier ouvrage, Theodore Roszak, vers une écopsychologie libératrice, critique la démesure quantitative contemporaine et présente un nouveau champ alliant raison et imaginaire : l’écopsychologie.

Il n’y a pas de maîtrise démocratique de la science – Jean-Marc Lévy-Leblond

Physicien, professeur émérite de l’Université de Nice, Jean-Marc Lévy-Leblond appelle de ses vœux une « critique de science », une nécessité démocratique pour comprendre le sens et la portée de l’activité scientifique. Il est l’auteur d’un nouvel ouvrage, La science expliquée à mes petits-enfants, un condensé d’érudition pour appréhender les sciences dans toutes leurs dimensions.

Une révolution est en route – Gilles-Eric Séralini

Connu pour ses recherches critiques sur les Organismes génétiquement modifiés (OGM) et les pesticides, Gilles-Eric Séralini, co-signe, avec le chef cuisinier Jérôme Douzelet, Plaisirs cuisinés ou poisons cachés. L’occasion pour le professeur de biologie de l’Université de Caen de revenir sur son engagement scientifique, et notamment sur son étude décriée du maïs OGM NK603 de Monsanto.

Les débats scientifiques peuvent être instrumentalisés – Stéphane Foucart

Journaliste scientifique au Monde, Stéphane Foucart a écrit La fabrique du mensonge. Comment les industriels manipulent la science et nous mettent en danger. Tabac, dérèglement climatique, Organismes génétiquement modifiés (OGM), perturbateurs endocriniens, déclin des abeilles… Retour avec l’auteur sur ces controverses fabriquées de toutes pièces par les industriels.

Quelle science pour la France – par Sciences Critiques

La technologie est une politique – par Philippe Godard, directeur de collections
Choisir définitivement entre l’enfer et la raison – Albert Camus
Raspail ou l’apologie de la démocratie médicale –par Hervé Guillemain, historien, maître de conférence à l’Université du Mans
 Un ministère pour la transition – François Jarrige et Jean-Louis Tornatore, respectivement historien et anthropologue, maître de conférences et professeur à l’Université de Bourgogne, chercheur au centre Georges chevrier
Allons-nous continuer la recherche scientifique ? – par Alexandre Grothendieck, 1928 – 2014), mathématicien (Médaille Fields 1966), co-fondateur du mouvement de scientifiques critiques « Survivre et Vivre », qui édita la première revue d’écologie politique française éponyme, entre août 1970 et juin 1975
La politique du fait accompli  – Simon Charbonneau, juriste spécialiste du droit de l’environnement, ancien maître de conférences à l’Institut Universitaire de Technologie « Hygiène Sécurité Environnement » de Bordeaux, chercheur au Laboratoire d’Automatique et de Productique.
En février dernier, l’Assemblée Nationale a adopté une déclaration de principe relative à la science et au progrès dans la République. Cette déclaration intervient dans un contexte social où la confiance dans les vertus de la science est remise en cause. Ce texte, qui n’a aucune valeur législative, mais seulement une portée politique et doctrinale, apparaît ainsi pour ce qu’il est : un rappel à l’obligation de la foi dans la science.
Que serait une science responsable ? par Isabelle Stengers, philosophe, enseignante à l’Université Libre de Bruxelles, auteure de nombreux ouvrages d’histoire et de philosophie des sciences, membre de l’association Sciences Citoyennes.
Par les temps qui courent, nous n’avons pas besoin de scientifiques cyniques, désespérés, ni même saisis par la culpabilité. Nous avons besoin de scientifiques qui apprennent à rencontrer des interlocuteurs porteurs de questions qui importent, qui leur demandent de poser, avec eux, des questions que leur institution les a incités à ne pas poser. La question de la responsabilité des sciences, toute utopique qu’elle puisse sembler, revêt une pertinence politique cruciale.
Penser ce que nous faisons –  Hannah Arendt (1906 – 1975), politologue, philosophe, journaliste allemande naturalisée américaine, auteure notamment de « Condition de l’homme moderne » (University of Chicago Press, 1958).
La situation créée par les sciences est d’une grande importance politique. La seule question est de savoir si nous souhaitons employer nos nouvelles connaissances scientifiques et techniques pour détruire toute vie organique sur Terre. C’est une question politique primordiale que l’on ne peut guère, par conséquent, abandonner aux professionnels de la science, ni à ceux de la politique.
Subordonner les technosciences à l’éthique – par collectif : Geneviève Azam, Dominique Bourg et Jacques Testart, respectivement maître de conférences en économie à l’Université Toulouse II, philosophe à la Faculté des géosciences et de l’environnement à l’Université de Lausanne, et directeur de recherche honoraire à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale
L0027293 The gyri of the thinker’s brain as a maze of choices in biom
Credit: Wellcome Library, London. Wellcome Images
images@wellcome.ac.uk
http://wellcomeimages.org
The gyri of the thinker’s brain as a maze of choices in biomedical ethics. Scraperboard drawing by Bill Sanderson, 1997.
Drawing
1997 By: Bill SandersonPublished: [1997]
Copyrighted work available under Creative Commons Attribution only licence CC BY 4.0 http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
Alors que la recherche de nouveaux savoirs honore l’espèce humaine, celle de nouveaux savoir-faire sous l’égide des marchés et d’une accélération des projets prométhéens engage la responsabilité des scientifiques. Les conséquences sur les humains, les sociétés et la nature sont telles qu’elles nécessitent le contrôle par la société. Exprimez-vous !
 La sociologie contre le libéralisme – Christian Laval, professeur de sociologie à l’Université Paris Ouest-Nanterre La Défense, chercheur associé à l’Institut de recherches de la Fédération Syndicale Unitaire.
 
Quelles sont les tâches de la sociologie, et plus largement, de la science sociale, face à l’accélération des mutations contemporaines ? Pour nous, la réponse est claire. La science sociale doit retrouver le sens de l’engagement. Il ne fait guère de doute que le néolibéralisme aujourd’hui impose partout ses évidences. Ne pas le comprendre serait condamner la sociologie à la marginalisation et à l’insignifiance.
Promouvoir le recherche participative – François Veillerette et Christian Vélot, respectivement président-fondateur de l’association Générations futures et maître de conférences en génétique moléculaire à l’Université Paris-Sud.
La science et les technologies entraînent de profondes transformations sociales, politiques, éthiques et juridiques qui exigent une régulation démocratique. La recherche participative, qui repose sur un partenariat équilibré et une co-construction du savoir entre chercheurs institutionnels et organisations de la société civile ou groupes de citoyens, fait partie intégrante de ce processus de démocratisation de la science. Exprimez-vous !
La mise en marché de l’Université – par Eric Berr et Léonard Moulin, membres du collectif d’animation des « Économistes atterrés ».
Nous ne sommes pas condamnés à une marchandisation croissante de l’enseignement supérieur et de la recherche. Refuser de brader l’avenir de notre jeunesse et du pays tout entier suppose d’augmenter significativement les dépenses publiques dans ces domaines. S’il n’existe pas de modèle idéal, il serait utile de mener une réflexion en ce sens si l’on souhaite favoriser un enseignement supérieur qui promeut l’équité et l’égalité des chances et cesse d’être un vecteur de reproduction sociale.
Pour en finir avec le dogme de l’Immaculée Conception de la science – Daniel Cérézuelle, responsable scientifique du Programme Autoproduction et Développement Social (PADES), auteur de « La technique et la chair. Essais de philosophie de la technique »
La société peut-elle supporter plus longtemps un tel rythme de l’innovation scientifique et technique ? A quel niveau faut-il plafonner les investissements pour que les conséquences écologiques, sociales et culturelles de l’innovation soient assimilables par la société ? Ces questions concernent tous les citoyens. Mais réduire le financement de la recherche, c’est menacer la principale église de notre temps. Réflexions sur la « crise » française.
Qu’est-ce que l’écologie scientifique ?  Vincent Devictor, chargé de recherche au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), à l’Institut des Sciences de l’Évolution de Montpellier (ISEM)
Arnaque transhumaniste et arnaque productiviste – par Sarah Dubernet, infirmière, titulaire d’un Master en Santé Environnementale, spécialiste des nanotechnologies
Les « deux cultures » ou la défaite des humanités – Pièces et Main-d’Œuvre (PMO), collectif crée en 2003, engagé dans une critique radicale de la recherche scientifique et du complexe militaro-industriel, se définissant comme un « atelier de bricolage pour la construction d’un esprit critique à Grenoble. »
Tchernobyl, Fukushima : les aménageurs de la vie mutilée –  Cécile Asanuma-Brice, sociologue à la Maison franco-japonaise de Tokyo, auteure de nombreux articles sur la protection de la population après le désastre nucléaire de Fukushima. Jean-Jacques Delfour, philosophe, auteur de « La condition nucléaire. Réflexions sur la situation atomique de l’humanité » (L’Échappée, 2014). Kolin Kobayashi, journaliste et écrivain, auteur de « Le crime du lobby nucléaire international, de Tchernobyl à Fukushima » (Éditions Ibun-sha, 2013). Nadine Ribault, écrivain, et Thierry Ribault, économiste au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), co-auteurs de « Les sanctuaires de l’abîme. Chronique du désastre de Fukushima » (Éditions de l’Encyclopédie des Nuisances, 2012).
L’empire idéologique des chiffres – par Simon Charbonneau, juriste spécialiste du droit de l’environnement, ancien maître de conférences à l’Institut Universitaire de Technologie « Hygiène Sécurité Environnement » de Bordeaux, chercheur au Laboratoire d’Automatique et de Productique
L’écologie est-elle une science sociale ? par Frédéric Denhez, ingénieur écologue de formation, auteur, journaliste-chroniqueur à France Inter et conférencier.
Qu’est ce que la science post-normale ? Giacomo D’Alisa et Giorgos Kallis, respectivement docteur en sciences économiques et économiste écologique, participants au projet « European Network of Political Ecology » de l’Institut de Science et Technologie de l’Environnement (ICTA) de l’Université Autonome de Barcelone.
Religiosité de la technoscience – par Simon Charbonneau, juriste spécialiste du droit de l’environnement, ancien maître de conférences à l’Institut Universitaire de Technologie « Hygiène Sécurité Environnement » de Bordeaux, chercheur au Laboratoire d’Automatique et de Productique.
Transhumanistes contre bio-conservateurs –  par Jean-Michel Besnier, philosophe, professeur des universités à l’Université Paris IV-Sorbonne.
Nuclear Manoeuvres in the Dark –  Olivier Rey, philosophe, mathématicien, chercheur au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), membre de l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (Paris), auteur de « Une question de taille ».
 Y a-t-il des « antisciences « ? par  Fabrice Flipo, philosophe des sciences et des techniques, maître de conférences à Télécom-École de Management, chercheur au Laboratoire de Changement Social et Politique (LCSP) de l’Université Paris 7-Denis Diderot
Les sciences naturelles sont -elles révolutionnaires ? Dominique Bourg, philosophe, professeur à la Faculté des géosciences et de l’environnement de l’Université de Lausanne.
La science est-elle sacrée ? Christian Godin, philosophe, maître de conférences de philosophie à l’université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand. Auteur de « Le Soupir de la créature accablée. La religion aujourd’hui ».
L’Université sous hypnose numérique – Thomas Bouchet et François Jarrige, maîtres de conférences en histoire à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté.
Impasse de la technoscience par Joel Descarsin
Qu’est-ce que le progrès technique ? Alain Gras, socio-anthropologue, professeur émérite à l’Université Paris-I Panthéon Sorbonne. Auteur de « Fragilité de la puissance. Se libérer de l’emprise technologique »
Du scientisme aux savoirs vivants – par Moins ! Journal romand d’écologie politique.
 
Aux racines de la critique des sciences – par Renaud Debailly, maître de conférences à l’Université Paris-Sorbonne.
 L’économie est-elle une science ? par Didier Harpagès, professeur retraité de sciences économiques et sociales, auteur de « Questions sur la croissance, Mythes et perversités »
Ce monde qui n’est plus le nôtre – par Philippe Godard, directeur de collections aux éditions Autrement, La Martinière et Syros, auteur de plusieurs essais, dont « OGM, semences politiques »
Pour une critique de la science – Par Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien, professeur émérite de l’Université de Nice, directeur de la revue Alliage, auteur de « (Auto)critique de la science
La science est-elle universelle ? – par Fabrice Flipo, philosophe des sciences et des techniques, maître de conférences à Télécom-École de Management, chercheur au Laboratoire de Changement Social et Politique (LCSP) de l’Université Paris 7-Denis Diderot
Pourquoi il ne faut pas sauver la recherche scientifique – Groupe Oblomoff, formé en 2004, en contrepoint du mouvement Sauvons la recherche, « contre l’emprise de la technocratie et du scientisme sur nos vies », auteur de « Un futur sans avenir. Pourquoi il ne faut pas sauver la recherche scientifique » (Éditions L’Échappée), dont est extrait le texte « Le futur triomphe mais nous n’avons pas d’avenir. Plateforme critique de la recherche scientifique », rédigé à l’automne 2006, et que nous publions ici en intégralité.
Pourquoi et comment être « critiques de sciences » par Jacques Testart , biologiste, pionnier de la fécondation in vitro, directeur de recherche honoraire à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), président d’honneur de la Fondation Sciences Citoyennes (FSC). Auteur de « Faire des enfants demain » (Seuil, 2014).
En démystifiant l’activité scientifique, le critique de science permet aux citoyens de développer l’audace nécessaire pour pouvoir porter des jugements sur les institutions et leurs productions. Par là, il œuvre à la nécessaire mise en démocratie de la technoscience.
Allons-nous vraiment entrer dans l’anthropocène ?
par Stéphane Foucart
Stéphane Foucart. Cet article est paru initialement sur LeMonde.fr, le 2 janvier 2016, sous le titre « Allons-nous entrer dans l’Anthropocène en 2016 ? ».
Un nouveau chapitre de l’histoire de la Terre s’est-il vraiment ouvert ? On ne commencera à le savoir qu’en avril. A Oslo, en Norvège, une quarantaine de chercheurs rendront les conclusions de leurs travaux sur l’anthropocène : sa caractérisation, son début, etc. Bref, sa réalité.
L’oubli médicalement assisté
 par Anne Cagan, sciences critiques
 De nombreuses expériences ayant pour but d’altérer les souvenirs ont été menées à bien ces dernières années, laissant imaginer de nouveaux traitements pour les grands traumatisés. De telles thérapies, si elles étaient développées, pourraient toutefois aussi avoir des conséquences problématiques, tant au niveau individuel que collectif.
Intelligence artificielle, la science rongée par le mythe
 par Floriane Leclerc:Sciences critiques

Pour la première fois, une étude scientifique, menée par une équipe de recherche multidisciplinaire de l’Université d’Oxford, affirme que le développement de l’Intelligence artificielle représente la principale menace d’extinction de la civilisation humaine. Mythe ou réalité ?

Les OGM peuvent-ils nourrir le monde ?

 Dans la controverse sur les Organismes génétiquement modifiés (OGM), la question agroalimentaire est particulièrement épineuse. Solution miracle à la faim dans le monde pour les uns, réponse inadaptée aux besoins alimentaires mondiaux pour les autres, les OGM font débat : peuvent-ils nourrir le monde ? Éléments de réponse dans cette première partie du dossier que Sciences Critiquesconsacre aux débats sur les OGM.
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