La quête spirituelle hier et aujourd’hui : Un point de vue psychanalytique Broché – 29 septembre 2011
Spiritualité: De quoi s’agit-il? [Format Kindle]
Arnaud Desjardins (Auteur), Emmanuel Desjardins (Auteur)
L’émancipation des moeurs, les transformations de l’entreprise et celles du capitalisme semblent affaiblir les liens sociaux ; l’individu doit de plus en plus compter sur sa » personnalité ». Il s’ensuit de nouvelles souffrances psychiques qui seraient liées à la difficulté à atteindre les idéaux qui nous sont fixés. Cette vision commune possède un défaut majeur : elle est franco-française. Comment rendre compte de la singularité française ? Et que signifie l’idée récente que la société crée des souffrances psychiques ? Croisant l’histoire de la psychanalyse et celle de l’individualisme, Alain Ehrenberg compare la façon dont les États-Unis et la France conçoivent les relations entre malheur personnel et mal commun, offrant ainsi une image plus claire et plus nuancée des inquiétudes logées dans le malaise français. Alain Ehrenberg est l’auteur de trois livres sur l’individualisme, Le Culte de la performance, en 1991, L’Individu incertain, en 1995 et La Fatigue d’être soi, en 1998. Sociologue, directeur de recherche au CNRS, après avoir créé, en 1994, un groupement de recherches sur les drogues et les médicaments psychotropes, il a fondé, en 2001, le Cesames (Centre de recherches psychotropes, santé mentale, société), CNRS, Inserm, université Paris-Descartes
Le Dieu inconscient – Psychothérapie et religion – Préface de Georges-Elia Sarfati Broché – 28 novembre 2012
La mondialisation du phénomène religieux Broché – 1 juin 2007
La sortie de religion, est-ce une chance ? Broché – 21 juin 2010
Vivre de plusieurs religions, promesse ou illusion ? Broché – 20 septembre 2000
Sortir des difficultés quotidiennes : La spiritualité des saints pour le développement personnel Broché – 20 mars 2003
Catholicisme, la fin d’un monde Broché – 1 mars 2003
Les spiritualités nouvelles (Que penser de … ? t. 80) [Format Kindle]
Mgr Denis Lecompte (Auteur)
Comme êtres humains sensés et comme chrétiens, nous avons à partir de la réalité si nous voulons vivre dans notre société, de même si nous souhaitons la faire bénéficier d’un apport enrichissant, en l’occurrence le fait chrétien. Il s’agit donc d’examiner la situation de notre société, prendre acte des sensibilités contemporaines : en la circonstance, repérer les «spiritualités nouvelles» pour ce qui regarde notre propos. Il s’agit d’être objectif, au mieux. Il s’agit de le faire avec ouverture, avec bienveillance : «Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique…» (Jean 3, 16).
Comme chrétiens, nous vivons tout à la fois dans le monde et dans l’Église. Sauf à devenir schizophrènes, nous n’avons que trois choix : quitter l’Église pour le monde, ce que beaucoup trop font sur la pointe des pieds ; quitter le monde pour une Église hors du temps ; ou prendre en compte notre monde dans ses aspirations spirituelles avec discernement et apport chrétien. «Je ne te prie pourtant pas de les enlever du monde, mais de les garder du Mauvais» (Matthieu 24, 25).Un préalable décisif : la vieAvant tout, faisons part d’emblée d’une conviction, fruit d’études et d’expériences, qui sera le ressort majeur de notre exposé et de notre argumentation. La réalité fondamentale et primordiale – et que l’on oublie si vite dans nos considérations, discussions et projets – c’est la vie, c’est que nous sommes vivants ! C’est ce qui fait notre être, notre originalité d’existant ; c’est ce qui nous réunit à tous les vivants, à tous nos contemporains, quelles que soient leurs situations. C’est ce qui intéressera tout humain dans nos conversations, nos échanges, c’est ce qui fera «tilt» avec toutes les générations ! Toutes les civilisations ont pour base cette considération : au premier chef, l’Orient, la Grèce… La grande philosophie, la spiritualité s’en sont passionnées, mais aussi tout concrètement l’engouement pour le sport, le fait de vivre au jour le jour ou encore celui de «s’éclater» !La démarche orientale, si prisée de nos jours, a pour but de nous faire éprouver l’expérience naturelle d’exister; cf. l’hindouisme, le bouddhisme, et même le chamanisme qui revient aujourd’hui. Il s’agit d’une expérience pure et incandescente, d’une intensité inexprimable : notre participation à l’existence. C’est là une mystique immanente, l’acte d’être qui porte toute personne et la fait exister à chaque instant, comme l’exprime Mircea Eliade (1907-1986). Cette expérience d’ordre purement existentiel est prônée par la philosophie moderne occidentale. Déjà Jacques Maritain (1882-1973) avait développé sa réflexion autour de cette «intuition de l’être».
Souci de soi, conscience du monde : Vers une religion globale ? (Hors collection) [Format Kindle]
Raphaël Liogier (Auteur)
Ce mélange paradoxal a donné naissance à la religion dominante de notre temps, l’individuo-globalisme, qui imprègne tous les domaines de la vie humaine : la santé, la politique, le sport, l’éthique, et même l’entreprise. Elle consacre l’authenticité, le naturel, le ressourcement, l’énergie et s’accompagne de pratiques (nouvelles, même si elles ont parfois des origines anciennes), telles que le yoga, la sophrologie, le qi gong, la méditation. Cette foi nouvelle est en train de changer, silencieusement, notre monde. D’imposer un nouveau rythme de vie, de nouvelles règles du jeu. C’est ce changement insidieux mais radical que cet essai se propose de décrire et d’expliquer.Raphaël Liogier est professeur à l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence où il dirige l’Observatoire du religieux.
Le christianisme en accusation Poche – 31 août 2005
souvent figure d’accusé. À côté des manifestations
de curiosité ou d’intérêt historique, il est de bon ton
de faire de lui une sorte de bouc émissaire, tenu
pour responsable de certains blocages de la société
l’un conspuera la » morale judéo-chrétienne « , l’autre dénoncera les pesanteurs d’une société marquée par des siècles de catholicisme, un troisième flétrira une religion qui exalte la passivité ou la faiblesse… Comment comprendre cette mise en accusation, ce discrédit, à un moment où le christianisme paraît affaibli ? Faut-il les rapporter à des causes plus anciennes ou à un destin inéluctable ? Doit-on y voir aussi les conséquences d’une spiritualité chrétienne souvent obsédée par le
péché et la mort ? Enfin, le christianisme est-il à même de laisser des traces, des valeurs clés dans l’histoire ? René Rémond et Marc Leboucher analysent ce rejet et s’interrogent sur l’avenir d’une tradition qui, sans doute, n’a pas dit son dernier mot.
L’Esprit, espérance d’une Eglise en crise Broché – 25 août 2011
La sainte ignorance : Le temps de la religion sans culture Broché – 5 janvier 2012
Sauver nos vies Broché – 27 février 2013
Dans un style superbe, Nathalie Sarthou-Lajus retrouve le sens du « désir radical de vivre ». Un désir tragique, certes, confronté à la traversée de la mort, mais qui permet de renaître.
La psychologie positive – 2e éd. Broché – 19 février 2014
Christophe André, Psychiatre des Hôpitaux, auteur de l’ouvrage Méditer jour après jour.
« Chercheuse rigoureuse et praticienne, Rébecca Shankland nous livre ici, avec un solide esprit critique, des données psychologiques essentielles sur la santé mentale et le bonheur ».
Jacques Van Rillaer, Professeur émérite de psychologie à l’Université de Louvain, auteur de l’ouvrageLa nouvelle gestion de soi.
« Ce livre est aujourd’hui le meilleur ouvrage d’initiation à la psychologie positive. L’auteure fournit un bilan actualisé des connaissances, dans une écriture accessible à tous ».
Jacques Lecomte, Docteur en pychologie, Président d’Honneur de l’Association française et francophone de Psychologie Positive, auteur de l’ouvrage La bonté humaine.
« Ce petit ouvrage est un grand livre, bien documenté, qui offre une synthèse dense et fort utile pour les étudiants et les professionnels des sciences humaines ».
Léandre Bouffard, Docteur en psychologie, chercheur associé à l’Université du Québec à Trois-Rivières, auteur et traducteur de nombreux écrits sur la science du bonheur.
Retrouver la source intérieure Broché – 31 octobre 2001
les êtres humains ont une supériorité sur les autres espèces et
sur la nature en général. Ne sommes-nous pas appelés à
« dominer la nature » et, par l’intelligence et l’esprit d’entreprise,
à en tirer le meilleur pour le bénéfice de tous ? Or, cette
exception humaine est aujourd’hui de plus en plus vivement
contestée, surtout à l’égard des animaux, mais aussi par la mise
en cause de la domination de la nature dont on mesure les
effets catastrophiques pour notre avenir commun. Cette
contestation n’est pas une question purement académique. Elle
a des répercussions considérables sur le statut de l’homme et
sur son rapport au monde. Ce livre prend la mesure des
conséquences de ces critiques, mais veut surtout défendre la
thèse d’une exception de l’humanité en développant une
anthropologie de la vulnérabilité humaine qui, loin des
rationalismes ambitieux, donne à l’espèce humaine sa juste
place, admet sa fragilité et fonde aussi le respect qu’on lui doit.
Il récuse tout autant le mythe d’une société prétendument
« postmortelle » qui, en réalité, relève des mêmes illusions que
les thèses sur la fin de l’exception humaine.