Le Tunnel

 

Le Tunnel

« Dernier Tunnel avant l’autre rive ? »

En empruntant cet omnibus des destins successifs,
bien connu de tous.
Mais si… rappelons-nous !



Ou bien alors, « Ressusciter » une bonne fois pour toutes !
Le jour du « Jugement Dernier », tel que cela est proposé dans diverses doctrines pour les meilleurs d’entre nous.
Mais, est-ce vraiment bien nécessaire ?!

Et puis, cette autre rive…est-ce bien réellement le Terminus ? Ou n’est-ce seulement qu’une simple étape… parmi tant d’autres ?!  Et si alors, ce n’était pas la fin du Voyage, de l’Épopée devrait-on dire, vers ce fameux « But » à atteindre. Ce Paradis, ce Royaume mirifique, objectif tant espéré par une multitude d’humains, puisque promis, sous une forme ou sous une autre, par quasiment les dogmes de toutes les théologies, toutes les religions, sectes et autres regroupements à vocation dite spirituelle ? La récompense du mérite acquis, par ceux qui auront été bien sages, durant leur permis de séjour à durée limitée en tant que colocataires sur Pachamama – Elle qui nous fait la grâce de nous héberger provisoirement – N’oublions pas cependant, que ce Paradis, terme issu du Perse ancien, l’avestique, remontant au temps de Zoroastre, signifiait « Lieu Clos » ! soit l’Éden, également un lieu clos ! Cela donne quand même à réfléchir, avant d’y mettre le pied, si toutefois nous avons notre billet d’entrée, ou plutôt notre code d’accès !

Il se peut alors que cette autre rive ne soit vraisemblablement qu’une simple halte de plus, comme tant d’autres qui l’ont précédée, et dont on a oublié jusqu’à l’existence même. La fameuse « gorgée de l’oubli » du Léthé, oblige ! Il est vrai que ce périple aventureux est si long qu’il en devient totalement insondable, même pour les plus férus aventuriers de l‘occulte. Car, cela les dépasse, et de loin.
Donc, on pourrait y séjourner sans doute quelques temps, dans cette prochaine station provisoire. Elle pourrait être, bucolique ou balnéaire, mais pas que, car parfois il semblerait que l’ambiance puisse y être, pour le moins, quelque peu perturbée ! Tout dépendra sans doute des bagages embarqués, car même si « les linceuls n’ont pas de poches ! », il n’en restera pas moins tout le reste : Bagages émotionnels, en bon ou en moins bon état – bagages psychiques – bagages grégaires, résidus ataviques et autres  petites plaisanteries – ou divers troubles de l’illusion, qui entravent et alourdissent le fardeau. Alors, des bagages nombreux, donc pesants et encombrants, perturbant ainsi « l’envol » et/ou limitant l’altitude du vol (!), ou bien alors, réduits à l’Essentiel. C’est sans doute notre choix, dès maintenant ? – Ainsi, il se pourrait que le séjour y soit de quelques années, parfois moins,…à quelques siècles  – Car le, ou les Bailleurs qui régissent cette Dimension, semblent, parait-il, assez accommodants, ou bien sont-ils simplement intéressés ?!….

Et cette fameuse « lumière au bout du tunnel », expression bien connue, (on voit enfin la lumière au bout du tunnel !) que l’on entend si souvent dans la vie de tous les jours, un peu comme une sorte de reliquat déformé d’une mémoire enfouie ; ne devrait-elle ne concerner que ce Tunnel-là, ou bien y a-t-il d’autres « Passages », et d’autres Lumières ? N’oublions pas cependant que ces « Passages » pourraient aussi signifier « pas sage », dans ce langage fleuri, dit « des oiseaux » – cf. Patrick Burensteinas – Pas sage, de s’y aventurer, et donc réclamer une certaine prudence et surtout, un certain détachement, s’il advenait qu’ils se fassent connaître lors de diverses occurrences.

Bref, ces descriptions rapportées par tant de « voyageurs » en transit, sont quand même assez concordantes pour que l’on puisse leur accorder une certaine crédibilité, sans pour autant que ce ne soit la voie à rechercher et/ou, encore moins, à emprunter durablement !

Alors, pourrait-on comparer ces autres lumières, ces autres périples, sans qu’il ne soit nécessaire pour autant de faire une NDE ou un EMI, (on a quand même un peu de temps devant soi !), mais par une autre voie d’exploration… presque involontaire ?

C’est un peu ce que certains ont expérimenté, comme à « l’insu de leur plein gré » !.

Une méditation, un mahamudra, ou toute autre attitude confinant à la paix intérieure…
Et puis, il y a ce Silence intérieur si léger, si délicat, ce Souffle presque impalpable, qui s’installe, et dont on ressent qu’il peut être vecteur de ressentis très subtils, lorsqu’il permet, à tel ou tel d’y avoir accès. Alors ce sera sans doute, de par la nature d’une attitude intérieure atypique, que ce Silence si particulier aura pu établir la rencontre. Il sera alors reconnu précisément comme tel – au détour d’un souffle – « Ce Souffle venu d’Ailleurs, qui fait vaciller le Temps ». Ainsi ces informations non mentales, ces ressentis non émotionnels, pourront être source de prise de conscience, même si cela laisse souvent quelque peu perplexe.

Cela se complexifie lorsque d’autres personnes, proches ou éloignées, auront rencontré ces mêmes perceptions intérieures – et que l’un découvrira par ex., au hasard de ses lectures chez un bouquiniste, un vieux livre oublié – (Aperçus sur le Kriya Yoga de Rishi Atri) – où il découvrira dans les pages jaunies de ce vieux livret, une description quasi identique à sa propre expérience intérieure, 4 ou 5 années plus tôt, mais décrite en Inde cette fois, il y a fort longtemps, et repris dans ce petit livre édité en occident il y a 50 ans environ.

Et il pourra y lire, que cette perception de « Lumière au bout du tunnel », est bien précisée dans des détails très similaires, voire identiques, (l’étoile, en l’occurrence) sans qu’il ne soit nécessaire apparemment, de faire une NDE ou EMI, de tomber en extase, ou je ne sais trop quoi d’autre de mystico-occulte. Simplement paisible, les pensées au repos du Silence, sans aspiration, sans désir, sans projection d’aucune sorte.

Autre coïncidence, lorsqu’une autre personne, ou la même, découvrira sur le net, dans des leçons de kriya yoga datant de 2004 : https://www.aypsite.ch/lecon_092
encore le même type de témoignage sur cette petite étoile. Au fond, c’est peut-être ça le sens caché de ce vieux dicton populaire : suivre sa « bonne étoile », après tout ?!

Il aurait été peut-être intéressant, par simple curiosité, de savoir si c’est bien la zone droite du cortex qui perçoit ce phénomène. Apparemment léger, selon les témoins, dans le sens où aucune pression émotionnelle, aucune exaltation, aucune extase ou autre phénomène bien connu dans les pratiques ésotérico-spirituelles ne se manifeste ici. Rien de marquant, si ce n’est la perception de cette lumière en forme d’une très petite étoile blanche pentagonale, remarquable de beauté et de précision, et très lumineuse, placée au centre d’une sorte de mandala d’un violet-améthyste puissant et intense, rayonnant et lumineux également, et le tout cerclé d’une couronne de lumière jaune d’or, qui évoluera par la suite…. Tout ceci restant visible les yeux fermés, mais aussi les yeux ouverts – même si dans ce dernier cas, les couleurs deviennent beaucoup plus pastel. Les personnes rapportent aussi avoir remarqué cette particularité : la perception visuelle correspond à l’œil droit. Ce serait alors le cerveau gauche qui assure la perception ?

D’autres ont perçu, après l’étoile quintuple, un double tétraèdre, l’étoile hexagonale bien connue, figure centrale des représentations du chakra du cœur en Inde, mais toujours dans les mêmes apparences de lumière, de couleurs et de contexte que l’étoile quintuple.

Et alors, dira-t-on ? La belle affaire ! Et l’on aura parfaitement raison ! – Car ces manifestations aussi profondes soient-elles, et porteuses d’une sorte d’information subtile, n’en sont pas pour autant la preuve de quoi que ce soit. Si ce n’est qu’il y a vraisemblablement des fréquences autres, que celles que nous connaissons et percevons d’ordinaire habituellement. Mais qu’il serait bien aventureux que de vouloir s’y arrêter d’une part, ou d’en faire une fixation quelconque.
Ces choses existent, regardons-les simplement, dès lors qu’elles sont empreintes d’une belle harmonie, comme l’on peut admirer un beau paysage par ex., ou la splendeur d’une aurore, sans attachement aucun, ni encore moins d’appropriation, de la part du petit ego toujours à l’affût de quelques gratifications à grappiller. On peut se rappeler à cet effet, un axiome qui synthétise assez bien, le parfait opposé du cheminement graduel qu’emprunte habituellement toute forme de dépendance : « Non saisie => non empreinte => non attachement = libère notre âme de tout enfer-me-ment», inspiré du Vedantisme (?). Car cela fait partie du décor naturel dans lequel nous évoluons tous, corps et âme, et que l’on peut rencontrer, Chemin faisant ….
Mais il est peut-être intéressant de savoir que cela existe, pour précisément le dépasser, s’il advenait qu’une telle occurrence puisse se présenter… à l’insu de notre plein gré, bien sûr !

On peut remarquer cependant une certaine différence entre certains types d’expériences telles qu’elles ont été rapportées. Par le biais d’une EMI par ex., mais pas que. Les informations relatent presque toujours des rencontres plus ou moins plasmatiques, lumineuses ou ternes, des situations émotionnelles plus ou moins profondes et intenses, des élans mystiques ou extatiques, qui démontrent que nous sommes bien toujours dans une relation d’altérité avec les évènements observés. Les témoins parfois, « sortent » d’eux-mêmes, comme ravis, en extase, en quelque sorte. Même les expériences dites de haute intensité « spirituelle » sont toujours décrites dans ce même rapport dual : « Observateur/observé ».

Entre, un être de lumière, un guide auto-proclamé ou quelque autre figure, dite ascensionnée, souvent « diplômée d’Astral Sup », bien sûr, et nous – ou alors, sur un octave encore au-dessus, un archange, un ange, mais pas forcément les Malakims, (car chacun sait que « bien malakim ne profite jamais »! cm2) dont la description détaillée de la Bible, laisse pour le moins très dubitatif quant à leur nature réellement spirituelle – et notre âme-conscience singulière.

De fait, le ressenti et le perçu, sont donc toujours imprégnés de cette dualité, cette altérité, empreinte d’émotions, et se situant donc plutôt dans un domaine propre à l’entropie.

Dans un autre registre, non dual cette fois, la Vacuité, le Silence, et la Plénitude – sans objet de contemplation – que certains ont pu approcher, dans et surtout après l’expérience de l’étoile par ex., ne sont que le début d’une expérience à venir, qui se situerait plutôt dans ce que l’on pourrait appeler, l’intrication. L’étoile ne serait alors qu’une « Porte » – la 8ème Porte ? – un sas de sortie, que l’on emprunte et surtout dépasse, sans s’y arrêter outre mesure.

Alors la Suite de l’Épopée est très vraisemblablement au-delà des mots, et rien de mieux que la profondeur d’un Silence de méditation, sans objet mental et/ou émotionnel comme support, pour tenter de l’approcher, ou plutôt, se laisser approcher par Elle, car ici, le désir et la volonté auront été placés au rancart des illusions.

Au-delà des mots certes, mais quelque chose nous dit que peut-être, ce que nous appelons « l’âme-hors», dans le contexte d’une Conscience Totalement Éveillée, pourrait bien être une sorte de Réintégration, en tant que fractale de CELA ?!

Alors, tous ces textes anciens, qui prônaient, et c’est toujours d’actualité, cette fameuse promesse de pouvoir « ressusciter » dans un Paradis, (toujours dual et toujours clos !) et si bien décrit par les Connaisseurs de tout bord, demande peut-être quelques réflexions ?!
Car de « ressuscitation !», point n’est besoin semble-t-il, et ce serait peut-être même un non-sens absolu, dans une réelle Approche Spirituelle, fondée sur l’Intrication Originelle !

Puisque – CELA – Est !

Au-delà des frontières de l’Impermanence,
Au-delà de la Forme, et des Apparences,
Au-delà des Cosmos et des Univers
Au-delà des frontières de l’Espace et du Temps,
Par-delà les Au-delà,
Par-delà les Mondes et les Dimensions –
Vers cet   « Ailleurs »
Insondable – Indicible par Essence – Infini par Nature –
Un Absolu… indéterminé…

Vertige de l ‘Âme ?
Je ne le crois – Elle a le pied sûr, et connaît semble-t-il le Chemin…
Si toutefois, nous nous effaçons quelque peu, en nous souvenant… « Elle doit croître, et « je » dois diminuer » dixit –
(avec une petite variante !)

=-=-=-=

Alors, d’où venons-nous, où allons-nous ?
Bien malin celui qui prétendrait pouvoir y répondre ! Alors essayons seulement de tenter de débroussailler un peu ce sentier de « montagne », parfois rocailleux, parfois abrupt, aux mille nuances de panoramas, splendides ou vertigineux, mais souvent baignés de silence.

Notre univers « matériel » est constitué d’atomes et donc de protons pour faire simple. Ces protons, nous dit la physique, ont été formés dès les tous premiers instants de l’Univers en gestation, lorsque les températures atteignaient des milliards de degrés. Par la suite, comme chacun sait, l’Univers naissant, encore sous forme de « soupe cosmique », s’étant quelque peu refroidi, mais atteignant quand même encore quelques millions de degrés, cela ne suffisait plus pour faire tourner la « Fabrique » à protons.

Dès lors, aucun proton n’a plus jamais été façonné par l’Univers. Nous sommes donc tous issus de ces mêmes Protons Primordiaux, ces poussières d’étoiles comme le dit Hubert Reeves. Nous sommes donc ainsi, potentiellement, sujet à cette Intrication Primordiale.
Nature, homme, et cosmos, du petit brin d’herbe, à l’Univers en son entier, sont façonnés par ces premiers et uniques protons, issus de cette Soupe primordiale. Nous avons donc tous quelque chose de commun en nous, et qui date de quelque 13,8 milliards d’années ! Cela donne quand même un petit coup de vieux ! Et pour la suite, « Rien ne se perd, rien ne se crée » … surtout pour les protons ! Intriqué un jour … intriqué toujours ! Eh oui, c’est vrai que l’on ne voit pas le temps passer !

Petit aparté :
Sur la Route du Temps, la bien nommée, car elle existe vraiment dans les Alpes du Sud et elle recèle d’innombrables curiosités voire d’énigmes. Par exemple, cette petite chapelle du XI siècle – Notre Dame du Dromon – un peu isolée et bâtie sur une roche mystérieuse, « roche de la fécondité » selon les anciens ; mais aussi cette « Pierre écrite » par un certain Claudius Dardanus, qui nous parle de Théopolis – «La Cité de Dieu » –  que les fouilles n’ont jamais pu trouver ; et puis ce panorama, où paraît-il, aux dires des témoignages locaux, élus, voire gendarmes inclus, des « lumières » surgissent et se déplacent dans le ciel ou les vallées proches ? Bref de quoi gamberger un peu !

Mais, plus terre à terre, revenons à nos protons. J’ai souvent eu cet « émerveillement » interrogatif lorsque, dans cette région si particulière, je ramasse par exemple, même un simple caillou, (pas les fossiles car cela est heureusement interdit), pouvant dater de quelque 185 millions d’années, comme tous ceux qui foisonnent dans ce Parc Géologique de Haute Provence*, sur cette Route du Temps*. : D’où provient cette fabuleuse énergie, presque éternelle, qui fait que, bien sûr la terre est toujours là depuis 4,5 milliards d’années, avec nous aussi en prime depuis peu – quelques secondes à l’échelle géologique ? Mais sur ce petit détail, ce simple caillou que je tiens dans la main, et qui peut donc avoir entre 100 et 200 millions d’années, avec ses protons et autres compagnons invisibles qui le structurent, au cœur de chaque atome, et qui vivent toujours leur vie… mais avec quelle énergie ? Et la danse des électrons se perpétue, là tranquillement, dans le creux de ma main ! Et moi je suis avec mon caillou, et je m’inquiète qu’avant la fin de la semaine, il me faudra régler mon loyer. Quel décalage ! En remontant dans le temps, qui n’existe toujours pas, on part aussi, assez souvent ailleurs ! Et toujours pas la réponse à cette énergie (énergie du vide ?), qui fait que ce caillou demeure en l’état, peut-être un peu érodé certes, mais comment serons-nous à son âge ?! – Fin de l’aparté.

Car cela, c’est pour « l’habillage » dans cette dimension. Notre revêtement, celui que l’on quitte comme un vieux manteau lorsque la fin du CDD est arrivée, mais qui ne serait pas nous ! Alors vouloir, me semble-t-il, parler de ressusciter les morts, c’est un peu comme si l’on allait dans une casse auto, et retapait une vieille carcasse de voiture pour la faire apparaître comme neuve. Mais ce qui compte n’est-ce pas, bien plus que la carcasse rouillée, c’est plutôt le conducteur du véhicule, non ? Et soit, il a déjà repris du service ici-bas, mais dans un autre « véhicule » flambant neuf, soit,
puisque il est toujours plus Vivant que jamais, il est parti « Ailleurs ».

« L’âme-hors… possible Prélude à l’Âme-Or ? »

Donc, faut-il avoir peur de « l’âme-hors » ? Que bon nombre de religions ont utilisé et utilisent encore comme une épée de Damoclès, agitant cette crainte morbide, plus ou moins distillée, d’une mort éternelle, si l’on n’obéissait pas à la loi divine décrétée par ladite religion, et donc par ses congrégations de représentants. La récompense du paradis et de la vie éternelle, sinon ce serait le fameux enfer-me-ment ! Eternel lui aussi !

Alors que la Conscience-Ame semble-t-il, n’est aucunement liée à cette entropie et au « chaos organisé » de l’univers, dans cette dimension, mais aussi de l’autre côté du miroir. Elle est Ailleurs, ou en partance vers cet Ailleurs insondable.
Enfin, ce n’est qu’un simple petit point de réflexion, parmi des milliers d’autres, sans aucun « certificat de garantie » ! Ni même référencé dans le panel des « contrées à explorer » … !



Patje Seko





(*)

https://www.aypsite.ch/lecon_092

https://www.tourisme-alpes-haute-provence.com/reserve-naturelle-nationale-geologique-de-haute-provence/

https://www.tourisme-alpes-haute-provence.com/equipement/apidae-route-du-temps-860976/

https://provence-alpes-cotedazur.com/que-faire/culture-et-patrimoine/traditions/theopolis/


 

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