Saints et mystiques de la Foi chrétienne -les livres les plus lus

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Les mystiques étonnent même les plus croyants. Essayons d’en savoir un peu plus avec l’historien Patrick Sbalchiero qui a dirigé l’équipe des auteurs du « Dictionnaire des miracles et de l’extraordinaire chrétiens »(Fayard)

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Qu’est-ce qu’un mystique ? C’est une personne en union au Dieu de Jésus-Christ, conduisant parfois – mais non toujours – à des faits extraordinaires : visions, locutions, stigmates, etc. Au fil des siècles, évêques, religieux et laïcs ont ainsi rencontré le Ressuscité.

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La mystique est inséparable de la foi. Elle est son aboutissement : une union à Jésus, selon un mode exceptionnel respectant l’humanité, mais l’élevant et lui ouvrant le chemin de l’éternité. C’est pourquoi vérité et profondeur de l’union à Dieu ne dépendent jamais des expériences extraordinaires. Ainsi de très grands saints ont-ils vécu leur vie entière sans connaître le moindre fait surprenant, comme, par exemple, Thérèse de Lisieux (+ 1897) ou Mère Teresa de Calcutta.

Les miracles de Jésus, puis ceux des apôtres entraînent la conversion des leurs. L’Église naissante n’oppose pas ‘mystiques’ (du latinmysterium : mystères) aux théologiens. Le premier mystique, saint Paul (+ v. 65/67) parle de foi. Sa vision du Christ près de Damas réoriente son existence. « Pas de théologie sans mystique, et pas de mystique sans théologie », écrit Dom Pierre Miquel. L’Esprit Saint fonde la vérité de telles expériences en transmettant aux hommes la Parole de Dieu.

 

Les principaux mystiques chrétiens

Il faudrait un annuaire pour citer tous les mystiques ! Presque toutes les saintes et les saints ont été des mystiques ! Nous ne citons ici que les plus grands.

Tous les Docteurs de l’Eglise ont tiré leur inspiration théologique de l’oraison et de la contemplation, parfois de révélations privées. Sur les 33 Docteurs de l’Eglise, dix ont légué un enseignement sur la vie mystique.

Dans les premiers siècles, les ermites orientales dominent le paysage mystique, comme saint Antoine d’Egypte (+ 356) : visions, exorcismes, apparitions du diable sous diverses formes, l’homme de Dieu mena un combat spirituel de chaque instant. À son image, saint Benoît de Nursie (+ 560), patriarche des moines d’Occident, multiplie les prodiges.

Du Ve au IXe siècle, évêques, prêtres et religieux prennent le relais : saint Ambroise de Milan, saint Isidore de Séville, et même saint Grégoire le Grand, pape (+ 604).

Ensuite, les grandes fondations d’abbaye monastique donnent à l’Église latine leur lot de mystiques : Odon de Cluny, Pierre le Vénérable, saint Pierre Damien, Anselme de Cantorbéry… À la même époque, saint Bernard de Clairvaux (+ 1153), conseiller des papes et des princes, développa une théologie sur les visions célestes et vécut lui-même guérisons, exorcismes, extases et le don de connaissance.

Mais la mystique féminine connait au XIsiècle un bel essor. De manière indiscutable, sainte Hildegarde de Bingen (+ 1179), abbesse allemande, visionnaire, familière des saints et des anges, exorciste et guérisseuse, phénomènes consignés dans ses œuvres, devient la grande mystique européenne.

Au XIIIe siècle apparaissent les Ordres Mendiants. Saint François d’Assise (+ 1226) est le premier stigmatisé. Dans son sillage, saint Antoine de Padoue (+ 1231) multiplie les prodiges: prophéties, visions diverses… Sainte Claire d’Assise (1253) connait aussi l’indicible et les prodiges : multiplications de vivres, musiques célestes, ravissements et lecture des cœurs…

La fin du Moyen-Âge marque un développement rare de la mystique féminine à partir des couvents et des béguinages : Mechtilde de Magdebourg (+ vers 1282), Gertrude d’Helta (+ 1302), Brigitte de Suède (+ 1373), etc.  Toutes entretiennent une relation privilégiée avec Jésus. Elles revivent sa Passion, avec des extases et locutions… Le clergé leur demande parfois d’écrire leurs expériences.

Au XVe siècle, les laïcs apparaissent. Sainte Jeanne d’Arc (+ 1443) entend des ‘voix’ : Dieu lui adresse des paroles qu’elle est incapable d’oublier sinon de comprendre. Vers 1500, cette veine féminine change : les phénomènes demeurent mais les femmes sujettes à ces faits sont fondatrices d’ordres et issues de la haute noblesse (sainte Jeanne de France + 1505). Parallèlement, des missionnaires attirent les foules en proclamant la foi comme une conversation avec le ciel (saint Vincent Ferrier + 1419).

Le XVIe siècle est celui de la mystique espagnole. Trois figurent dominent : sainte Thérèse d’Avila (+ 1582) qui, avec son génie littéraire, explique ce qu’elle vit et ce qu’elle voit : extases, visions, messages… Saint Jean de la Croix (+ 1591), le « mystique des mystiques », inquiété par les autorités religieuses de son temps pour la radicalité de son œuvre et ses «transverbérations», extases, etc. Ce saint est en partie à l’origine de la prudence de l’Église vis-à-vis du merveilleux. Il influença des générations de fidèles, jusqu’à Jean-Paul II qui lui consacra une thèse ! Le troisième homme fut fondateur d’un ordre promis à un avenir unique, saint Ignace de Loyola (+ 1556), aussi d’origine espagnole. Ses Exercices spirituels placent le fidèle en ‘situation’ lui faisant vivre des scènes évangéliques. Ignace a connu le don des larmes, les extases, les visions de la Sainte-Trinité…

Les XVIIe et XVIIIe siècles multiplient les mystiques. Toutefois, l’Église contrôle de plus en plus les révélations dites ‘privées’ : viennent-elles de Dieu, de l’esprit humain et du diable ? Saint François de Sales (+ 1622), sujet à des visions lumineuses, à des conversations avec des êtres invisibles, traite de la mystique dans son œuvre universelle. Saint Alphonse de Liguori (+ 1787), extatique, thaumaturge, sujet à des bilocations, voyant de la Vierge, reste prudent face aux allégations de certains de ses paroissiens…

Le XIXe siècle, ère de la révolution industrielle, connaît son lot de mystiques, comme des voyantes de la Vierge Marie : sainte Catherine Labouré (+ 1876), sainte Bernadette Soubirous( + 1879), la voyante de Lourdes en 1858, ou Jacinta et Francisco, les pastoureaux de Fatima (1917).

Uniquement des femmes ? Non ! Deux hommes méritent leur place : saint Jean-Marie Vianney, le saint curé d’Ars (+ 1859), victime des tracasseries du ‘Grappin’(le diable) et sujet à des visions de la Vierge ou de saints, des guérisons inexpliquées, etc.

En Orient, saint Charbel Maklouf (+ 1898), le saint libanais vénéré par tous les Maronites, dont le corps resta, après la mort, in-corrompu ; de multiples miracles et guérisons eurent lieu sur son tombeau.

Enfin, au XXe siècle, deux personnes doivent être citées : Yvonne-Aimée de Malestroit (+ 1951), (sur Wikipedia) dont le procès de béatification vient d’être rouvert, qui réunit au cours de sa vie tous les phénomènes répertoriés depuis le Moyen-Âge : visions, matérialisations, extases, bilocations, stigmates ; surtout, ces prédictions ont été les plus précises de l’histoire du Christianisme !

De son côté, saint Padre Pio (+ 1968), capucin italien, porta les stigmates de la Passion pendant 50 ans et connut des manifestations aussi incroyables les unes que les autres : bilocations, lévitations, don de guérison, de science et de prophétie…

Ce petit historique n’épuise en rien les richesses de la mystique. Soyons certains qu’à l’instant où j’écris ces lignes, des fidèles vivent en union à Dieu sur un mode exceptionnel.

 

Dictionnaire de l’extraordinaire chrétien -14/11/2002 sous la direction de Patrice Sbalchiero

L’extraordinaire chrétien désigne une immense variété de phénomènes – physiques et psychologiques – manifestés dans la Bible et au long de deux millénaires de christianisme. Leur origine serait étrangère aux réalités sensibles de notre monde, et leur mode de manifestation incompréhensible à la seule démarche scientifique. Récits bibliques, vies de saints et traités de théologie spirituelle attestent leur pérennité et leur récurrence en Occident comme en Orient. On peut, pour simplifier, distinguer quatre grandes strates.
La première est le « socle biblique » : la naissance virginale de Jésus, ses miracles, sa Transfiguration, sa Résurrection et son Ascension, les prodiges accomplis par les premiers apôtres, le ravissement de saint Paul, les visions rapportées dans l’Apocalypse de saint Jean…
Viennent ensuite les phénomènes propres aux mystiques chrétiens : certains, physiques, entraînent une modification du métabolisme (extase, guérison, hyperthermie, inédie, lévitation, stigmatisation…), ou bien, comme la fragrance post mortem ou l’incorruptibilité, apparaissent au moment du décès du sujet, voire après. Quant aux phénomènes intellectuels (ou « subjectifs »), ils ont pour dénominateur commun l’abolition des limites spatio-temporelles : prédictions (négation du temps), clairvoyance (négation de l’espace)…
En troisième lieu, le merveilleux chrétien recouvre l’ensemble des « prodiges » rapportés par les vies de saints absents des Ecritures (légendes populaires et récits hagiographiques). Il s’agit de matériaux littéraires servant à l’édification des lecteurs, dont une partie tire son origine de textes apocryphes.
Enfin, la tradition chrétienne affirme que les puissances du mal ne sont pas des figures symboliques ou des principes métaphysiques, mais des êtres vivants créés par Dieu, doués d’une intelligence supérieure et dont certaines interventions parmi les hommes aboutiraient à des phénomènes sensibles : apports, possessions, visions diaboliques…
Reste à expliquer l’omniprésence de ces phénomènes extraordinaires dans la tradition chrétienne. Les sciences humaines et celles de la nature peuvent-elles aider à une meilleure compréhension de ces faits ? Comment articuler lecture théologique et interprétation scientifique ? La psychologie humaine constitue-t-elle une base favorable ou un obstacle au surnaturel extraordinaire ?
Plus de 230 auteurs, pour l’essentiel historiens, médecins et théologiens, universitaires ou ecclésiastiques, croyants ou non, apportent, à travers 830 articles rédigés sous la direction de Patrick Sbalchiero, des réponses documentées à des questions qui suscitent d’infinies curiosités.

Patrick Sbalchiero est docteur en histoire. Enseignant à l’Ecole cathédrale de Paris, il dirige la revue Mélanges carmélitains et a publié des entretiens avec le cardinal Poupard, président du Conseil pontifical de la culture (éditions CLD).

Histoire d’une âme -Sainte Thérèse de Lisieux -mars 2018 de Thérèse de Lisieux

« Ce que je relis dans ce cahier, c’est si bien mon âme !… Ces pages feront beaucoup de bien. On connaîtra mieux ensuite la douceur du Bon Dieu… » Bien plus qu’une autobiographie, Histoire d’une âme est une oeuvre immense où une petite carmélite normande dépeint les merveilles que Dieu peut accomplir. Thérèse nous fait ainsi entrer dans la  » petite voie  » de confiance et d’amour qu’elle a ouverte pour nous. Un texte simple et brûlant, qui a changé bien des vies, dans le monde entier, touchant jusqu’aux plus humbles chrétiens, et inspirant toutes les grandes figures de l’Eglise. Plus qu’une lecture, une véritable rencontre.

Sagesse d’un pauvre – 8 juin 2007-Frère Eloi Leclerc

 

Ce livre décrit une expérience fondamentale de François d’Assise. Il arrive que chacun soit amené comme lui à une désappropriation de sa tâche. L’intérêt de l’expérience de saint François est d’avoir su s’en remettre totalement à Dieu, quant à l’avenir de son Ordre. Tout homme peut rencontrer cette expérience de pauvreté où semble se perdre l’oeuvre de toute une vie, voire la vie elle-même. Mgr Riobé disait qu’il s’y était pleinement reconnu.
Éloi Leclerc, franciscain, auteur de plusieurs ouvrages dont Sagesse d’un pauvre ; Le Cantique des créatures ; Le Royaume caché ; Dieu plus grand ; La nuit est ma lumière ; Matthias Grünewald ; Rencontre d’immensités ; Chemin de contemplation ; Le Maître du désir et Le soleil se lève sur Assise.
Qui était Maître Eckhart ? Pourquoi sa prédication et son enseignement résonnèrent-ils si puissamment et suscitèrent-ils tant de controverses ? Quel était le rapport entre Eckhart  » maître de savoir  » (lesemeister) et Eckhart  » maître de vie  » (lebemeister) ? Pourquoi son oeuvre continue-t-elle à inspirer tous ceux qui cherchent à prendre plus profondément conscience de la présence de Dieu ? Peut-être aucun mystique dans l’histoire du christianisme n’a eu plus d’influence, et prêté davantage à controverses, que ce dominicain. Magister parisien respecté, haut dignitaire de son Ordre, prédicateur et guide spirituel populaire, Eckhart fut l’un des seuls théologiens du Moyen Âge à être condamné. Censuré par Jean XXII, il devait tomber dans l’oubli jusqu’au XIXe siècle. Par le truchement d’un style élégant et concis, Bernard McGinn redonne vie en six chapitres à la pensée d’une figure trop souvent ignorée dans un essai d’ores et déjà reconnu comme l’une des meilleures présentations complètes du mysticisme eckhartien. Considéré comme le meilleur interprète mondial de la mystique occidentale, Bernard McGinn est l’auteur d’une monumentale Histoire du mysticisme chrétien occidental. Il est professeur à l’université de Chicago. Traduit de l’anglais par MICHELINE TRIOMPHE
On trouvera ici la première traduction intégrale du  » Scivias « . Cet ouvrage au titre un peu mystérieux (Sache les voies) présente, en treize visions, l’histoire des rapports entre Dieu et les hommes, de la création au jugement dernier, en insistant sur le rôle de l’Église dans l’histoire du salut. Présentée d’abord comme une femme qui accouche sans cesse de nouveaux croyants, l’Église devient, dans les visions de la troisième partie, un édifice qui se construit sous nos yeux, fondé sur le Verbe divin et orné des vertus chrétiennes. Dans un foisonnement d’images, Hildegarde propose en fait un traité de théologie dogmatique sur la Trinité et l’économie du salut, une morale, faite de multiples interdits et de vigoureuses dénonciations, mais aussi d’une généreuse exaltation des vertus, et enfin une minutieuse pastorale des sacrements. Tout cela dans une langue à la fois généreuse et difficile, grandiose et sombre, se déployant souvent en longues périodes qui emportent le lecteur essoufflé dans un véritable tourbillon.

Née au coeur de la tourmente des Croisades, Hildegarde de Bingen fut dès son plus jeune âge, et jusque dans sa vieillesse, gratifiée de visions mystiques extraordinaires. Ses cosmologies divines, à l’imagerie puissante, sont de plus ancrées dans une théologie rigoureuse qui l’ont imposée de son vivant même, comme un modèle de sainteté et comme une autorité en matière de foi.

Consultée aussi bien par les papes que par les empereurs (Frédéric Barberousse), communiquant avec Bernard de Clairvaux, elle incarna ce xiie siècle grandiose et tourmenté, pétri de mystique et de politique, et vivant dans l’imminence du Royaume de Dieu.

Le Livre des oeuvres divines, son ultime recueil de visions, sublime la confusion de son siècle, finalement si proche du nôtre.

 » Peu de Français ont quelque notion de ce qu’a été réellement le fondateur des Prêcheurs… La plupart ignorent tout de lui, sauf, qu’il a inventé l’Inquisition et dirigé la guerre des Albigeois, deux choses si parfaitement fausses, qu’une question curieuse dans l’histoire humaine est de savoir comment on les a crues…  » Cette image de saint Dominique (vers 1170 – 1221), tant déplorée par Lacordaire, restaurateur des Dominicains en France aux XIXe siècle, lui est restée attachée jusqu’à nos jours. Le Père Vicaire déploie toute son érudition d’historien pour dépoussiérer ce visage brimé de Dominique. Il nous fait découvrir un homme plein de douceur et de compassion pour les pécheurs, les malheureux et les affligés. Il montre celui qui, embrasé par l’amour de Dieu et par celui des hommes, avait décidé de revenir au seul Évangile, de lui rendre témoignage par sa parole et surtout par sa vie. La première partie retrace les origines castillanes de Dominique, ses voyages à travers l’Europe et surtout sa prédication, avec les moments de solitude et d’abandon à Dieu, dans le midi de la France divisé par les querelles politiques et les dissensions religieuses. La rencontre du Christ dans la communauté de vie apostolique d’Osma amène Dominique à la hantise du salut de tous. La rencontre des dissidents religieux le conduit à adopter une nouvelle façon de suivre le Christ qui se transforme, en 1215, en une communauté à Toulouse, point de départ de l’Ordre des Prêcheurs. La seconde partie relate le labeur de Dominique durant les premières années de l’Ordre. Cet homme évangélique est solidaire de la communauté des frères et plus que jamais de l’Eglise. Doté d’un sens et d’un génie religieux surprenants, démocrate avant l’heure, il réalise en six ans un ordre universel, centralisé, doté d’une législation, d’un système d’étude et de formation des prédicateurs, d’une mystique évangélique et d’organes de gouvernement. Il réussit une synthèse des deux idées évangéliques de la prédication mendiante et de la communauté unanime, les enrichissant l’une par l’autre. L’ouvrage du Père Vicaire est élaboré à partir des documents de première main. Tout au long de sa vie l’auteur le retravaillait, le précisait, le complétait. Ce classique tient son équilibre entre une constante érudition et un ton plus personnel, teinté parfois d’émotion que traduit le lyrisme littéraire. La valeur inimitable de l’ouvrage tient dans cette combinaison de la science et de sa compréhension de l’intérieur, cette alliance de l’esprit et du cœur. Il est la première histoire scientifique de Dominique.
« … Ces messages collectifs sont reçus au cours de manifestations ou apparitions de la Vierge Marie à Sœur Altagrâce. Ils sont consignés dans un registre. La Sœur reçoit les messages à genoux pendant que la Vierge Marie lui parle. » Le présent volume offre aux lecteurs la plupart des messages collectifs. D’autres messages sont reçus par « Locutions intérieures ». Ils seront présentés dans un autre volume… » La vie de Sœur Altagrâce est faite de prières, de sacrifices, de joies simples et de souffrances inhérentes à sa mission reçue de Jésus et Marie. » On respire, auprès de Sœur Altagrâce, la joie de vivre. Vie humaine authentique et vie de foi sont unies dans cette vierge consacrée, choisie par le Ciel pour rappeler à la chaude terre d’Haïti et au monde la miséricorde du Seigneur pour les hommes et la nécessité de la confiance en Marie, la « Tendre Mère » de l’humanité entière…  » François-Marie Wolff Ligondé, Archevêque de Port-au-Prince
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