Observations d’OVNI dans le ciel de Besançon

 

reproduction par le témoin  du phénomène observé le 25 septembre 2020

 

  Nous sommes le 25 septembre 2020 et le témoin se souvient qu’à l’apparition du phénomène il a regardé sa montre. Il était très exactement 21h29.

Apparaît alors brusquement dans son champ de vision, à une altitude  qu’il estime être celle de la couche nuageuse que l’on perçoit d’autres soirs, une série de trois rangées de spots circulaires de couleur orangée tirant sur le rouge. Ces spots sont constitués d’une couronne éclairée présentant, vers l’avant et vers l’intérieur, une excroissance pointue. Ces spots sont visuellement alors partagés en diagonale par le fil électrique qui alimente sa maison.

L’observation va durer environ 15 à 20 secondes. Il a le temps de compter qu’il y a trois rangées de 6 spots avec en plus un spot à l’avant de la rangée médiane et deux spots à l’arrière. Il ne distingue aucune forme à cet objet. Par contre il affirme que celle -ci,  indéterminée, cache les étoiles qui sont au-delà.

L’objet est apparu subitement, venant de nulle part. Il se déplacera en ligne droite et relativement lentement en direction Ouest/nord-Ouest. Ce déplacement n’occasionnait aucun bruit et le témoin d’ajouter que durant cet instant tous les bruits du voisinage avaient aussi disparu alors que l’observation se situe en agglomération. Après son passage, les bruits sont réapparus. L’objet a disparu de son champ de vision par delà un groupe de plusieurs tours situées à quelques centaines de mètres plus loin.

Première observation : Nous sommes en octobre 2015 et le témoin qui ne se rappelle pas du jour exact, précise qu’il était 23H 55 car des projecteurs d’une maison de quartier voisine éclairaient encore la partie du ciel où il vit apparaître le phénomène. Il précise que quelques instants après, ceux-ci  se sont éteints comme d’habitude à 24H.

Le témoin raconte qu’il est familier des sites et du monde de l’ufologie.  Il connaît bien la narration de tous ces phénomènes, mais aussi les techniques à utiliser pour préciser les observations.

Il dit aussi son habitude à la belle saison de passer plusieurs heures dehors le soir à vivre ces moments, à observer le ciel. Il précise alors que pour y parvenir l’oeil doit d’abord s’habituer à l’obscurité durant une heure ou deux pour atteindre son maximum de finesse d’observation dans l’obscurité.

En fait, ici, et comme déjà indiqué, une partie du ciel observé reçoit la lumière de projecteurs. C’est dans cet espace, légèrement éclairé, qu’il voit tout à coup passer une aile delta noire se dirigeant sud – nord. Lorsqu’il la perçoit, celle-ci est très basse et frôle la cime d’un petit bosquet de pins situé à moins de cent mètres de sa maison.

Habitué de ces observations, il note qu’il ne voit plus alors les étoiles occultées par cette forme. Cette dernière apparaît d’autant mieux qu’elle est éclairée faiblement par les projecteurs. Il s’agit d’une aile  delta de couleur noire  et de quelques mètres d’envergure. Celle -ci ne dispose d’aucun feu et son déplacement se fait sans aucun bruit.

Interrogé sur le temps d’observation le témoin estime celui-ci à moins de cinq secondes et l’aile a alors disparu derrière le bosquet de pin.

les réflexions qui suivent sont tirées d’un article « phénomène OVNI et problème de la conscience » -écrit  par Jocelin Morisson le 13 janvier 2017

l’article est consultable ici.

 

Cet article, tiré d’un livre collectif, tente de dissiper certains malentendus, à commencer par le fait que cette approche serait « psychologisante » et viserait à réduire les observations d’ovnis à des illusions.

L’ufologue et psychologue Fabrice Bonvin – cf là -a dirigé la rédaction de l’ouvrage collectif. ( Fabrice Bonvin est un enquêteur, conférencier et écrivain ufologue suisse né à Genève en 1975. Il obtient un master en psychologie à l’Université de Genève.)

Le souhait de Fabrice Bonvin était de privilégier une approche « holistique » du phénomène ovni, sur la base de six constats :

1) Le phénomène s’affranchit des lois cinétiques et dépasse de loin nos capacités aérodynamiques.

2) Il a une composante physique.

3) Il est doté d’une intentionnalité et se caractérise par une grande élusivité (sporadique, fugace, non reproductible, échappe à l’objectivation poussée).

4) Il montre de l’intérêt pour l’énergie nucléaire, à usage civil ou militaire.

5) Il a tendance à se manifester par vagues dans une perspective temporelle.

6) Il se présente sous une grande variété et s’adapte à nos représentations cognitives d’un point de vue formel.

Fabrice Bonvin résumait ainsi son approche du phénomène ovni : « Il a une dimension physique, oui, mais réduire les ovnis à des objets « tôle et boulons » et les extraterrestres à des êtres de chair et d’os arrange les gouvernements car cette explication a selon moi servi de couverture à la réelle nature du phénomène ovni. Je pense que les gouvernements, et en particulier américain, ont compris assez rapidement que c’était un phénomène complexe, et il a joué là-dessus pour ridiculiser le phénomène avec des récits complètement farfelus. Les récits loufoques d’Howard Menger ou Georges Adamski ont décrédibilisé l’ufologie et tout indique qu’ils ont été appuyés par la CIA. »

Le fait est que la complexité et le polymorphisme du phénomène ovni rendent son étude encore plus difficile ; c’est pourquoi l’approche pluridisciplinaire se révèle indispensable. Voici quelques unes de ces approches pluridisciplinaires :

La conscience est à la fois la plus grande énigme scientifique actuelle et ce qui est à la base même de toute notre expérience de la réalité. A ce titre, il y a une forme de point aveugle. En effet, sans conscience il n’y a pas de réalité, mais s’interroger sur sa nature revient à confondre le sujet et l’objet puisque le seul outil dont nous disposons pour étudier la conscience est la conscience elle-même.

La conscience serait comme l’écran blanc sur lequel est projeté le film de la réalité, ou la page blanche sur laquelle elle s’écrit.

Le physicien Bernard d’Espagnat parlait du « réel voilé » et John Wheeler lui emboîte le pas avec sa formule « it from bit » : « En substance, le monde physique (it) émerge en réalité d’un monde immatériel d’information pure (bit). » Dans une fameuse conférence TED de 2011, l’ufologue Jacques Vallée a dit que la « physique de l’information » serait la physique des cinquante prochaines années.

Dans Ovnis et Conscience , l’ufologue Daniel Robin évoque un « facteur exogène », comme si « quelque chose ou quelqu’un interférait avec l’humanité », « dans un but d’évolution/élévation spirituelle ». Le phénomène ovni et le problème de la conscience posent tous deux des questions sur la matérialité, les dimensions de la réalité, leur origine, le sens, l’utilité, le dessein, les potentialités.

L’idée que des manifestations de type ovnis traduisent une réalité plus complexe et aient un lien avec d’autres phénomènes relevant du folklore, de la mythologie ou de la spiritualité, n’est pas nouvelle. Elle a notamment été proposée par Carl Jung dès 1957. Dans Un mythe moderne : des « signes du ciel », il montre en effet que la question de la réalité physique des « soucoupes volantes » est presque secondaire et que ce qui importe est le phénomène psychologique, lui-même fruit de la fonction imaginaire inconsciente. Le terme « mythe » vise à souligner qu’au moins une partie de ces expériences seraient de nature « psycho-physique », c’est-à-dire qu’elles procèderaient d’un brouillage des frontières entre les réalités objectives et subjectives.

quatrième de couverture du livre de CG JUNG. : En entreprenant l’étude psychologique des soucoupes volantes, C.G. Jung refuse de se prononcer sur le problème de la matérialité physique des faits et il étudie pour l’essentiel les soucoupes volantes, que l’on prétend avoir «vues», comme si on les avait «rêvées». Il ne s’attache que secondairement au problème de leur réalité externe. Même si elles revêtaient une réalité physique, support du phénomène psychologique, C.G. Jung montre que, dans le sens le plus large, ce dernier est le fruit de la fonction imaginaire inconsciente. Le lecteur découvrira comment le phénomène et l’imagerie des soucoupes volantes expriment, de façon totalement inattendue, l’inadéquation de l’homme moderne à lui-même et au monde, la détresse qui en résulte, une mise en forme balbutiante – grâce à un langage puisé dans l’actualité – de ce qui l’agite, et aussi une tentative de conciliation de ses forces contraires. C.G. Jung inscrit – au-delà de son enquête – la somme de son savoir, de sa réflexion, de son intuition sur le monde et son avenir. Il y dégage pour nous, à l’occasion d’un phénomène contemporain insolite, en une manière d’étude de psychologie appliquée, les leçons de sa science et aussi de sa vie.Le Mythe moderne de C.G. Jung montre un point de jonction entre deux infinis, l’infini du monde extérieur et l’infini qui sommeille en tout homme.

Egalement contributeur du collectif Ovnis et Conscience, l’ingénieur-physicien Philippe Guillemant – cf ici son site -a été incité à réfléchir à ces problématiques par Jacques Vallée. A l’occasion d’un entretien qu’il m’avait accordé pour le magazine Nexus, il déclarait : « Je pense que nos visiteurs, s’ils existent, transitent par l’extérieur de l’espace-temps, autrement dit par le vide. Il peut y avoir toutes sortes de technologies, mais le principe d’entrée-sortie est toujours le même et opère par distorsion de l’espace-temps. (…) On peut déjà théoriquement déformer l’espace-temps pour s’y déplacer, par exemple en utilisant la métrique d’Alcubierre qui consiste à compresser l’espace à l’avant d’un vaisseau et à le dilater à l’arrière : c’est alors l’espace qui est déplacé comme une onde, et non le vaisseau. Mais on peut aussi appliquer une compression homogène et, dans ce cas, aller jusqu’à sortir de l’espace-temps par différents moyens dont beaucoup figurent dans la littérature de science-fiction. »

Passerelle avec le chamanisme
A partir de conversations avec Romuald Leterrier, ethnobotaniste expert du chamanisme amazonien, Philippe Guillemant a envisagé une possible identité entre le multivers quantique et le monde des visions des chamanes. « Nous avons du mal à l’imaginer aussi longtemps que nous n’admettons pas que c’est notre conscience qui construit notre réalité à partir de l’information du vide. Ma théorie divise le vide quantique en deux couches supplémentaires d’espace-temps (non manifestées) à trois dimensions, ce qui nous fait au total trois mondes emboîtés pour la conscience, qui concordent avec les mondes décrits par les chamanes : le « monde du dessous », qui correspond à ce que j’appelle l’anima ; le « monde du milieu », qui est notre monde physique tel que perçu par notre conscience, notre « moi » ; et le « monde du dessus », qui est le monde spirituel, le multivers dans lequel notre « soi » est libre de se déplacer par la pensée dans le champ des possibles. Il correspond à une couche de densité d’information inférieure qui permet l’indéterminisme et le libre arbitre. »

Pour mieux le comprendre, on peut prendre la métaphore d’un terrain montagneux par exemple. Lorsqu’on avance dans l’espace-temps, tout se passe comme si on progressait sur un sentier tracé à l’avance, et notre vie est le parcours le long du sentier. Nous croyons  que tout ce qui existe est seulement ce que nous voyons du sentier, mais il suffirait que l’on s’élève en ballon pour voir tout ce que nous ne voyons pas et qui existe aussi : notre passé, notre futur, mais aussi tous nos autres futurs possibles, hors du sentier…
« De la même façon, poursuit P. Guillemant, les univers parallèles sont tous présents dans un même espace qui est le multivers quantique. Notre réalité 4D est seulement notre parcours, mais toutes les autres possibilités coexistent dans le champ des possibles. Ce multivers hors sentier est l’endroit où l’on accède en sortant de l’espace-temps. Comme on n’est plus soumis à la mécanique, on s’y déplace par la pensée, car la pensée est un système d’adressage de la mémoire du multivers, utilisé par les chamanes. »
La réalité dite « extraterrestre » est pleinement intégrée à la vision du monde des chamanes. C’est pourquoi Philippe Guillemant estime que lorsqu’on sort de l’espace-temps, on se retrouve dans le monde des visions, qui est un monde réel. « Si l’on y débarque avec un vaisseau et qu’on a la technologie pour faire de ce vaisseau une extension vibratoire de sa conscience, on peut alors le mouvoir par la pensée. »

 

 

15 septembre 2021

quatrième de couverture : Deux grandes énigmes de la science, la Conscience et les OVNIS, se rencontrent dans cet ouvrage collectif rédigé par des auteurs de premier plan qui, pour la première fois, entrecroisent leurs discours. Des scientifiques issus des sciences dures et des sciences humaines, un philosophe des sciences, des ufologues-enquêteurs et des témoins analysent le “phénomène Ovni” à la lumière de ces deux énigmes et à partir de leurs domaines de compétences respectifs. Leurs analyses nous apprennent que celles-ci se pénètrent l’une l’autre et s’influencent réciproquement : dans de nombreux cas, les Ovnis modifient la conscience des témoins qui voient s’élargir leurs capacités de perception. En retour, la conscience, ainsi modifiée, paraît plus apte à entrer en contact avec des formes d’intelligences évoluées et inconnues qu’il nous faut appeler des consciences exogènes. Que nous enseigne cette réciprocité ? De quelle manière nous permet-elle de jeter une lumière nouvelle sur le mystère des Ovnis ? La réponse à cette question s’appuie sur les avancées les plus récentes de la physique qui voit s’ouvrir à elle un nouveau paradigme : celui de l’information. À travers les promesses de la physique de l’information, un nouveau cadre théorique s’offre à l’ufologie qui lui donne les moyens de faire le lien entre la conscience et les Ovnis et de penser ainsi leur singulière réciprocité. Cet ouvrage investit ce nouveau cadre et esquisse l’émergence d’une nouvelle ufologie, dont les répercussions vont bien au-delà de sa problématique pour suggérer une nouvelle conception de la Réalité.

21 avril 2021

quatrième de couverture : Certains le prétendent depuis plusieurs décennies : il est  possible de déclencher soi-même un dialogue avec le phénomène ovni ! Cet ouvrage est le premier livre en français consacré à ce sujet. Il propose une immersion théorique et pratique dans l’univers des rencontres rapprochées du 5e type (RR5). Ces RR5 révolutionnent le regard porté sur les ovnis : le témoin cesse d’être passif et ne subit plus : c’est lui qui provoque la rencontre en agissant ici et maintenant ! Le présent ouvrage est un guide pratique qui vous livre les secrets des mécanismes des RR5 et qui, pas à pas, vous invite à devenir acteur de cette révolution que constitue le contact avec une forme exogène de vie ! Dans un précédent ouvrage (Ovnis et conscience 1), vous avez pu découvrir les idées et les concepts qui sont désormais déclinés en pratique, disposés dans une boîte à outils qui permet d’envisager l’expérimentation d’une rencontre rapprochée. Ce guide pratique vous donne tous les éléments nécessaires pour être à l’initiative du contact. À vous d’expérimenter si vous êtes prêt à bouleverser vos certitudes !

 

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