Quand l’invisible se manifeste…

 

photo issue d’une vidéo  présentée lors de  l’interview de Geneviève Delpech sur Nurea TV diffusée le 20 mars 2024

Gala 

Geneviève Garnier-Fabre grandit dans les Landes, entre Dax et Montfort-en-Chalosse. Evoluant depuis toujours dans un milieu d’artistes et d’écrivains, c’est tout naturellement qu’elle s’oriente vers le métier d’artiste peintre.

Fan de toujours  de Michel Delpech elle croise sa route en 1983.  Geneviève et Michel se marient en 1985.

En octobre 2015, Geneviève Delpech sort un livre, « Le don d’ailleurs, autobiographie d’une médium », où elle déclare avoir un don de clairvoyance depuis toujours. Le 2 janvier 2016, le chanteur décède à l’hôpital de Puteaux.

Le 7 mars 2024, paraît son dernier livre : les cadeaux de l’invisible : quand les messages de l’au-delà se matérialisent dont est tiré l’article qui suit :

Dans sa préface,  Didier Van Cauwelaert énumère d’abord un certain nombre de manifestations de l’invisible dans la vie de Geneviève Delpech : apparition inopinée d’objets, des coeurs fuchsia qui s’impriment sous le béton dans l’allée de sa propriété, l’apparition d’un aviateur anglais de la seconde guerre mondiale  dans le salon de sa maison, l’apparition de la grande mystique Yvonne-Aimée de Malestroit qui lui délivrait des messages et jusqu’ au surgissement d’un bouquet de roses sur son corps une nuit dans un hôtel de Mexico alors que son voyage était destiné à visiter la basilique de Notre Dame de Guadalupe. C’est là qu’eurent lieu, en 1531, les quatre rencontres miraculeuses de l’indien Juan Diego avec la Vierge qui fit alors apparaître le quatrième jour, un bouquet de roses.

Plus de quatre années après ce voyage au Mexique les roses ramenées et conservées par Geneviève Delpech, restent intactes et toujours aussi odorantes. Ces roses rappellent celles qui sont au coeur de  l’apparition de la Vierge Marie à Guadalupe près de Mexico en 1531. L’histoire des roses qui se sont matérialisées à Geneviève est l’objet de cet article. Elle illustre la possibilité, parfois, de l’invisible à se manifester.

Dans la préface du livre écrit par Geneviève en mars 2024, Didier Van Cauwelaert souligne d’abord que ces matérialisations cosntituent autant de messages solides adressés à Geneviève.  Il s’interroge sur le sens de ceux-ci, un simple coucou, une préparation à de futurs présents encore plus perturbants ?  Une autre hypothèse avancée par Didier s’appuie sur la physique quantique et il s’interroge sur l’hypothèse d’une pensée créatrice, hypothèse évoquée par Jung lorsqu’il parle de débordement de la psyché.

Didier  émet les hypothèses que les puissances qui la guident pourraient être selon les cas, des esprits en souffrance, ou des consciences élevées, ou des « antennes intérieures » fonctionnant à partir de sa thyroïde comme l’a confié à Geneviève dans une apparition, un savant mort au XXè siècle.

Dans son avant-propos, Geneviève confie qu’elle a conscience de n’être qu’un canal et que les informations transmises matériellement étaient destinées à d’autres. Elle estime qu’elles ont pour origine une conscience ou un groupe de consciences de ce qu’on appelle « l’au-delà »  qui essaient d’interagir avec nous pour éclairer notre destin. Elle dit que son rapport à la religion est un peu particulier étant née dans l’église de Montfort-en-Chalosse un 14 septembre à 18h30 pendant les vêpres. Elle est élevée dans la foi catholique mais en 1988, suivant les recherches spirituelles de Michel, elle se convertit aux rites coptes orthodoxes. Elle précise qu’elle a la foi mais n’observe pas de rituel.

Avant son voyage à Mexico, Geneviève suivait les conversations entre Didier van Cauwelaert et le Père François Brune et connaissait donc bien de ce fait  l’histoire du « miracle permanent » de la Vierge de Guadalupe comme le qualifient ses deux interlocuteurs. En novembre 2019, un ami, le docteur B.H. lui propose de l’accompagner pour aller à Guadalupe.

Rappelons d’abord que le miracle de la Vierge de Guadalupe eut lieu à l’occasion du quatrième jour d’apparition de la Vierge à un indien, Juan Diego, le 12 décembre 1531 sur la colline de Tepeyac. La Vierge le charge depuis troi jours d’aller rencontrer l’évêque pour lui demander de construire une église sur la colline. Mais celui-ci demande des preuves pour  recevoir cet indien inconnu.  Alors, la Vierge demande à Juan Diego d’aller  cueillir des roses de Castille dans un buisson avoisinant alors que celles-ci ne poussent pas au Mexique et encore moins en plein mois de décembre !

Juan Diego met ses roses dans sa tilma, ce manteau mexicain qui se noue autour du cou, et c’est ce manteau d’agave qui laissera apparaitre à l’évêque l’image de la Vierge imprimée à l’intérieur. Ce manteau est aujourd’hui encore parfaitement conservé naturellement plusieurs siècles après l’événement, alors que l’agave ne résiste habituellement, pas plus de vingt ans à l’usure du temps. Les yeux de la Vierge ont les propriétés de véritables yeux, les étoiles apparaissant sur le manteau retracent le ciel tel qu’il était ce jour là etc… C’est en cela que le miracle est dit permanent et les nombreux scientifiques qui l’ont examiné à plusieurs reprises  n’ont pas d’explications rationnelles devant ce phénomène.

Revenons à Geneviève Delpech. Celle-ci narre que quelques mois avant son voyage, elle avait reçu, en vision, « une visite » qui l’avait intriguée par sa brièveté, son étrangeté et aussi sa luminosité. C’était celle d’un petit homme habillé comme les indiens et qui lui avait d’emblée donné son nom, Cuauhtlatoatzin, le nom de celui qui avait rencontré la Vierge en 1531. Quelques temps plus tard, alors qu’elle regagnait sa voiture après une course, elle découvre sur le siège passager une petite médaille avec une vierge entourée de rayons.

Quinze jours plus tard, accompagnée de son ami médecin, ils arrivent à un hôtel de Mexico et, deux heures après, sont déjà sur la colline de Tepeyac au lieu de l’apparition. A l’intérieur de la basilique, elle dit avoir été submergée par une force d’amour inconditionnelle, irrationnelle, évidente.

Au cours de la nuit qui suit, vers 3 heures du matin, une soudaine sensation de fraicheur sur le cou la réveille alors qu’un très fort parfum de roses envahissait l’espace. La lumière allumée, elle découvre avec appréhension être au milieu d’une multitude de roses éparpillées sur elle et sur son lit. Un peu affolée, elle les enveloppe dans le bas de sa longue chemise de nuit et se précipite prévenir son ami dans la chambre voisine.  Après avoir pris des photos et entouré ces roses dans une serviette, elle décide de les ramener en France.

Elle en donne quelques unes à ses plus proches amis, conserve les autres enroulées dans un linge placé dans son armoire. C’est là, que pour l’émission de mars 2024, plus de quatre ans après ce voyage, elle prend la photo de ces roses toujours aussi belles et aussi odorantes dit-elle. C’est cette photo qui est placée en haut de cet article et qui est la preuve de la trace de cet invisible qui s’est alors  manifesté il y a quatre ans et qui se manifeste encore  aujourd’hui à Geneviève Delpech.

Dans la foi chrétienne, cet invisible qui se manifeste constitue l’une des nombreuses formes possibles et inexplicables de ce qu’on appelle  un miracle. Ici, est-ce les dons médiumniques de Geneviève Delpech, comme le suggère Didier Van Cauwelaert s’appuyant sur l’hypothèse de Jung, qui a contribué à la matérialisation de  la psyché et à la manifestation de l’invisible ?

 

 

 

 

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